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Initiation brutale

Chapitre 7

A la campagne

Gay
Dès le lendemain, l’attitude de Jean envers moi a changé.Il est plus protecteur, mais aussi plus directif.
On nous a demandé d’aller nettoyer un abri à bûcherons dans la forêt proche et on s’y met tous les deux.
Il fait chaud et il y a une table, un banc et une paillasse, c’est assez succinct et surtout très isolé.
Jean m’appelle :
— Allez, approche et fous-toi à poil, j’ai envie de te voir nue, salope.
Je m’exécute et suis debout devant lui, un peu gauche.
Il sort sa grosse queue déjà bien tendue et je comprends, me mets à genoux et ouvre la bouche.
Il approche, me prend assez brutalement la nuque et enfile sa grosse queue dans ma bouche accueillante.Il commence ses va-et-vient et me baise littéralement la bouche.
La nuque bloquée, je ne peux qu’essayer de respirer tandis qu’il me remplit et ses coups de reins envoient son gros gland jusqu’au fond de ma gorge.
Je suis son jouet, sa pute docile et il l’a vite compris et prend goût à avoir une vide couille à disposition.
Il y va fort et pour rester en équilibre, je m’agrippe à ses cuisses puissamment musclées, il se déchaîne et dans un grand cri, m’envoie des jets de sperme que je peine à avaler tellement ils sont abondants et j’en suis presque étouffé.
Repu, il me repousse et le travail fini, on rentre comme si de rien n’était.

L’oncle nous dit que cet après-midi on va aller aider à la ferme voisine.Celle-ci est tenue par deux frères, de vieux garçons d’environ 45 ans, des costauds et leur mère, une maîtresse femme massive et autoritaire qui m’a toujours un peu impressionnée.
On travaille d’arrache-pied et en fin de journée, je vois Jean discuter avec les frères et la mère qui s’en mêlent, je ne sais pas de quoi ils parlent, mais ils se taisent quand j’approche.
On a mérité un bon dîner et il se déroule tranquillement, mais je ne me méfie pas et l’alcool coule à flots, je suis vite un peu pompette et rigole à leurs blagues salaces.
Jean, assis à côté de moi, pose sa main sur ma cuisse, enivrée, je ne réagis pas, pourtant il remonte vite sur ma braguette et ne le fait pas discrètement, les trois autres regardent en rigolant.
— Alors petit, t’es pas farouche, nous a dit Jean et tu aimes la queue.
Je baisse la tête, mais Jean serre douloureusement ma queue.
— Réponds à Mélanie salope.
J’ai honte, mais l’alcool annihile un peu ma honte.
— Oui Madame, j’aime les sexes des hommes quand ils s’occupent de moi.
Elle ricane:
— Mais c’est bien ça d’avoir chez soi une petite pute docile, et ici il y a trois grosses queues qui vont s’occuper de toi petite salope.
Je comprends que je suis coincée et que Jean a tout manigancé.
Mélanie me dit:
— Allez salope, va dans cette chambre et déshabille-toi, sois sage et obéissante.
Domptée et assez inquiète, je me lève et va dans la chambre.Pièce assez sombre avec un grand lit haut.
Je me déshabille et m’allonge, pas tranquille.
La porte s’ouvre et entre un des deux frères, il s’assoit sur le lit et commence à me caresser, il me pince les tétons et je gémis.
— Tu as envie que je te baise, hein salope.
Je ne réponds pas, mais je le vois sortir une queue de bonnes dimensions et s’approcher de mon visage.
— Suce-moi salope.
L’odeur est forte, mais je pense qu’il vaut mieux que je m’exécute, j’ouvre la bouche docilement...
Il prend ma tête entre ses mains et plonge sa grosse queue dans ma bouche, elle est large et me distend les lèvres, mais je le pompe avec vigueur et ses halètements me prouvent qu’il apprécie.
Du bruit, des mains qui s’emparent de moi, Jean et l’autre frère sont là, aïe je crois que ça va être dur...
Ils me tripotent sans ménagement, des doigts me fouillent, d’autres pincent mes tétons déjà bien sollicités et la grosse queue que je suce étouffe mes gémissements.
— Allez, Jean, ouvre le chemin, montre-nous comment tu le baises.
Ils mettent des oreillers et me font m’allonger dessus sur le ventre, je suis cambrée, cul offert et impuissante, complètement livrée à leurs instincts vicieux.
Je sens une présence et deux mains se posent sur mes hanches, c’est Jean.Il pose son gland sur mon petit trou et commence à pousser.
Les deux autres me tiennent et m’insultent, je suis la dernière des putes, mais la situation m’excite et je bande quand le gland force et, d’une poussée brusque, toute la queue de Jean m’envahit.
Une queue se présente et me frappe le visage, docile, j’ouvre la bouche et elle y entre, étouffant mes cris, car Jean ne me ménage pas.
Le troisième me torture les tétons, ce qui me fait encore plus cambrer, les couilles poilues de Jean me tapent sur les fesses à chaque fois qu’il s’enfonce en moi comme s’il voulait m’ouvrir en deux.
Je sens sa queue durcir encore puis de longs jets bouillants me remplissent tandis qu’il se vide avec un grand cri.
Je n’ai même pas repris mon souffle que le troisième, qui me martyrisait les tétons prend sa place et je sens son gros gland qui force facilement l’entrée déjà bien ouverte par Jean.
Il est encore plus brutal, mais je suis maintenu par les deux autres et il peut me défoncer brutalement, je ne peux que subir, maintenue et bâillonnée, juste une femelle de plaisir pour ces mâles en rut.
Celui qui me baisait la bouche s’assoit sur le lit, sa grosse queue dressée et lubrifiée par ma salive.
Les deux autres me prennent par les bras et me mettent debout, dos tourné à l’homme assis et me poussent vers lui.
Je me laisse faire et m’assois sur la queue dure qui m’envahit sans ménagement, je suis embrochée et je sens son torse puissant dans mon dos.
Ce salaud me bloque les bras et s’incline en arrière, m’obligeant à suivre le mouvement et me voilà couchée de dos sur lui et embrochée.
Mais, ho non, Jean vient se mettre entre nos cuisses que le deuxième frère maintient écartées, il va me pénétrer aussi.....
J’essaie de me dégager, mais c’est impossible et Jean me gifle:
— laisse-toi faire salope on va t’agrandir, tu vas aimer.
Sa grosse queue se pose sur mon cul déjà pénétré et il pousse, pousse, une main étouffe mon hurlement quand la queue de Jean fait céder mon petit trou et se joint à l’autre.J’ai l’impression d’être ouvert en deux.
Commence alors un ballet de queues, ponctué d’insultes, mais petit à petit, je me sens un objet de plaisir, et j’aime ça.
Ils éjaculent presque en même temps pendant que l’autre se branlant sur moi m’asperge le visage.
Je me sens remplie et monte une véritable jouissance qui me fait juter une quantité incroyable de sperme...
Repus, ils se retirent non sans m’avoir encore donné quelques claques sur les fesses et ils me laissent sur le lit, dégoulinante de jus, anéantie de plaisir, sans force...
La porte s’ouvre et la mère entre, me balance une serviette et me dit:
« allez, petite salope, essuie-toi et rhabille-toi, ça suffit pour aujourd’hui.
Je récupère et me nettoie comme je peux puis me rhabille et sors un peu titubante.
Jean m’attend sur la moto.

Je m’installe et on roule.
Tiens, on ne rentre pas directement, ce n’est pas la route...
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