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l'initiation de Clairette

Chapitre 4

Erotique
L’INITIATION DE CLAIRETTE : 4
Le quatrième chapitre du récit de l’initiation de Florent par Clairette et par ricocher celle de Domi par le même Florent. Un nouveau personnage fait son apparition : Charles le père de Clairette dont on comprendra qu’il fut à l’origine du tempérament volcanique de sa fille. Ainsi que Christine, friponne compagne du papa. Un samedi, après un match de rugby, le cœur et le reste en feu, je pu rejoindre Clairette à la gare de St Vallier. — Enfin, je te retrouve ! S’exclame t-elle. Qu’est ce que c’est que ces colles qui m’ont privé de toi pendant deux semaines.— On fumait.— Dit donc, ils sont sévères. Nous parlons de choses et d’autre jusqu’à la station service. Claire m’explique qu’elle rangera la voiture derrière le motel direction Lyon.— On ne risque pas d’y rencontrer des compatriotes. M’explique-t-elle.— Pourquoi ?— C’est trop près de chez eux. Ils se contentent de faire le plein. Ils ne vont pas vers le motel. — Sauf si ils sont aussi vicieux que nous et qu’ils se donnent rendez-vous dans un motel. — Tu crois que çà existe, d’aussi vicieux que nous ?— Non, je ne crois pas. Elle a revêtue un élégant tailleur bleu marine à liseré blanc. La jupe plissée est sage en apparence mais peut-être un peu « jeune fille ». Nous pénétrons dans la chambre. Claire commande un repas.— Il faut que je te lave. Un étudiant en pension à tendance à se négliger.— Tu te trompes. Je suis propre.— Ne discute-pas, déshabille-toi ! Je reste vêtue jusqu’à l’arrivé du service…Elle me pousse vers la douche puis me hume soupçonneuse. — C’est vrai, tu sens le savon, tu fais des progrès. C’est bien.— J’ai pris une douche au vestiaire après l’entrainement du rugby.— C’est une douche collective ? Interroge-t-elle avec son air mutin. Vous avez du prendre votre temps.— Je dois attendre les derniers. C’est moi qui ai la clef. Ils sont restés à quatre ou plutôt cinq. Enfin le cinquième a dégusté. Ils lui ont fait sa fête.— Sa fête ? Mais dit-moi, il s’en passe de belles avec tous ces beaux joueurs ?
Elle s’assoit sur le bord de la baignoire. Je reste nu, debout devant elle. Je subis un vrai interrogatoire. Cela me plonge dans une terrible volupté. Surtout qu’elle joue négligemment avec mon pénis.— Raconte-moi en attendant que le repas arrive.— Il s’appelle Stéphane. C’est une tapette et un cafardeur. On fumait dans la salle de gym du lycée, il a nous a balancé au pion. C’est à cause de lui qu’on a été collé deux mercredis. On voulait le coincer. Mais les autres voulaient lui faire sa fête. Moi je n’étais pas trop d’accord. Mais je suis responsable du vestiaire. J’ai bien été obligé de les attendre. Il n’a pas fait gaffe. Alors, ils l’ont immobilisé dans les douches. Ils l’ont frictionné.— Frictionné, c’est-à-dire ?— Je ne sais pas j’attendais dehors. — Ton nez s’allonge ! Il n’a pas crié ? — Ils l’ont bâillonné avec une serviette. Ils voulaient juste lui passer la bite au cirage mais c’est allé plus loin. Je faisais le gué. Je n’ai pas tout vu. Michel, un type de première, un costaud. Il lui a mit sa pinne en bouche pendant que les autres l’immobilisait. Il y a pris goût, il les a sucé tous les quatre ! Ils m’ont appelé mais je n’ai pas voulu. Ça traînait, j’allais être en retard. J’entendais qu’ils lui disaient « On sait que tu es la pédale du pion. C’est pour çà que tu nous a cafardé » Alors, il l’a enculé. Les autres étaient gênés. Ils les ont laissés. — Et toi tu as laissé faire ? Tu t’es contenté de regarder. Interroge Claire en fronçant les sourcils. — Je voulais fermer mais quand j’ai vu ce qu’il se passait je n’ai pas osé intervenir. Steph était sur le banc allongé sur le ventre. Le postérieur offert, il écartait les fesses avec ses mains. Miche était derrière lui, le froc baissé, il faisait des allers retours contre le cul du Steph. Il lui parlait doucement : « C’est bon, ma pute ! Tu la sens bien. Ce n’est pas de la pine de pion, etc… » Stéphane gémissait : « Oui, va y… Bien au fond… » — J’étais secoué. Je suis ressorti dans l’entrée. J’ai crié que je devais fermer. Je n’ai pas eu de réponse. J’y suis retourné pour les faire sortir. Steph s’était mis sur le dos, les jambes sur les épaules du Mich qui ramonait de plus en plus vite en le branlant. « C’est bon ma Stéphanie », lui disait-il. Ils ont juté ensemble ! Incroyable. Je n’avait jamais vu çà !— Et tu veux me faire croire que tu n’y as pas participé ! — Absolument pas ! Je voulais te rejoindre au plus vite. — Mais tu es quand même complice d’un viol. Et si je te faisais ce que vous lui avez fait ! — Mais il a aimé je t’assure… J’ai bien vu. Et moi, j’ai rien fait. Finalement j’ai tellement gueulé qu’ils sont sortis. Steph regardait ses chaussures et Michel, tout fier, arborait un large sourire ! Le serveur frappe interrompant opportunément la conversation.— Tu ne pers rien pour attendre me lance Claire en fermant la porte de la salle de bain.Nous expédions un steak rachitique, quelques frites froides et tord boyau. Le patron ne s’appelle pas Bruneau pire, il s’appelle Borel ! Mais nous ne sommes pas là pour çà. Je m’avance vers ma concubine. — Ton histoire m’a excité. Tu vas goûter ce que ton collègue à connu aujourd’hui. — Mets-toi sur le dos. Écarte les jambes. Tu vas un peu ressentir ce que ton ami a enduré.Elle arbore un sourire pervers, fouille un instant sous sa robe. Elle pose sa petite culotte noire en satin sur mon visage. Ensuite elle passe ses doigts sur ma raie. Elle joue avec le majeur à l’entrée de ma rosette.— Ouille ! Ça fait mal. — Je ne te touche même pas !En fait, je proteste pour entrer dans son jeu car l’intrusion en surface est tout à fait supportable. D’ailleurs mon pénis en témoigne. Clairette ‘en rend compte. Elle se met à cheval sur moi et s’empale sur mon pieu. Maintenant c’est deux doigts qu’elle fiche dans mes intestins. Mes soupirs s’amplifient. Sentant ma petite mort prochaine, elle accélère les mouvements de ses fesses et de ses mains qui provoquent chez son minet des couinements de femelle bienheureuse d’être châtiée. Une décharge de sperme lui enduit la matrice.Aussi sec, elle me couvre de sa jupe. Je suis dans le noir. Elle pose sa vulve sur sa culotte contre ma bouche. La lune sombre inondée de fragrances épicées m’étouffe. Il me faut en sortir au plus vite ! La seule issue, trouver le petit bouton dissimulé dans la toison qui ouvrira les vannes célestes. Ouf, je le déniche ! Ma langue titille la poule mouillée. Clairette rugit, ses cuisses m’enserrent dans un étau. Au secours, j’ai perdu la vue, je n’ai plus d’air ! Je vais perdre la vie. Que la mort est douce ! Mais je suis trop jeune. Il me reste tant de choses à connaître ! Enfin, je suis délivré par un long cri orgasmique. — Je fais des choses avec toi que je n’imaginerai même pas de faire à Pierrot. Compatissante, ma maîtresse m’offre le bouche à bouche qui me fait renaître. Elle ne semble pas vouloir quitter son tailleur. Elle prend un peu de lubrifiant dans son vagin puis, me plante ses doigts dans la bouche. Elle fait plusieurs aller-retours entre son con et ma bouche. Je la couvre d’une bave copieuse. — Vas y mouille bien. Ça ira tout seul. On dirait que tu as fait ça toute ta vie ! Je sais que tu as goûté à la bite de ton infortuné camarade ? Avoue ! Menace-t-elle en me tordant les bourses. — Ouille ! Arrête !... J’ai regardé une minute mais je suis reparti aussitôt pour faire le guet !— Tu es un pervers. Un sale voyeur ! Je suis généreuse. Je vais te dégorger. Clairette se place tête bêche en dessus de moi. Elle absorbe mon pieu atrocement gonflé et me fiche deux doigts dans les fesses. Elle accélère ses transports jusqu’à ce qu’une vague lui asperge le gosier. Elle court à la salle de bain recracher le liquide et se rincer la bouche. Je crains l’avoir fâché. — Je suis désolé ! Je n’ai pas pu me retenir !— Tu es le premier ! Personne avant toi ne s’est vidé dans ma gorge! Tu te rends compte ! Puis elle ajoute :— Ton sperme à bon goût…. Je baisse les yeux confus.— Il n’empêche. Tu es un petit enculé. C’est bon à savoir… Allez, tu t’habilles, il est plus que temps. On va retrouver mon père. Tu verras, il vaut le détour…En chemin Claire est d’une humeur badine. — Alors, tu l’a revue ta Domi ?— Oui, mercredi pendant le ciné.— Alors tu ne la pas dépucelée ?— Si, un pote ma prêté sa chambre.— C’était bien ?— Pour elle surtout… Enfin c’est ce que je crois…— Pour elle surtout ! Mais écoutez le prétentieux. S’exclame-t-elle en riant. Tu passe plus les portes, mon ami !— Ce que je veux dire c’est que c’est mieux avec toi.— C’est gentil çà. Mais rassure-moi, ce n’était pas une corvée ?— Non, bien sur…— Raconte !Je lui fait un récit forcément édulcoré. Ce n’est pas que je craigne sa pudibonderie mais c’est que je ne veux pas la froisser. — Tu m’excite trop.Elle retire sa veste. Son haut, est un cache-cœur en mohair bleu foncé, noué sur le devant. Un appel au viol ! Je ne sais ce qui me retient de tirer sur la cordelette. Ne voulant pas provoquer un infarctus chez un routier, suivit d’un carambolage, je me contente de glisser une main dans la poitrine qui est libre de toute entrave. J’agace le bouton bandé qui est à ma portée. — Tu es fou ! On va avoir un accident ! Mais elle se garde bien de chasser l’intruse.— Parle-moi de ton père. — Charles (sic) est retraité. Il était cadre supérieur dans une multinationale. C’est un grand sportif. Il fait des courses en montagne. C’est un bon vivant. Il a beaucoup d’amis, surtout des amies… dont Christine, sa compagne qui est libraire dans la station. Il habite un chalet isolé. Il peut pratiquer le «home- naturisme ».— C’est quoi ?— Etre toujours nu à la maison ! Te connaissant, Je ne crois pas que tu seras choqué ? — Non … Je ne crois pas mais « je ne fais voir mes organes procréateurs à personne excepté mes femmes et mes docteurs » ! (Merci le grand Georges)— Belle culture ! Quoiqu’un peu tendancieuse ! Tu lui plairas.Nous débarquons au chalet de Charles qui est au bout d’un chemin escarpé à l’écart de la route d’accès à une station de ski proche de GrenobleLe maître de maison nous accueille avec le sourire mutin qui irradie en permanence le visage de sa fille. Il a la peau cuivrée par le soleil. Il est torse nu. La température est douce en ce soir d’octobre. Un short flotte sur sa taille svelte. Sa fille lui saute au cou une fougue surprenante.— Ma Claire, comment va mon amour ? Bonjour jeune homme ! — Bonjour Monsieur.— Pas de Monsieur ici, moi c’est Charles !— Je te présente Florent, mon apprenti amoureux ! Il apprend vite ! Alors, mon papa, tu es malade ? Interroge l’hypocrite enfant. C’est peut-être par là ! Lui demande-t-elle en glissant une main dans son short! - je suis abasourdi- Non, ce n’est pas çà ! feint-elle de se rassurer. Ca fonctionne bien ! à la bonne heure ! Ces deux semblent entretenir des rapports plus que fusionnels. Tu peux l’enlever, tu sais ! Dit-elle en tirant sur le short. Florent ne se choquera pas ! Je l’ai prévenu. Je suis sidéré. Elle fait glisser aussitôt le bermuda !— Voilà, ca va déjà mieux ! Tu étais congestionné. Tu n’a pas l’habitude !— Tu te moque-toi de ton vieux père ?Charles et nu comme un ver ! Tout le monde rit - même si j’ai comme un chat dans la gorge. Les surprises ne sont pas finies. — Déshabillez-moi ! Exhorte sa fille. — Oui, mais à l’intérieur, il ne fait plus très chaud.Nous pénétrerons dans le salon où un feu de cheminée réchauffe la pièce. Papa lui retire la veste de sa fille. Je suis un peu emprunté. Clairette me prend la main et le porte sur le petit ruban du lainage. Il me suffit de tirer un peu pour qui glisse lentement des épaules. Le spectacle toujours renouvelé de son admirable poitrine, nous éblouit. Comment Jypy peut-il négliger de tels joyaux. En dépit de mes yeux furibonds, elle porte mes mains sur ses hanches. C’est la jupe plissée qui quitte maintenant sa patronne. Elle n’a sa culotte. L’aurait-elle oublié au motel.Son père lui fait sobrement remarque que ce n’est pas prudent de se promener presque nue mais ’un d’un regard complice, nous apprécions le spectacle. — Mais j’ai un protecteur !— Elle est belle ma fille ! Sa mère au même âge ! Nous nous lovons dans le canapé alors que Clairette entreprend de me déshabiller.— Tu n’es pas contre le « hom- naturisme » ? Demande le papa.— Euh… Non, non.Georges se dirige vers le bar en interrogeant sa fille.— Hum, pas mal ! Si vous avez un jeune, vous m’en mettez un de côté !— Papa ! Tu n’es pas sérieux ! — Dis-moi, il n’est pas un peu jeune ton petit ami. — Rappelle-moi quel était l’âge de Fanny quand tu l’as connue? — Ta mère avait dix sept ans.— Et tu l’as enlevé. Ce que je ne fais pas avec Florent.— Justement ! Ca a failli mal se passer et ma devise a toujours été « faites ce que je dis ! Mais ne faîtes pas ce que je fais » ! Faites très attention. Le nudisme à domicile, à condition de bien réchauffer la pièce, c’est supportable. Je suis surpris de constater qu’il ne me faut que quelques minutes pour ne plus y penser.— Moi j’ai faim ! Averti le maître des lieux. Pouvez-vous mettre la table, J’ai préparé un gratin. Dauphinois bien entendu ! Claire me fait signe de rester dans le fauteuil.Voir le père et la fille aller et venir dans le plus simple appareil est un spectacle inédit. La cuisine est ouverte sur le séjour. Charles nous raconte son dernier voyage à la Réunion.Quelque chose d’indéfinissable me fascine chez lui. Bien a delà de sa nudité. C’est un bel athlète et le service trois pièces qu’il arbore ostensiblement ne peut qu’impressionner un novice plus habitué aux quéquettes estudiantines. Claire se rend compte de mon trouble.— Il est beau mon père, non ?— Heuh…. Pas mal…— Quoi, il n’est pas beau ? Alors explique-moi pourquoi tu le regarde comme un enfant la vitrine du Père Noël ?— Heu… Non, c’est toi…— Oh le menteur ! Il ne te quitte pas des yeux ! Enfin, je dis des yeux, mais ils sont plus bas…— Arrête de provoquer ce jeune garçons, cruelle ! Tu le troubles. ..— C’est vrai qu’e vous êtes bien. Pour votre âge… Ajoutais-je maladroitement.— Il est délicat, ton petit ami… J’ai soixante et un an bon pied, bon œil et bonne bourre !Je bredouille une excuse qui m’enfonce encore plus dans le fauteuil. En s’éclaffant, Claire vient se placer au dessus de moi. Les mains sur les accoudoirs. Elle pose un baiser sur ma bouche en promenant ses mamelles devant mes yeux exorbités.— Etre jeune ne te donne pas tout les droits. Tu as fâché papa. — Mais non, répond Charles, c’est charmant. Il est troublé, il n’a pas l’habitude. — Alors là, tu te trompe papa ! Ce jeune homme pratique le rugby qui est un sport viril mais donne l’occasion de débordements licencieux. Sais-tu que ce jeune garçon cache bien son jeu. Demande-lui de raconter sa matinée. Comment lui est ses copains ont possédé un camarade de classe soit disant consentant.— Mais non ! Répliquais-je vivement, je t’ai dit que moi je n’ai rien fait.— Le courageux, il a fait le gué. Il matait comme il le fait avec toi maintenant. C’est un voyeur et un suceur !— Non, ça ne m’intéressait pas répondis-je dans une vaine tentative de justification. — Pourtant, tu aurai vu comme il bandait en me racontant cette histoire.— Tu me tripotais ! Répliquais-je.— Pas au début mon Flo. Après, oui ! Je t’ai fini ! Mais juste avant, tu bandais ferme !Charles nous apporte des grignotages. Promenant ostensiblement son sexe à trente centimètre de ma bouche.— Laisse-la dire, en fait, elle aurait bien aimé être au milieu. Il était vraiment consentant ?— Oui, absolument. Il était libre. Les jambes ouvertes comme une grenouille.— Alors, il y a pas de mal à se faire du bien !Il s’assied à coté de sa fille. Lui explore les côtes.— Tu as maigrie. Ton Pierrot te fait trop travailler.Pierrot n’est pas un sujet. Clairette ne l’écoute pas. Elle s’empare du pénis de son père.— Tu vas voir, quand il est en forme, c’est spectaculaire !Elle le branle ! Dans cette famille, je ne m’étonne plus de rien. Papa semble apprécier, il sirote son whisky. Il passe un bras au cou de sa fille pour exciter un bourgeon. Elle me charrie :— Alors, maintenant que tu as y a gouté, tu ne veux pas un beau morceau ? — Je ne suis pas un pédé.Papa intervient :— Tu sais ce que c’est un pédé ? C’est celui qui aime les très jeunes garçons. Tu vois, ce que je fais avec ma fille, c’est incestueux mais ce n’est pas pédérastique. Tu saisis la nuance.— Je ne sais pas si ça pourra me servir pour mon cour de philo mais j’en prends bonne note.— « Faites leur faire des études, et ils feront de l’esprit » réplique Claire dans l’hilarité générale. Approche ! M’intime-t-elle. Viens toucher comme c’est dur. Allez ! Viens ! Il ne va pas te manger ! Je me place à genoux devant le père et la fille. Elle prend ma main et la pose sur le mandrin. Je reçois une décharge électrique. Ca y est ! J’ai trouvé ce qui me fascine chez George. Il est lisse de la tête au pied ! Claire me fait caresser vigoureusement l’engin qui prend une taille impressionnante. — Pose tes lèvres … Allez, ça ne mord pas…Je décline d’un signe de tête. Mais elle pousse sur mes épaules. Mes lèvres effleurent le nœud. Je résiste un peu mais une vigoureuse pression sur mon cou m’oblige à gober le gland.Claire passe la main en dessous des bourses de son père. Celui-ci avance les fesses au bord du fauteuil. Le pieu s’enfourne d’un coup au fond de ma gorge. Je suffoque. Comme dans un ballet bien réglé, la perfide m’enfile un doigt dans le rectum. Je sens le mâle se raidir. Claire cajole mes bourses. Charles accélère jusqu’à m’étouffer. Je reste passif. Des vibrations parcourent sa colonne de chair. Je me retire pour reprendre un peu d’air. Je le branle énergiquement. Le papa pousse un soupir. Je reçois s un jet de sperme sur la figure et le thorax et je me vide dans les doigts de ma maîtresse. Dégoûté, je me précipite dehors.— C’était peut-être un peu trop. Observe Georges.— Un peu trop le même jour. Claire me rejoint sous la véranda. Elle me couvre d’un plaid.— Viens, on va prendre une douche.Je suis furieux et honteux.— Ce n’est rien, c’est une expérience, me rassure-t-elle. Tous les jeunes de ton âge la font. Ils ne deviennent pas pédés pour autant…Clairette me douche et m’enveloppe dans un peignoir, je suis bien. Nous dégustons une excellente tartiflette. Après un dessert Mont Blanc, nous récupérons dans le canapé en écoutant Mozart. — Dit Papa, si on regardait nos diapos ? — Florent est peut-être fatigué ?— Non, non, ca va…. Claire installe le projecteur et viens se lover contre moi.Dans la première série, je reconnais le père et la fille au bord d’une plage. Claire doit avoir dans les cinq ans. Ils sont accompagnés d’une jeune adolescente aux formes dodue. Ils sont tous nus comme des vers. C’est Hilde, notre fille au pair, Papa l’a recruté dans ce camp naturiste. Il l’a initié. — C’est une vocation familiale ! Ne puis-je m’empêcher de faire remarquer.— Tout juste, intervient papa. Je dois dire que j’en ai formé quelques unes ! Dans les années vingt, les mœurs se sont libérées. Le naturisme est né à ce moment là. Dans certains camps très privés, les parents – surtout les nordiques - étaient permissifs. Se succèdent une série de diapos où des papas, des mamans et des enfants s’ébattent sans entraves dans la nature ou sur une plage ! Tout cela est très nouveau pour moi. Je rappelle que cette histoire se déroule dans les années soixante. Des photos de la famille recomposée avec Christine sont prises pendant les vacances. D’autres plus étonnantes mettent en scène la maison avec des adultes et enfants de tous âges. Ils paraissent parfaitement à l’aise. Rien de sordide la dedans si ce n’est la nudité. — Ce sont des amis naturistes. Commente Papa Gorges.— Passe le film papa.— Je ne sais pas si c’est bien utile… répond son père.— Allez papa ! Insiste Claire en inventoriant mon peignoir.Il sort un projecteur 8 mm— Je n’ai jamais rien pu lui refuserLe film semble plus récent. Clairette est une grande adolescente trop vite montée en graine. La poitrine ressemble encore à deux œufs aux plats. Mais le pubis reste anormalement lisse, parc qu’à cet âge, les filles sont velues. Les hanches, sont déjà marquées. Sur la première bobine Claire est filmée complaisamment dans la nature, nue cela va de soit ! La caméra incestueuse s’attarde avec concupiscence sur le mini minois qu’elle expose ostensiblement. Il ne semble n’y avoir aucuns témoins. Suit une bobine sur laquelle je reconnais le décor du salon où nous sommes. On voit Claire « jouer » avec son père. La caméra est probablement sur un pied car le plan est rigoureusement fixe. La petite Lolita s’amuse avec les attributs. La main caresse les bourses avec une plume provoquant une érection spectaculaire qui fait pouffer de rire la frivole. Quand, la petite juge le papa à point, elle pose délicatement ses lèvres sur le gland. Pendant que sa menotte serre le manche. Elle se retire brusquement et admire avec satisfaction le geyser qui jaillit. Elle essore les dernières gouttes d’une vigoureuse branlée.— Encore une. C’est la dernière prévient papa Georges. Cette scandaleuse mise en scène va crescendo. Dans l’ultime séquence, Claire est presque femme. Elle est à cheval sur son père qui lui lèche les fesses d’une langue avide alors que sa grande fille s’amuse avec le pieu érigé. Elle fixe l’objectif d’un sourire mutin d’où ne perce aucune trace de culpabilité. La voilà qui se met à quatre patte pour suçoter le gland comme elle le ferait d’une glace à L’anis. Voulant probablement conserver un zeste –mais tout petit- de décence ou de sécurité, ni les films ni les photos ne montrent la conclusion logique de ce genre de réjouissance. On ne verra pas le papa saillir sa fille. — C’est beau, non, c’est artistique ? Interroge Claire.— Si tu veux….— Bon on va se coucher, conclu le papa. Ne soyez pas trop sage.Tout cela m’a un peu secoué. Dans le lit, je reste silencieux et passif.— Tu es contrarié ?— Non, mais il me faut un peu de temps. Tu m’avais prévenu mais tu avoueras que ce n’est pas commun : Une fillette qui joue avec la queue de son père puis qui plus tard lui fait une pipe. Un père qui passe des films où il couche avec sa fille. Le viol de la bouche du petit ami de sa fille. Et demain, qu’est-ce que tu me feras découvrir ? Clairette prend mon sexe en main mais popaul reste inactif.— Oh, pauvre chou, il est tout retourné. C’est qu’il lui reste encore des choses à connaître sur la nature humaine. Et oui, papa et moi ça a été fusionnel. C’est difficile à comprendre mais c’est comme çà! Mais cela n’a jamais dépassé le niveau de jeux frivoles. Jamais. — Dis-moi, il y a quelque chose que je ne comprends pas : Avec tout çà, comment t’es-tu retrouvé dans le lit d’un expéditeur de fruits, coincé et impuissant.— Impuissant, pas jusque là ! Disons que l’amour ne l’intéresse pas beaucoup. — Avec une femme aussi belle dans son lit, c’est gâcher !— Tu es gentil… C’est pour çà que j’ai craqué pour toi.Ne serai-ce pas un demi-aveu. Ma Clairette ne serait-elle pas plus éprise qu’elle ne veut bien le dire ? — Jean-Pierre accomplit son devoir conjugal avec la précision d’un coucou suisse. Tous les samedis soirs à dix heure il frappe à ma porte. Façon de parler car pour mon plus grand malheur, à cause des ronflements, nous partageons le même lit. C’est tout juste s’il ne me dit pas à l’instar du châtelain de Saint Marcel : Madame, la nature réclame ses droits ! A dix heure quinze, c’est finit. Pas une minute de plus ! Si tu n’as pas pris ton pied, il n’y a pas de second service. Prochaine séance dans une semaine, même jour, même heure ! Ce n’est pas souvent l’extase ! Mais il est gentil. — Mon père c’est tout autre chose : A u décès de ma mère – j’avais un an - il a été terrassé par le chagrin. Il a reporté sur moi toute son affection. M’a élevé seul. Jusqu’à mes dix sept ans, nous ne nous sommes jamais séparés une seule journée. Nous sortions ensemble. Je l’avais toujours sur le dos. Vers quinze ans, dans un camp naturiste, je fus émue par un jeune hollandais de mon âge. Je fis la belle. A mon retour, il entra dans une terrible colère. « Je t’interdis, etc. Mais une de ses phrases me retourna : Tu es à moi, rien qu’a moi ! C’est moi qui t’ai fait. Tu es ma France, ma Claire ! »… France c’était le prénom de ma mère ! Il décida de quitter le camp sur le champ. — J’en avais mare. Mes résultats scolaires en souffraient. J’étais en échec. Heureusement, ma tante, la sœur de mon père qui l’avait élevé, conservait une forte influence sur lui. Elle réussie à le convaincre de m’emmener chez elle quelque temps. Je pourrai poursuivre mes études avec l’aide d’une amie professeure à la retraite. J’aménageais chez ma tante à Lyon. J’étais très heureuse. Ma tante et son mari débordait d’affection pour moi. Monique la prof se science me donnait des cours généraux pour préparer le bac mais aussi, un cours particulier. Elle m’a initié à la volupté des femmes, si tu vois ce que je veux dire. — Je passais les week-ends chez mon père. Nos relations évoluèrent avec autant de tendresse mais plus de distance. Un jour, juste après la guerre, il m’apprit qu’il avait quelqu’un dans sa vie. Cet aveux lui coûtait beaucoup tant il craignait ma réaction. Je lui assurais que j’étais très heureuse pour lui. Il fut soulagé. Il me présenta son amie Christine, jeune veuve avec laquelle je me suis très bien entendu. Les choses rentraient dans l’ordre… Je réussis mon bac. Le tempérament de Christine lui fit embrasser avec entrain le mode de vie particulier de mon père. Je les accompagnais à nouveau dans des camps naturistes ou dans des croisières où je fis des rencontres. Enquis par les bons offices de ma professeur, Monique, je pu partager équitablement Christine et mon père. Nous entendons la porte d’entrée. — C’est Christine. Elle avait une soirée. Me chuchota Clairette. Qui poursuit son récit.— Il me fallut du temps pour m’apprivoiser. Je rencontré des garçons de mon âge mais je les trouvais tous très immature. Bien que pelotonné dans les bras de Clairette, je frissonnais dans la chambre qui n’était pas chauffée. Elle sortit une chemise de nuit en coton et me la glissa sur le dos.— Mais, c’est pour les filles ! Je vais chercher mon pyjama.— Je crains ton pyjama de pensionnaire. Quitte à dormir avec un amant, qu’il soit doux et qu’il sente bon ! Elle se penche sur sa commode et enfile une magnifique chemise de nuit à volant. Je retrouvais la voluptueuse douceur de la lingerie que Clairette portait lors de nos premières nuits.— Continue l’histoire de ta rencontre avec Jypy. — Je trouve ce surnom imbécile. Pour moi c’est Jean-Pierre ou à la rigueur Pierrot.— Après mon bac. J’ai travaillé l’été avec ma tante qui tenait un stand au marché de Perrache. Je ne voulais pas dépendre financièrement de mon père. Et puis, je retrouvais i Monique. J’aimai travailler la nuit, l’animation, les cris, les odeurs, les couleurs des amoncellements defruits et de légumes. A deux heure le réveil sonnait… J’aimais cette vie si différente de celle d’avant. Le matin, je regagnais ma chambre, écrasée de fatigue mais heureuse. Je me réveillais au milieu de l’après-midi. Monique m’aidait jusqu’à six heure. On allait dormir vers huit heure. En octobre je m’inscrivis à l’université. Je dormais entre ma tante… qui s’était séparé de son mari, et Monique qui partageait son lit… J’aimai cette atmosphère de gynécée fait de délicatesse et de volupté. Je ne fréquentais le marché que pendant les vacances. — C’est au là que tu as rencontré Pierrot.— Oui, j’ai fait une licence d’histoire. Après j’ai continué vers l’agrégation. Mais j’aimais passer les étés dans les cagots. Une nuit sur deux, Pierrot, débarquait les rattes et les cerises. Au début j’ai été amusé par ce dadais si maladroit dans ses tentatives désespérées pour me faire la cour.Il était tellement timide que s’en était touchant. Il me couvrait de fleurs. Nous courtisions en tout bien tout honneur. Après ce que j’avais vécu avec mon père, tu imagines le contraste. Il finit par m’embrasser mas ses baisers restaient très chastes. Il était le plus souvent accompagné par son père, retraité qui l’encourageait discrètement.Je craignais le courroux de ma tante qui un peu étonnée au début m’assurera de sa bienveillance.— J’ai connu le père de Pierrot. « Qu’est ce que Sadi Carnot » C’était sa phrase rituelle. Je me souviens quand il a eu son accident. J’étais petit. Jypy ne m’en a jamais parlé.— Encore aujourd’hui, c’est impossible pour lui. Le pépé était un vieux Monsieur, un perpétuel brin de paille aux lèvres. Toujours impeccablement habillé en costume cravate. Il avait la même voix douce de son fils. « Je lui tiens compagnie pour qu’il ne s’endorme pas au volant » me disait-il. Comme tu l’a fait cet été. Tu vois ! — Sans m’en rendre compte au début, je finis par être touché au cœur. Pour la première fois, on me désirait sans arrières pensées, sans malice. Je me surpris à guetter chaque matin le vieux Somua bleu. Je m’arrangeais pour que son camion soit vidé en premier même si les autres chauffeurs râlaient. Nous partagions quelques minutes de tendresse. Il me tenait la main, posait un baiser sur mes joues, se rapprochant chaque jour un peu plus de mes lèvres en rougissant. Nous commencions à nous fréquenter sérieusement. Il vint me voir le week-end. Il me sortait au cinéma. C’est là, bien sur que nous avons échangé notre premier baiser. Il prit froid en plein milieu de la saison des pêches et du s’aliter. Son père pris le volant du camion mais à soixante dix ans, cet ancien combattant de 14/18, s’écroula de fatigue dans une descente sur la 7. Le camion alla se fracasser sur une maison.Le marché de gros fut bouleversé. Je me rendis à l’enterrement avec ma tante. Je trouvais mon Pierrot complètement ravagé. Il se sentait coupable de la mort de son père. Je lui proposais de rester quelques jours.Au grand effarement de mon père, nous nous marièrent trois mois plus tard… Voilà, tu sais tout…Clairette n’est plus fatiguée.— Je reconnais que je me suis vite ennuyé. Surtout dans le lit ! Dans notre métier les hivers sont longs et désœuvrés, je n’avais que vingt trois ans et même si Pierrot faisait son possible, je me suis vite rendu compte que l’amour n’était pas son truc. Petit à petit mon corps s’est endormi. Tu sais, si tu fais peu l’amour, tu finis par en perdre l’envie. C’est surtout vrai chez les femmes.Pierrot a quand même remarqué chez moi une certaine dextérité mais ce n’était pas son genre de poser des questions. C’est peut-être la raison de la distance qui s’est installée entre lui et mon père. Pourtant, à ce stade, il faut que je te dise que malgré les apparences, mon père ne m’a jamais touché, enfin en profondeur si tu vois ce que je veux dire. Mais je flirtais à fond. J’ai été dépucelée par un copain naturiste alors que j’avais dix sept ans. Pendant un été, nous avons baisé toutes les nuits à la barbe de papa avec la complicité de Christine. Le copain en avait quinze, je lui ai beaucoup appris ! Et oui, la vocation de pédagogue de la famille ! Heureusement c’est un milieu très responsable, tu te rends compte, juste après la guerre. Il faut dire que la mère du petit était médecin. — Revenons à Pierrot. Une fois marié, il a tout fait pour me distraire. Même s’il ne s’entendait pas bien avec mon père, il ne s’est jamais opposé à ce que je voyage avec lui et Christine. J’ai succombé au charme d’un anglais. Il n’y a que le premier pas qui coûte ! Chaque année, au mois de janvier, j’accompagnais papa dans une croisière où je retrouvais mon anglais. Tout lasse, j’ai fini par décliner l’invitation de Papa. Je suis fidèle depuis des années jusqu’à que tu te mettes en travers de ma route vers la sainteté. — Comment, c’est moi qui t’ai …. ! Tu ne manque pas de toupet…Faut-il que je te rap….Une bouche vorace met un terme à mes fausses indignations.— Tu sais que tu es très appétissant dans ta chemise de fille. Tu me donne une idée ! Si tu faisais la femme ! —  ? …Elle fouille dans le fond d’une armoire et en sort une espèce de ceinture qui comporte l’imitation d’un sexe d’homme. Elle place la ceinture autour de sa taille, puis prend le sexe accroché au bout d’une brettelle l’accroche à la ceinture. Le sexe est planté à l’horizontale. Je n’ai jamais vu un tel attirail, même en photo. Devant mon incrédulité Claire me rassure. — Laisse-moi faire ! Je suis sure que tu va aimer. Elle extrait de sa trousse de toilette un flacon sur lequel est indiqué : Huile d’amande douce. Je crains le pire. Elle me glisse une serviette de bain sous les reins. — Allez ma Florence à genoux ! Remonte ta chemisette !Je m’exécute, un peu inquiet quand même. Elle me couvre le visage de sa chemise.— C’est un modèle pour fille. Tu ne sentiras rien. Elle pousse sur mon dos pour m’obliger à placer la tête dans l’oreiller. Elle tire mes poignés vers mes fesses pour me contraindre à les écarter au maximum. Elle me laisse quelques instants dans cette position grotesque et humiliante qui fait passer des frissons d’émotions sur mon échine. Je devine qu’elle s’empare d’un objet. Un doigt couvert d’huile se promène avec insistance au pourtour de mon anus. Quand elle juge l’entrée bien graissée, elle fiche son majeur dans mes intestins. Je commence à pousser des petites plaintes.— Prend un peu sur toi !Le doigt m’inspecte profondément. Il est rejoins par l’index. Cette fois, je me crispe sous la blessure.— Détends!-toi. Pousse ! Ca va aller tous seul !Elle passe avec grande dextérité sur le pourtour de ma rosette de la profanation la plus intolérable au frôlement le plus délicieux. Dans la nuit de l’oreiller, à l’écoute de mes sensations, elles se confondent. Je les crains et je les souhaite. Bien vite, le plaisir à le dessus , mon vit se durcit conquérant mais l’inutile. — Je vois que çà te fais de l’effet. Tu es une bonne petite délurée. Les doigts se retirent. A pêne ais-je le temps de pousser un soupir de dépit que je sens posé contre mon trou une forme plus rigide, plus froide.— Ne t’impatiente pas ! Tu vas l’avoir dans le cul, ma fille. L’intrusion est beaucoup plus corsée ? Les mouvements de l’oblong se font plus amples. Même si mes soupirs se transforment en plainte, la jouissance monte au crescendo des impulsions de ma maîtresse. Je passe la tête sous mes bras pour apercevoir Clairette qui se rue en moi tout se chiffonnant entre les cuisses.— Pousse, allez comme si tu voulais faire, pousse ! Le godemiché sort pour pénétrer plus loin, plus vite ! « Ouille ! J’ai mal ! Arrête ! » Tout à coup, après une ultime résistance, je me sens pénétré jusqu’au tréfonds de mon intimité. . Mon impitoyable exécutrice me transperce avec une rage dévastatrice. Son délire me fait peur et me conduit vers une jouissance inconnue. Nous explosons dans un désordre de sens qui atteint son paroxysme quand je me saisi de ses seins alors que de son côté elle m’étreint avec la même frénésie. Elle m’entraine sur le côté sans retirer le gode de mon cul.— Bienvenue au club des petites enculées. Me chuchote – t-elle. Elle me débarrassant lentement de l’encombrant factice. Puis elle ajoute :— Voilà une leçon de plus…
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