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L'initiation de Clairette 6

Chapitre 1

Divers
L’INITIATION DE CLAIRETTE 6
La description romancée de cette année de l’éveil où Florent franchira le cap de l’adolescence pour courir les mers plus adultes. Mais comme dans le voyage d’Ulysse, le parcours initiatique est truffé d’écueils. Parmi eux, la rencontre avec un groupe d’érotomane. Mais aussi, avec un évènement surprenant bouleversera la vie de Clairette….

Désormais, lors des rares séjours chez mes parents, j’évitais la maison de Jypy et Clairette. Un dimanche après-midi, je tombais sur JYPY à la fin du match de rugby dominical. Il me félicita pour notre victoire. Il me fit aussi quelques remarques qui me laissèrent un peu perplexe. . — On ne te voit plus ? Tu ne passe plus à la maison ? Clairette me le faisait remarquer pas plus tard que hier.Ça m’étonnerai pensais-je. Ne prêcherai-t-il pas le faut pour savoir le vrai ? — Tu sais, je suis en terminale, J’ai beaucoup de travail… Avec le rugby, les déplacements…— Je comprends mais viens manger un de ses jours. Que dirai-tu de samedi prochain ? Ta mère pense que tu as une petite amie à Tournon. Tu peux venir avec elle. Clairette sera contente de te voir. Elle est un peu patraque en ce moment. — Elle est malade ?— Non, pas vraiment mais un peu souffreteuse. La fin de la saison est à peine terminée qu’elle entreprend le grand nettoyage. . Elle se donne trop. Les femmes, c’est comme çà— …. — Alors tu viens samedi avec ta copine. Nous nous languissons de la connaître, tes parents aussi. — Ça c’est prématuré mais je viendrai. Bafouillais-je.Sa dernière remarque me plongea dans un abime de doute. J’escamotais la troisième mi-temps pour ne pas recroiser Jypy au club house. Habituellement pour des raisons évidentes de sécurité, je ne contactais jamais Clairette. C’est elle qui me laissait un message pour que je la rappelle pendant la sieste de Jypy les mardis à 13h 30. Mais depuis l’entrevue de dimanche j’étais troublé. Aussi avançant l’argument de l’invitation du samedi, je pris le risque d’appeler et de tomber sur Jypy. C’est Clairette qui décrocha. Elle me reconnu tout de suite. Je l’entendis dire à Jypy que c’était Christine sa belle-mère. — D’accord on se voit mercredi. On ira faire les magasins. — A l’endroit habituel ? Questionnais-je — Ça va, vers deux heures. Le mercredi au motel Clairette me tranquillisa. — C’est ta mère qui s’est plainte à Pierrot de ne plus te voir. Et qui à dit que tu avais sûrement quelqu’un. Pierrot m’a dit qu’il t’avait parlé au match et qu’il t’avait invité samedi avec ta fiancée. — Elle sera forcement là ! Répliquais-je finement.— Ne fait pas le malin. Je ne crois pas qu’il soupçonne quoi que ce soit mais Il faudra être prudent. Tu peux inviter ton amie, ça ferai diversion. je ne suis pas jalouse ?
— Ça ne va pas non ! Et pourquoi des fiançailles officielles ! Si tu veux savoir, elle me couvre le haricot ! Je vais la larguer !— Tu voulais dire : Elle me court le haricot ! Ça s’appelle un lapsus freudien. Si tu le fais, fais le avec délicatesse.
Nous nous jetâmes dans les bras. Le pull, la jupe, le pantalon, et hélas le collant, volèrent par-dessus les moulins.— Oh mon amour de petit amant. Dis-moi que je t’ai manqué ? Si tu savais comme j’ai pensé à toi. Et comme ma foufoune t’a attendue ! Elle en mouillait d’impatience ! — Et bien, on va s’en occuper. Lui assurai-je en l’épluchant de la petite culotte rose.Elle retire mon slip et retrouve ravie ma flamberge au vent qu’elle enfourne illico dans son gosier. Elle s’applique tellement bien que je dois la repousser mais elle insiste. Elle en rajoute même en me fourrant un doigt dans les fesses. Je ne peux tenir plus longtemps. L’éjection d’une salve de sperme enduit copieusement le fond de sa gorge. Je l’embrasse aussitôt pour partager ma propre semence.— Avaler ta propre sève, le comble du narcissisme ! Remarque-t-elle.— Où le sommet de l’amour. Rétorquais-je illico. — Mais, ajoutais-je, il me semble que Madame est restée sur sa fin ? — Continue, seulement avec tes doigts. Comme la brise sur le désert, mes doigts guidés par les siens effleurent les dunes, les vallées, des riffs, des tumulus. Ma reine des sables, les yeux clos, roucoule, frissonne à l’écoute de ses sens. Elle, habituellement expansive se, se blottis dans des soupirs murmurés qui se change en plaintes où se lisent le plaisir intense et déjà le deuil de l’abandon. Si je feins de me retirer, un sanglot plus appuyé – oh non !- ramène ma main sur le sable brûlant. Puis, tout à coup, elle s’approprie ma main, la force entre ses cuisses.Mes doigts plongent dans le petit abricot où ils dévastent les lèvres. Répondent une série de gémissements qui me conduisent à plus de bestialité encore. Le bouton est impitoyablement extrait de sa cachette. Il est roulé, trituré à l’unisson de ses deux frères du haut. Leur propriétaire expire dans une dernière plainte. Les yeux clos, elle savoure la petite mort. Elle gît inerte de longues minutes. Si ce n’était le battement régulier d’une artère de son cou un peu dilaté, je pourrai craindre pour sa vie. Enfin, elle refait surface.— Jamais personne ne m’a fait jouir comme toi, jamais ! J’ai peur de ne plus pouvoir m’en passer de toi…Elle ajoute :— Le week-end du dix, je serai chez mon père. Il fête ses soixante ans. Tu es invité.— ...— Ça n’a pas l’air de t’emballer ? Et si je te dis que nous passerons trois heure chez mon père et tout le week-end ensemble.— Si tu me prends par les sentiments… Je te rappelle que je travaille à la librairie. Je la retourne sur le ventre.— Ah oui, mets la moi dans les fesses !Je néglige cette prière. C’est l’abricot si doux à mes doigts que je veux pénétrer. Tout est bien humide et n’offre aucune résistance. Clairette soulève les fesses pour faciliter l’intromission. Comme à chaque fois, ma maîtresse est très expressive. Je vais jouer de mes instruments pour qu’elle interprète le plus beaux des concerti. L’ouverture est largement engagée, je l’oublie. Suit l’adagio. Ma soliste se met en bouche. Je passe au presto. L’instrument répond par des vocalises. Alors, ma flûte entame l’allegretto molto puis enchaîne l’allegro en majeur. Ma soliste pousse sa voix. Elle en agite le cul de façon désordonné. La petite niche dessine des arabesques. Je me retire brutalement. Le son est coupé. Clairette regimbe :— Oh, non ! Encore !Je lui pointe l’œillet d’une seule saillie.— Tu m’as bien dit « Dans les fesses ».— Voyou ! Violeur ! Elle reprend aussitôt le troisième mouvement allegrissimo forte. Alléluia ! Nous retombons sur le lit toujours emboîtés l’un dans l’autre. J’éprouve des difficultés à extraire mon pieu de sa gangue. Voilà que je reste collé. — Tu ne serai pas un peu chienne ?— Qui m’a rendue chienne, sale rustre— Moi ? J’étais novice ! J’étais tout neuf ! Tu m’as corrompu.— Drôle de novice, initié par un pédéraste ! Pan sur le bec ! Comme on dit au canard. Je sors le plus doucement possible de la tanière. Nous devons nous apprêter, il est l’heure. Encore une fois nous nous sommes vus que pour l’amour.Dans la voiture, sur la route du retour, Claire me parle du week-end chez son père.— Le 13 c’est son anniversaire et avec le week-end du 11 le marché de gros est fermé. Jean-Pierre va à la chasse.— Qui va à la chasse pers sa place…— Tu pourras te libérer ? — Pour un week-end avec toi, j’irai jusqu’à mimer une blessure au rugby. — Chouette, on va bien s’amuser. — Bon, tu viens chez nous samedi. Tu verras çà se passeras bien. Mais tu devrai présenter Domi à tes parents. — Elle va me coller !— Réfléchit, Ça détournerai l’attention et ça ne nous empêcherai pas de nous voir. — Oui, tu as raison. — Je te laisse de l’autre coté du pont. On doit rester hyper prudent.— A samedi… Pour éviter Domi, je me suis arrangé pour remonter à Saint Marcel en voiture avec un copain. Mais, le samedi à midi, elle m’attendait à la sortie du stade. Par un baiser fougueux et public, j’officialise ma liaison. Bien que surprise un court instant, ma « fiancée » fond de bonheur.— Après ce qu’on a fait, j’avais peur que tu ai honte de moi.. — Ce qu’on a fait, c’est entre toi et moi et personne d’autre. Tu as compris.— Oh, oui, c’est notre secret. Je t’…Un baisé l’empêcha de proférer des bêtises définitives. On va dans l’appartement vide du grand père. J’ai pris de quoi manger.— Chouette ! J’ai mon après-midi.L’appartement vide n’est pas chauffé. J’ai dis à ma mère que je ferai une flambée pour l’humidité. Il faut un peu de temps pour réchauffer la pièce d’un seau de charbon. Mon amoureuse se glisse dans le lit tout habillée. Mais, selon son habitude, elle ne porte sous sa robe que des collants bleus. Les mains sous la robe, j’étreins les seins, les fesses revêtues de nylon. Je m’attaque au con sans la dénuder. — Tu va déchirer mon collant. Je n’en ai qu’un, il faut que je le quitte. Il va être tout mouillé. Fais attention c’est fragile.Je vérifie sa température en lui plantant mon thermomètre. Elle apprécie beaucoup. — Tu as oublié la capote !— Ne crains rien, je sais me retenir.— Non, je ne veux pas ! Je lui tends un préservatif en maugréant.Ma rigidité n’est plus ce qu’elle était. Elle me glisse difficilement le condom. Elle a beau me prendre en bouche, rien n’y fait. Nous sommes en couple depuis deux heures et elle ne me fait plus bander ! Me dis-je. Mais Domi a de la ressource. Elle remonte sa robe en écharpe et se met à promener ses seins sur mes parties. Ses nénés semblent avoir grossis, l’amour peut-être ! Elle les pressent autour de ma hampe. Elle alterne avec des baisers sur mon gland. Je la prends sous les épaules et l’enfile d’un seul coup. Elle se pavane presque aussitôt. Je la secoue tellement qu’elle en a les yeux embués. Enfin, je rugis dans son ventre. Nous reprenons nos esprits. — Et ce soir tu fais quoi ? On pourrait aller au bal.Elle ne se doute pas ma détestation pour les bals.— Euh… Mon parrain vient souper et demain je me lève à six heure pour le rugby. — Je peux t’accompagner ?— Si tu veux te frigorifier toute une après-midi autour d’un stade, pourquoi pas.— Ah, non. Je resterai chez moi.— Mais tu peux aller au bal avec tes copines. — Je ne vais pas danser avec des garçons. Je te suis fidèle.— Qu’est ce que c’est que ces conneries ! Danser, ce n’est pas flirter ? Et encore moins baiser ! Tu dois t’amuser, c’est un ordre ! Domi est affligé du peu de cas que je fais de son sacrifice. Peste soit les romantiques !Pour aller souper chez Claire et Jypy, je me suis mis sur mon trente et un mais je n’en mène pas large en sonnant à la porte. Claire m’introduit avec une chaleur incongrue. — Jean-Pierre est à son congrès départemental. Il vient de m’appeler. Son élection est plus difficile que prévue. Il me préviendra quand se sera fini pour que j’engage le repas. Il y tient à son râble de sanglier. Elle a revêtu une petite robe noire très et même trop près du corps qui offre aux regards tous les détails de son anatomie. Aurait-elle converti son Pierrot au libertinage ? Comme une petite fille prise en faute, elle m’avoue. — Quand Pierrot m’a prévenu de son retard, je n’ai pas pu résister. J’ai tout retiré et j’ai enfilé cette petite robe que j’ai achetée pour toi. Dès qu’on entendra la voiture, je passerai une longue jupe et un gros pull. — Tu es folle, carrément folle.Les seins parfaitement dessinés avec les tétons totalement éclos. Les hanches si harmonieuses et, l’érotisme torride des grandes lèvres qui se devine sous le jersey me font monter la fièvre. . — Dans la précipitation, j’ai oublié ma culotte et mon soutien-gorge ! Elle m’invite dans le canapé puis elle se jette à mon cou. — C’est bien toi ! Mais ce n’est pas prudent.— Je n’ai pas mis de rouge aux lèvres et de parfum… .Je fais les gros yeux mais je ne peux m’empêcher d’enrober une mamelle contrite. Je frotte sur le berlingot tout ouvert. — Tu me fais mouiller…A travers le tissu, je caresse les seins libres. Qu’ils sont beaux ! Deux belles poires un peu écrasées, mures à souhait. Je les masses, les tirent, les roulent, les frictionnent l’un contre l’autre. Je pince les tétons. Je la chauffe, elle halète, elle transpire, elle expire. Par gratitude elle se met à genoux, prend mon sexe au fond de la bouche en me fixant de ses yeux profonds. Je me laisse complètement faire. Je l’empêche de se retirer mais elle n’a pas l’intention de le faire. Je décharge ma groume dans son palais. — Ton chaton a été laissé seul. Tu veux que je le visite…Le téléphone sonne. C’est Pierrot qui annonce son départ. — Que voilà un mari prévenant. Remarquais-je ironiquement.Elle me convint d’en rester là. Il lui faut lancer le rôtie. — Tu as raison. Ta tenue n’est pas digne de ton rang ! Va vite te refaire une beauté. Lui suggérais-je— Incroyable, c’est un minot qui me fait la morale…Claire a revêtue un gros pull et la jupe droite de sa grand-mère. Pierrot alias Jypy arrive enfin vers 21 h. Il nous raconte avec excitation – chacun fait feu du bois qu’il peut !- son élection à la tête de la fédération régionale de la chasse. « Les types de Tixier (Tixier Viancourt (candidat extrême droite aux présidentielles de 1965) ont essayé de prendre la fédé. Une bataille, je ne vous dis pas »… — Chasseur, extrême droite, ce n’est pas un peu pareil ?Clairette me fusille du regard mais Pierrot ne relève pas la provocation. — Non, il y beaucoup de communistes dans les chasseurs. La chasse est un droit pour le peuple acquit à la révolution française.Nous l’avons laissé dévisser sur la saison des fruits, forcement médiocre. Les affaires publiques, forcement désespérantes, le grand Charles forcement grand… Il nous parle de son périple en Ecosse : extraordinaire. Forcement ! Vers minuit je prends congé. J’ai un d déplacement de rugby. Sur le pas de la porte alors que Claire et moi nous lançons un regard plein de soulagement, Pierrot m’interpelle.— Tu n’as pas amené ta copine. Il parait que tu la vois beaucoup le mercredi à Tournon ? — Maman, invente ce qu’elle ne sait pas. Balbutiais-je. — Il n’a que dix sept ans ! Il a bien le temps ! Ne peut s’empêcher de remarquer Clairette qui aussitôt se mord la langue.— Il est peut-être en avance pour ça aussi…Je coupe dare-dare cette conversation qui peut déraper à tous moment.— Bonne soirée, à bientôt !
Nous nous retrouverons deux semaines plus tard le samedi 12. Je suis à la bourre. Clairette doit m’attendre de l’autre coté du Rhône.Je me précipite. Je suis hélé par la femme du concierge. « Ma fille a pris un message pour toi : Elle n’a pas bien compris. Il était question de marchand de bois qui ne serait pas au rendez-vous mais on t’attendra à la gare de Tain. C’est Clairette mais je ne comprends pas trop. Un copain me conduit à la gare en mobylette. Pas de dauphine en vue. Ce message, a peut être été mal retranscrit. Je peste. Vingt minutes sont déjà passées. Je me demande si je ne dois pas retourner sur la place où nous nous sommes retrouvés plusieurs fois. Impossible d’appeler chez elle. Et puis, elle doit être sur la route. Encore dix minutes. Une 404, la voiture de Pierrot ! Je panique. Il a tout appris, il vient me faire la peau ! Ouf, c’est un papy qui attend des voyageurs. C’est alors que je reconnais la DS de Charles le papa de Claire qui s’arrête à ma hauteur. Christine est au volant.— Florent !— Christine ?— Claire n’a pas pu venir. Je te conduis à Grenoble.— Il lui est arrivé quelque chose ?— Ce matin, elle n’était pas bien. Elle va voir le docteur. Elle nous rejoindra plus tard.Nous roulons vers Grenoble. — Qu’est ce qu’elle a ? Vous savez ? — Non, mais ça n’a pas l’air trop grave. On la verra ce soir… Tu as eu son message. — Je n’ai pas très bien compris. — Charles m’a demandé de te récupérer à Tain. Il prépare son anniversaire. Je devais passer à Grenoble prendre des amis au train de seize heure alors j’ai fait un crochet. Nous déjeunons au buffet de la gare de Grenoble. Christine m’interroge sur mes études, ma famille. Une seule allusion à Clairette : « Je crois qu’elle est plus heureuse qu’elle ne l’a jamais été ». Mais je t’en prie, faites très attention. Christine m’explique que sa librairie est ouverte le dimanche du 1er décembre à la mi-mars. Avec la pénurie de main d’œuvre,- heureuse époque ! - elle a des difficultés. Un comble me dit-elle dans une station de ski qui voit sa population tripler en fin de semaine. — Je lui confirme mon accord pour le dimanche.Elle est satisfaite. Je serai payé double. — Oui, mais j’ai le bac en juin, une prépa et le rugby le samedi. Ne faudrait-t-il pas attendre mes dix huit ans le 28 du mois de mars pour pouvoir travailler chez vous ?— Non, tu peux travailler le dimanche c’est légal. Tu peux faire un essai. — D’accord, la semaine prochaine. — A noël, tu ne passe pas les fêtes en famille ?— Nous fêtons Noël uniquement le 25 à midi, on fait un repas. C’est la tradition protestante. Et puis mes parents sont épiciers. C’est la période la plus chaude. — Tu pourras peut-être travailler quelques jours entre les fêtes. Tu peux loger chez moi ou chez Charles. Cent francs par jours, ça va ?— C’est cher !— Mais non, mon petit. Ce n’est pas le prix de la pension. Elle est gratuite. C’est le salaire journalier. Nourrit, logé mais il te faudra être disponible, très disponible…— Je le serai. Répondis-je un peu naïvement mais c’est beaucoup… (Le Smig devait être de 1200 FF à cette époque). — Pas si tu es efficace … Tu en a l’air… Et puis, avec Claire, tu as des références… Sur le coup, je n’ai pas relevé la signification cachée de cette phrase. Ca viendra plus tard…En gare de Grenoble nous hélons Dan et Luce, un couple plutôt déluré. Christine m’invite à prendre place à l’arrière de la Pallas. Luce se place à coté de moi. Trouvant qu’il fait trop chaud, elle retire son manteau. C’est une rousse incendiaire qui est déguisée en écolière ! Curieuse écolière de cinquante ans au moins ! Elle déboutonne immédiatement l’unique bouton de son blazer bleu marine. Elle fait admirer un chemisier totalement transparent qui expose de gros seins en obus. La très courte jupe plissée découvre largement des jambes nues et des chaussettes blanches. Des petits mocassins noirs vernis apportent la touche finale à ce déguisement plus qu’ambiguës. L’ambiance est plus que chaude dans la voiture. Les blagues grivoises succèdent aux allusions salaces où mon jeune âge et la lubricité de Claire sont mis en avant. Comme le loup de Tex Avry, les invités semblent saliver à l’idée de me dévorer tout cru. Lucie me prend la main pour la fourrer sous sa petite jupe. Comme chez toute écolière qui se respecte elle n’a pas de culotte ! Je touche du bout des doigts une étonnante fourrure qui remonte jusqu’au nombril. « Je suis très poilue » M’explique-t-elle en forçant ma main dans le compas des ses jambes écartées. Elle pousse de violents soupirs que ne peuvent ignorer nos compagnons de voyage. Christine calme le jeu : « Florent est l’ami de Claire. Pas touche ! » Ma voisine ne semble pas avoir entendu. Elle se plante carrément sur ma main tout en sortant mon pénis ! C’est l’approche de la maison de Charles qui me sauve du viol !Le maître de maison nous accueille dans le plus simple appareil ! A oui, le home naturisme, j’avais oublié ! — Bonjour Florent ! Il faut que tu appelle Claire chez elle.Je fais le numéro.— Oh, Florent ! Si tu savais ce qui m’arrive ! Je suis enceinte ! Tu te rends compte, à mon âge. Je suis enceinte ! — C’est magnifique ! Enfin… Qu’est ce que tu en pense ? — Je ne sais pas, c’est trop nouveau. — Et Jypy qu’est ce qu’il en dit.— Il ne sait rien ! Il chasse sur le plateau. Je me demande comment il va réagir.— Je pense qu’il sera très contant. — Tu crois… Je ne pourrais pas venir. Tu n’es pas obligé de rester. Si tu veux partir dit le à mon père. Il te ramènera à la gare. Je les connais çà risque d’être chaud. — Mais je travaille à la librairie demain ! — Je comprends. Mais tu ne dois pas te laisser imposer quoi que ce soit… J’ai bien prévenu mon père. Tu as compris ? Reste sur tes gardes. Passe-moi Christine.— Oui, pas de problème.J’appelle Christine qui prend le combiné.« Je suis heureuse pour toi… Tu l’as tellement attendu…. Mais non, il sera si heureux… Tu verras… Ca ira très bien… Bien sur, je veille sur Flo… Je te promets… Tu peux compter sur moi. J’y veillerai…Christine me prend par les épaules pour me conduire dans le salon où je découvre deux autres couples : Des suisses Enje et John dans la soixantaine. Emmanuelle est nettement plus jeune que son mari Robert. A l’exception de Lucie qui arbore sa tenue de collégienne lubrique, ils sont tous nus comme des vers! Charles brandit une bouteille de champagne. — Ma fille va avoir un enfant. Enfin ! Champagne ! — Son Pierrot a enfin réussi. Ajoute Christine dont j’admire les belles formes de femme mure. — Oui, enfin… On va dire que c’est Pierrot. Ricane Charles. Trinquons avec Florent qui n’a pas démérité. Comment il l’a débloqué ma Clairette ! Il n’y avait qu’à la voir ces derniers temps. Je ne relève pas la lourde allusion. Trop lourde pour moi. Elle me plonge dans un abime de perplexité. En se pourléchant les babines, les trois invitées se placent en face de moi dans le canapé. Luce écarte ostensiblement les cuisses. Je suis subjugué par l’exubérante toison de feu. La grenobloise se prénomme Emmanuelle. Elle dissimule un mini minou noir taillé en un triangle parfait. La suissesse, Enje nous gratifie d’une vulve parfaitement glabre à l’instar de celle de Christine. Cette dernière serre les cuisses. Seule la petite médaille en or émerge de ces vagues de chair ; émotion garantie ! Le canapé a été revêtu d’une couverture en éponge. Sage précaution car ces séductrices s’agitent beaucoup. Les yeux langoureux, les doigts égarés, elles mouillent abondamment à l’idée de plumer du minet. A l’étage supérieur, l’éventaire des trois grâces – je voulais dire garces ! - est tout aussi impressionnant. Si Lucie, à l’instar de Christine, arbore des obus arrogants aux pis disproportionnés. Les œufs sur le plat embellis par deux minuscules boutons rouges sang d’Enje démontrent que la discrétion suisse n’est pas une légende C’est alors que l’Emmanuelle s’avance sur le fauteuil et ouvre les jambes. Un sourire mutin éclaire son visage quand un petit sexe masculin apparait. C’est çà un transsexuel ! Je suis interdit.C’est l’hilarité générale devant la bonne blague dont je suis l’objet. Son « mari » Robert m’apostrophe :— Surprenant, non ! Emmanuelle est un transsexuel. Il est né garçon ; Il a choisis de devenir fille !— Tu veux toucher m’invite le trans en se levant vers moi ?— Euh, non… Merci…Charles intervient.— Vas y, il est plus menu que le mien que tu as refusé. Christine vient à ma rescousse, écarte Emmanuelle. — Rien, vous m’entendez, rien ne sera imposé à Florent. Ordonne-t-elle en promenant sous mes yeux ses belles mamelles. Les hommes la rassurent.— Jurés ! Parole de scouts.L’atmosphère se détend quand Charles sert le champagne. Les hommes, quequettes branlantes à l’air, dévissent sur la politique. Je l’ai dit, Charles est très sportif, pas un poil de graisse. Je ne peux en dire autant de John, le suisse. Sous son ventre dodu émerge une petite queue et deux grosses burnes pendues dans leurs sacs. Robert, l’époux de la fausse fille est à l’image de Charles grand, mince, musclé et athlétique. Son sexe est au diapason. Impressionnant au repos. Qu’est ce que ce doit être en activité. J’ai une pensée pour le cul d’Emmanuelle. Dan, « le maître d’école » est assez moyen, la corpulence, la taille, la bite, tout est moyen chez cet homme là. Même et surtout sa conversation. Devant cet étalage, Je ne sais trop quelle contenance prendre. Je suis le seul à rester habillé. Mais comme personne ne semble en prendre ombrage. Les voyeurs en seront pour leur frais. Christine invite à passer à table.— Charles nous avais promis un apéritif s’exclame le gros John. En promenant sur moi une main baladeuse. Je le repousse sèchement.. — C’est si je veux, quand je veux ! Christine approuve mais Charles exprime un rictus de désapprobation. Le repas se déroule sans anicroches. Je surprends toutes fois des sourires pervers, des œillades indiscrètes ou des frôlements sous la table qui subodorent que certains invité et invitées m’ont prévus pour dessert. Enfin, nous passons au salon où le troisième âge se lâche. Dan demande le silence.— Cher amis, vous savez que Luce suit des cours particuliers. Mais je dois vous informer de faits graves la concernant.Luce veux-tu te placer à genoux face à la table basse et relever ta jupe. La collégienne pose docilement ses coudes sur la table du salon. Pour parfaire l’exposition, son mari lui retire la veste. Puis, il déboutonne entièrement le chemisier dont il rentre les pans dans la ceinture. Deux seins lourds aux tétons hypertrophiés apparaissent à la vue de tous. Dan s’empare de l’ourlet de la jupette et le roule dans la ceinture. Les fesses nues portent de multiples stries foncées ! Certaine queues commencent à se manifester. Christine me chuchote que tout çà n’est que comédie. Comédie ! Je doute que ses fesses aient apprécié le dernier acte ! Dan reprend la parole.— La personne qui se prosterne à vos pieds n’a pas respecté les consignes de son tuteur. Ses résultats scolaires sont tout simplement déplorables. De plus, elle se comporte de façon inacceptable. Dan tend à John une baguette et lui propose de questionner la pénitente. — Vous fûtes surprise en fâcheuse posture, ma fille ?— C’est que Monsieur, je révisais mon latin.— Curieuse façon de réviser sur les genoux de votre professeur.— Pro fesseuse, Monsieur. Elle me consolait après m’avoir rougit les fesses.— C’est que vous le méritiez… — C’est elle qui m’a… Euh, séduite.— Gourgandine ! Catin ! Comment osez-vous mettre en cause la probité du corps professoral ! — Cette enfant n’est pas amendable. Je demande au conseil de discipline de prononcer une sanction proportionnée. Les convives votent la punition. — Bien, je suggère vingt coups de badine sur les fesses et sur les seins.— Ah non ! Pas les seins ! Implore Luce.L’assistance reste inflexible. Se sera quinze coups sur les fesses et cinq sur les seins. Il est convenu que chacun fustigera la pénitente à tour de rôle. Je suis troublé et inquiet. Charles interviens.— Il est de tradition que ce soit le plus jeune qui commence. Voici ! Dit-il en me tendant la baguette. Christine me rassure :— Tu n’es pas obligé.Je rends la baguette à Charles en montrant une dénégation de la tête. — Je ne pourrai pas. Il avance un argument d’une hypocrisie achevée :— Elle va beaucoup plus souffrir si c’est nous qui la chations.Joignant le geste à la parole, il arme son bras, la baguette siffle et s’aplatis violement sur les fesses laissant un large sillon rouge. La condamnée n’a émis qu’une plainte assourdie.— Si elle cri le coup ne compte pas ! Explique Dan.C’est Inge qui s’empare de la verge. Han ! Luce ne peut refreiner un tressaillement lorsque la fesse se marque d’une seconde balafre. Dans cette communauté, les femmes sont aussi perverses que les hommes ! J’interroge Christine du regard : Comédie ? Il me semble que sa mimique exprime de la fatalité plus que de la réprobation. Avec plus ou moins de force et de conviction, chaque convive y sera de sa cinglée sauf Christine et moi qui passerons notre tour. Je suis très impressionné, j’éprouve des sentiments mélangés mais je suis sidéré par la résistance de la soumise. Une partie de mon cerveau trouve ce spectacle intolérable alors que l’autre fait grimper ma bite dans mon pantalon. Emmanuelle s’en rend compte. Elle se rapproche de moi et passe ostensiblement la main sur ma braguette. Quand Dan inaugure le châtiment des seins, mon pieu ne peut plus se contenir. Emmanuelle le délivre et plonge aussitôt la bouche dessus. Le deuxième coup provoque un rictus chez la pauvre Luce. — Je veux que ce soit le petit. Implore-t-elle.— Tu vois elle est consentante. C’est à toi ! M’ordonne Dan en me tendant la badine.Luce espère que probablement que je frapperai moins fort. Les fesses qui sont zébrées comme un champ labouré. Luce retire son chemisier. Elle m’offre sa poitrine. Vas-y. Ne te retiens pas… J’aime ! M’assure-t-elle. Je lève la cravache. Elle s’abat avec peu de force sur les mamelles laissant une esquisse. — Allez m’encourage l’assistance.Je lève le bras. C’est alors que mon regard croise celui de Christine. Je lâche la cravache et m’enfuit dans la cuisine.— Christine me suit. Elle me presse sur sa poitrine.— Si Clairette avait été là….— Vous seriez dans mon appartement. Vous n’auriez pas assisté à tout çà— Tu ne lui diras pas…— Non. Je ne lui dirai rien. Charles non plus, il ne s’y risquera pas…— Je veux partir.— Je te conduis chez- moi. Il y a tout ce qu’il faut. Je m’habille.En entendant Christine je jette un œil dans le salon qui n’est plus qu’un monceau de chair mélangé. Je vois avec soulagement que Luce semble avoir bien survécu à la correction. Débarrassé de son uniforme, elle subit les assauts de John alors qu’Inge broute la forêt. Elle-même offre sa vulve déserte à Robert. Quand à Charles, il a positionne Emmanuelle le ventre sur dos d’un fauteuil. Il l’encule avec ardeur. Le trans lui facilite la tâche en écartant docilement ses fesses avec ses mains. Christine me tape sur l’épaule.— Il vaut mieux les laisser.Dans la voiture elle cherche à me rassurer. — Tout çà n’est qu’un jeu. Ce sont des gens majeurs et volontaires, il n’y a pas de mal. L’appartement se trouve au dessus de la librairie dans un immeuble moderne. Il est meublé avec goût. Christine me conduit jusqu’à la chambre. Elle montre la salle de bain somptueuse. — C’est mon studio. Il n’y a qu’une chambre et un canapé-lit dans le séjour. Tu va dormir dans la chambre. Si tu veux prendre un bain. Ne te gène pas. Je vais rejoindre les autres. On se voit demain à la librairie. Tu trouveras le nécessaire du petit déjeuner dans le frigo et les placards de la cuisine. Dors bien. Elle pose un baiser sur mes lèvres…L’immense baignoire me tend les bras. Je fais couler un bain chaud et me prélasse. J’appuie sur la radio. Je tombe sur Johnny. A, non ! Pas Johnny. France musique, Mozart… Je me contenterai de Mozart !Je me glisse dans le grand le lit. Je n’ai jamais dormi dans des draps aussi doux. Quelle volupté. Je me relève pour mettre un pyjama mais la curiosité me fait ouvrir la grande penderie. J’inventorie les robes, les manteaux, les pantalons de grande classe. Mais je suis ensorcelé par la découverte des chemise de nuits et surtout des tiroirs débordants d’extraordinaires e dessous tous plus somptueux les uns que les autres. Ce n’est que culottes de dentelles ou de satin. Il y en a des blanches, des noires, des prunes et d’autres couleurs peau. Elles sont souvent assorties à des soutiens gorges soigneusement rangés et surtout à des porte-jarretelles ou guêpières affriolantes. Dans un autre tiroir, je trouve les bas d’une incroyable douceur et puis des liquettes, des chemisiers vaporeux. Enfin, ce sont les combinaisons de satin, déflagration d’une insoutenable luxure. Je n’ose pas déranger ces merveilles. Je tourne et me retourne dans le lit. Je ne trouve pas le sommeil. Trop d’images se bousculent dans mon crâne. Trop de corps gracieux ou fanés, trop de seins, trop de touffes, trop de bites, trop de questions. Clairette enceinte… de qui ? Trop de tout. Je me précipite dans l’armoire. Je passe une culotte de dentelle blanche et une ample chemise de nuit en coton, légère comme une plume. Je me replie comme un fétus… Je suis réveillé par une caresse de Christine sur mon sexe qui aborde une raideur magistrale.— Je vois que tu as profité de mes dessous… Constate-t-elle avec un gentil sourire.Je suis écarlate.— Tu me dois une compensation… Ajoute-t-elle. Elle retire sa robe et ses sous vêtements. Ne garde que ses bas et ses bottes. Pour m’escalader, elle se sert de ma pine comme d’un piolet. Je plonge la tête entre ses seins généreux. Mais c’est la petite médaille blottie au creux de son ventre, scintillante dans la pénombre comme l’ étoile polaire qui me captive totalement. Ma partenaire m’embrasse, frotte mon torse avec ses seins. Mais, je grimpe au rideau à l’instant où la parure dorée frôle mes bourses. Je ne veux pas me lâcher trop tôt. Je dois serrer les dents, fixer mon esprit ailleurs mais, que faire ! La force qui est en moi ? Oh, Christine, ça va partir… Ouf ! Christine est opportunément en proie à un bruyant orgasme. Le mien peut alors ’exprimer sans retenue.— Bravo, tu as résisté au-delà de la moyenne ! Presque autant que Charles qui est très entrainé. J’en ai connu qui se vidait à la simple vue de ma breloque. — On le ferai à moins !— Tu as surement raison et c’est fait pour ! — Pour être plus vite débarrassé ?— Tu es perspicace. Je vais te dire un secret : Je baise les hommes mais j’aime les femmes… — Ce n’est pas tout mais il faut aller travailler. Vas prendre une douche pendant que je prépare le déjeuner. — Je ne crois pas que nous ayons intérêt à nous venter de ce qui vient de se passer...— Tu as raison, inutile d’ajouter au désordre… Concluais-je.
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