Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 4 J'aime
  • 0 Commentaire

l'initiation de clairette 8

Chapitre 1

Erotique
L’INITIATION DE CLAIRETTE 8
La suite des aventures de Florent. Où Domi sera victime de son zèle, où Clairette ne se ressens pas du tout de sa grossesse. A Noël on met le petit jésus dans la crèche… mais il faut aussi porter sa croix…Le mardi à 17h, j’ai la surprise de tomber sur Domi qui m’attend devant le lycée. Elle a réussi à sortir avec la complicité d’une pionne. Elle est frigorifiée. Avant de se rendre au club de rugby, je fais faire un petit détour au copain qui me conduit pour la déposer chez Marcel qui sera absent.— Si tu veux, je te fais à manger? — Non, on mangera au club. Tu trouveras quelque chose dans le frigo de parrain.— Je me débrouillerai…A la fin de l’entrainement, surprise, mon parrain m’attend. — Je ne devais pas rentrer mais j’ai un rendez-vous qui c’est annulé. Je voulais vous laisser mon appartement, c’est mieux pour mon cœur que je sois loin de vos ébats. Si tu cherche des capotes, elles se trouvent dans la boite à pharmacie! — Je suis désolé de te déranger. Domi m’attend chez toi. Je lui ai donné ta clef pour qu’elle ne se gèle pas au bord du terrain. — Tu as bien fait. J’espère qu’elle ne sera pas perturbée, c’est un peu bordélique mais je m’y retrouve. On va manger un morceau au club.Deux heure plus tard, nous pénétrons dans l’appartement, une odeur de javel nous prend aux narines. Nous surprenons Domi en train de récurer la cuisine. En ménagère dévouée, elle s’est crue autorisée de mettre de l’ordre. Elle m’attend avec sa jupe écossaise, son col Claudine, son petit gilet en mohair sa queue de cheval. Une bonne petite épouse amoureuse mais au lieu d’être satisfaite de son travail, elle arbore une mine penaude. — J’ai cassé un bibelot. Explique-t-elle les yeux baissés.Marcel n’apprécie pas du tout. Ce bibelot était un cadeau auquel il tenait beaucoup. Il est vraiment fâché et moi je suis furieux.— Mais non de dieu ! De quoi tu t’occupe ! Qui t’a demandé de mettre de l’ordre. Tu n’es pas chez toi ici !— Je vais le payer…— C’est une sculpture offerte par une amie… J’y tenais… Répond Marcel dépité. Ma colère explose.— Tu ne peux pas t’occuper de tes fesses ? C’est pour ça que tu es là et pour rien d’autre. — Pardonne-moi. Je n’ai pas fait exprès…— C’est une réponse de gamine ! Tu vas être punie comme une gamine. Baisse ta culotte !— Oh, non !— Je compte jusqu’à trois. Un ! Deux ! Elle se contorsionne pour baisser sa petite culotte blanche. Je l’empoigne, la place sur mes genoux. Je rabats la jupe sur ses reins. Elle veut se cacher. Elle reçoit une magistrale tape sur le derrière. Elle hurle.
— Elle va ameuter les voisins ! Me dit Marcel.— Passe-moi la culotte.Je la fourre dans sa bouche. Je recommence méthodiquement la fessée. Domi se trémousse, geint, pleure. Son séant se colore d’un rouge vermillon. Je lui accorde un instant de répits. J’en profite pour lui retirer son pull, son chemisier et son soutient gorge. En dehors de la jupe retroussée, et de ses chaussettes, elle est nue. Marcel que le spectacle ravit, m’apporte un verre de cognac et s’installe dans le fauteuil d’orchestre. Les coups pleuvent drus. Pas de favoritisme, chaque fesse est copieusement servie. Domi a changé ses hurlements en gros sanglots. Le petit dodu devient écarlate. Je ralentie les cinglées pour laisser ostensiblement trainer mes doigts sur le gros abricot qui suinte étrangement. — Elle est trempée, elle aime la bougresse. Fais-je-remarquer à tonton Marcel. — C’est souvent comme ça chez les filles. Observe-t-il. — J’ai mal ! Dit-elle en essayant de se relever.Mais je la plaque de force sur mes genoux.— Tu ne bouge pas ! Sinon, je double la dose.. A la dixième claque, je lui glisse profondément les doigts dans la chatte. J’extrais le clito que je roule sous mes doigts. Mon pouce pénètre le petit trou. Je me sers de ma main comme d’une pince pour la soulever un peu. Ses coudes reposent sur mes cuisses. Avec l’autre main, Je peux étreindre ses seins. — Oh, non, je ne veux pas. Gémit-elle. — Tu en veux une autre ? Je vais demander à parrain de continuer ! Elle se place docilement. Elle est matée, elle supporte l’invasion sans broncher d’ailleurs son cloaque est complètement trempé. Des bruits de succion couvrent presque ses soupirs. Elle s’offre de mieux en mieux à la pénétration, en tordant les fesses. Son souffle s’accélère. J’accrois la pression sur ses seins, jusqu’à ce qu’elle exprime un orgasme de diva. Avec de gros tremblements nerveux, elle s’empale sur ma main qui disparait dans sa matrice. Je remarque l’excroissance qui affecte le pantalon de parrain. — Maintenant, tu retire tous tes vêtements et tu te mets à genoux devant parrain pour lui demander pardon ! Écarte les cuisses !La figure rougie, les lèvres gonflées et baveuses, elle s’exécute. Elle marque un bref instant d’hésitation. Mais, émue devant le chapiteau Pinder dressé à quelques centimètres, elle lève les yeux à la recherche d’une approbation et s’attaque à la braguette. Elle dégage le magnifique engin de son kangourou. Ses mains, enrobent le mammouth. Sans détacher les yeux du visage de mon parrain, elle cajole les gros rognons. Elle sourit devant les soubresauts compulsif du bonhomme qui répand sa gourme sur les seins offerts. Sans qu’on le lui demande, elle nettoie consciencieusement le gland avec sa bouche.— Elle est bien dressée me dit Marcel. Je t’aurai cru plus novice. Je crois qu’elle en a assez. Ajoute-t-il. Une main dans le con et l’autre sous les bras, je la place le nez face au coin de la pièce.— Tu reste comme là, à genoux, jambes écartées, mains sur la tête.Nous reprenons un cognac et dévissons quelques minutes sur tout et sur rien. Dans son coin Domi gémit doucement alors que ses fesses luisent dans la pénombre.— Il est temps d’aller au lit. — Je devrai la laisser toute la nuit à méditer sur sa bêtise. Bon, Allez au lit sale fille. — J’espère que son mari découvrira ses talents. En tout cas, tu l’as bien formé, chapeau. Marcel va chercher un onguent. — Passe-lui ceci sur les fesses sinon demain elle ne pourra plus s’assoir . Bon, moi je vais me coucher. Petite, n’en veux pas à Florent, mais tu as mérité ta fessée. — Allez, au lit ! Prend tes habits. Dis-je en la soulevant et en la portant jusqu’à la chambre. Je la pose à genou sur le lit. Ses nerfs craquent, elle a un gros sanglot.Je lui glisse une chemise de nuit vaporeuse en satin champagne que j’ai empruntée à Christine. Domi est étonnée et surprise par le raffinement de cette parure à la matière si douce. — Rassure-toi je ne l’ai pas volée. Disons que c’est le souvenir ému d’une femme qui ma tout appris.Je crois qu’avec moi elle ne s’étonne plus de rien. Je la couche sur le ventre. Je remonte la chemise et lui frictionne doucement le joufflu.— C’est tout. La petite fille va bien dormir. — Tu m’as corrigé devant ton oncle. Ou… Ou… Ou…. Snif… Snif… — Tu l’as un peu mérité, non ?— Tu peux me prendre si tu veux même par derrière.Je glisse un oreiller sous son ventre. Elle se place d’elle-même à genou, la tête dans le traversin.— Détend-toi.Je prends une bonne noix de crème sur l’index pour badigeonner son fondement. La petite corole s’ouvre spontanément. Elle pleurniche mais elle est trempée. Alors, je présente mon gland et l’enfile avec délicatesse. Ses gémissements s’amplifient. Une tape sur sa fesse endolorie réveille ses douleurs. — Tais-toi ! — Maman! Se met-elle à pleurnicher.Voilà autre chose ! Je me rue en elle, alors, elle jouis sans retenue, c’est l’extase. Cette fille se fait exploser l’ognon par pur masochisme. Oh, que c’est bon. Minaude-t-elle..Elle ronronne un instant, puis s’endort comme un bébé. Il ne me reste plus qu’à éponger le trop plein et à abaisser la combinaison.Je la retrouverai au réveil, endormie sur le ventre la chemise un peu remontée. Son abricot entrouvert est humide. C’est comme une invitation. Je la pénètre avec une facilité déconcertante. En quelques minutes, elle part en pâmoison. Je la retourne, elle a un petit rictus, séquelle du châtiment de la veille. Elle prend mon pieu dans sa bouche jusqu’à l’éjection finale. Nous sortons d’une douche expresse nous habiller comme les pompiers et nous nous jetons dans le bus. Là, je l’informe qu’elle ne viendra pas le dimanche prochain à la station. — Je n’ai pas envie que tu mettes le chantier chez Christine qui n’est pas de ma famille.Si elle savait que Christine est presque de ma famille ! Quel pervers et menteur je fais, j’en ai honte.Les larmes coulent sur les belles joues de Domi. — Je t’ai dit que je ne le ferai plus. Je veux bien être punie mais que par toi.— Tu aimes tellement être punie ? — Non, ce n’est pas çà, c’est que je t’aime !— Moi aussi. Dis-je en l’embrassant. Tu pourras monter à la station entre les fêtes.Cette fille est vraiment frappée. On peut tout lui faire ! Combien seraient parties en claquant la porte et me traitant de sadique ou de pervers. Elle est prête à tout recevoir. — A mercredi, je monte avec toi à Saint Marcel. Mais je repars vendredi. Cette sanction hypocrite me permet régler le problème de la présence de Clairette chez son père le week-end prochain. Elle a obtenu de son Pierrot une autorisation de sortie. Il faut bien faire les achats de Noël et repérer les articles pour la liste de naissance. Christine l’aidera. Je suis bien entendu d’accord pour l’accompagner puisque je me rends à Chamrousse pour travailler. Elle rentrera dimanche. Deux nuits entières avec ma maîtresse ! Son père télégraphie qu’il est retardé par des problèmes d’avion. Il n’arrivera que le mercredi 26 dans la journée. Je rentrerai avec Christine qui va passer Noël chez Clairette. Vendredi matin, Pierrot m’accueille en me faisant tout un tas de recommandations pour assister son épouse. Probablement par distraction, il oublie cependant la principale : « Ne pas la baiser ! ». Nous fonçons vers Isard Drôme où nous avons convenu de faire une halte réparatrice. Nous aurons deux bonnes heures à nous puis nous rejoindrons Christine en début d’après-midi. — Dommage que tu n’as pas songé à inviter Christine au motel. C’est mieux à trois, non ?— Quel pervers prétentieux tu fais. Tu crois que du haut de tes dix sept ans tu peux combler deux femmes mures en manque. — Je relèverai bien le défi !— Mais, dis-moi ? Tu n’aurai pas fauté avec ma belle-mère ? — Qu’est ce que tu vas chercher… — Note que sur le fond, je m’en moque… Mais tu ne sais pas où tu mets les pieds, enfin je veux dire ta bite… Justement, en parlant d’elle, tu veux bien la montrer.— Je ne suis pas sur qu’il soit prudent de se distraire sur ces routes tortueuses.— Ne t’inquiète pas. Elle commence à défaire les boutons de ma braguette. — Je la veux, elle est là bien cachée. Sors de la friponne ! Elle sort ma pinne encore toute racrapotée. — Tu crois qu’avec cette petite saucisse tu pourrai combler une amoureuse comme Christine. C’est déjà fait me dis-je dans ma barbe. Tenant le volant de la main gauche, elle cajole le gland qui très vite pointe fièrement son nez.— Ça faisait une éternité… Hum…— Tu ne crois pas que le moment est mal choisi.Elle s’adresse directement à mon gland !— Tu vois comme il est méchant, il veut me priver de toi ! Moi, plus traditionnel, je me contente de peloter sa poitrine à travers le pull. Je sens combien ses mamelles ont augmenté de volume. Je roule ses tétines de vache qui émergent aussitôt du fin lainage. .— Tes seins ont gonflés ? — Tu as remarqué ! Enfin, quelqu’un qui remarque mes seins. Pierrot n’as rien vu. — Il l’a sûrement remarqué mais il n’a pas osé t’en parler. — Ce serait difficile, il me touche encore moins qu’avant. Il ne veut pas perturber le bébé. Dit-il. — Il craint de te blesser. — C’est impossible, c’est un minuscule avorton. — Et pourquoi ? J’ai la libido en folie. Mes mains passent sous le gilet. Elles visitent les seins libres de toute contrainte.. — Tu n’as pas mis de soutien. Dans ton état, ce n’est pas bien !— C’est pour mieux te séduire mon enfant ! Hum ! C’est bon d’être caressé. Je vais chercher un chemin creux. C’est imprudent, tu as raison. Ce petit parking à l’écart avec un monument à la gloire de la résistance doit être peu visité un vendredi de décembre. A partir de ce moment là, je pu comparer les mérites de la 404 par rapport à la DS sous l’angle de la friponnerie. Et bien Messieurs, il n’y a pas photo. Dans ce domaine aussi la reine du quai de Javel domine largement la 1ere dame de Sochaux ! Nous mettons les sièges en couchette. Claire se jette sur ma pinne alors que je remonte le pull qui dévoile ses seins majestueux. — Je ne vais m’occuper que de tes gros lolos. Tu vas jouir par les seins. Je les apprivoise un moment, puis, je les étreins avec vigueur. Je mords ses gros tétons. Ma concubine grogne mais ma langue occupe sa bouche. En deux minutes, Claire, confinée dans une abstinence forcée, déclame. Ma bouche plonge sous le lainage à la recherche des excroissances. Elle les suce, les morilles, les roulent, les aspirent. Malgré l’épais lainage qui atténue les sons, Clairette part en vrille me pressant la tête entre ses seins. Elle pousse des vociférations inappropriées dans la bouche d’une future maman. « Putain comme tu me fais du bien. Ah mon cochon, tu t’y entends pour relire les bonnes femmes ! » Je déchire presque ses bourgeons avec mes dents. Là, s’en est trop. Elle explose en vol dans un terrifiant orgasme. Dans la foulée, elle gobe ma pinne jusqu’à la glotte. Si j’osais dans ce lieu de mémoire, je dirais que ma résistance ne fut pas glorieuse. Ma liqueur l’ inonda trop vite à mon goût. Nous reprenons nos esprits alors que mon vit reste encore bien ferme. — Finalement, tu as peut-être raison. Tu peux couvrir deux femmes. Ta petite amie et moi. C’est à elle que tu dois être fidèle !— Je te remercie d’organiser ma vie sexuelle. Mais laisse-moi te dire que tu ne manque pas de toupet. Me dire ça alors que madame vient de m’utiliser pour son ordinaire et que j’ai encore la pinne à l’air. — Ce n’est pas pareil ! Rétorque-t-elle sans se démonter. Avec moi, c’est de l’apprentissage… C’est tout profit pour ta copine Dominique ! — Elle s’en est aperçue, elle te remercie de ton abnégation. Dans un éclat de rire, nous remettons de l’ordre dans nos vêtements. Clairette met la première. Un accident sur l’autoroute nous retarde une grosse heure. Nous n’aurons pas le temps de nous arrêter à la station. Heureusement que nous avons pris un apéritif ! Nous retrouvons Christine à la gare de Perrache. J’ai droit à la visite tous les grands magasins. L’ambiance est d’une grande gaité. Je porte les paquets jusqu’à la 404. Puis Clairette déclare qu’elle doit renouveler sa lingerie.— On va chez Mathilde propose Christine.— Je me demande si elle propose des articles pour femmes enceintes.— Les fanfreluches de Mathilde sont particulières mais je suis sure qu’elle te trouvera des parures qui allient grossesse et féminité. Rétorque Christine.— Bon, dis-je, je vais vous attendre dans un troquet.— Mais pas du tout, répliquent-t-elles en cœur. Pour une fois qu’un soupirant peut nous aider à choisir…— Arrêtez ! Pas question de pénétrer dans un magasin de linge de fille.— Tu as peur ou quoi ? Interroge Christine.Le terrain et glissant. Elle ne va pas raconter les nuits où elle me déguise d’une tenue de fille. — Non mais j’en ai assez porté de sacs… — Tu veux bien monter sur Clairette mais tu ne veux pas porter ses sacs? C’est gentil. Ce serai trop facile… Allez, suit-nous ! — Je ne fais que çà depuis trois heure !— Et bien, tu continues. Rassures-toi, ce n’est pas un vrai magasin. C’est un discret appartement et puis Mathilde en a vu d’autre…Les gloussements que les deux complices partagent sont loin de me rassurer. Christine appuie sur l’ouvre porte d’un immeuble cossu des beaux quartiers. Le vieil ascenseur nous hisse lentement au deuxième où une jeune servante en uniforme nous introduit dans un salon en embrassant les deux filles. Une femme entre deux âge fait irruption dans la pièce. Elle couvre littéralement Clairette de baisers.— Ma Clairette ! Mais tu es magnifique. La grossesse te va à ravir. Elle embrasse Christine. Bonjour Chris. Comment vas-tu ?— Très bien et toi ? Tu as l’air en bonne forme.— Tu sais on ne se refait pas. Heureusement que j’ai Moune pour s’occuper de moi… Je serai bien seule.Moune, la servante fait des mimiques pour indiquer qu’il ne faut pas attacher trop d’importance à ses jérémiades. — Mais dis-moi, poursuit Mathilde en s’adressant à Claire, ce jeune garçon c’est le neveu dont Christine ma parlé au téléphone. Mais il est charmant ! Ajoute-telle en me faisant tourner sur moi-même.Le far qui envahie ma figure pourrait éclairer la colline de Fourvière !— Mettez-vous à l’aise. Moune, peux-tu nous offrir un thé. J’imite les deux femmes qui se délaissent de leur manteau. — Bien. Claire, je suppose que tu dois renouveler un peu ta lingerie ?— Oui, mais je me demande ce que je devrai porter dans quelques semaines ?— Bien entendu, il ne sera pas question de guêpière serrée. Tu porteras des soutiens réglables qui se ferment sur le devant. Des courtes combinaisons assorties et des gaines très élastiques. Déshabilles-toi, je vais chercher les modèles. Elle s’éclipse alors que Moune dépose un plateau. — Attendez, je vais vous aider. Déclare Moune.Clairette acquiesce. Mathilde s’éclipse un instant. — C’est un prétexte me glisse Christine. C’est une est gouine ! Clairette aussi ! Elle a été initiée par sa tante…— A non, pas Clairette ! — C’est toute l’ambiguïté de Clairette. Lubrique avec son père et sa tante et chaisière avec Pierrot. Et perverse avec toi…A partir de là, j’assisterai à une scène dont l’érotisme insoutenable reste imprimé intact dans ma mémoire. Moune commence par soulever le pull sur les épaules. Devant la poitrine nue, les trois femmes s’écrient. « Tu n’est pas sérieuse. Avec ce froid ! S’exclame Mathilde. Tu veux avoirs des seins comme des gents de toilettes. Ajoute Christine. Tu dois les soutenir ! Conclue Moune. » Clairette adopte la mine de la petite fille pris en faute. « C’est juste une heure, pour Florent » Les femmes comprennent mais n’approuve pas. Moune continue l’effeuillage : La jupe glisse lentement, suivie par les bas et la culotte. Elle laisse visiblement trainer les doigts sur les formes épanouies de Claire. Son corps c’est épaissie un peu mais l’ensemble est extrêmement harmonieux. Mathilde lui fait exécuter un tour complet sur elle-même. Je sais bien que Clairette est habituée depuis sont plus jeune âge à s’exposer devant autrui mais son absence de pudeur reste pour moi stupéfiante. — Qu’est ce qu’tu es belle ! Ne puis-je m’empêcher de m’exclamer. — Florent a raison ! Tu es absolument splendide. S’extasie Christine.— En somme je devrai rester continuellement enceinte ? — Peut-être pas, mais je t’ai toujours dit que quelques kilos de plus t’iraient parfaitement. Réplique Christine.J’ignorai quelles fussent si intimes mais bon…. Pourquoi-pas ! Moune s’arme d’un centimètre de couturière et prend toutes les mesures de la future mère. Elle peut tout à loisir cajoler les recoins les plus intimes de Claire qui se laisse palper avec une coupable complaisance. Christine a raison. Clairette a aussi des tendances lesbiennes ! Mathilde choisis les tenues les plus appropriées. Pendant que Christine se déshabille à son tour. Ce sera un ballet de femmes nues essayant en pouffant les parures les plus suggestives.— C’est toi qui va en profiter mon Flo, choisis. — Heu… Tout est beau. — Le pauvre, remarque Moune en s’approchant de moi. Il est tout crispé. Il faut te mettre à l’aise… Ajoute-elle en relevant mon pull.— Non, je ne veux pas…— Tu es sur interroge Claire, en s’approchant revêtue d’un ensemble rose. — Moune ne s’en laisse pas compter. Elle baisse mon pantalon en me gratifiant d’un regard de biche.— Tu vas voir. Ca ira beaucoup mieux après… Appui-elle. Je me retrouve nu comme un ver! Les femmes poussent des exclamations enthousiastes.— Il va prendre froid. Regrette Moune. J’ai de quoi le couvrir. Elle s’empare d’une série de fanfreluches et me glisse une culotte de fille. — Ah non… Je ne vais mettre çà ! Le regard de Mathilde me foudroie.— Je ne vais pas mettre çàààà ! Vous avez entendu le ton méprisant de ce petit mâle prétentieux… S’indigne Mathilde. Imagines-tu ce qu’il a fallut de travail aux cousettes qui se détruisent les yeux et les ongles sur leurs ouvrages pour créer çààààààà ! Tu vas passer ces vêtements même s’ils sont trop raffinés pour toi ! Et vite !Malgré le regard désespéré que je lui lance, Claire ne me vient pas en aide au contraire. — Je sais que tu n’es pas insensible à la lingerie. Pas vrai Christine ? Je suis détruit. Ces deux libertines se racontent tous mes faits et gestes.— Tu ne peux pas aller contre ton tempérament. Confirme Christine avec un sourire sadique. Rassures-toi, non seulement tu garderas intact ta virilité mais en plus tes sens seront excités par la douceur du satin. Et puis, comme ça, en te mettant dans la peau de tes conquêtes, tu ne les respecteras que mieux. — Regardez ce petit hypocrite. Il bande comme un jeune cerf. On ne va pas te la couper. Clairette en a besoin plus que jamais. Clairette m’encourage d’une dernière saillie.— Rien que de penser à ce que tu portes, j’en jouis déjà. Alors ce soir…Il est vrai que la barre qui orne mon ventre parle à ma place. Moune m’accoutre d’un porte-jarretelle qui me serre la taille. Elle me glisse une paire de bas dont la douceur me procure des frissons et une peau de pêche. La petite culotte couleur sable a bien du mal à dissimuler mon contentement. Enfin, Moune me couvre d’une combinaison en satin assortie à la parure. Elle devine dans quel état j’erre. Je serre les dents pour ne pas juter. Charitable, elle quémande d’un regard une autorisation auprès de Clairette qui signifie. Je peux ?Le signe de tête de ma maitresse donne le feu vert. Moune se jette sur ma pinne quelle gobe comme un œuf dur. En voilà une qui prend tout ce qui passe. Après quelques aller-retour, je lui fais signe de se retirer mais Mathilde lui maintiens la tête empalée sur ma pine. Poussant un cri, Je me vide dans sa gorge puis m’affale sur le sofa. . Moune se précipite hors de la pièce tandis que Mathilde lui lance : « Tu sera punie pour çà ! » Clairette me murmure à l’oreille. « Toi aussi tu sera punie. Tu va porter cette tenue toute la journée »Claire et Christine font plusieurs emplettes qui sages qui franchement friponne. Avec ma tenue de favorite j’essaie de passer inaperçu dans le grand sofa. Tout est emballé et réglé, Au moment de se lever, je me rends compte que l’émotion de mes deux dulcinées est inversement proportionnelle au niveau de la bouteille de porto. Leur tain rosi appuie mes craintes. Mathilde propose d’attendre un peu. Mais Christine doit rentrer pour la fermeture de la librairie. Dangereux, oui mais dans ce récit, il faut se garder de tout anachronisme. Au milieu des années soixante, boire et conduire faisait bon ménage ! Il n’empêche que le froid piquant agit sur mes compagnes qui se sentent un peu fatiguées. Après deux ou trois kilomètre assez laborieux, Clairette passe le volant à Christine. Mais Christine n’est pas au mieux. — Je n’ai pas l’habitude de cette voiture.— Prend le volant me dis Christine. Ni Claire ni moi ne sommes en état. — Mais s’alarma Claire, tu ne sauras pas conduire ?— Il conduit mieux qu’il ne se conduit ! Affirme sa belle-mère avec humour.— Tu sais, Pierrot, ton homme, s’il ronfle la nuit, il dort le jour. Qui crois-tu qui ramène la 404 et le Berliet ? Ajoutais-je.Je me mets au volant et démarre impeccablement la Peugeot.— Non mais je rêve ! Et les gendarmes, il est fou Pierrot? — On passe par les petites routes.— Tu as conduis le Berliet ? Je n’y crois pas !— Je te dirais bien de lui demander mais il te faudra lui expliquer comment tu l’as su…Les embouteillages limitent le risque et occupent la maréchaussée. Nous regagnons la station à la vitesse des escargots. Claire a dormi tout au long du voyage et Christine sommeillé. Christine va assurer la fermeture de la librairie.Je suis un fâché par la mascarade dont j’ai été l’objet chez Mathilde. L’accoutrement que je porte est rabaisse ma virilité même si je dois avouer que de tremper en permanence dans le satin et la soie me plonge dans un océan de volupté. Je prends la direction des opérations. — Je te fais couler un bain chaud. Je m’occupe du repas. La veille, Pierrot a tué le cochon. Il suffit de mettre à feu doux un plat de fricassé que Clairette à préparé. Elle me hèle depuis la chambre.— Tu viens mon amour ?Contrairement à mon habitude, je ne l’accompagnerai pas. Je dédaigne même le rituel du déshabillage. — Non, prend ton bain. Ne traine pas ! Christine ne va pas tarder. — Tu es fâchée ?— Pourquoi ? Aurais-je des motifs de l’être…— Tu t’es sentie humilié mon chéri ? J’ai fini de préparer la salade quand Christine entre dans la pièce. — Vite, une douche !Elle rejoint Clairette dans la salle de bain. — Tu me fais une petite place ?Elle est nue en moins de dix secondes et s’installe entre les cuisses de la compagne de son père. Elle commence à passer le savon sur les formes épanouies de sa belle-fille. — Je crois qu’il est un peu fâché. Murmure Clairette en parlant de moi. On a peut-être exagéré. — Mais non, son amour propre a un peu souffert mais je suis sure qu’il apprécie beaucoup même si il a du mal à le reconnaître…— Florent ! Tu peux nous servir un verre du blanc qui est au frigo ? Me crie Christine. Je dépose deux verres sur le rebord de la baignoire.— Bravo ! C’est du beau. Belle-mère et belle fille prenant un bain ensemble comme deux gouines en chaleurs ! Dire que ça va être bientôt mère de famille.— Petit morveux rétorque Claire en m’aspergeant copieusement. Petite morveuse devrai-je dire ! Soulève ton pull que nous puissions admirer tes dessous .Je me déleste de mon pull et de mon pantalon qui sont complètement trempés.— A la bonne heure ! S’écrie Christine, tu es bien plus belle comme çà ! Et plus en concordance dans ce gynécée. Approche ! Si ce n’était cette protubérance là. Conclue-t-elle en désignant la barre qui pointe sous la culotte. — Ce déguisement ne suffit pas à le transformer en fille. Il faut compléter le travail. Elle sort du bain, s’enveloppe d’un peignoir, s’assied devant sa psyché. Elle me plante devant elle et commence à me maquiller ! Pourquoi ne résistais-je pas ? Mystère… Elle me place un fond de tain mat. Me fais le contour des yeux, des cils de biche, enfin elle me coiffe d’une longue perruque noire qu’elle peigne en ondulations. — N’est-elle pas belle notre Florence ?— Magnifique s’exclame Claire. C’était bien la pêne de faire la tête.— On va passer une soirée entre filles. Vous allez voir ça. Hum, çà me donne de l’appétit. Mais avant de sauter cette cocotte, Nous allons faire un sort à la fricassée. Florence, tu veux bien aider Claire à se sécher…Christine quitte la chambre.— Je suis humilié !— C’est un jeu. Je sais bien que tu aimes… Allez, sèche-moi je vais prendre froid. Je frictionne ce corps majestueux et pose un baisé sur sa petite pelouse. Nous nous rendons dans la chambre où elle déballe les dessous acheté chez Mathilde. Je lui passe un léger serre taille bleu à volant, des bas couleurs peau, un soutien-gorge trop couvrant à mon goût mais qui s’ouvre sur le devant pour allaiter. Enfin, je la recouvre d’un long déshabillé de satin. Elle chausse des mules nous gagnons le salon dans lequel la cheminée dispense une chaleur bienfaisante. Christine s’est affublée d’une parue minimaliste. Le soutien, les portes jarretelles et le string sont réduits une de fine lanière de cuir noir. Avec la quincaillerie accrochée à ses seins et à sa vulve l’effet est ravageur ! Elle se couvre d’une tunique brodée et transparente. Une véritable invitation au viol. Ma mauvaise humeur me sert à masquer mon désarroi. Clairette est-elle au courant de mes écarts avec Christine ? C’est probable. J’ai compris qu’elles se disent tout. Clairette connaît le tempérament de sa belle-mère. Ma Claire serait-elle vicieuse au point de me laisser mijoter jusqu’à me confondre ? La fricassée est un délice. (Morceaux de porc, boudin et pomme de terre sautés dans une grande poêle). Nous tombons une bouteille de vin de Savoie qui réchauffe les cœurs. Une crème mont-blanc termine le repas pris dans une ambiance délurée. C’est Clairette qui engage la première.— On me dit que cette jeune fille n’a pas été sage lors de ses week-ends à la montagne ?Je manque de m’étouffer. — Crois-tu ? Rétorque Christine. On lui donnerai le bon dieu sans confession. Regarde comme elle est timide, comme elle baisse les yeux. — En vérité c’est une fieffée débauchée qui devrait être punie pour ça. Christine me crucifie :— Mets-toi à genoux devant nous.Je m’exécute en me demandant si c’est du lard et du cochon. Je baisse la tête et les yeux. Christine soulève ma combinaison. Elle baisse ma culotte alors que Clairette me couche sur ses genoux. Tu vas recevoir une bonne fessée pour la faiblesse de ton caractère mais qui vaudra désormais autorisation de courtiser Christine. Me voilà exactement dans la position où j’ai mis Domi chez mon parrain ! Je n’ai pas le temps de serrer les fesses que le feu y prend. Une série de fortes claques m’incendie le postérieur. Je ne vais pas leur faire cadeau de mes pleurs ou m’abaisser à invoquer leur indulgence. Je mets tout mon orgueil à retenir mes cris. Ceci a le don d’irriter mes bourreaux qui redouble d’efficacité. — Elle n’a pas crié. C’est à ça qu’on voit que c’est un petit mâle orgueilleux. — C’est parce qu’elle est pucelle. On va l’ouvrir un peu.— Je ne crois pas qu’elle soit pucelle Rétorque Claire. Christine me glisse un doigt dans les fesses avec un fluide glacé. Puis, toujours maintenu par Claire, elle s’arme du sexe factice avec lequel Claire a joué l’autre fois. Ail ! Je serre les fesses mais une tape sur mes hémisphères incendiés me ramène à la raison. Elle promène l’objet sur mon œillet un petit moment. Le temps de m’habituer et de me détendre. Pour facilité la pénétration, Claire m’écarte les fesses. L’objet contondant me perfore le fondement. La pression est difficile à supporter mais mes gémissements n’apitoient pas ma corruptrice. Elle fait de petits allers retours qui me procurent tout à coup une étrange sensation fait de plaisir et de contrainte. Claire passe une main sous mes fesses pour constater que cette invasion ne me laisse pas de marbre. « Elle bande. Tu vois je te le disais. C’est une petite enculée ». Désormais le pieu factice me perfore complètement. Christine l’agite de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Il a suffit qu’une main effleure mes bourses pour que je me répande en feulant dans la main de Clairette qui aussitôt l’offre à lécher à Christine. Vaincu et rabaissé, je m’affale sur le canapé. — Voilà un beau dépucelage ! Affirme Christine en se relevant.— Penses-tu ! Le Cham est passé là bien avant toi…— Ça, c’est pour m’avoir odieusement trompée avec Christine. La seule que je t’ai autoriser à lutiner, c’est ta petite amie… — D’accord, je t’ai trompé avec Christine mais on était deux, non ?— C’est pour çà qu’on va punir Christine. Approche ma chérie !Christine minaude en tortillant un peu le popotin. Elle se déleste de son sexe factice et de son déshabillé puis se place spontanément sur les genoux de Claire. Elle plonge sa bouche dans le compas de sa belle-mère mais du coup, elle éloigne d’autant ses fesses. Claire écarte largement les jambes.— D’accord pour que tu me mange la chatte mais du coup tes fesses sont trop éloignées. Florence peux-tu officier.Christine fais glisser la culotte de Claire et s’enfonce dans la toison. De mon coté, je fais glisser le minuscule cache sexe (à l’époque on ne parlait pas de string). Ma main s’abat avec une certaine retenue.— Plus fort ! Si tu crois émouvoir Christine avec tes tapettes. Elle en a reçu d’autres ! Cette fois j’y vais franchement. Paf ! Paf ! Plus je frappe et plus Christine chiffonne les nymphes de sa complices. Au bout de quelques minutes je commence à avoir mal aux mains, pour en finir j’amplifie la cinglée. Clairette a pris la tête de Christine entre ses mains. Elle pousse des hurlements orgasmiques et se détend d’un coup. Christine hurlerait à l’unisson si elle n’était étouffée par le con de Claire. Les deux dépravées sont enfin apaisées. Christine émerge de la pelouse la figure toute barbouillée. Claire lui offre un long baiser sur la bouche.— Ça m’a détendu, pas toi ? — Oui, beaucoup. Répond Claire.Elle va bien ! C’est la seule à ne pas avoir reçu la fessée à cause de cette stupide préventions pour les femmes enceintes. — Oh, les deux popotins colorés. Placez-vous en face de moi, je vous passe une pommade.Elle nous masse avec le plus de douceur et d’application possible. Le feu se calme peut à peut. Claire nous invite à aller se coucher. Au moment de pénétrer dans la chambre, Claire se retourne et tend la main à Christine.— Tu ne vas pas dormir toute seule ? Viens ma chérie…
Diffuse en direct !
Regarder son live