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Initiation de deux jeunes à la rivière

Chapitre 2

Erotique
Après tant d’émotions, la fraîcheur de l’eau nous fit le plus grand bien. Le soleil, à son zénith, nous chauffait toujours la peau et je dois le dire, entretenait l’érotisme du moment que nous venions de vivre.
Dorénavant, Adrien était lui aussi nu. Il avait abandonné son maillot de bain et n’était pas décidé à le remettre. Il semblait prendre conscience du plaisir que procure le naturisme, et l’incroyable bienfait de se baigner dans le plus simple appareil. Ma présence devait le rassurer et en même temps lui servir d’exemple. Charlotte, elle, avait gardé son bas de maillot pour s’engouffrer dans l’eau malgré les traces de foutre que j’y avais laissé. On pouvait encore observer le souvenir de ma jouissance sur ses reins. Si timide au départ, elle déambulait à présent la poitrine libre, fière de l’exposer à nos regards. Elle paraissait libérée et délivrée d’un poids qui jusque-là l’emprisonnait.
Nous nous prélassions dans la rivière, seuls au monde, échangeant des banalités sur les moments agréables que l’été nous offrait. Adrien faisait la planche, en croix, exposant son sexe à notre vue. Lui qui avait quelques réticences à l’exhiber au départ commençait à y prendre goût, pour le plus grand plaisir de Charlotte qui regardait avec insistance cette tige juvénile qu’elle avait amenée plus tôt à la jouissance. Pour ma part, je le regardais aussi avec appétit. Le souvenir de sa texture sous ma langue me donnait encore envie d’y goûter, et plus encore. J’ignore si le fait de voir son ami s’exposer ainsi lui donna des idées, mais je vis Charlotte se tortiller pour ressortir ses mains de l’eau, munie de sa culotte. Surpris, je la regardais la rincer et la garder à la main.
— Tu as l’air embêtée avec ta culotte à la main maintenant, lui lançais-je avec humour.— Non, non ! C’est juste que je trouve ça agréable d’être nue dans l’eau en fait. — Je te l’avais dit, difficile de pas aimer. Et au point où nous en sommes, on n’a plus beaucoup à se cacher, lui dis-je avec un clin d’œil. — Regarde Adrien, il n’a pas l’air de détester non plus.— Ben non, c’est trop bon !— Je vois ça, lui dit Charlotte en lorgnant ses fesses quand il plongea sous l’eau.

Je profitais de ce moment pour déloger le plug de mon anus et le nettoyer sous l’œil curieux de mes nouveaux amis. Ils étaient subjugués par l’objet et la taille de celui-ci. Sans être énorme, je dois admettre qu’il était de belle taille. Mes deux perdreaux l’observaient avec attention. Après l’avoir bien nettoyé, je leur tendis pour qu’ils puissent en prendre toute la mesure. C’est Adrien qui le premier parla.
— Whouaaah, je pensais pas que c’était si... large !— C’est pas le plus gros, mais pas le plus petit non plus, admis-je.— C’est beau en tout cas, surtout le diamant, me lança Charlotte.— Je trouve aussi, lui répondis-je. C’est ce que je disais tout à l’heure. C’est un bijou à plaisir. — C’est quand même gros, me dit-elle, adoubé par Adrien.— Disons que ça nécessite d’être un minimum préparé et d’un peu de gel.— Mouai, je suis pas sûr de pouvoir le recevoir, me dit Adrien.— Et moi j’aurai trop peur d’avoir mal, rétorqua Charlotte.
— Je comprends, mais je vous rassure, quand c’est bien amené et fait par quelqu’un qui a l’habitude, c’est très agréable et sans douleur. Et c’est comme tout, il faut y aller en douceur. Et pour être honnête, on commence rarement avec ce genre de modèle. Un ou deux doigts suffisent au départ, leur dis-je avec un petit sourire.

Sur ces mots, ils me rendirent l’objet et replongèrent dans l’eau. J’en profitais pour retourner à ma serviette, y ranger mon plug, et revins m’asseoir au bord de l’eau à les observer.Ils s’ébrouaient gaiement tous les deux, s’arrosant et se poussant dans l’eau. De l’eau jusqu’à la taille, j’apercevais parfois leurs fesses dépasser de la surface. Charlotte, qui avait toujours sa culotte dans les mains, ne semblait pas décidée à la remettre de suite. Elle commençait visiblement à savourer le fait d’être nue en pleine nature et semblait plus à l’aise avec le regard des autres. Notre petite séance avait dû lui donner un peu plus confiance en elle. Et le fait que nous soyons, Adrien et moi, totalement nus aussi, lui donnait peut-être le courage de l’être aussi.
Après un bon moment à s’amuser dans l’eau, Charlotte décida de sortir et vint me rejoindre sur la berge. Pour la première fois, je la vis totalement dénudée et l’observer sortir de l’eau se révélait être une expérience incroyable. Elle était dotée d’une puissance érotique indéniable. Son corps n’était qu’harmonie et sensualité. Loin des canons de beauté que la société nous vend, mais tellement plus belle. Ses hanches arrondies qui terminaient des cuisses pleines, mais fuselées, des seins en poire, qui malgré leurs volumes, tenaient parfaitement bien et s’agitaient au rythme de ses pas. Son ventre plat sur lequel se finissait un délicat pubis, taillé court en triangle, qui lui donnait l’air d’un ange. A cet instant, le sourire qui irradiait son visage était un véritable cadeau.
— Assez rafraîchie, lui demandais-je ?— Oh oui, ça fait du bien, j’ai envie d’un peu de soleil maintenant.— Pareil, j’aime bien me laisser sécher au soleil.— Moi aussi, surtout quand il fait chaud comme aujourd’hui, me dit-elle en s’installant à mes côtés.— Mais dis-moi, tu n’as pas remis ton bas ? — Heuuu..... ben non ! En fait, j’ai bien aimé me baigner nue et comme vous êtes tous les deux nus aussi, je voulais essayer. Et puis je suis moins gênée aussi. Surtout après tout à l’heure, me dit-elle timidement.— C’est normal. Et c’est comme je disais, c’est naturel.— Oui, enfin pour vous. Chez moi, ça l’est pas. Pas encore en tout cas.— Je comprends. Tout le monde n’est pas si ouvert à la nudité. Si déjà tu ne te sens pas mal à l’aise devant nous, c’est un bon début.— Avec vous et Adrien, ça va. Même si ça me fait un peu bizarre quand même.— J’imagine, lui répondis-je en souriant.

Elle était assise sur le sable, les jambes repliées contre son buste bloqué par ses bras. Elle regardait Adrien faire la planche et nager, absorbée par ses pensées. Je l’observais du coin de l’œil et j’avoue que l’idée de goûter à nouveau à sa peau me dérangeait. Cela dit, je ne voulais pas la brusquer, encore moins l’effrayer. Je craignais de rompre la magie de ce joli moment passé tous les trois.
Je me surpris en découvrant chez moi une âme d’initiateur. Ces deux ados m’inspiraient. J’avais de la tendresse pour leur ouverture d’esprit, leur timidité et leurs désirs inavoués aux charmes du sexe. Qui à leur âge ne rêverait-il pas d’être initié aux joies du plaisir, d’obtenir des réponses sur les mystères du sexe ? Je me rappelais comment j’étais à cet âge, aux mille questions qui me torturaient l’esprit en imaginant ce que c’était de faire l’amour. Jusqu’au jour de ma première fois, si douce, si intense, que me révéla un couple d’amis de mes parents pendant les vacances. Ce jour merveilleux où ils m’ont donné les clefs du plaisir et m’ont révélé ma nature. Celle d’aimer l’amour au féminin comme au masculin, m’ouvrir au champ des possibles, à la multiplication des possibilités, sans honte et sans crainte.
Toujours dans l’eau, Adrien était comme un poisson dans l’eau. Charlotte, elle, l’observait attentivement, guettant les moments où son corps n’était plus caché par l’eau. Elle se délectait de la vue de son ami qu’elle voyait d’un œil nouveau. Son corps luisant d’humidité était un appel à la rêverie. Son allure gracile et souple me faisait penser aux modèles de David Hockney, tout en sensualité et d’une charge érotique indéniable.
— Il est beau, non ? En m’adressant à Charlotte.— Oui, me répondit-elle un peu surprise par ma question. — Tu ne l’avais jamais imaginé sous cet angle ?

Après un petit moment de réflexion, elle se lança.
— Jamais en fait. On se connaît depuis l’enfance tous les deux. On a grandi ensemble, on est parti en vacances ensemble avec nos parents. Je l’ai toujours considéré un peu comme mon frère et un confident. Et là, je le découvre sous un nouveau jour.— Et ce que tu vois te plaît.— Oui... enfin je sais pas. Disons que ça me fait drôle cette situation. Même si on est proche, j’avais jamais imaginé faire ce qu’on a fait tout à l’heure ensemble.— C’est-à-dire ?— Déjà on n’avait jamais été nu l’un devant l’autre, encore moins devant un étranger.— Tu regrettes ?— Non, c’est pas ça. C’est juste que je suis surprise d’avoir agi comme ça.— Et ?— Et d’avoir aimé ça ! — Tu n’y avais jamais pensé avant ?— Bien sûr que si, mais pas avec Adrien... Et pas avec un étranger comme vous, me dit-elle, presque gênée.— Avec un vieux, lui dis-je en rigolant.— Je voulais pas dire ça... Disons un homme plus âgé, répondit-elle dans un sourire.— En effet, j’imagine. Souvent on fantasme ses premières expériences et la réalité est à l’opposé.— C’est ça. Et puis je regrette pas du tout, vraiment. C’était doux, agréable... mieux que ce que j’avais imaginé. — Alors c’est une bonne chose, non ?— Oui, je pense. — Pour moi aussi c’était agréable, et pour Adrien aussi, je pense. Et je t’assure que pour moi aussi, c’est étrange. J’ai pas l’habitude d’avoir ce genre d’expérience avec des jeunes comme vous.— J’imagine... Ca devait être moins bien qu’avec des gens expérimentés.— Détrompe-toi, c’était différent, mais tout aussi plaisant. Voire mieux.— Ah oui ??? Comment ça ? — Déjà la situation, ensuite l’érotisme qui s’en dégageait, la confiance que vous m’avez accordée, votre innocence et votre sympathie qui étaient touchantes. Et puis le plaisir de vous faire découvrir quelque chose de nouveau. — Ca vous a plu ? Pourtant on... ne vous a pas touché ?— Non, lui dis-je en riant, mais c’était pas ça le plus important pour moi. C’était que VOUS, vous preniez du plaisir. Et au cas où tu l’oublierais, j’ai eu du plaisir moi aussi, lui glissais-je en souriant.— Hummm, oui c’est vrai. Je m’en souviens bien, me dit-elle dans un petit sourire.— Alors tu vois, le plaisir peut se prendre de plein de manières. Et entre nous, te caresser en était un formidable. Comme celui de caresser Adrien.— J’ai vu ça... je dois vous avouer que c’était très agréable de sentir votre main entre mes cuisses... et votre... sexe sur mes fesses aussi. — Surtout que tu avais celui d’Adrien dans les mains.— Aussi... C’était très...— Excitant ?— Oui, carrément.— Pour moi aussi. Tu comprends maintenant pourquoi j’ai trouvé ça plaisant.— En effet...— Je peux te poser une question Charlotte ?— Oui, bien sûr.— Tu n’as pas eu envie de le sucer ?— Si... mais j’ai pas osé. — Pourquoi ?— Bennn... je savais pas trop comment faire et vous avez eu l’air de faire si bien que j’avais peur d’être ridicule. — Tu aurais dû oser. Je t’aurai aidée et je t’aurai guidée. — Oui, peut-être. Pas grave, c’était déjà bien de l’avoir... branlé.— En tout cas, tu t’y es prise comme il fallait. Et tu auras aimé qu’on te rende la pareille ?— C’est-à-dire ?— Et bien qu’on te lèche.— Huummm... je sais pas... peut-être, oui. Enfin, je suis pas sûr. Sur le moment, ça m’allait bien. Mais j’avoue que j’y ai déjà pensé.

Cet échange me redonna un petit coup de fouet, réveillant en moi un désir estompé par ma baignade. Cette jeune naïade innocente me faisait frissonner d’envie. Une envie de lui en faire découvrir un peu plus, à son rythme.
Toujours près de l’eau, nous étions à présent allongés sur le dos tous les deux, à discuter de tout et rien. Adrien vint nous rejoindre pour s’installer à côté de Charlotte. Il était trempé et magnifique. Il s’allongea à son tour et ferma les yeux. Charlotte le regardait avec insistance. Je dirai même qu’elle le détaillait, s’arrêtant sur son sexe posé négligemment sur son ventre, se remémorant sans doute l’instant où elle s’en saisit plus tôt.
Le soleil irradiait nos peaux, ce qui me poussa à aller prendre ma crème solaire ainsi que celle de Charlotte que je lui tendis à mon retour. Occupé à nous protéger, Adrien s’assoupissait lentement mais sûrement sous la chaleur. Charlotte et moi nous nous appliquions religieusement de la crème, pour ne laisser aucune partie de notre peau sans protection. Nos mains dansaient sur nos propres corps, protégeant et stimulant notre épiderme.
L’action de mes mains et la vision de Charlotte se caressant langoureusement fit gonfler ma verge. Il est vrai que le spectacle qu’elle m’offrait sans le vouloir aurait rendu plus d’un homme (et une femme aussi) fébrile. Ses mouvements délicats, la manière dont elle prenait soin de n’oublier aucune parcelle de sa peau avait quelque chose de terriblement érotique. La manière qu’elle avait de remonter ses mains si fines sur ses cuisses, glisser sur son ventre et prendre sa poitrine à pleines mains pour les recouvrir d’huile solaire, ce mélange d’innocence et d’impudeur avait le don de rendre fou de désir n’importe quel être humain. Suivre ses doigts sur ses mamelons et exécuter de petits gestes pour les protéger et observer leurs réactions était à la limite du supplice. Cette diablesse avait un pouvoir indéniable.
Dans l’impossibilité d’atteindre son dos, je lui proposai mon aide, requête qu’elle accepta aussitôt en me remerciant. D’elle même, elle prit la décision de venir s’installer entre mes cuisses pour me faciliter la tâche. Durant ce court instant, elle ne put ignorer l’état de mon sexe qui avait repris une forme impériale. Contrairement au début, je ne m’en cachais plus. A quoi bon ! Sans être intimes, nous venions d’aborder des sujets qui relevaient de l’intime et notre petite séance masturbatoire avait fait tomber certains tabous entre nous. C’est donc tout naturellement qu’elle s’installa devant moi, entre mes jambes. Le filet d’huile solaire que je répandis sur ses épaules glissa le long de son dos pour atteindre ses reins et le haut de ses fesses. Ne me restait plus qu’à l’étaler délicatement sur toute la surface. Je profitais pleinement de cette offrande.
Mes mains dessinaient des arabesques sur cette toile vivante, mélangeant caresses et massage. L’odeur de l’huile, le soleil brûlant, la texture de sa peau, le chant des oiseaux ajouté à la mélodie de l’eau qui s’écoulait à nos pieds me transporta. L’envie d’embrasser son cou et ses épaules me démangeait. Mon sexe était à nouveau raide de désir pour cette jeune demoiselle. Elle ronronnait comme un petit chat, se laissant flatter le dos. Elle se pencha en avant pour m’aider, reposant sa tête sur ses genoux repliés, se délectant de mes mains. Adrien, lui, était toujours posé à nos côtés. A demi-inconscient, profitant des caresses de la petite brise qui nous enveloppait.
Je m’approchai d’elle de quelques centimètres, juste assez pour que mon gland humide frôle ses reins et sente ma tentation. Mes mains, elles, continuaient leurs besognes, s’aventurant sur les flancs et la naissance de ses seins. Pour finir de bien étaler l’huile, je passai sur son ventre le plat de mes mains et ainsi, me débarrasser du trop-plein de crème. Profitant de ce moment, je laissais s’égarer mes doigts sur sa poitrine, frôlant ses tétons érigés qui la fit frissonner un bref instant.
— Voilà, j’ai fini, lui lançais-je.— Merci, c’est gentil.— De rien, c’était un plaisir. — J’ai vu ça, me rétorqua-t-elle en se retournant vers moi avec un petit air mutin.

Avec un sourire, je lui répondis d’un petit haussement d’épaules pour lui signifier qu’il était dur de rester insensible à semblable mission. Pour toute réponse, elle se recula encore un peu plus pour se coller à moi et presser mon sexe contre son dos. Une nouvelle fois, mon cœur s’emballa, ce qui se répercuta aussitôt sur ma bite qui prit encore du volume.Ni l’un ni l’autre ne bougions, ne voulant stopper cet instant. C’est Charlotte qui brisa ce silence.
— J’ai chaud, je vais me baigner. Ca vous dit ? Me demanda-t-elle. — Je te suis, moi aussi j’ai trop chaud.— Adrien, tu viens ? Lui demanda Charlotte.

Dans un grognement, il déclina l’invitation, préférant rester allongé pour l’instant.D’un bond, elle se leva et s’enfonça dans l’eau jusqu’à mi-cuisses. Elle se retourna vers moi pour m’attendre et profiter de la scène que j’allais lui présenter à mon corps défendant. Je me levai à mon tour et c’est le plus naturellement du monde que je me dirigeais à mon tour dans la rivière pour la rejoindre, le sexe dur, pointant vers le ciel. Son regard sur mes attributs, à présent décomplexé, me rendait fier. Fier d’attirer le regard d’une jeune fille comme elle, si belle. Elle me souriait timidement, certainement fière elle aussi de faire cet effet à un homme de mon âge. D’un même élan, nous plongeâmes dans l’eau, mais contrairement à tout à l’heure, la fraîcheur de l’eau ne calma pas le feu qui bouillonnait dans mes entrailles.
Dans la tranquillité de cet endroit isolé, nous nagions simplement, entrecoupé de chamailleries et jets d’eau. Parfois, nous nous frôlions, entre hasard et volonté manifeste de se toucher. Je m’amusais à la saisir par les hanches pour le projeter dans l’eau, elle, de son côté, s’accrochait à mes épaules pour m’en empêcher. Tantôt mes mains s’égaraient sur ses fesses où ses seins, les siennes sur mes fesses où mon sexe qu’elle sentait dur. Son regard, son attitude, trahissait un désir plus grand, une volonté inconsciente d’oser aller plus loin. N’en pouvant plus, j’ai plongé sous l’eau et me suis dirigé vers elle pour me retrouver derrière elle, à son insu. Brusquement, en m’échappant des profondeurs, je l’ai capturée entre mes bras, la ceinturant par le ventre en la projetant en l’air tout en la retenant. Cette prise la fit rire de surprise, mais pour autant ne chercha pas à se libérer. Elle resta coincée entre mes bras, collée à moi, qui la maintenait fermement, mais avec douceur.
A présent, elle sentait ma tige dardée contre ses fesses quand mes bras croisés sous sa poitrine remontaient ses seins à la surface. Elle tendit sa tête en arrière, sur mon épaule et j’en profitais pour lui déposer un baiser sur son cou offert. D’elle même, elle se pressa contre mon ventre et ondula ses hanches sur mon pieu dressé emprisonné entre nos deux corps. Instinctivement, ses petites mains si délicates se glissèrent contre mon ventre pour se saisir de mon membre. Ce contact me fit gémir, trembler et comme réponse, j’accompagnais son geste d’un mouvement de bassin. Tout en l’embrassant dans le cou, lui mordillant le lobe de l’oreille, je saisis ses deux pommes d’amour, excitant et titillant ses tétons entre mes doigts. Nous ronronnions de bonheur et d’extase comme si nous étions seuls au monde.
Lentement, je la fis pivoter vers moi, plongeai mon regard dans le sien et posai mes lèvres sur les siennes pour un baiser brûlant, sa poitrine collée à mon buste, mon sexe posé contre ventre, s’enlaçant mutuellement. Étourdie par ce moment irréel, le regard plein d’étoiles, Charlotte posa sa tête contre ma poitrine pour récupérer paisiblement.
De l’eau jusqu’à mi-fesse pour ma part, mon excitation était toujours violente. Ma queue tendue ressemblait à un périscope cherchant une proie, ce qui l’amusa beaucoup. Elle s’écarta légèrement pour mieux la contempler et en prendre toute la dimension, hésitant sur la marche à suivre. Pour l’aider, je pris les devants et lui demandai :
— Tu veux la retoucher ?— Oui, j’aimerais bien.— Alors, commence par mes testicules. Les hommes adorent qu’on s’en occupe. Prends-les dans tes mains.

Elle approcha sa main de mes bourses pour s’en saisir, les engloba et commença à les faire rouler entre ses doigts.
— Hummm, oui, c’est très bien Charlotte. Presse les un peu plus fort.— Comme ça ? me dit-elle en les serrant.— Ouiiii, c’est bon ça. Tu les sens bien dures.— Oui, et grosses aussi.— Elles sont encore pleines, grâce à toi.— Je vous fais pas mal là ?— Non, c’est très agréable. Tu vois comme ça me fait bander ?— Oui... on a l’impression que votre gland est prêt à exploser. — C’est tout comme. Branle-moi en même temps, lentement.

D’un geste doux, sa main se posa sur ma bite tendue et entama un long mouvement de va-et-vient. Le synchronisme de ses deux mains me tirait des gémissements que j’avais plaisir à lui faire partager. Elle se laissait guider par son instinct et son appétit. Occupée à s’occuper de mon chibre, je m’amusais à stimuler ses tétons, les agaçant avec, les tirant ou les tordant doucement. Ils pointaient d’excitation et rendaient sa poitrine encore plus désirable.
— tu aimes qu’on s’occupe de tes seins comme ça ?— Oh ouiiii, j’adore c’est trop bon. Ca me donne chaud au ventre.— J’adore aussi qu’on s’occupe des miens. Ca me fait bander encore plus fort. Tu veux essayer ?

Elle lâcha mon sexe pour me triturer les mamelons et en effet, elle se rendit compte de l’effet que ça me procurait. Ma tige tressautait à chaque torsion.
— Mon Dieu, c’est impressionnant. Je pensais pas que ça pouvait provoquer ça.— Comme quoi, tu vois. Les hommes aussi sont sensibles des seins.— Je vois ça.

Suivant mes indications, elle poursuivait le travail de mes tétons d’une de l’autre, caressait à nouveau mes couilles et ma verge, alternant savamment pression et caresse.
— Raaah, tu te débrouilles vraiment bien Charlotte. C’est parfait !— C’est vrai ???? Ca vous plaît ?— Hummm, ouiiii, c’est trop bon. Il faut que tu ralentisses sinon je vais finir par jouir.— M’arrêter ????? Vous voulez pas jouir ?— Siiii, bien sûr que si, mais pas tout de suite.

A regret, elle stoppa ses gestes, ne gardant dans la main que mes couilles, prêtes à exploser. Elle les faisait rouler entre ses doigts avec douceur, ce qui me procura un léger élancement propice à la récupération.
J’en profitais pour lui donner un baiser qu’elle me rendit, lui murmurant à l’oreille qu’elle était très douée. Tout en lui parlant, je lui caressai un sein et, de mon autre main, glissa un doigt sur sa vulve. Dire qu’elle était trempée relevait de l’euphémisme. Mon doigt glissait entre ses petites lèvres épilées, agaçant son clitoris dardé par l’excitation.
— Tu es trempée dis donc. Ca t’excite de branler un homme dans la nature, hein ?— Ouiiiii, j’aime ça.— T’es une sacrée coquine dis donc pour une petite pucelle. Ca te plaît mon doigt sur ta chatte ?— Ouiiii !— Dis-le-moi ! Je veux t’entendre me le dire.— J’aime votre doigt sur ma chatte, me dit-elle entre deux gémissements.— Tu veux que je m’arrête où je continue ?— Noooon, continuez s’il vous plaît, c’est trop bon...— Je vais te faire jouir Charlotte, ici, dans l’eau. Tu veux ?— OUIIIIIII, je veux... comme tout à l’heure.

Sa tête posée sur mon torse, elle me laissa le champ libre à son sanctuaire et s’offrit à moi sans limites.Je jouais avec ses petites lèvres, les écartant et les pinçant avec douceur tout en titillant ses mamelons dressés. Je glissais de haut en bas deux doigts entre sa fente humide en agaçant son petit bouton, à présent sortit de sa cachette. J’alternais entre douceur pour sa petite chatte et rudesse pour sa poitrine. Ses gémissements de plus en plus langoureux, les soubresauts de son corps me rendaient fou. L’envie de la faire crier de plaisir me faisait perdre la tête. Lui offrir ses premiers orgasmes dans les bras d’un homme m’ouvrait à un plaisir jusque-là inconnu. Ce rôle d’initiateur, que le hasard m’a donné l’occasion d’être, m’autorisait à laisser libre cours à mes fantasmes.
— Tu aimes te faire branler par un vieux comme moi, hein ? Dis-le !!!— Ouiiiii, j’aime me faire branler par un vieux. Encooooore !!!!

Mes mouvements de plus en plus rapides ajoutés à mes paroles lui faisaient perdre toute retenue aussi. Des râles de plus en plus puissants émergeaient de sa gorge. Elle se cramponnait de toutes ses forces à moi, incapable de résister aux déferlements de plaisir qui l’envahissaient. Et c’est dans un même mouvement, en lui pinçant le clitoris et les tétons, que je la libérai de toute la tension sexuelle accumulée depuis le début de nos petits jeux aquatiques.
Elle s’écroula d’un coup dans l’eau et j’eus juste le temps de la retenir contre moi. Elle était haletante, groggy par l’intensité de son orgasme, submergée par des convulsions qu’elle découvrait. Je l’allongeai dans l’eau, plaçant mes mains sous son dos et ses jambes, de sorte qu’elle ne coule pas. Les yeux fermés, la tête à moitié immergée, elle récupérait lentement, s’abandonnant aux caresses de l’eau et à mes baisers que je déposais sur son corps offert. J’embrassais avec douceur son front, ses épaules, sa poitrine, son ventre, son pubis, son sexe, ses cuisses comme autant d’offrandes faites à une déesse. De longues minutes lui ont été nécessaires pour revenir dans le monde des vivants. Encore sous le choc, elle se positionna à genoux dans l’eau pour accélérer son retour au calme. Et c’est encore après un long moment qu’elle put parler.
— Je sais pas quoi dire. C’était encore encore plus puissant que tout à l’heure.— Je sais pas, lui répondis-je, en tout cas, tu étais parti très loin.— C’est la première fois que c’est si fort. Je pensais pas que ça pouvait être si... intense.— Ca peut l’être encore plus, crois-moi. En tout cas, tu es magnifique que tu jouis et que tu te laisses aller.— Merci, c’est gentil. C’est grâce à vous surtout. J’adore votre façon de faire.— Je te fais pas mal au moins ? J’ai eu peur d’y être allé un peu fort.— Non, non, ca va. En fait c’était bizarre. Ca faisait un peu mal, mais en même temps c’était super bon... et super excitant.— Je vois ce que tu veux dire. Pareil pour moi quand tu me pressais les testicules. Le mélange des sensations est très agréable.— C’est complètement ça. Et y a autre chose aussi.— Ah oui ? Quoi donc ?— Quand vous m’avez parlé, que vous m’avez obligé à dire certaines choses.— Comme quoi ?— Ben vous savez.— Redis-les-moi.— Bennnn... que j’aimais bien être..... branlé par un vieux par exemple ou que j’aimais bien vos doigts sur mon..... sur ma chatte quoi !— Alors ça t’a plu que je te demande de le dire ?— Oui, carrément. Je pensais jamais le dire avant aujourd’hui. — Ca t’a fait quoi ?— Je sais pas..... enfin si.......ça m’a excité encore plus.— Moi aussi ça m’a excité..... et ca m’excite encore quand j’y repense, lui dis-je en souriant.— Je vois ça, vous bandez encore.— C’est vrai...... cela dit, ce qu’on vient de faire ne m’a pas calmé, c’est plutôt l’inverse.— Je comprends........ dites, je peux vous caressez encore ? — Tu veux ?— Oui, je trouve ça très agréable..... et puis.....— Et puis quoi ?— J’aimerai plus...— Plus comment ? — Ben faire un peu plus quoi ?— Dis-le Charlotte !!!!— J’aimerai vous sucer...... comme vous avez fait à Adrien tout à l’heure. Mais je l’ai jamais fait et je sais pas faire.— Je peux te guider si tu veux. Tu en as envie ?— Oui, je crois que j’en ai envie.— OK, je vais te dire comment faire. Fais-toi juste confiance, OK ?— D’accord !

Tout naturellement, je me remis debout et m’approchai d’elle, le sexe encore dressé d’excitation. Toujours à genoux dans l’eau, elle me dévisagea, son regard focalisé sur mes attributs déployés. La vision de Charlotte à mes pieds, telle une soumise devant son maître, renforça mon érection. Je sentais mon gland perler et prêt à exploser. J’essayais au mieux de me calmer afin d’éviter une éjaculation précoce, ce qui aurait été dommage. Je voulais faire durer cette fellation le plus longtemps possible. Pour moi, mais aussi pour elle. C’était pour elle encore une grande première et je voulais qu’elle s’en souvienne de la meilleure des manières.Prête à suivre mes instructions, elle attendait patiemment le moment où elle pourrait se lancer.
— Tu es prête ?— Oui. — Alors, commence par t’occuper de mes couilles, comme tout à l’heure.
Ensuite tu me masturbes lentement, comme tu l’as fait aussi. C’était très bien. Ensuite, quand tu te sentiras prête, tu pourras passer ta langue juste sur le gland et la faire tourner tout autour en insistant sur le frein. D’accord ?
— D’accord !

Elle commença en suivant mes indications à la lettre. Hypnotisée par ma queue, elle s’appliqua à bien me malaxer les bourses et commencer à activer sa main sur ma hampe. Son visage se rapprochait lentement de mon gland, la langue déjà sortie. Elle la déposa sur mon frein pour commencer et l’enroula presque aussitôt tout autour de mon dard. Ce premier contact me fit frémir. Sa langue était si douce et chaude qu’il me fallait résister pour ne pas m’enfoncer dans sa bouche. Je la laissais faire à son rythme, lui laissant le temps de s’habituer à la texture, trouver sa cadence. L’action conjointe de ses mains sur mes couilles et de sa langue sur mon gland me tirait des gémissements intenses.
— Hummmmm, c’est bon Charlotte, c’est parfait. Continue comme ça !— C’est tout doux et tout chaud, c’est trop bon !— Ca te plaît alors ? — Hummm, oui, j’adore.— Tu peux sucer mon gland si tu veux. Comme avec une glace.

Elle aspira mon gland entre ses petites lèvres en me pressant les couilles machinalement. Elle m’arracha un cri de plaisir qui la surprit.
— Je vous ai fait mal ? m’interrogea-t-elle, inquiète.— Pas du tout, au contraire. J’adore comme tu suces en me serrant les couilles. Tu peux continuer, t’inquiète pas.

Libérée, elle continua son petit manège avant d’emboucher complètement ma tige humide. D’abord à moitié, puis de plus en plus profondément.
— Raaaaah, oui Charlotte. Suce-moi bien, comme ça. Avale-la bien !— Comme ça, me dit-elle en l’enfonçant au fond de sa gorge.— Ouiiiiiii, comme ça. J’adore ta bouche. Fais tourner ta langue autour de mon gland, c’est trop bon.

N’écoutant que son instinct, Charlotte s’activait sur ma queue comme un enfant qui déballe ses cadeaux le soir de Noël. Avec une envie dévorante. Mes gémissements devaient la rassurer sur sa méthode et sa capacité à donner du plaisir à un homme par sa bouche. Les bruits de succion de sa bouche sur mon sexe augmentaient mon plaisir à tel point qu’il me fallait déployer quantité d’efforts pour ne pas succomber à son traitement.
C’est à cet instant que je vis débarquer Adrien dans l’eau. Il devait sortir de sa sieste à en juger par sa mine froissée. Je dois dire que je l’avais un peu oublié, mais content de le revoir revenir parmi nous. La surprise et l’étonnement se lisaient sur son visage. Voir son amie Charlotte me sucer avec entrain était sûrement la dernière chose qu’il imaginait voir en ouvrant les yeux.
— Bravo ! Je vois que vous vous amusez bien tous les deux, nous dit-il en riant.— On s’occupe comme on peut, lui répondis-je, le sourire aux lèvres.— Fallait pas t’endormir comme un gros lourdaud, lui lançait Charlotte.— Ben ouais, j’ai eu un coup de barre. C’est pas votre cas à ce que je vois.— Pas pour le moment, lui dis-je à mon tour.

Il se positionna à mes côtés et observa Charlotte, tout à son affaire. La scène devait l’émouvoir, car je vis son sexe se dresser immédiatement.
— Ben dis donc, tu mets pas de temps à réagir toi, lui lançais-je avec un clin d’œil.— J’avoue que c’est très excitant de vous regarder.— Ca te dirait de participer.— Oui, j’aimerai bien.

A ces mots, je lui caressai le dos et les fesses et en m’approchant de son oreille, je lui glissai :
— Tu veux aider Charlotte à me sucer ?— Oh oui, lança Charlotte. Tu vas voir, c’est super.— Ben je sais pas trop. J’aurais préféré qu’on me le fasse à vrai dire.

D’elle même, Charlotte se saisit du sexe de son ami et l’avala d’un trait tout en continuant à ma masturber. Décidément, cette petite était très surprenante dès qu’elle était en confiance. Son geste décontenança Adrien qui se laissait faire, tout heureux de se faire sucer par son amie d’enfance. Après quelques minutes, elle l’abandonna pour lui demander.
— Adrien, viens le sucer avec moi. J’ai envie de le faire avec toi.— Bon, si tu veux. Mais je sais pas faire.— T’inquiète, je vais te faire voir..... et tu fais comme t’aimerais qu’on te fasse.

Je vis alors Adrien se joindre à Charlotte, et de concert, commencer à me sucer à deux. Charlotte, seule à genoux, était déjà un spectacle magique, mais la voir être rejointe par Adrien devait être le clou de ce même spectacle. Le contact de leurs bouches sur mes couilles et ma tige bandée m’électrisa instantanément.
Décidément, les deux jeunes ados timides du début regorgeaient de surprises. La journée était loin d’être finie et je commençais à me demander où tout ça allait nous mener.
A suivre.......
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