Bonjour, je m’appelle Henri. J’ai 48 ans. Ma femme, Corinne, en a 45. Nous sommes un couple très épanoui et amoureux. Cela dure depuis vingt ans. Le sexe est parfait entre nous. Pourtant, fou de sexe et néanmoins fidèle, je rêvais d’aller plus loin. J’avais envie d’échangisme et de partouze. Je savais maintenant que je ne serais pas jaloux, contrairement à nos débuts où j’avais déjà ce phantasme, mais pas avec ma femme. Petit à petit, mon État d’esprit a changé. J’étais décidé à ne pas rester frustré et à passer le cap. Le problème et que ce qui est excitant, c’est que les deux partenaires en aient envie. Si l’un le fait pour faire plaisir à l’autre, aucun intérêt et surtout grand danger pour le couple.Il fallait que peu à peu j’amène Corinne sur cette voie.Pour cela, je changeai, peu à peu, ma façon de lui faire l’amour. Par petites touches, nous faisions cela de façon plus hard, jusqu’au jour où je lui avouai, alors que nous faisions l’amour, que j’avais envie de la baiser. Elle se leva s’appuya contre le mur en m’offrant son cul : « Vas-y, baise-moi !– Oh oui, je vais te baiser comme une salope... ! » À partir de jour là, nos rapports sexuels ont changés. Nous ne faisions plus l’amour, nous baisions. Corinne accepta, à nouveau, de regarder des films pornos. Je mettais surtout des partouzes et cela l’excitait de plus en plus. Cela dura pendant plusieurs mois. Puis je décidai de franchir le cap et de lui faire une proposition coquine. Nous l’avions évoqué pendant l’acte, le sexe à plusieurs, mais jamais de franchir le cap. C’était toujours quand elle était excitée. Je lui annonçais donc que je l’invitais dans une chambre d’hôtes coquine pour le week-end. En fait, il y était organisé une soirée pour débutants et la maîtresse de maisons m’assura que ce serait soft. Ma femme pouvait venir en toute confiance. Dubitative, elle accepta. Mais la veille, au soir, elle se décida à me poser des questions sur le programme du week-end. Comme je lui en donnai, elle se fâcha et me dit : « Mais c’est une partouze que tu me proposes, ça va pas ?– Mais non, ce sera très soft, il n’y a aura que des débutants. On m’a assuré qu’en général, il n’y a pas vraiment de partouze, mais plutôt ce qu’ils appellent du côte à côte et encore, quand les personnes franchissent le cap !– Bon, je veux bien, mais si ça ne me plaît pas, on partira et tu restes avec moi !– D’accord, promis ! » Le samedi, nous sous sommes préparés et j’ai convaincu Corine d’acheter une tenue sexy. À ma grande surprise, cela lui plaisait, pourtant, c’était vraiment une tenue de salope. Elle m’avoua qu’elle sentait très sexy et désirable. Nous sommes arrivés à la chambre d’hôtes vers 19h00, accueillis par la maîtresse de maison. L’accueil fut chaleureux et je vis que Corinne était très à l’aise.On nous montra notre chambre ; le rendez-vous était fixé à 20h00 pour l’apéritif.Pendant une heure, nous nous sommes préparés, surtout Corine qui était très excitante. Elle avait toutefois un peu d’appréhension.À 20h00, nous sommes descendus et nous sommes rendus au salon de réception. Il y avait 6 couples présents.Tous étaient, à peu près, dans nos âges et les femmes très sexy.La conversation s’engagea et je fus surpris de voir que Corinne semblait vraiment très à l’aise. Elle discutait notamment avec deux hommes et je m’aperçus que, l’un d’eux, lui passait de temps en temps la main autour de la taille. Elle ne disait rien et semblait même aux anges. En fait, je m’aperçus qu’elle plaisait à ces hommes et en paraissait ravie. Je réalisais que la soirée allait peut-être très bien se passer. Mais, jusqu’où irait elle ? En tout cas, j’étais très excité. La suite de la soirée si vous le souhaitez...
