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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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De l'initiation à la finalité

Chapitre 16

Gay
OmarAu bout de trois mois, je suis retourné voir Abdou.Après m’avoir reçu il me dit ’Tu as bonne mine.- Merci.- Et ton cul ?- Tu veux voir ?- Non simplement savoir.- ça va, il est bien refermé et a retrouvé toute son élasticité.- Bien, que puis-je pour toi.- La dernière fois qu’on s’est vu, tu m’as dit que si j’avais    besoin de quelque chose, je pouvais venir te voir.- Je m’en rappelle.- Voilà, j’ai besoin et envie de retravailler.- Tu sais je ne peux pas te reprendre chez moi.- Ce n’est pas ce que je te demande, tu m’as dit que tu    connaissais du monde.- Effectivement.- Alors ?- Donne-moi cinq minutes et nous irons voir une de mes    connaissances pour qu’il te prenne dans sa maison.- Merci.- Il n’y a pas de quoi’.Quelques minutes plus tard nous partîmes vers le quartier de Barbès.Nous entrâmes dans un immeuble sordide où des files de travailleurs immigrés attendaient le tour.Voir ces gens et sentir ces odeurs me fit frémir, Abdou frappa à une porte et un colosse noir ouvrit, il dit à Abdou ’Vieux frère
    comment vas-tu.- Bien Omar.- Et ça c’est qui.- Je te présente Damien, c’est une pédale qui veut faire de    l’abattage.- Et tu ne le prends pas.- non pour l’instant je suis complet.- Tu le connais.- Oui.- Alors ton opinion.- C’est de la vraie chair à enculer, la seule chose qui compte    pour cette pute c’est d’en prendre plein le cul encore et    encore, d’ailleurs si tu veux lui rendre service ne lui envoie    pas de clients pour des pipes, cette salope suce très bien mais    ce qu’elle aime c’est se faire défoncer la rondelle.- Tu l’as déjà défoncée.- Oh oui plusieurs fois.- Bon j’ai effectivement une place, tu me laisses cette pute la    journée et tu repasses dans la soirée disons vers cinq heure,    là je te dirais si je la prends.- OK mais tu verras c’est un super coup.- Je vais m’en assurer aujourd’hui.- Bon alors à tout à l’heure Omar.- A tout à l’heure vieux frère’.Abdou partit et Omar me dit ’Alors comme ça salope tu veux faire    de l’abattage.- Oui.- Alors d’abord fous-toi à poil que je vois un peu ton cul’.Je me dévêtis et Omar me dit ’Tu as un joli cul, j’en ai rarement    vu un aussi cambré, tes miches sont bien fermes maintenant    penche-toi un peu en avant’.J’obéis et Omar écarta mes fesses et passa un doigt sur mon anneau ce qui me fit frémir, il dit ’Et jouisseuse en plus donc bonne    baiseuse’.Sans prévenir Omar m’enfonça le majeur dans l’anus, l’intromission de ce doigt volumineux me fit pousser un petit cri de douleur qui eu pour effet de faire rire l’homme qui me dit ’Attends avant de    gueuler, attends que je te mette la bite’.Omar ôta son doigt et me dit ’Tu m’as l’air d’être bonne à baiser    salope, je suis sur qu’une fois ton trou du cul ouvert tu    pourras travailler ici mais on va voir, allez mets-toi à quatre    pattes sur le tapis que je t’enfile’.Je me rendis compte que j’étais retombé dans un univers où je n’étais qu’un cul à bourrer de n’importe quelle manière.Je me mis à genoux sur le tapis sale, j’écartais les cuisses cambrant mes reins pour faire ressortir ma croupe rebondie et j’attendis.Omar dit ’Tu es une bonne petite pute, c’est bien de te voir comme    en train de tendre ton cul pour qu’on t’encule.J’entendis le bruit significatif d’un pantalon qu’on enlève puis Omar passa devant moi et me dit ’Regarde salope ce que tu vas    prendre dans ton cul de pédale’.Ce que je vis dépassait l’entendement, jamais je n’avais vu une bite aussi grosse, elle était moins longue que celle de Abdou mais elle était au moins deux fois plus grosse.En plus ce pénis ne devait pas être lavé tous les jours, il exhalait une odeur de pourriture.Je contemplais cette pine avec horreur, Omar ne m’avait absolument pas préparé l’anus, il allait me déchirer mais je l’avais voulu, j’étais à quatre pattes sur un tapis crasseux attendant qu’un membre immonde me fende le derche.Omar passa derrière moi, il glissa son gland turgescent dans la raie de mon cul et s’arrêta contre mon oeillet.Il posa les mains sur mes hanches, un sentiment de panique m’envahit et je tentai de me dérober.Omar me maintenant solidement me dit ’Où veux-tu aller sale pute    tu es à quatre pattes devant ma bite et je vais l’enfoncer dans    ton joli petit trou du cul de pédale, tu as crié tout à l’heure    avec mon doigt mais là tu vas gueuler tout ce que tu as quand    je vais te casser la rondelle’.L’homme se releva et me dit ’Ne bouge pas pute’.Il s’approcha d’un interphone et dit ’Bon les gars on me fout la    paix jusqu’à ce que je dise, je vais me faire une rondelle    toute neuve de petite pute’.Omar se repositionna derrière et après avoir posté son bout durci contre l’entrée de mon antre me dit ’C’est le moment pédale, je    vais t’exploser le cul’.Positionnant son énorme hampe contre mon oeillet Omar me pénétra jusqu’à la garde d’un violent coup de reins sans aucune préparation.Je crus que j’allais mourir, la douleur fut telle que ma respiration se bloqua.J’avais l’impression qu’on m’ouvrait le cul en deux, quand l’air revint dans mes poumons je poussai un hurlement déchirant et me mis à pleurer à chaudes larmes tant j’avais mal.Sans aucune considération pour moi Omar se mit à me besogner à une vitesse folle m’arrachant à chaque fois des cris de souffrance.Omar me baisait avec une telle violence que j’avais peur qu’il me déchire complètement.au bout de quelques instants il plaqua son ventre contre mes fesses et éjacula en râlant.Je n’avais ressenti aucun plaisir, il faut dire qu’il m’avait pris comme une bête cherchant simplement son plaisir.Toujours fiché entre mes reins Omar me dit en me mettant une claque sur les fesses ’Alors pédé tu vois que c’était pas la peine    de faire doucement, tu as un bon cul ma bite est rentré comme    dans du beurre.- Mais tu m’as fait mal et d’ailleurs j’ai toujours mal.- Ca je m’en fous tapette, moi par contre ça m’a fait du bien à    la bite, mais tu sais ma bite est toujours dure et elle est    toujours dans ton cul alors je vais encore te baiser sale    petite pédale.- Je t’en prie fais doucement, c..- Ecoute petite pute je fais comme je veux avec ton cul, c’est    moi l’homme toi tu es la pute alors je t’encule comme je veux    si je veux faire doucement je fais doucement si je veux faire    vite je fais vite. Tu as compris pédé ?- Oui Omar.- Tu dois dire ’oui mon homme’.- Oui mon homme.- Bien petite salope et écoute moi je ne t’ai rien demandé, c’est    toi qui est venu me donner ton cul alors je vais t’enculer    jusqu’à ce que ma bite soit vide, allez arrête de pleurer comme    une petite pute tu vas voir ton cul va s’ouvrir à force que je    le défonce’.Posant ses mains sur mes hanches Omar commença à aller et venir vivement en moi.Il me possédait de toute la longueur de son fabuleux phallus, le sortant presque entièrement de moi pour le replonger au tréfonds de mon cul la seconde suivante.Au début chaque poussée me faisait crier de douleur mais peu à peu, sous les coups de boutoir redoublés, mon anneau céda et la bite turgescente pu coulisser entre mes fesses sans gène aucune.Sous les puissants assauts répétés de mon amant le plaisir commença à s’insinuer en moi et je me mis à gémir.Omar s’en aperçut et me dit ’Alors tu vois tapette, tu aimes bien    que ma bite t’encule, t’inquiète pas je vais te donner ta mère    tu vas voir’.Me prenant aux épaules mon homme se mit à me sodomiser encore plus violemment, son ventre musclé claquait contre mes miches portées au rouge à me faire mal.Chaque coups de reins était ponctué de ’Tiens petite tapette,    prends ça dans ton cul de salope’.Je ne sais combien de temps mon mec m’encula de la sorte.J’avais l’anus complètement éclaté et dans la pièce en dehors de mes râles langoureux on entendait les bruits de succion que faisait mon trou du cul lubrifié par la précédente enculade chaque fois qu’il avalait le priape distendu.Sous cette rude possession je me sentis partir.J’avais de plus en plus de mal à garder les sens des réalités et je me mis à crier de bonheur chaque fois qu’Omar s’enfonçait en moi jusqu’à la garde.Les coups de bite que je recevais étaient si violents que j’avançais sur le tapis à chaque poussée.Je planais littéralement sous les rapides va et viens que je recevais, je ne vivais plus que par et pour le pénis qui me forait les reins.J’avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourais le plaisir qui m’envahissait.J’avais atteint la plénitude rectale et pour moi seul comptait le fabuleux membre qui m’ouvrait un peu plus la pastille chaque fois qu’il plongeait dans mon intimité en fusion.Les doigts crispés dans la chair de mes épaules Omar me pilonnait l’arrière-train avec des ’HANS’ de bûcherons, j’avais atteint le point de non-retour et je me suis mis à délirer.C’est à cet instant que s’enfonçant au plus profond de mon cul Omar explosa en feulant.Ses jets de sperme crémeux m’inondèrent le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur.Mon corps se tendit comme un arc, je me cambrai au maximum tendant mon postérieur vers la bite qui continuait à couler en moi pour accentuer la pénétration.De ma gorge pulsa un hurlement strident et je m’écroulai au sol entraînant celui qui me montait.Quand je rouvris les yeux j’étais allongé à plat ventre sur le sol.Omar était toujours planté entre mes deux lobes charnus, je sentais palpiter en moi le sexe toujours en érection.Mon amant me dit ’Alors sale pédale, je vois que tu as aimé que je    t’encule, mais ne t’en fais pas ma grosse bite est toujours    bien dure dans ton cul et je vais continuer de te faire le cul    comme une pastèque’.Je tournai la tête pour répondre mais ce que je vis m’a glacé.Omar avait un regard de fou et je compris qu’il valait mieux ne rien dire et le laisser faire.Il faut dire que bien qu’il ne soit pas très doux c’était quand même un drôle d’étalon.Maintenant que j’avais le cul complètement éclaté il pouvait me prendre le plus violemment possible je n’aurais aucun mal.Sans que nos corps ne se désunissent mon homme me souleva et me porta jusqu’à un fauteuil où il me déposa en travers de l’accoudoir.Je me retrouvai le torse sur le siège et les jambes pendantes.Me mettant une claque sur les fesses mon mec me dit ’Voilà petit    pédé tu es en position, je vais te niquer comme jamais on t’a    niqué, tu vas voir ton cul va être bien ouvert et tout cassé,    ah tu voulais de la bite et bien tu vas avoir de la bite,    jamais tu ne vas oublier la grosse bite d’Omar, ton petit    cul tout chaud va toujours se souvenir d’aujourd’hui’.Omar me prit encore 4 fois sans jamais sortir de mon antre béante.Quand il m’abandonna vers 5 heures du soir j’avais du sperme plein la raie et sur les cuisses.Mon anus était douloureux et je devais garder les jambes écartées pour pouvoir marcher, mon mec me dit ’Alors petite salope ton cul    est bien rempli de jute, alors maintenant tu sais ce que tu vas    faire, tu vas nettoyer ma bite avec ta langue’.Je me mis à genoux et surmontant mon écoeurement je portai quelques coups de langue sur le gland maculé d’Omar puis je me mis à lécher le membre sur toute sa longueur.Au bout d’environ un quart d’heure le pénis était propre, j’avais la nausée et je dus faire appel à toutes mes forces pour ne pas vomir.Abdou arriva et Omar lui dit ’C’est bon vieux frère, je prends ta    petite pédale, c’est vrai qu’elle a un bon cul cette salope’.Abdou nous dit au revoir et partitOmar ouvrit une boite et en sortit une chaîne métallique avec un collier étrangleur, il me dit ’Voilà un beau cadeau pour toi ma    petite chienne, comme ça je vais pouvoir te promener sans que    tu te sauves, allez approche ta tête’.La peur au ventre je fis ce que mon tourmenteur avait dit.Il me mit le collier autour du cou et partant d’un grand éclat de rire me dit ’AH AH AH !! voilà ma petite chienne en laisse, tu    sais que tu es très belle comme ça’.Omar me fit marcher à quatre pattes dans la pièce puis d’un coup de pied il me fit tomber sur le côté.Il me mit sur le dos, prit mes jambes et les replia vers mon torse.A l’aide de la chaîne il attacha mes mollets, il prit des menottes et emprisonna mes mains dedans puis agrafa le tout au collier.Je me retrouvai complètement immobilisé jambes relevées et écartées et les bras derrière la tête.Me délaissant Omar prit son téléphone et appela quelqu’un à qui il dit ’Bouba, montes j’ai un cadeau pour toi’.Qualques instants plus tard on frappa à la porte et Omar dit ’Entrez’.Un homme d’une trentaine d’années entra dans la pièce, il avait un visage de lugubre, il était balafré et ses dents etaient toutes jaunes.Omar lui dit ’Voilà ton cadeau, tu peux te servir de cette salope.- Merci patron.- Ne te gène pas pour moi, j’ai déjà pris mon compte, vas-y vide    toi les couilles dans ce cul de pute.- Avec plaisir’.Dans cette position mon intimité ressortait au maximum et j’étais totalement offert, Omar vérifia la solidité de mes liens et me dit ’Alors petite tapette qu’est-ce que tu penses de ça, comme ça    Bouba va pouvoir bien t’enculer sans que tu le gènes’.L’homme me prit dans ses bras et me déposa sur une table, puis se déshabilla, son phallus était aussi volumineux que celui de Omar et était déjà dressé, j’étais juste à la hauteur de son pénis érigé.Sans ménagement Bouba m’enfonça son majeur dans l’anus.La soudaine intromission me fit pousser un petit cri, ce qui provoqua l’hilarité de mon amant qui me dit ’AH AH AH !! bien je    vois que ton cul s’est bien refermé car si simplement mon doigt    te fait crier ça veut dire que quand je vais te mettre ma bite    là je vais t’entendre. Hein salope ?.- Je t’en supplie fais doucement.- Je fais comme je veux salope et comme j’ai pas envie de faire    doucement, je vais bien aimer t’entendre gueuler quand je vais    t’enfoncer ma grosse bite dans le cul’.Bouba marcha vers moi, son regard brillant me faisait peur.Arrivé près de moi il posa ses mains sur mes cuisses me regarda et me dit ’Alors comme ça tu veux que je fasse doucement mais comment    veux-tu que je fasse doucement quand je vois ce trou du cul qui    ne veut qu’une chose c’est que ma bite le casse entièrement’.Il positionna son énorme gland à l’orée de mon orifice et me dit en rigolant ’Regarde petite pédale ce que je vais mettre d’un coup    dans ton beau petit trou du cul tout chaud de salope’.Je retins ma respiration sachant ce qui allait arriver mais mon bourreau attendit, qu’au bord de l’asphyxie, je rejette l’air contenu dans mes poumons pour m’enculer.D’un violent coup de reins il enfonça son monstrueux priape dans mon cul jusqu’à la garde, ce que je ressentis fut abominable.J’avais l’impression qu’on m’ouvrait en deux et qu’on m’enfonçait un fer porté au rouge dans le rectum, un horrible hurlement de souffrance jaillit de ma gorge et je me mis à sangloter.Sans prêter gare à moi Bouba commença à se ruer dans mon tunnel à une vitesse folle m’arrachant à chaque poussée des hurlements de douleur.Agrippé à mes cuisses mon tortionnaire me besognait de toute la longueur de son fabuleux membre, son ventre musclé claquait contre mes fesses à me faire mal.Jamais au cours d’une enculade je n’avais eu aussi mal, j’avais l’impression qu’on m’arrachait tout l’intérieur.Je ne cessais de geindre sous les brutaux assauts que Bouba m’assénait, celui ci le regard dément et la bouche grande ouverte bougeait frénétiquement en moi.Je ne sais combien de temps dura cette torture, submergé par la douleur je subissais ce martyre sans aucune réaction.Soudain se plaquant contre moi Bouba éjacula en grognant, je sentis son flot de sperme m’inonder le fondement puis il se retira continuant à se déverser sur mes fesses.Il se recula puis revint vers moi en disant ’Ah c’est un bon coup    que je viens de tirer, tu sais salope si tu voyais ton cul tu    aurais peur il est tout ouvert mais ne t’inquiète pas comme tu    peux voir ma bite est encore bien dure et je vais bien    t’enculer encore beaucoup de fois’.Mon bestial amant se posta face à mon postérieur et guida son énorme hampe contre mon oeillet distendu puis me pénétra d’une rude poussée qui me fit crier.Posant ses mains contre mes flancs mon homme se remit à me besogner avec rudesse.Mon anus complètement dilaté laissait coulisser le monstrueux phallus en moi sans gène aucune mais je ne ressentais aucun plaisir.J’endurais sans réaction les vigoureux assauts que Bouba me portait, il me baisait si fort que j’avançais sur la table chaque fois que son fabuleux sexe se plantait au plus profond de mon cul éclaté.Le visage de celui qui me pilonnait l’arrière-train était couvert de sueur, chaque fois qu’il enfonçait sa queue démesurée dans mon antre maltraitée il disait ’Tiens pédale prends ça dans ton petit    cul’.Bouba me prit de la sorte 3 fois sans jamais sortir de mon canal endolori.Il avait tellement joui en moi que mon sphincter rejetait le trop plein de foutre et me trempait les fesses.Les chaînes commençaient à rentrer dans ma peau me faisant souffrir.J’avais la voix enrouée tellement j’avais crié et les yeux gonflé tant j’avais pleuré.Quand enfin, après une dernière saillie qui m’avait inondé une fois de plus le fondement de sperme chaud, Bouba s’écarta de moi je crus que mon calvaire était terminé.Mon brutal amant me détacha.Complètement exténué je tombai à même le sol et je restai en chien de fusil essayant de faire revenir ma circulation sanguine dans mes membres moulus.Me prenant par les cheveux Omar me releva et me dit ’Alors petite pédale ton cul a bien été défoncé, tu voulais de la bite eh bien    on t’en a donné’.Comme je restais silencieux il me gifla et me dit ’Parle pédé.- Oui Omar, Bouba et toi vous m’avez bien baisé.Omar me mit une grande claque sur les fesses et dit ’Je t’aime    bien avec ce collier. Qu’en penses-tu ?- Oui Omar.- Bien, bon maintenant que tu t’es reposé un peu allez on    recommence.- Mais..- Quoi mais, tu ne crois pas que c’est fini, mais Malick ne t’est    pas encore passé dessus, regarde sa bite elle a envie de ton    trou du cul’.Je vis avec horreur qu’un troisième homme était dans la pièce, c’était un type très grand et très gros, il était nu et malgré son ventre imposant une énorme verge pointait vers le plafond.Voyant mon expression terrorisée Omar éclata de rire ’AH AH AH !!,    pauvre petite tapette, on dirait que tu as peur de cette grosse    bite, mais non il va rentrer dans ton cul et tu sais dans    l’état où est ton cul il ne risque rien, il pourrait prendre    deux bites comme la mienne, allez mets-toi à quatre pattes que    Malick t’encule’.Complètement passif j’obéis, Malick s’agenouilla derrière moi et je sentis son gland turgescent glisser dans la raie de mon cul.L’homme se positionna à l’orée de ma fente béante, il posa ses mains sur mes épaules et d’un coup de reins d’une violence inouïe Malick me pénétra jusqu’à la garde.Bien que mon anneau complètement éclaté soit grand ouvert, je ne pus empêcher, sous la violence de l’intromission, un cri de douleur de pulser de ma gorge et les larmes d’envahir mes yeux.Mon amant se mit à me posséder en de brusques coups de boutoir redoublées, son ventre claquait contre mes miches à me faire mal.J’avais tout l’intérieur qui me brûlait et ma pastille démolie me faisait de plus en plus mal.Je ne sais combien de temps mon bourreau me pilonna l’arrière-train.J’avais atteint le stade où la douleur ne se sent plus et je recevais les coups de bite en couinant légèrement.Dans la pièce, où régnait une odeur de foutre mélangée à de la merde, on entendait les bruits de succion que faisait mon trou de balles chaque fois qu’il avalait le monstrueux pénis érigé.Au bout de quelques instants de ce traitement Malick s’enfonçant au plus profond de mes entrailles éjacula en râlant.Ses abondants jets de sperme fusant contre mes parois surchauffées me firent un peu de bien, je sentis le phallus rétrécir en moi et sortir de ma corolle ravagée.Je restai quelque temps dans la même position n’osant pas bouger de peur des représailles quand j’entendis la voix d’Omar qui disait ’Ca y est petit pédé, tu peux te lever, je vais te montrer    où tu vas dormir.- Mais on n’a pas vu les conditions de travail.- Quelles conditions de travail ?- Combien je gagne et..- AH AH AH !! je vois que tu ne perds pas le nord salope, voilà    je t’explique, chez moi une enculade c’est 100 Francs, il y a    80 Francs pour moi et 20 Francs pour toi, pour une pipe c’est    50 Francs, 45 pour moi et 5 pour toi. C’est à prendre ou à    laisser en plus de ça comme je suis grand seigneur je donne à    toutes les salopes que j’emploie de quoi dormir et à bouffer,    maintenant si tu n’es pas content tu te tires c’est clair    espèce de sale pute.- Oui, très clair, je prends.- Bien salope c’est raisonnable, d’ailleurs regarde les clients    viennent te voir pour dix minutes, tu es là onze heures, si tu    te fais un maximum de clients ça fait 66 clients, si tous    veulent t’enculer et ce sera comme ça au début, à toi de    fidéliser ta clientèle, tu peux te faire 1.300 Francs par jour    soit environ 39.000. Francs nets, c’est pas mal pour n’avoir    qu’à donner son cul. Non ?- Si c’est sur’.Omar m’amena dans une pièce, c’était la numéro 6, il me dit ’C’est    là que tu vas travailler, tu commences à 15 heures jusqu’à 2    heures du matin, dès que tu arrives tu te déshabilles et tu te    mets à quatre pattes sur le lit, la tête sur le matelas et le    cul en l’air et tu attends, après les clients les surveillants    peuvent venir t’enculer.- D’accord’.Il m’amena au troisième étage et ouvrit une porte, c’était une minuscule pièce qui sentait le moisi, il y avait un lit aussi sale que dans la numéro 6, à côté du lit il y avait un lavabo ainsi que des toilettes et une armoire sans porte, Omar me dit ’Voilà c’est    chez toi, tous les jours à 13 heures on t’amène à manger. Des    questions ?- Non.- Parfait, lave-toi le cul si tu veux et dors car tu commences à    15 heures mais n’oublie pas 13 heures sinon tu ne bouffes pas’.J’arrivai à 14h55 dans la pièce numéro 6, je me déshabillai puis je montai sur le lit.Je me mis à genoux la tête reposant sur le matelas dégoûtant, les cuisses écartées et le cul en l’air, attendant sagement le premier client.Une voix retentit dans un haut-parleur ’La 6 enculade’.Un homme entra dans la pièce, il était très grand et épais, il exhalait de lui une forte odeur de transpiration, il baissa son pantalon et monta sur le lit.Il positionna son gros sexe érigé contre ma fente et d’un violent coup de reins m’enfila jusqu’à la garde.L’homme me pistonna pendant quelques minutes quand une voix retentit de nouveau dans le haut-parleur ’Plus qu’une minute à    l’enculade de la 6’.Mon baiseur augmenta le rythme de ses va et viens et plaquant sa panse contre mon fessier éjacula en râlant.Il se retira et me mettant une légère claque sur les fesses il me dit ’Bonne pute la nouvelle’.Il remit son pantalon et sortit.Aussitôt la même voix dit dans le haut-parleur ’La 6 enculade’.Un autre entra, c’était un maghrébin, il dégageait une effluve d’égout, il ouvrit la braguette de son jean’s et sortit un phallus énorme qu’il me passa sous le nez.Le membre ne devait pas avoir été lavé depuis longtemps car il avait une puanteur immonde.L’homme se mit à genoux derrière moi et me défonça d’un violent coup de reins puis posant ses mains sur mes hanches il se mit à me sodomiser à une vitesse inouïe jusqu’au moment où plaquant son ventre contre mon postérieur il explosa en feulant.Le mec se retira continuant de gicler contre mes fesses, il me donna deux coups sur les miches avec son pénis encore tendu et me dit ’Tu es une bonne salope, je reviens tout à l’heure’.Le type se rajusta et sortit.La porte était à peine fermée que la voix résonna dans le haut-parleur ’La 6 enculade’.Pendant toute la nuit les hommes se succédèrent dans mon cul.Tout ce passait en silence quelques grognements, une petite tape de temps en temps ou une phrase du style ’Bonne pute’ et c’est tout.Quand arriva la fin j’avais le cul qui dégoulinait de foutre, je n’avais pas eu le temps de me nettoyer une fois.Je n’avais jamais eu aussi mal au cul, les clients ici étaient pires que chez Abdou mais je savais que dans quelques jours je n’aurais plus mal du tout.La voix que j’avais entendu toute la nuit dit ’C’est terminé pour    ce soir les pédales, vous pouvez toutes rentrer chez vous sauf    la 6, que cette salope en profite pour se nettoyer un peu le    cul, avant que j’arrive’.Je me lavais les fesses et les cuisses et m’essuyais avec un kleenex quand l’un des surveillants entra, il me dit ’Mets-toi en position salope, tends bien ton cul’.J’obéis et l’homme déballa un phallus phénoménal.Pendant 15 minutes Boubacar, car c’est comme ça qu’il s’appelait, me tringla terminant par une éjaculation extrêmement abondante, il se retira, se rajusta et me dit ’Tu es une très bonne pute, on    voit que tu aimes la bite, lave toi le cul parce que mes    copains vont venir t’enculer, allez à demain salope’.Je restai 10 mois dans l’établissement d’Omar, j’étais devenu la préférée de tous les clients, jamais un client ne m’avait demandé de le sucer, ils m’enculaient tous.J’avais le trou du cul tellement ouvert que même quand j’étais debout, mon anus écartait mes fesses.Pendant la journée je me garnissais car même en mangeant du sans résidus j’avais des pertes.Malgré tout cela les satisfactions que je retirais de ce travail, c’était de me prendre une quantité incroyable de bites dans le cul.Par contre il n’était pas question de faire l’amour, ce que je subissais était une série d’enculades bestiales où il n’y avait aucune place pour le plaisir du moins pour le mien.Je n’avais plus joui ni n’avais eu le plaisir de sucer une bite amoureusement depuis le jour où j’avais commencé ce travail.Un soir, alors que je me préparais à quitter la pièce Omar entra, je lui dis ’Bonjour.- Tu vas bien.- Oui.- Tant mieux, j’ai quelque chose à te proposer.- C’est quoi ?- Ca fait maintenant longtemps que tu es ici.- Vous me renvoyez.- Non mais il faut que je renouvelle de temps en temps le bétail    et comme tu es la plus ancienne, je vais te déplacer.- Ah bon.- Oui je suis propriétaire d’un autre bordel et je vais t’envoyer    là bas.- Où ça ?- Au Zaïre, j’ai un bordel de pédales blanches, je suis sur que    tu t’y plairas.- Si vous le dites.- Allez va faire ta valise, demain on prend l’avion.- Si vite.- Eh oui, d’ailleurs tu n’as rien tu n’as pas d’argent, tu vis    ici alors ici ou là bas tu ne feras que prendre des bites dans    ton cul de pédale, allez ramasse tes frusques et dors un peu,    je te réveille demain à 10 heures.- Bien M. Omar’.Depuis ce jour, je vivais à Kinshasa où ma vie se résumait en deux choses, se faire enculer une partie de la nuit et dormir les restant de la journée pour récupérer.Les tarifs étaient différents d’en France car ici c’était 5 Francs pour une enculade et 2 Francs pour une pipe, cela faisait maintenant trois ans que je faisais ça.Mon anus était complètement démoli, j’ai consulté un médecin qui m’a dit que pour que mon trou du cul se referme il faudrait au moins 3 à quatre 4 mois d’abstinence.En sortant de chez ce médecin j’allai prendre une bière à la terrasse d’un café.Tout en buvant et en fumant une cigarette je me mis à penser à ce qu’était ma vie aujourd’hui.J’avais maigri d’une dizaine de kilos, j’avais les yeux cernés, je menai une vie misérable n’ayant aucun avenir si ce n’est un jour que d’attraper le SIDA et de crever comme un chien à Kinshasa.Après avoir fini mon verre, je repartit vers ma misérable existence.Deux jours plus tard alors que ma permanence était terminée la voix d’un surveillant éclata dans la haut-parleur ’La salope du 14    est appelée chez le patron’.Intrigué je m’habillai et montai les étages jusqu’au bureau de M. Touré directeur de l’établissement.Quelle ne fut pas ma surprise quand j’ouvris la porte après avoir frappé, M. Touré n’était pas là mais à sa place il y avait Omar.Je me sentais un peu ridicule au milieu de cette pièce en présence d’Omar propre et bien habillé alors que moi je puais le stupre et dégoulinais de sperme.D’une voix hésitante je dis ’Il y a quelque chose qui ne va pas M.    Omar.- Non salope, j’ai simplement deux choses à te dire, la première    j’ai reçu les résultats de tes analyses, tu n’as pas le SIDA,    la deuxième c’est qu’à compter d’aujourd’hui tu es libre.- Je ne comprends pas, vous me renvoyez ?- Tu peux vous ça comme ça pute, en effet j’ai décidé de    renouveler mon cheptel et comme je ne peux pas te ramener    travailler en France, je te rends ta liberté.- Mais..- T’inquiète pas pouffiasse, tu as deux solutions sois tu restes    ici et tu te démerdes sois tu veux rentrer en France, dans ce    cas je connais des compagnie de fret, il pourront pour un prix    modique que j’ai la grandeur d’âme de payer. Sachant que tu as    gagné pas mal d’argent chez moi et que ça peut te permettre de    voir venir et tu sais il y a d’autres établissements moins bien    côtés que le mien qui voudront certainement d’un cul comme le    tien A toi de choisir salope.- Je veux rentrer en France.- Bon tu vas aller te laver la gueule et le cul, tu ramasses tes    frusques et tu reviens ici, pendant ce temps j’aurais fait ce    qu’il faut pour ton retour mais je te préviens une fois parti,    je ne te connais plus.- Oui M. Omar.- Alors vas-y pute’.

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