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Initiation de ma sœur jumelle…

Chapitre 1

Inceste
Nous avions tout juste 19 ans, Claire (prénom d’emprunt) ma sœur jumelle et moi William (idem pour le prénom), lorsque cette belle aventure est arrivée. Claire, 1m70, cheveux long châtain clair, une poitrine moyenne (85 C) aux seins bien ronds, réservée de nature avec un joli sourire sur des lèvres fines. Je la dépassais de mon 1m85, cheveux châtains foncés, sportif à l’époque et fier de mon sexe de 18 cm et 12 cm de circonférence en érection (mesuré par une ex petite amie). Extraverti, j’avais expérimenté dès mes 16 ans, avec une amie de ma mère, la découverte de l’émoi sexuel. Elle m’apprit à canaliser ma fougue de jouvenceau tout en me dévoilant ce qui était source de plaisir féminin. Je lui dois plusieurs flirts poussés avec des amies de mon âge et la satisfaction du plaisir partagé exprimé par mes conquêtes.J’étais à l’armée à Montpellier et, sans petite amie à l’époque, Claire était mon soutien psychologique par un échange épistolaire presque quotidien. Est-ce notre gémellité qui était à l’origine de cette grande complicité entre nous depuis l’enfance ou nos personnalités très complémentaires, je ne saurais le dire ? Mais cette année de service militaire et de l’entrée dans la vie active pour ma sœur nous rapprochait encore plus malgré la distance. Elle vivait en région parisienne. Nous nous racontions nos vies respectives, nos ressentis et nos questionnements sur la vie. Progressivement notre échange a inclus des confidences plus personnelles, surtout pour Claire qui m’ouvrait tant ses pensées sur notre complicité que ses émois de jeune femme. Elle me surprenait au fil des semaines en s’ouvrant davantage sur ses désirs de découverte de la vie…tout en, me semble-t-il, me reconnaissant une avance d’expérience. Elle n’avait pas eu encore, à ma connaissance, de petit ami. Très séduisante, intelligente et raffinée (mais suis-je objectif ?), son caractère réservée tenait à distance son entourage masculin car elle semblait de nature sélective. Ses premières confidences m’apprirent qu’elle trouvait ses prétendants soit « beaufs », soit vulgaires et souvent un brin « limités par leur désir de libido ». Elle cachait une autre raison bien plus personnelle…Le printemps allait laisser la place à l’été lorsque nous avons décidé qu’à deux mois de la fin de mon service militaire ce serait génial de fêter notre anniversaire par un long week-end en bord de mer, rien que tous les deux. Nous étions conscients que j’allais reprendre ma vie professionnelle ainsi que ma vie sociale bien remplie. Je réservais un appartement à Palavas les Flots avec vue sur la mer. Deux chambres, un salon meublé moderne et surtout une grande baie vitrée sur la Méditerranée serait l’écrin de ce moment complice. Claire arriva dès le vendredi après-midi à l’aéroport où je l’accueillie encore en tenue d’officier aspirant, ma permission ne débutant qu’à 18h. Nous avons bien ri lorsque mon chauffeur l’a prise pour ma petite amie. Sans rectifier ce quiproquo, nous nous sommes fait déposer à la caserne et après avoir signé le registre de départ, j’ai entouré, avec un sourire complice à Claire, sa taille pour rejoindre ma voiture. C’est donc sur cet état d’esprit que nous sommes partis…Une fois installé, Claire m’a légèrement surpris en exprimant le désir de s’en remettre à moi sur le déroulé du WE. Plage, restaurant, Casino, repas à l’appartement,…elle me laissait décider. Ce côté « grand frère » ne me déplaisait pas d’autant plus que je souhaitais lui faire découvrir et vivre mes facettes « carpe diem », « lâcher prise » qu’elle ne connaissait pas. Ma première décision fut de l’inviter dans un restaurant chic pour fêter le plaisir d’être ensemble. Elle était vêtue d’une robe décolletée blanc cassé qui me laissait deviner un sous-vêtement rouge ; sachant qu’elle n’aimait pas dépareiller, j’en déduis la couleur du tout. Pourquoi vous préciser cela alors que nous sommes frère et sœur ? Car mon esprit « taquin »lié au quiproquo ne m’avait pas quitté et que je comptais rendre plaisante notre soirée en alimentant Claire d’attentions galantes et un brin séductrices. Pour ma part, un classique chino beige, chemise blanche avec blazer bleu marine (pour les lectrices qui se poseraient la question : un boxer noir). Claire fut étonnée de sentir mon bras à nouveau sur sa taille en nous dirigeant vers la voiture mais elle éclata d’un rire complice lorsque je lui dis : « Tu as été désignée comme ma petite amie autant prendre soin de toi et t’entourer de toute mon affection ! ». Nous primes du champagne en apéritif et la bouteille accompagna une partie du repas dont je vous épargnerais le détail. Juste, un verre de vin blanc servit d’intermède pour le plat principal. En sortant, Claire et moi avons naturellement cheminé vers la plage pour une douce et agréable ballade main dans la main. Le rire de Claire en me disant : « William, je crois que je suis pompette ! » n’est pas étranger à ce que la prenne par la main pour la guider. Elle m’avait confié durant le repas son plaisir de ce petit jeu de « fiancés » qui lui permettait de découvrir ce qu’un homme pouvait mettre en place comme attentions pour la séduire…tout en m’avouant que de ceux qui s’y étaient essayé, tous l’avaient effrayée très vite au point de la faire fuir. Avec moi, elle savait que c’était un jeu tacite et cela lui permettait de mieux gérer ses émotions. C’est en rentrant à l’appartement que tout se précisa :Claire : « William, y-a-t-il du champagne dans le réfrigérateur pour finir la soirée ? J’aimerais te parler et te demander quelque chose… » (Rire fort et regard gêné)Moi : « Oui, il y en a une mais ne crois-tu pas que cela suffit ? Tu disais toi-même en sortant du restaurant que tu avais un peu abusé… » (Rire complice)Claire : « Cela me donnera le courage de te parler et de te demander de m’apprendre… »Moi : « Quoi ?...du courage ?...t’apprendre ? Qu’est-ce que tu me chantes ? »Claire : « Sers moi une coupe, s’il te plait ! Et écoute-moi…. »Je préparais un plateau où je servis deux coupes et y ajouta des gâteaux afin, pensais-je, d’atténuer les effets de cet alcool supplémentaire. Nous nous sommes installés sur les sièges du bar américain dans le salon, nous faisant face et je tendis une coupe à Claire afin de qu’elle puisse prendre de l’assurance et oser me dire ce qu’elle brûlait d’envie.Claire : « Merci ! William, …tu sais peut être qu’à 19 ans je ne suis pas encore sorti avec un garçon. J’ai envoyé paître ceux qui ont voulu en leurs jetant à la figure leur envie trop flagrante de coucher avec moi… »Moi : « Je me doutais….mais… »Claire : « Laisse-moi continuer… En fait, j’ai peur ! Je n’ai jamais laissé un garçon m’embrasser car je ne sais pas…j’ai fui dès qu’ils ont approché et je n’ai plus voulu les revoir. Je ne veux pas vivre de maladresse dès ce premier baiser… »Le ton de Claire me surprit car il n’était pas plaintif mais assuré. Elle me parlait comme un copain de régiment enivré qui se laisserait aller à une confidence. D’ailleurs elle porta sa coupe aux lèvres avec un sourire ravi et taquin devant la tête mi amusé mi interrogative que je devais faire.Moi : « Si tu ne le fais pas une première fois, tu ne risques pas de commencer… »Nous partîmes d’un grand rire complice devant cette évidence et, tout en reprenant respectivement une gorgée de champagne, je lui caressais ses longs cheveux marquant ma profonde affection fraternelle. Je prenais conscience de l’écart d’expérience entre elle et moi. Elle rapprocha son siège en essayant de garder le contact avec ma main. Me fixant avec un regard que je ne lui connaissais pas, elle me parut mi audacieuse mi fragilisée…Claire : « William, j’aimerais que tu m’apprennes à embrasser… » Elle ajouta avec malice : « Ce soir ne suis-je pas ta petite amie ? »Moi : « (Rire) Mais c’est un jeu ! Si je t’embrasse cela s’appellera de l’inceste ! Ce n’est pas cela qui me dérange car un simple baiser, pourquoi pas ? Claire, ce que je découvre en toi est le même désir que j’ai eu d’être initié pour savourer dès la première fois le plaisir de donner et de recevoir sexuellement… Savoir embrasser n’est pas suffisant car en découle très vite l’ouverture de sensations sensuelles qui appellent d’autres savoirs… »Claire : « Initie moi ce soir à ces premières sensations…mais je veux rester vierge ! »Moi : « Finis ta coupe, respire un grand coup et regarde-moi bien dans les yeux. Le baiser n’est pas mécanique, il est bien plus sensuel et érotique lorsqu’il y a du désir… Tu veux apprendre avec moi ? Mais je suis ton frère jumeau… Ecoute ton corps comme je le fais avec le mien. C’est vrai que cette situation m’excite car tu es belle et séduisante de naïveté…j’aime l’idée de t’initier au baiser et à la tendresse sensuelle car c’est toi, Claire, ma jumelle…mais je ne pourrais pas si tu désires que je te montre juste une technique. Alors soit tu oses continuer d’avancer sur ce chemin en écoutant ton corps, soit on arrête là car c’est juste une demande liée à l’alcool.Claire : « Je ne suis pas si naïve ! Je te connais et je sais que tu aimes pousser les limites de tes expériences sexuelles. N’oublie pas que tu te confies à moi. C’est parce que tu as de l’expérience que je te demande….et puis, c’est peut-être le cadre ou ce jeu de petite amie mais moi aussi je me sens toute chose à ton contact ce soir… »Moi : « Ok ! Que tout cela reste entre nous et n’accepte rien de moi que tu n’aies envie de vivre !! Sacré Claire, on va bien voir si là aussi on se ressemble… »Je me levais et me resservi un peu de champagne pour y tremper légèrement mon doigt. Humidifiant avec mon doigt les lèvres fines de Claire mon autre main se posa sur sa hanche pour remonter lentement sur le contour de son buste jusqu’à son épaule gauche, ce qui la fit frissonner. Je lui suggérais de me regarder et approchant mes lèvres des siennes, je fis un arrêt comme si j’hésitais. Celles-ci l’effleuraient tout en lui laissant la liberté de se détourner ou d’avancer à ma rencontre…elle avançait. Mordillant sa lèvre supérieure, je l’aspirais puis la relâchais. Ma langue finement sortie je léchais tantôt l’une puis l’autre lèvre puis je la rentrais pour reprendre la succion de ses lèvres. Claire avait finalement fermé ses yeux et se laissait aller à ce que je ressentis comme un abandon de plaisir buccal. Mes mains sculptaient son corps et s’attardaient à façonner sa poitrine. Nous étions debout à présent et je l’enveloppais de toute ma tendre inquisition sensuelle. Elle s’abandonnait dans ce baiser progressivement partagé avec passion et jeu de langues tournoyant l’une avec l’autre. Une main sur ma nuque, elle s’accrochait à ce délice comme si elle en savourait l’interdit décuplant son plaisir…et le mien. Instinctivement je voulais qu’elle associe l’effet du baiser avec la pointe de ses seins déformant le haut de sa robe. Une main dans ses cheveux maintenant sa tête à l’assaut de ma bouche, je me décalais légèrement pour mieux aller à la rencontre de ses tétons saillants. Claire respirait à présent avec un souffle qui ne laissait aucun doute sur les multiples sensations corporelles qu’elle découvrait. Lorsque nos lèvres se détachaient, elle ouvrait les yeux comme pour reprendre une dose d’adrénaline en voyant avec qui elle partageait ce chemin de plaisir suave. Puis nous fîmes une pause de ce baiser dont elle avait acquis la totale maîtrise pour emprunter l’amorce d’une soumission à son autre plaisir, sa poitrine désireuse d’être explorer par mes mains baladeuses. Nicher de dos dans le creux de mes bras, je ne sais si c’est la protubérance dans mon pantalon sur laquelle elle se frottait où ses mamelons durcissant et croissant sous mes caresses qui la faisait gémir. La tête en arrière posée sur ma poitrine, elle la tournait légèrement vers la mienne comme pour revenir goûter au baiser d’origine. Dans cette position c’est avec une remarquable facilité que je réussis à dézipper sa robe en captant successivement un regard interrogatif, d’abandon puis de complicité. Je soulevais dans mes bras Claire si élégante, si racée dans cet ensemble de sous-vêtements rouges en lui murmurant à l’oreille : « Tu m’as demandé de t’initier aux premières sensations de l’amour liées au baiser, il te reste à découvrir celles qui mènent à la porte de la jouissance totale… ». Arrivés dans une chambre dont je ne me souviens plus laquelle, je la déposais tendrement sur le lit. C’est elle, ne voulant pas me lâcher le cou, qui m’y fit basculer. Dans ma chute, sous un grand rire commun, nous avons culbuté et pour ne pas l’écraser je la soulevais prestement pour la faire passer sur moi telle une prise de judo. C’est ainsi que reprenant mes esprits, je vis Claire, encore émoustillée par mes caresses, allongée sur moi, ses seins écrasés sur mon thorax. Elle s’empressa de venir chercher un rappel de sensation en déposant ses lèvres sur les miennes. Amusé, je vis qu’elle n’osait mener la danse…à moins que ce ne soit le plaisir d’être encore guidée. Je l’embrassais avec autant de passion que tout son être m’inspirait. Habilement je libérais ses seins pour mieux les stimuler et comme le tangage d’un bateau la fit glisser d’un mouvement de bassin à côté de moi sur le lit. Nos bouches toujours unis, elle était sur le dos, mes mains massant sa poitrine et titillant ses tétons. Petit détail qui m’amuse encore en y repensant, je nous enveloppais de la couette afin de cacher nos presque nudités (je ne me suis pas attardé sur mon effeuillement mais dans la chambre seuls mon boxer et ma chemise blanche largement ouverte me couvraient). Je me souviens aussi avoir cherché à la rassurer par ce geste sur la limite pré-coït que je ne dépasserais pas. Claire n’a sûrement pas perçu toutes ces finesses d’esprit et c’est tant mieux ! Elle savourait chacun de ses plaisirs de corps et son cœur chavirait, me semblait-il, entre une osmose si intime avec moi et des battements crescendo au gré de sa jouissance sous mes caresses. C’est elle qui à l’apothéose de son orgasme mammaire enleva naturellement sa culotte pour l’enfourner dans sa bouche afin d’atténuer ses cris. Elle marqua d’ailleurs, une courte seconde, un étonnement sur le goût perçu mais sembla très vite soit l’oublier soit l’apprécier. Je mettais mes sens en alerte pour ne pas perdre le cap de son initiation tant mon sexe déformait mon boxer avec une douleur bien connue lorsque l’envie animale veut jouer son rôle. Claire devait sûrement voir et sentir par moment contre elle cette tige camouflée qui, si elle n’avait pas été ma sœur jumelle, l’aurait bien volontiers pénétré à plusieurs étapes de ce partage sensuel… C’est donc sur une voie libre que ma main gauche a cheminé du sein rassasié vers un ventre agréablement doux et un mont de vénus encore inconnu. D’abord explorant sa vulve par des caresses et des frottements puis écartant ses lèvres, grandes et petites, pour venir découvrir son clitoris en utilisant le majeur, je restais attentif à ses réactions. Fier de trouver cette zone humide, j’appuyais davantage l’étreinte avec Claire comme un petit ami heureux de procurer du plaisir et d’être récompensé en retour. Mon doigt titillait ce « petit bouton d’amour » de haut en bas, d’avant en arrière puis effectuait un mouvement circulaire lorsqu’elle resserra les jambes, emprisonnant ma main sous un orgasme bien audible. C’est là où j’ai hésité… J’aurais bien aimé, à la libération de ma main, fait bifurquer plusieurs doigts pour qu’ils poursuivent la visite de cette grotte divine. Mais l’amour que j’avais pour ma jumelle, le respect de sa virginité et le reste de connaissance sur la féminité que j’avais à découvrir m’ont évité un égoïsme qui nous est souvent reproché.Claire ne m’a pas senti me lever tant elle suivait le chemin de ses sens qui, excités par l’alcool et les fortes émotions, demandaient à s’apaiser puis à se reposer. J’ai pris une feuille pour y écrire ce que je lui aurais dit si elle ne s’était pas endormie si vite : « Tu vois, ma chère et douce Claire, qu’un baiser entraine forcément une succession de plaisirs. Il n’y a pas d’excellence en ce domaine mais une trilogie à nourrir : le cœur, le corps et l’esprit ! » Du moins, c’est ce que je croyais à l’époque…La suite du WE fut une osmose parfaite entre nous. Nous avions réalisé que la qualité du plaisir n’avait d’égale que la qualité de sa préparation. Claire et moi avons continué cette complicité des mots, cette sincérité des émotions et vécu un chemin buissonnier dont nous seuls connaissons nos limites.
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