Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 164 J'aime
  • 6 Commentaires

Initiation lyonnaise 4 - Myriam se lâche

Chapitre 1

Hétéro
— Tiens, quand on parle de la louve... allô ? Oui maman. Non... tu arrives dans dix minutes... ok, je vais lui dire. À plus.
Léna raccrocha et se tournant vers moi :   - C’était juste un SDF qui s’était introduit dans l’entreprise par une porte de secours mal fermée, pour se mettre à l’abri et au chaud. Elle souhaite que tu restes ici pour continuer la pose, car elle veut avancer ton portrait maintenant. Bon, j’y vais, sinon elle va se faire des idées ! Ajouta-t-elle en riant. Je te recontacterai plus tard.
Après s’être rhabillée et m’avoir embrassé sur les lèvres, Léna disparut, légère comme une alouette. À peine cinq minutes plus tard, Myriam fit son apparition, déjà en tenue de peintre.
  - Pas mal, hein, le coup du SDF dans l’entreprise ! Jérémy, mon adjoint, a été très coopératif pour monter cette petite mise en scène. Léna n’y a vu que du feu et a su saisir l’occasion que je lui ai donnée. Alors, je vois que ça s’est bien passé avec elle. Un orgasme dès la première fois, bravo mon cher! Et si on m’avait dit que ma fille était une femme-fontaine...  - Comment le sais-tu ? Demandai-je interloqué.   - Je ne dirige pas une entreprise de vidéo-surveillance pour rien ! J’ai fait installer des caméras discrètes un peu partout dans la maison, sans que ma fille le sache, évidemment, et je peux tout voir sur un écran installé dans ma chambre.  - Tu veux dire que tu as assisté à nos ébats, à Léna et à moi ?   - Je n’en ai pas perdu une miette ! C’était un régal! Et pour tout te dire, je me suis masturbée comme une folle quand vous avez joui l’un et l’autre. J’en suis encore toute bouleversée et un peu jalouse.
Joignant le geste à la parole, Myriam ouvrit sa blouse qu’elle portait à même la peau et je pus constater qu’elle disait vrai : les tétons au centre des larges aréoles de ses seins volumineux étaient dressés et sa chatte encore toute trempée. Ce spectacle magnifique raviva immédiatement ma vigueur, et je me mis à bander de plus belle.
Les yeux brillants fixés sur mon érection, elle laissa tomber sa blouse, s’approcha de moi et, tout en me câlinant, me branla doucement. Je sentais l’odeur de son parfum subtil mélangée à celles de sa sueur et de sa cyprine. J’en étais enivré et ma verge vibrait dans sa main douce et chaude. Sa respiration s’accélérait, tout comme la mienne.
  - Arrête ! Si Léna débarquait à l’improviste...   - Et alors ? Vous n’êtes pas ensemble, que je sache! Ce n’est pas parceque tu lui as fait l’amour une fois que cela lui donne des droits sur toi. D’ailleurs, n’oublie pas notre pacte: une seule fois! Et puis moi aussi j’ai très envie de profiter un peu de ton sexe!
Se mettant à genoux en face de moi:  - J’adore ta belle queue. Elle me fait un effet terrible !
Elle joua un peu avec mes testicules puis recommença à branler mon engin. Elle l’enfourna ensuite profondément dans sa gorge. Tout d’abord avec volupté puis avec voracité. Ses mouvements de va-et-vient m’excitaient au plus haut point, me faisant gémir doucement. De temps en temps elle se reculait pour reprendre son souffle et admirer mon dard, raide et strié de veines gonflées, ruisselant de sa salive. Ce faisant, elle se frottait la chatte de plus en plus vite, en un mouvement circulaire. Je pouvais apercevoir son clitoris gorgé de sang qui se contractait: elle jouissait déjà.
Au bout de quelques instants de répit, Myriam se releva, se pencha en me présentant son arrière-train et me supplia :  - Prends-moi par derrière, en levrette ! Et surtout cogne fort ! Je veux te sentir tout au fond de moi.
Je m’introduisis dans sa chatte grande ouverte et luisante de mouille puis commençai à la besogner à grands coups, comme un bûcheron. Chaque poussée qui distendait son vagin et faisait cogner violemment mes cuisses contre ses fesses lui arrachait un cri d’extase. Ses seins lourds et sensibles étaient ballottés au point de lui faire mal, l’obligeant à les maintenir avec ses mains, tandis que ses magnifiques cheveux blonds s’éparpillaient en gerbes solaires.
  - Ah oui ! Ah oui ! Vas-y fort ! Défonce-moi complètement avec ta grosse queue! J’admirais ce cul splendide dont l’anus se dilatait par instants et cette chatte palpitante qui m’était offerte. Je ruisselais de sueur mais ne faiblissais pas. Submergée par l’intensité du plaisir, Myriam vacillait et devait se raccrocher au dossier du canapé pour ne pas tomber. Sa chatte aspirait ma bite comme une ventouse et son vagin pulsait contre mon membre.
Au bord de l’évanouissement, elle ne prononçait plus que quelques sons inarticulés pour ponctuer chacun de mes coups de boutoir. La cyprine faisait des sillons brillants tout le long de ses cuisses et de ses jambes et je sentais son orgasme vaginal monter en même temps que le mien. Nous explosâmes dans un feu d’artifice indescriptible de jouissance. Nos cris, nos corps, nos sécrétions se mêlaient en une symphonie à l’harmonie parfaite. Le temps et l’espace était abolis.
Nous mîmes un bon quart d’heure pour recouvrer nos esprits. Myriam ne souhaitait pas en rester là et en voulait encore. Elle ouvrit un petit placard fermé à clé, et en sortit une boîte, elle aussi cadenassée.
  - C’est ta boîte à bijoux ?  - En quelque sorte, répondit-elle en riant. Plongeant mon regard dans le coffret, j’y découvris tout une collection d’objets érotiques, panoplie complète de la parfaite masturbatrice. Godes de toutes tailles, vibromasseurs, boules de geisha, stimulateurs divers et œufs vibrants étaient parfaitement rangés. Manquaient cependant quelques plugs anaux.
  - Pas de plug à ce que je vois ?  - Ah non, la sodomie très peu pour moi ! C’est dégoûtant et dégradant pour une femme. Nous ne sommes pas des animaux ! Je me retins de lui objecter qu’elle se privait de plaisirs particulièrement intenses et me promis de la convertir ultérieurement à cette pratique. Elle me dit :   - Je veux que tu me fasses encore jouir ! Tu me commenceras avec les sextoys et me finiras avec ton sexe ! Je te laisse choisir tes instruments ce sera la surprise.  - Ok, allons-y.
Après réflexion et sachant qu’elle avait les seins particulièrement sensibles au point de lui déclencher des orgasmes, je saisis dans la boîte des pinces de seins reliées entre elles par une chaînette.   - Mets-toi à quatre pattes. Elle obtempéra. J’admirai ses seins lourds et soyeux et accrochai les pinces aux tétons qui, immédiatement, se durcirent et pointèrent.
  - Aïe ! Ça fait mal !  - Tu vas t’y habituer. Et quand tu bougeras, la chaînette tirera plus fort et ce sera encore plus sensible ! Je choisis ensuite un vibromasseur que je mis en route, d’abord sur une intensité intermédiaire. Me positionnant accroupi derrière elle, je lui caressai la chatte avec l’appareil, évitant dans un premier temps la zone du clitoris et me concentrant sur les lèvres, qui, peu à peu, se gonflèrent et s’ouvrirent de nouveau.
  - Aaaah ! Oh ouiiii ! Ça me fait du bien ! Continue ! J’adore ça... Progressivement en prenant mon temps, j’augmentai la puissance. Sa chatte commençait à mouiller et, par moment, elle se cambrait lorsque des éclairs de plaisir plus violents la traversaient. À ce moment-là, les mouvements créaient un balancement de la chaînette qui tirait les tétons vers le bas.
  - Aaaah! Oh là là!. Que c’est fort !  - Tu aimes ça, hein ! Tu es une vraie cochonne en fait, sous tes airs de bourgeoise !  - Oui ! J’adore le sexe...tu ne peux pas savoir à quel point ! Surtout que je jouis facilement! Je rêve de devenir une vraie salope, une chienne, une pute!  - Dans ce cas tu as encore du chemin à parcourir!Je changeai d’appareil et choisis un vibromasseur clitoridien avec contact que je lui passai doucement sur son petit bouton, à présent brûlant de désir. Le résultat ne se fit pas d’attendre. Myriam se tordait, elle vacillait sur ses jambes, son dos se creusait, ses cuisses s’écartaient encore davantage pour faciliter le passage du démoniaque petit engin.  - Au secours ! J’en peux plus ! Aaaah, je jouis! En effet, simultanément, ses seins et son clitoris lui envoyèrent des décharges de plaisir d’une telle intensité qu’elle s’écroula sur le sol, le corps traversé de contractions et d’une intense vague de chaleur. Elle nageait dans la béatitude, hors du temps. Après lui avoir laissé le temps de récupérer, je lui enlevai les pinces de seins. Dans la boîte miracle, je saisis un gode d’une taille intermédiaire pour commencer.
  - Assieds-toi sur le canapé et ouvre les cuisses. Sans se faire prier elle prit la position. Je lui fis lécher et sucer le gode pour le lubrifier, bien qu’en réalité il n’y en avait nul besoin, sa chatte étant déjà trempée. J’introduisis l’objet reproduisant un sexe d’homme nervuré dans son vagin largement ouvert et accueillant. Elle poussa un soupir de satisfaction d’en sentir le contact contre ses muqueuses internes. J’actionnai le gode d’avant en arrière, puis de biais, pour reproduire les mouvements d’un membre masculin. Elle s’excitait de nouveau, la fièvre lui montant joue, ses gros seins parcourus de veines bleues se gonflaient.
  - Oh oui, c’est ça ! Remplis moi ! J’en veux encore. Pendant que je la ramonais avec le gode, je lui caressais le clitoris alternant tapotements légers et plus appuyés. Son excitation était à son comble. Le moment était venu de passer au gode le plus gros de son coffret. Je l’introduisis avec vigueur et son vagin l’accueillit avec un bruit de ventouse, pendant qu’elle poussait un long râle de jouissance. Les yeux fermés, concentrée sur les sensations que je lui procurais, Myriam gémissait et criait de manière obscène.  - Aaaah ! Continue! Je sens que ça vient! Baise-moi, baise moi fort avec ta grosse bite!
Elle s’agitait en tous sens, son corps entier commençait à se contracter, une rougeur envahissant son cou et ses épaules. Sentant son orgasme venir, je retirai le gode et la pris sans ménagement en plongeant avec vigueur mon sexe dans son antre brûlant. Je cognais brutalement sa chatte, mes couilles frappant son cul avec violence. Je sentais venir mon éjaculation.
  - Oui ! J’aime ta queue bien dure ! Qu’elle est bonne ! Ah... je jouis ! Je me lâchai à mon tour et l’inondai de mon foutre. Chaque décharge me donnait un plaisir d’une intensité incroyable.
Nous nous embrassâmes longuement avant de nous rhabiller, à regrets.
  - Je n’ai pas fini ton portrait. Il faudra donc que tu reviennes... mais uniquement pour moi, cette fois-ci ! Et surtout, pas un mot à Julie, elle m’arracherait les yeux. Elle te veut pour elle toute seule ! Je la comprends, du reste...  - Non, de toute façon je n’appartiens à personne. Mais dis-moi, tes caméras sont toujours branchées ou pas?   - Seulement quand j’en ai besoin ! Répondit-elle en me faisant un clin d’œil.
Je ne sus pas comment interpréter sa réponse...espérant en savoir un peu plus ultérieurement.
Diffuse en direct !
Regarder son live