Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 260 J'aime
  • 14 Commentaires

L'initiation de Margaux

Chapitre 1

Première sortie

Avec plusieurs femmes
Ma femme Sophie et moi louons depuis quelques années pour les vacances une confortable villa avec piscine dans un petit village de la côte d’Azur, à flanc de coteau, en pierre, tuiles ocres et façades blanches. Sur place, nous profitons du soleil et de la piscine, buvons du vin, baisons beaucoup. Le village est à quelques minutes à pied, nous y croisons souvent des connaissances formées au fil des années qui y habitent ou louent également dans les environs.
Depuis un dîner quelques jours plus tôt chez des amis logeant dans une villa voisine de la nôtre, leur fille Margaux ne nous quitte plus. Jeune, à peine vingt ans, magnifique, la taille fine, cheveux châtain, des yeux verts attentifs et un petit nez fin, nous la connaissons depuis longtemps. Elle avait toujours été timide à notre endroit, réservée. Cette année elle s’ouvre davantage à nous, parle plus librement et s’affirme, armée d’un sourire irrésistible. D’autre part, son intérêt pour ma femme semble avoir évolué.
Si on aime les femmes, il est en effet difficile d’ignorer Sophie. De très bonne compagnie, prenant plaisir à discuter de toutes les humanités, j’avais été à notre rencontre foudroyé par son intelligence et sa beauté. Grande, blonde aux yeux bleus capables de vous faire fondre ou de vous poignarder, des formes plantureuses et sensuelles que je vénère, des traits fins, une bouche immense. Je ne peux que comprendre qu’on en tombe amoureux.
Margaux cherche toutes les occasions de passer du temps avec nous. L’intérêt marqué de cette jeune fille pour ma femme donne parfois lieu à des scènes cocasses, comme quand Margaux débarque chez nous à l’improviste, sonnant à notre porte pendant que Sophie et moi sommes en train de faire l’amour. Devinant l’identité de la visiteuse et, pour m’amuser, j’envoie ma partenaire à la porte, à peine couverte d’une petite serviette de toilette, linge bien incapable de dissimuler correctement les formes divines de ma femme, dont j’ai joui un instant avant. Leur échange à peine terminé, Sophie revient dans le lit, et m’ouvrant ses cuisses pour que je recommence à la prendre, me raconte la gêne de Margaux à la porte, rouge comme une pivoine, confuse, perdant ses mots. Comme envoûtée, elle n’a pourtant pas réussi à détourner les yeux de la plantureuse poitrine, des hanches et cuisses galbées de son aînée. N’ayant pu se méprendre sur l’activité de Sophie quelques instants avant, trahie par ses cheveux en désordre, les seins dressés, la mouille suintante au bas-ventre, la jeune fille est repartie troublée, frustrée, sûrement déçue.
Alors que, excité par mon petit tour, je baise derechef ma femme, elle m’interrompt soudain.
– Attends… Attends… La petite, elle te plaît vraiment ? Je la trouve très belle aussi.
Connaissant la ligne franche de Sophie sur le sujet des aventures extra-conjugales, je m’arrête de nouveau un instant pour lui répondre.
– Elle est devenue une très belle femme, très désirable, mais je ne sais pas si je lui plais. Toi par contre, c’est évident.
Ses yeux me scrutent. Sentant mon sexe se durcir davantage en elle à l’idée d’un trio, elle ajuste légèrement son bassin pour mieux m’accueillir. Je suis planté dans sa chatte trempée, enfoncé profondément. Me tenant amoureusement par la nuque, elle m’embrasse alors.
– S’il-te-plaît, continue.
Alors que je relance les mouvements de mon bassin et que, rapidement, elle s’abandonne de nouveau au plaisir, haletante, j’ai la curiosité d’imaginer comment cette situation peut évoluer. Mais Sophie a déjà échafaudé un plan.
Plus tard dans la journée, sous prétexte de se faire pardonner de notre indisponibilité à son égard l’après-midi, elle propose à Margaux de nous accompagner pour dîner le soir même à Saint-Tropez. La jeune fille ne se fait pas prier. En cette chaude fin de journée, nous passons la chercher chez elle avant de filer à travers la garrigue à bord de notre Maserati GranCabrio vers un restaurant connu où nous avons réservé. Conduisant la décapotable qui nous offre un peu d’air face à la chaleur encore forte, je joue au chauffeur et invite les deux beautés à profiter des sièges à l’arrière pour échanger plus confortablement entre elles. Depuis le rétroviseur j’observe la jeune femme qui, cheveux aux vents, distribue des sourires enjôleurs à sa voisine.
Le repas est animé. Les deux femmes s’apprécient, deviennent complices. L’intérêt de Margaux pour Sophie n’est plus réfutable. Celui de ma femme pour la jeune fille grandit. Cette dernière est étourdissante de beauté dans une robe blanche ouvragée en lin, échancrée, serrée à la taille par une ceinture de cuir brun. Des boucles blanches sur ses fines oreilles s’harmonisent avec sa robe et une bague de nacre portée à sa main droite. Des escarpins montés haut Jimmy Choo mettent en avant la ligne de ses jolies pieds fins.  De plus le parfum de ses cheveux autour du coquelicot, précieux safran et fleur d’orange, m’envoûte. Je suis séduit, définitivement sous son charme. Mais c’est Sophie qui remporte tous les suffrages et attire les regards de toute la salle, hommes et femmes. Elle est habillée d’une une robe rouge aérienne en tissu léger, rendant intolérable la sensualité de ses formes, soulignées par une ceinture noire à boucle dorée. Les hauts talons de ses escarpins loubi accordé à sa robe la grandissent encore, sonnant comme un avertissement à l’inconscient qui s’y aventurerait.
Margaux et moi échangeons ce soir-là naturellement, sans gêne. Je l’amuse et l’intrigue même si son centre d’intérêt principal reste ma femme. Elle soutient par moment difficilement mon regard, que je peux avoir perçant. Je la surprends à s’arrêter plusieurs fois au milieu d’une phrase, bouche bée, quand Sophie dévoile sa nuque en se recoiffant ou se baisse un peu trop, laissant entrevoir la sensualité – à dessein – du haut d’une cuisse ou le creux de ses seins. Désinhibée par quelques verres de vin et l’ambiance décontractée de la soirée, Margaux devient tactile, effleurant l’épaule de ma femme, lui prend la main, la complimentant sur sa tenue. Ses yeux pétillent. La petite est amoureuse, visiblement accro. De temps à autre, presque gênée, Sophie me lance des regards, où se confonde les excuses de mener un manège aussi évident et néanmoins le désir de continuer. Je m’en amuse beaucoup et souhaite mettre Margaux à l’aise en tout point.
Au sortir de table, la jeune fille nous remercie chaudement, me fait plusieurs fois la bise, serre Sophie dans ses bras, l’embrassant fort sur les joues. Alors que nous remontons dans les terres et devant la décevante perspective d’interrompre ici la soirée, Sophie propose à Margaux de boire un dernier verre chez nous. Si nous finissons trop tard,elle pourra dormir dans la chambre d’amis. La jeune fille, visiblement enchantée par l’offre de ma femme, accepte avec empressement.
Revenus à la villa, nous discutons fort tard de mes affaires aux quatre coins du monde, des galeries d’art de Sophie à Londres et Paris, ainsi que des études littéraires de Margaux. M’étant isolé sur un fauteuil individuel, leur faisant face, je suis ébloui par la beauté des deux femmes, côte à côte assises sur un canapé de jardin, baignées par le clair de lune, un verre de champagne à la main. Partageant un Cordon Rosé d’un vieux millésime, nous découvrons davantage la vie de la jeune femme, jusqu’ici restée discrète sur ses aspirations intellectuelles et professionnelles, malgré sa fréquente présence à nos côtés depuis quelques jours. Elle semble désormais davantage en confiance. Ses regards à mon encontre sont plus francs, empreints de chaleur. Je l’encourage à se livrer, à nous parler d’elle.
De son côté, Sophie retourne désormais les effleurements de Margaux qui, subjuguée par cette tension sexuelle naissante, rougit, se perd dans ses phrases, oublie ses mots. Les yeux fiévreux de ma femme sont deux brasiers qui brûlent ce soir à l’attention de Margaux. Elle s’est rapproché et finalement lui prend la main. J’ai bu raisonnablement ce soir mais je finis par prétexter l’alcool et la fatigue pour m’éclipser, à grand regret. De toute évidence Sophie ne me rejoindra que le lendemain.
Diffuse en direct !
Regarder son live