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L'initiation de Margaux

Chapitre 2

Erotique
Au petit matin, ma femme se glisse dans la chambre, ôte rapidement la robe froissée qu’elle a portée hier et, soulevant les draps en lin, se blottit dans mes bras, en cuillère, son dos chaud et doux contre mon torse musclé. Je reconnais sur elle le parfum de Margaux. Elle me raconte qu’elle n’a pas été longue après mon départ à prendre l’initiative et à l’embrasser. J’imagine la scène, les deux déesses enlacées sur la terrasse, seins nus, robes baissées… Scènes obscènes qui m’embrasent. Elles ont ensuite quitté le jardin pour faire l’amour dans une chambre d’amis. Au petit matin, épuisée, Margaux s’est endormie, d’un sommeil lourd que seule la satiété des sens procure. Pendant que Sophie agrémente son récit avec force détails, excité je la caresse, sentant partout sur elle les traces de l’amour, dans ses cheveux défaits, l’odeur étrangère sur sa peau, ses tétons encore durs ou les lèvres enflées de sa vulve. Sophie m’avoue :
– J’ai envie de toi, là, maintenant.– Je ne suis pas jaloux.– Je sais, j’ai juste très envie de toi.
J’ai fantasmé toute la nuit, à imaginer les deux femmes durant leurs ébats, ne réussissant à m’endormir que fort tard. Mon sexe réagit violemment à cet aveux. Je suis pris de frissons. Une véritable barre de fer se dresse contre le cul de Sophie.
Glissant à sa demande mon sexe entre ses cuisses, au bas des fesses, je trouve ses petites lèvres entrouvertes, déjà bien sollicitées cette nuit-là, qui néanmoins accueillent ma queue avec abandon. Elles suintent de nouveau, peut-être grâce à mes doigts agiles qui les ont caressées quelques instants plus tôt. Une poussée suffit pour que je la pénètre de toute ma longueur. Mes mains serrent ses seins, les malaxent et j’effleure des doigts les sensuelles aréoles. Sophie râle, répète mon prénom comme une incantation.
Profitant de son vagin accueillant, je la percute de derrière, par à-coups brusques, le visage perdu dans ses cheveux. Leur odeur mélangée à celle d’un parfum étranger me grise, rend ma queue dure, rigide à souhait. Sophie le perçoit, l’apprécie, m’encourage :
– Ça t’excite qu’on ait baisé, Margaux et moi ?– Oui ça m’excite, tu sens son parfum.
Le contact du cul de Sophie contre mon pubis me rend fou. Elle pousse ses fesses contre moi, m’accroche d’un bras, pour mieux que je l’enfonce. Elle continue :
– Dans la chambre, la petite tremblait presque. J’ai pris l’initiative, je l’ai poussée sur le lit, je lui ai sucé la chatte, je lui ai léché les seins. Elle a aimé, elle a joui. J’ai tout léché : ses petites lèvres, sa vulve, son cul.
Crevant d’envie, j’ai désormais un voile blanc devant les yeux en écoutant ses aveux. Pantelant, je lui demande :
– Et elle ? Elle t’a fait jouir ?– Oui elle m’a léchée aussi. Elle m’a sucé les seins, longtemps. Elle m’a mis des doigts, puis a utilisé sa langue. J’ai hurlé de plaisir.– J’ai entendu Margaux aussi crier un moment.– Oui, je lui ai dit de ne pas se retenir, pour partager ses cris avec toi.

Le récit des ébats de Sophie avec Margaux m’ont mis hors de moi. Je me redresse, me place au-dessus d’elle et lui remonte la jambe, elle toujours sur le flanc. Recroquevillée, cuisse levée, la chatte offerte, je l’embroche, envahissant son vagin jusqu’au plus profond. Coup après coup, mes allers et venues répandent des pertes blanches à l’orée de sa chatte, sur ses poils pubiens et ses petites lèvres désormais visqueuses. Sophie mouille absurdement. Encaissant mes attaques, elle me fixe de ses yeux fatigués, la bouche en o, subissant mes assauts. Je glisse une main dans son entre-seins, moite, recherchant la chaleur et le confort des chairs veloutées, dont Margaux aussi a dû cette nuit se repaître. Une drogue que je sais dure et sans retour. Alors que je continue à l’envahir, Sophie vient brusquement, en lâchant des « ah oh ah… Lucas… ». Un tremblement parcourt son corps, des pieds à la tête, tandis que je ralentis mon action, pour la laisser souffler. À peine remise, elle réclame bientôt :
– Tu es dur, tu es trop dur, soulage-toi, viens en moi.
Je relève davantage la jambe de Sophie, qui laisse apparaître toute sa vulve fiévreuse à travers laquelle je m’enfonce à nouveau. D’une main je sollicite ses petites lèvres rougies, utilisant mes doigts pour les frotter à ma verge. Une odeur animale de sexe me fait frétiller les narines, les exhalaisons corsées de sa chatte travaillée. Je pourrai continuer à la prendre mais j’ai envie de jouir et de la laisser dormir jusqu’au petit-déjeuner. Suite à une dernière poussée vigoureuse, ivre d’excitation au fond de son vagin brûlant, je viens d’un coup en elle, la main toujours entre ses seins lourds et fermes, lâchant un râle brusque quand ma queue commence à expulser par jets prolongés mon sperme au fond de son ventre. Sophie, quoique épuisée, a porté la main à son entrecuisse et caresse la partie de ma verge affleurante, comme pour m’encourager à me vider. Parcouru de frissons à mon tour, je laisse les contractions de mon sexe se tarir tout en regardant Sophie, perdu dans le brouillard de mes yeux passagèrement vitreux. Revenu à moi, je me dégage ensuite avec précaution avant de me lever pour m’essuyer puis me blottir contre elle. Mais Sophie dort déjà, satisfaite, fourbue. Je lui glisse à l’oreille :
– Bonne nuit, ma belle.
Nous nous reposons quelques heures jusqu’au petit-déjeuner. En arrivant sur la terrasse où la table est dressée, nous constatons l’absence de Margaux qui doit encore dormir. Sophie, les yeux encore cernés mais tout sourire, se propose d’aller la réveiller et je m’installe confortablement avec mon téléphone portable, prêt à patienter. L’adorable nuisette en soie noire ornée d’une broche en or à l’entre-bonnets qu’a passé Sophie sous son peignoir avant de quitter la chambre ne m’a pas échappée, sa possible utilité non plus. Une demi-heure après, les deux femmes me rejoignent enfin, Sophie menant Margaux par la main. Apparemment encore confuse de sa nuit ou rendue confuse par le réveil de Sophie que j’imagine passionné, elle me regarde en coin, rouge de honte, gênée. Le petit-déjeuner se termine et je sens que la jeune femme n’est pas à son aise, inquiète sûrement de mes possibles réactions. Sophie le sent aussi et pour commencer à résoudre le malentendu, formule quelques allusions devant lesquelles Margaux se recroqueville, l’air peiné, presque les larmes aux yeux en me regardant. Je décide de la rassurer en annonçant que Sophie et moi sommes en accord complet sur leur nouvelle relation et que je l’approuve et l’encourage sincèrement.
Sans en discuter davantage, Margaux semble se détendre, rassurée, et nous quittons bientôt la table. Les deux femmes repartent vers la chambre d’amis où la jeune fille avait laissé ses affaires et je rentre dans la mienne pour préparer la journée. Ma femme revient bientôt et m’informe que Margaux est rentrée chez elle et devrait repasser plus tard aujourd’hui.
Apprenant que nous sommes désormais seuls, je propose à Sophie d’aller profiter de la piscine. Plus rapide qu’elle pour me changer, attrapant une boxer de bain et une luxueuse serviette de bain orange épaisse en éponge décorée de formes géométriques complexes, je la précède et m’immerge. L’eau est déjà tiède et, rompant la parfaite immobilité de la surface de l’onde, je fais quelques longueurs pour patienter, les yeux fixés sur la céramique bleue ciel raffinée du fond du bassin. Quelques minutes plus tard, ma femme apparaît enfin. En la voyant je reste bouche bée. Sophie porte un élégant et recherché maillot jaune deux pièces dont la partie haute peine à englober sa poitrine. Son cou arbore une chaîne en or blanc dont une partie ballante est glissée entre ses seins. Le bas du maillot est un string brésilien et mes yeux exorbités fixent insolemment le galbe de son magnifique fessier. Pieds nus, elle fait le tour de la piscine par le côté opposé au mien, par de longues enjambées élégantes, pour bien se laisser admirer. Sourire en coin, la belle semble apprécier l’intensité de mes regards, contente de la réaction qu’elle a su provoquer en moi.
Une fois dans l’eau à mes côtés, m’ayant saisie une main, Sophie me complimente :
– Tu as su trouver les bons mots avec Margaux. Je lui avais dit que notre nouvelle relation ne te dérangeait pas, bien au contraire, j’avais bien tenté de lui expliquer. Mais avant que tu ne la rassures, elle avait très peur de perdre ta considération et ton amitié. Je crois qu’elle t’aime beaucoup plus qu’elle ne le laisse paraître, pour l’instant.
J’absorbe les paroles de Sophie avec fierté, concentré sur le moindre de ses attitudes, de ses mots. La sensualité qui émane d’elle est insoutenable, même pour moi son mari. Une puissante érection, gênée par mon boxer, me torture et déforme le vêtement de bain.
Sophie se rapproche encore, plonge ses yeux de braise dans les miens tout en se mordant la lèvre inférieure. Elle me chuchote :
– Je pourrai te récompenser. Te sucer là, immédiatement. Si tu le veux.
En guise de réponse, j’enlève d’un geste mon maillot de bain, le laissant flotter entre deux eaux, et m’installe sur la première marche de l’escalier du bassin, jambes écartées. Mon sexe durcit, excité par la beauté de ma femme qui, immergée dans l’eau, se débarrasse à son tour de son haut. Elle se colle ensuite à moi, s’installe entre mes jambes. J’ai ses seins plantureux en vue plongeante, et posant ses mains sur mes genoux, elle prend alors ma queue dans sa bouche déjà brûlante. Sophie commence par sucer longtemps mon prépuce, insérant le bout joueur de son habile langue dans la peau délicate. Ses belles lèvres entourent délicatement mon gland, le tête avec application, puis elle l’enfourne davantage dans sa bouche pour le sucer tout entier. Pendant qu’elle me gâte, je contemple ses longs cheveux blonds et sa voluptueuse poitrine, irréelle, qui semble flotter à la surface de l’eau. Tentant de ne pas la laisser seule à agir, j’avance mes mains et passe mes doigts sur ses aréoles mouillées, pour encore davantage l’exciter. Sous les caresses et la pression de mes doigts, les larges tétons de la belle durcissent bientôt. Occupée à me sucer, les lèvres de Sophie vont et viennent, ne levant les yeux que pour, provocante, maintenir mon attention. J’imagine la même séance avec Margaux présente, les deux femmes s’échangeant ma queue… Cette idée licencieuse me fait perdre avec délice un peu de sperme dans la bouche de Sophie. Après m’avoir branlé et bien sucé, s’attardant sur le frein qu’elle a stimulé par des petits coups de langue adroits, elle masse maintenant mon ventre, remontant ensuite ses mains pour jouer avec mes abdos et mes flancs. Dans le même temps, elle pousse mon sexe plus profondément dans sa gorge. Peu sensible au réflexe nauséeux, elle m’avale jusqu’à la garde. Puis me recrache, filet de bave aux lèvres, me fixe et replonge. À chaque fois qu’elle m’enfourne dans son gosier, je ressens la texture particulière de sa gorge dans laquelle je vais bientôt me vider. Travaillé de la sorte, je suis à l’agonie. Quelques répétitions de ce traitement ont raison de mon endurance. Devant l’application de la belle à me récompenser par cette gâterie divine, je jouis brusquement, bercé par les eaux et sa bouche, en criant :
– Sophie, tu me tues, Sophie.
Mon sperme chaud remplit bientôt ses joues. Livré aux frissons de l’orgasme, mes deux mains sont posées sur les cheveux de Sophie qui, gourmande, les yeux pétillants, me laisse finir de jouir en me massant les bourses, avant d’avaler toute ma semence en une fois. Elle lèche ensuite mon sexe délicatement, se lèche les lèvres et les doigts, tout en me regardant.
Après s’être ainsi occupé de moi, elle souhaite sortir de l’eau. Allongés sur le bord du bassin, léchés par le soleil, nous décidons de partir ensuite nous balader dans les environs, avec le secret espoir que Margaux nous revienne bientôt.
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