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L'initiation de Margaux

Chapitre 3

Erotique
Sur les coups de dix-neuf heures, alors que nous profitons en cette fin de journée de la fraîcheur apportée par l’ombrage des arbres du jardin, Margaux réapparaît enfin. Sophie lui a donné une clé ce matin afin qu’elle puisse nous retrouver absolument quand elle le souhaiterait. Alors que la jeune femme nous rejoint, les yeux de Sophie s’écarquille un instant, signe – qu’elle laisse rarement échapper – d’un vif intérêt. Margaux porte un élégant crop top de créateur aux bords déchirés, sous lequel se dessine ses jolis seins, ainsi qu’une fine chaîne en or autour du cou. Un short en jeans, rapiécé, très court, met en évidence ses longues jambes bronzées et laisse savamment apparaître la naissance de ses fesses. L’ensemble lui confère un air punk-chic que je ne lui connaissais pas, mais qui correspond parfaitement à son jeune âge. Sophie de son côté n’est pas en reste, avec une robe légère aux couleurs chatoyantes, d’un tissu léger, échancrée laissant généreusement admirer sa poitrine et assez courte pour faire honneur au galbe de ses cuisses. La jeune fille nous fait la bise, chaleureusement. Son parfum ce soir est sur les agrumes, frais et citronné, entêtant. J’annonce les abandonner quelques minutes pour aller chercher moi-même l’apéritif, ayant donné congé au personnel pour la soirée.
Observant depuis la cuisine les deux beautés, je constate avec joie qu’elles se sont rapprochées en mon absence et s’embrassent avec chaleur. Sophie est à l’initiative, le visage de Margaux dans ses mains. Les scènes de trio les plus folles envahissent mon esprit. Il m’est désormais impossible de rester insensible à la beauté de Margaux. La revoir ce soir m’a procuré une émotion puissante. Son intelligence vive, sa jeunesse, sa beauté me la rendent chaque jour davantage désirable. De plus l’amour qu’elle éprouve pour Sophie rentre en résonance avec le mien.
Quand je les rejoins, armé d’un plateau et d’une bouteille au frais dans un seau à glace, Margaux me jette un regard dénué de honte ou de peur, malgré son torride baiser avec ma femme quelques secondes plus tôt. Heureux de ce nouvel état d’esprit, je lui souris et relance la conversation.
Le temps passe, nous discutons tous ensemble, et j’ai le sentiment que la jeune fille est enfin complètement à son aise. Ses doutes sur le bonheur que j’ai de contempler leur amour naissant semblent définitivement dissiper. Margaux est tout sourire, loquace, à l’aise en notre compagnie. Sûre de sa beauté, elle pose ses mains sur Sophie, me décoche d’immenses sourires, repositionne une mèche de ses voluptueux cheveux, un élégant bracelet formé par des anneaux d’or jaune, rose et gris au poignet. Tout en discutant j’extrais un jeune Chablis du seau à glace et après avoir ouvert la bouteille, sers un verre à chacun. L’instant est mémorable et solennel, à jamais pour moi inoubliable. Les deux femmes devant moi sont magnifiques et sensuelles. Je propose un toast :
– À notre rencontre de cet été ?
La soirée est chaude, le vin servi frappé. Nous buvons vite, avec délice. Je croise le regard de Margaux, ses joues rougissent sous les effets conjugués de la chaleur et du vin. Nous continuons à papoter, abordons chacun à notre tour les événements de la journée.
Sophie est tactile, excitée, cajolant Margaux qui lui a manquée. Elle décoche des bises appuyées, sur les joues et au coin des belles lèvres de la jeune étudiante. L’érotisme qui se dégage de ma femme ce soir est charnelle. Une tension sexuelle latente s’installe malgré mes efforts et ceux de Sophie conjugués pour l’alléger. Un peu plus tard, alors que nous avons commencé à grignoter des amuse-bouches, Margaux pose son verre et enfouit la tête dans ses mains. Sophie et moi demeurons interdits, sans cesser de la regarder. La fatigue ? L’alcool ? La nourriture ? Mais elle relève vite la tête et, après avoir respiré fort, annonce :
– J’aimerais essayer avec vous. De faire l’amour. Nous trois. Ensemble. Si vous le voulez.
Et malgré la rougeur qui s’est emparée de son visage, elle ne me quitte plus des yeux, cette fois.
Je pose mon verre sur la table du jardin et vais rejoindre les deux femmes assises l’une à côté de l’autre sur le canapé en face. Toute l’attention de Margaux est portée sur moi. Sophie est dans son dos, observe. Je m’assieds à côté de la jeune fille et m’empare pour la première fois de sa main, dont la douceur me fait vibrer. Je la porte à mes lèvres, lui embrasse la paume, puis les doigts. Pendant ce premier contact intime, elle frémit. Son parfum m’envahit de nouveau, ainsi que l’odeur de ses cheveux. J’explore la douceur de sa peau, veloutée, qui m’enivre. Je me penche enfin vers elle, l’embrasse sur les lèvres tout en lui faisant poser sa main sur ma cuisse. L’odeur de son souffle est délicieuse, porte aussi les fragrances du Chablis. La fraîcheur du vin est encore dans sa bouche quand ma langue rencontre la sienne. J’aime immédiatement son goût. Sophie sollicite Margaux en la recoiffant et les deux femmes s’embrassent à leur tour à pleine bouche pendant que je finis mon verre, la main de Margaux toujours sur ma cuisse. Se tournant de nouveau vers moi, les yeux de la jeune fille brillent, expriment le désir, la concupiscence. Elle m’embrasse encore, cette fois plus fort, porte ses mains à mes flancs, pour découvrir mon corps encore couvert par mon costume d’été en lin. Sophie approche son visage et propose :
– On pourrait rentrer ?
Ses yeux pétillent, elle anticipe ce qui va suivre. La connaissant intimement, j’imagine sous la robe ses tétons durs, tendus, sa vulve trempée, son vagin affamé. Margaux, le visage à quelques centimètre du mien, embarrassée, agrippant avec sa main ma veste de costume, souffle en me fixant :
– J’ai très peu d’expérience avec les hommes.
– Ne t’inquiète pas, tu seras complètement en contrôle, tu peux m’arrêter à tout moment.
Sophie lui chuchote :
– Il va prendre soin de nous, tu verras. Et je serai là.
Et sur ces mots, Sophie et moi nous levons et, tendant la main à Margaux, nous l’invitons à nous suivre, ce qu’elle fait immédiatement.
Une fois dans la chambre, la tension est palpable. J’ai du mal à me maîtriser, je tremble d’excitation. Margaux n’est pas sereine non plus, ses yeux vont de notre lit taille royale aux draps blanc cassé jusqu’aux murs couvert d’un élégant tissu parsemé de perles mates, en lin et coton. Comme bien souvent, Sophie prend les devants, nous prend chacun par main pour nous presser les uns aux autres. Désormais proches, toujours debouts, nous nous embrassons, longuement. Le goût des bouches des deux femmes se mélangent sur ma langue, réalisation de pensées que j’ai tellement fantasmé depuis quelques jours. J’invite Margaux à défaire les boutons de ma chemise, l’embrassant pendant qu’elle s’affaire sur les boutons couleur ivoire. Après avoir repoussé les pans de ma chemise pour qu’elle puisse y glisser ses mains, et pendant que je continue de l’enlever, elle étreint la base de mon cou, descends lentement vers les pectoraux, effleure de la pulpe de ses doigts délicats mes mamelons. Elle murmure, comme si elle pouvait par sa voix interrompre ou briser le sort nous liant :
– Lucas, ta peau est si douce…
Alors qu’elle descend encore pour tâter mes abdos, je m’émerveille de la grâce de ses seins entrevus par le décolleté de son top. J’aimerai les goûter bientôt. Ses mains passent sur mes flancs, ses doigts roulent sur mes obliques développés. Sophie s’est approchée et, dans le dos de Margaux, lui soulève son haut pour le lui enlever. La jeune fille m’abandonne, se tourne pour faire face à son aînée puis lève les bras pour se laisser déshabiller. Elle a un dos bronzée à la musculature taillée par la natation qu’elle pratique régulièrement. Alors qu’elle lève les bras, ses aisselles se révèlent, immaculées, sensuelles. J’observe avec attention le bas de ses fesses qui dépassent de son short court et troué à cet endroit, laissant présager des chairs délicieuses. Je sais qu’elle a un cul exquis, athlétique. Margaux s’enhardit, ses inhibitions perdues maintenant que la situation entre nous trois est clarifiée, embrasse les lourds seins de Sophie devant moi, les couvre de baisers. Portant mes mains dans son dos, je le caresse, jouant avec la ligne de ses dorsaux, jusqu’à rencontrer le fermoir de son soutien-gorge, que je dégrafe. Margaux tend les bras pour le laisser tomber et mes mains continuent leur chemin jusqu’à ses seins ronds et fermes, avec de larges mamelons, que je pétris, doigts écartés, en adoration. Puis je continue mon exploration érotique en passant par son ventre musclé jusqu’à ses hanches, au toucher ferme et velouté.
Sophie, dont les seins se font dévorer par la jeune affamée, me sourit, l’air malicieux. Je sais qu’elle ne porte pas de soutien-gorge sous sa robe. Elle demande à la jeune fille :
– Tu peux m’aider à me déshabiller ?
Margaux obéit avec empressement, se place dans son dos et, faisant glisser les bretelles, dézippe la petite fermeture-éclair, relâchant le tissu qui glisse aux pieds de Sophie. L’impudente ne porte pas de culotte non plus. Je souris. Je n’avais pas encore remarqué la délicate chaîne en or qu’elle porte à la cheville, à laquelle pend un somptueux jade travaillé en forme de goutte d’eau. La vue de son beau et discret triangle pubien me fait durcir davantage encore, à l’extrême. Choquée quelques secondes de voir brusquement apparaître cette somptueuse paire de fesses, Margaux finit par se ressaisir et, se collant au dos de Sophie, commence à lui caresser ses hanches veloutées. Elle s’aventure bientôt sur son ventre délectable, puis lui passe la main à travers les cuisses légèrement écartés, cherchant à effleurer sa vulve. Elle embrasse dans le même temps la nuque de Sophie dont les grands yeux bleus me fixent, gourmands.
4
Sophie sait se montrer cruelle quand la nécessité survient de faire monter le désir. S’arrachant aux ardentes caresses de la jeune fille, ma femme s’approche d’un pas décidé et colle bientôt sa poitrine contre moi. Ses lourds seins s’écrasent voluptueusement contre mes pectoraux. Je sens tout son désir dans ses tétons dardés. Sa bouche s’abat sur la mienne, l’embrasse voracement. Puis elle me repousse gentiment contre le lit, bien décidée à me sucer. Contraint par ce délicieux assaut, je m’assieds. Ses mains sont déjà sur la boucle de ma ceinture et je l’aide à me déshabiller, sans perdre de vue Margaux qui, immobile entre ma femme et moi, semble tétanisée par la vue des fesses offertes de Sophie, laquelle feint de l’ignorer momentanément. Mon pantalon glisse enfin à terre et Sophie, avide, engloutit mon sexe raide d’excitation, entame une fellation énergique. D’un signe de la main j’invite Margaux qui, ayant hésite sur la conduite à suivre, me rejoint rapidement et s’assied à côté, à la hauteur de Sophie. J’enserre la jeune fille d’un bras autour de sa taille délicate, la colle contre moi puis l’embrasse fougueusement. Nos lèvres se pressent, nos langues s’apprivoisent. Je lui baise les joues, le menton. Margaux laisse glisser ses doigts sur mon visage, prend la ligne de mes mâchoires dans ses mains tout en m’embrassant. Ma femme, vorace ce soir, n’est pas sur le même rythme que ce matin. Elle me prépare pour la suite par une inspection minutieuse de toutes les parties de mon phallus, me tête littéralement la queue. Elle n’oublie cependant pas Margaux et lui glisse une main sur les cuisses, peut-être plus bas, je ne vois pas bien, occupé à résister à la tornade qui s’abat sur mon bas-ventre.
Collé à Margaux, envahi par sa délicieuse odeur corporelle, saoul du goût de sa salive en bouche, je m’enhardis et lui demande si je peux m’aventurer à lui embrasser ses magnifiques seins, ce à quoi elle répond positivement avec un grand sourire, la chaleur de son excitation perceptible dans sa voix.
Me penchant vers sa poitrine qu’elle m’offre en bombant le torse, je cesse de m’émerveiller un instant et commence à lui baiser le sein gauche, prenant son sein droit en main dans le même temps. Leur douceur et leur velouté provoquent une violente fièvre en moi, qui, conjuguée aux soins de Sophie, passent à deux doigts de me faire brusquement éjaculer. Je me reprends et lèche du bout de la langue le beau mamelon rose tandis que mes doigts tâtent délicatement l’autre sein. Sous ces sollicitations, les tétons de la jeune fille durcissent rapidement. Pour me laisser le champ libre elle glisse ses mains dans mes cheveux. Au fur et à mesure que j’avance dans mon exploration, je sens ses doigts vibrer contre mon cuir chevelu. Quelques petits cris qu’elle laisse échapper m’indiquent que je m’y prends plutôt bien.
Sophie relève la tête, salive aux lèvres et, malicieuse, passe d’un petit bond de mon entrecuisse à celui de Margaux, lui écartant sans peur ses longues jambes bronzées. La jeune fille, surprise, bascule en arrière, atterrit sur les coudes, à moitié sur le lit. Je me suis relevé, lui fais face, toujours à côté de Sophie, tenant en main mon sexe lourd, excité, gorgé de sang. Margaux le considère l’air songeur quand, interrompue par le cunnilingus habile de ma femme, elle bascule la tête en arrière en grognant. La jeune fille lâche :
– Putain Sophie tu fais ça bien, on ne m’a jamais léché comme tu le fais, c’est trop bon. J’ai joui déjà deux fois ce matin.
Elle est splendide parcourue par le plaisir, des frissons s’égayant à travers tout son beau corps ferme et musclé. Surexcité par le plaisir d’enfin les voir faire l’amour, je passe derrière Sophie et m’installe à genoux.
Ses fesses magnifiques sont légèrement en arrière, offertes. Elle sait que je vais la prendre, m’invite en dandinant son superbe cul. Je lui glisse la main à l’entrecuisse et constate qu’elle est déjà trempée. Mon pouce s’aventure sur ses belles grandes lèvres. Entre elles les petites lèvres humides affleurent, excitées. Sans attendre, la sentant prête, impatiente, j’oriente ma queue vers l’entrée de son vagin et la pénètre aisément, d’une simple pression. Sophie réagit d’abord à peine, toute à sa tâche, m’accueille en habituée. Les yeux de Margaux s’écarquillent quand elle me voit procéder. Ses cris augmentent rapidement. Au bout de quelques minutes, elle se reprend, capable d’articuler de nouveau, et avoue :
– J’ai tellement mouillé quand Sophie est venue m’ouvrir presque nue il y a quelques jours. Je m’imaginais avec vous, en train de faire l’amour. J’ai eu du mal à marcher pour repartir. Je me suis arrêté plusieurs fois, j’étais en feu.
Amusé d’apprendre que mon initiative avait eu le succès escompté, je porte la main à la nuque de ma femme pour la lui masser pendant qu’elle s’occupe de la vulve de Margaux. Mes allées et venues dans son vagin la poussent néanmoins plusieurs fois à s’arrêter, laissant échapper des râles de plaisir. Je suis sur un rythme calme, me ménage pour durer. Quelques minutes après je m’enthousiasme de voir Margaux jouir brusquement, cédant au plaisir procuré par les coups précis et subtils de langue de son aînée.
La jeune fille retombe dans le lit, digérant son plaisir. Elle rouvre plusieurs fois les yeux pour m’observer, en plein travail, pecs et abdos tendus. Je suis profondément plongé dans le vagin de Sophie et, les mains contre le lit, celle-ci encaisse les coups de mon bassin qui s’abattent sur ses fesses. Ma queue large évolue dans sa mouille abondante, qui coule maintenant le long de ses cuisses. Sophie ahane, les yeux clos, la tête posée sur le bas-ventre de Margaux, hallucinée par la scène. Quelques minutes après, la jeune femme s’est repris et, se redressant, tend sa main vers moi, m’appelle, les lèvres pincées, ses yeux pleins de désir charnel. Je me retire de Sophie, l’aidant à se relever, puis me positionne au-dessus de Margaux qui recule au milieu du lit. Je décèle néanmoins dans son regard de l’inquiétude. Elle me chuchote en me passant un doigt sur la joue :
– Tu es énorme, sois doux s’il-te-plaît.
Me positionnant au-dessus d’elle, je l’embrasse sur la bouche, les joues, les seins. Offerte ainsi, elle est à croquer. Mes mains parcourent son corps musclé et, prenant mon sexe en main, je le guide contre sa vulve, ouverte, excitée. Ses belles et longues jambes bronzées, ouvertes pour m’accueillir, me plaisent terriblement. Ses petites lèvres sont courtes, déjà rougies par le travail de Sophie, allongée à nos côtés. Positionné entre ses cuisses, je pousse doucement ma queue en elle. Sentant l’étroitesse actuelle de son vagin, je dois prendre mon temps. Margaux me fixe, ne détourne la tête que quand Sophie, posant un doigt sur son nez, réclame un baiser. De mon côté je profite de ses beaux seins, caresse ses larges aréoles, prenant une pause dans la pénétration pour mettre en bouche alternativement l’un et l’autre mamelon, tous deux gonflés, dardés par l’action de mes baisers.
Ma verge est en elle, à mi-chemin. J’y suis confortable, terriblement bien. Margaux s’agrippe à moi brusquement et quand je lui demande si je lui fais mal ou si suis allé trop vite, elle me répond que non et soulève son bassin pour m’encourager à progresser. M’agrippant, elle lâche en grimaçant :
– Je n’ai plus l’habitude, j’ai surtout connu des femmes dernièrement. Continue, c’est bon…
Sophie lui caresse la tête et Margaux prend sa main, lui saisit un doigt pour le mettre en bouche, le suçant suggestivement. Résistant à l’excitation que provoque cette scène, j’arrive au fond de Margaux et commence de lents allers-retours pleins de précautions. Margaux lâche un :
– Tu es gros, tu me tues… C’est bon, c’est si bon…
Sophie se penche, lui susurre :
– Tu verras dans quelques jours, il entrera aussi bien qu’en moi…
La jeune fille répond incrédule :
– Même aussi gros ?
Ma femme répond par un rire léger. La jeune fille rougit violemment, marque un temps de pause puis demande :
– Et… aussi par le cul ? Il te la met aussi là ?
Sourire de Sophie, qui répond :
– Oui bien sûr, si ça t’intéresse. J’adore ça.
Les entendre parler de sodomie me rend fou alors que je ne peux brusquer Margaux. Je suis obligé de me retirer d’elle pour éviter de jouir et Sophie rit encore quand je m’approche, en feu. Elle se moque :
– Il semblerait que notre discussion t’ait intéressé ?
Et pour toute réponse je passe par dessus Margaux, me glisse entre les jambes de ma femme, écarte largement ses cuisses et l’embroche, la pénétrant d’un coup jusqu’au fond. Redevenant sérieuse sous mon assaut, Sophie attrape mes flancs alors que je vais furieusement en elle, lui pliant les jambes, bras glissés sous ses cuisses pour la maintenir largement ouverte. Margaux s’approche à genoux sur le matelas et sans rien dire, la regardant à peine, je la fais écarter plus largement et glisse d’un coup deux de mes doigts dans sa vagin, ce qui la surprend beaucoup. Je les pousse en elle au plus profond, caressant du pouce le clitoris. Sophie a repris l’initiative, ajusté son bassin et m’absorbe en entier. Margaux, dans un état second grâce à mes stimulations, se penche vers ma femme pour l’embrasser. Je porte mes doigts, qui un instant encore était dans le sexe de la jeune femme, à la bouche, pour goûter. La texture de sa mouille est gélatineuse, au goût presque sucrée. Je me vois la sucer au réveil des heures durant.
L’orgasme monte en moi, irrépressible. N’y tenant plus je demande :
– Margaux, je peux jouir en toi ?
La jeune fille acquiesce par un large sourire et retourne à son baiser avec Sophie. Je me positionne derrière elle, entre ses cuisses, la prenant en levrette. Lorsque je lui écarte les fesses pour viser sa chatte fendue dans laquelle je vais bientôt venir, je découvre ainsi son adorable anus rose. Je la pénètre doucement, jusqu’à mi-longueur, les mains sur ses hanches, d’un rythme lent qui me frustre beaucoup. Pour compenser je caresse du pouce avec envie son orifice à l’auréole brune, promesse de délices à venir. Margaux, occupée à lécher les seins de ma femme, abandonne un instant sa tâche et geint :
– Lucas, tu es énorme, tu me remplis déjà !
Ma queue est tendue dans sa chatte, je commence à perdre mes repères. Des spasmes réguliers de plaisir montent depuis ma verge. Sophie dont les seins sont sucés par Margaux me sourit. Et c’est alors qu’une de mes poussées me fait atteindre le fond du vagin de Margaux que je viens soudainement en elle, en la tenant par la taille. Margaux est prise de légers tremblements, la tête posée sur la poitrine de Sophie. Poussé en elle profondément, mon sexe déverse le sperme en plusieurs jets longs et généreux que je sens expulser depuis le méat au bout de mon gland. Margaux me laisse me vider en elle, le dos cambré, les yeux fermés, affalée sur la poitrine de ma femme qui lui caresse amoureusement les cheveux. Je perds tout repère durant l’intense orgasme, mes doigts marquent la peau délicate de la jeune femme que je remplis de mon épaisse semence.
Vidé, fourbu, je bascule sur le côté, observant Sophie se rapprocher de Margaux, qui s’est affalée ventre sur les draps, digérant l’orgasme que nous venons réciproquement de nous donner. Sophie se couche à son niveau et lui propose :
– Je pense que cela exciterait beaucoup Lucas que tu viennes sur le bord du lit pour me lécher tout en me mettant des doigts… Y compris pour me préparer à la sodomie que va m’administrer devant toi mon mari une fois qu’il aura récupéré.
La jeune femme ne répond pas, lascive, rassemblant ses forces. Elle oriente finalement son visage vers nous pour répondre tout bas avec une mollesse qui souligne l’effort qu’elle fournit, encore perdue dans les délices de sa jouissance :
– C’est une tâche dont je m’acquitterai avec grand plaisir.
Affalée sur le lit, épaules contre le mur, je reprends mon souffle, mon dos en sueur qui perle à grosses gouttes. Les yeux un instant fermés je digère mon bonheur. Un courant d’air frais venu du jardin s’aventure par la porte dans la chambre et apporte un brin bienvenu de fraîcheur, léchant nos corps échauffés. Et au sortir de ma torpeur momentanée, je peux admirer les deux femmes, superbes, se repositionner dans le but de s’offrir l’une à l’autre, mon esprit embrouillé comprenant avec félicité que cet été serait sans aucun doute à nul autre pareil, tant l’initiation de la belle Margaux nous inonderait d’amour et de satiété des sens, tous les trois.
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