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Initiation de mon cousin américain

Chapitre 1

Un puceau bien membré

Inceste
Mon cousin d’Amérique.

Petite introduction.Bonjour à tous, J’écris depuis peu sur ce site parce que je recherche quelque chose de particulier, mais ça, je vous le dirai à la fin de cette histoire.Je me présente, je m’appelle Isabelle, ou Isa pour les intimes. J’ai actuellement vingt-cinq ans et je vis dans un département breton qui porte le nom de deux rivières. Physiquement..., attendez, je me déshabille..., voilà, c’est fait. Toute nue devant la glace de ma salle de bains, je vois une petite brune au teint mat d’origine italienne, avec des yeux marron, des épaules et des bras fins, de petits seins et des hanches évasées. Sa foufoune est bien entretenue et peu fournie. Je trouve cette fille jolie avec ses fines cuisses et ses courbes harmonieuses.
Bien maintenant que vous me voyez mieux, voici mon histoire qui est un vrai souvenir de jeune femme ; par respect de la charte, je suis obligée de modifier certains détails.Voici mon histoire :Nous sommes à l’été 2018 et nous avons accueilli ma tante et mon cousin pendant les vacances. Ma tante Christine est la sœur de ma mère, elle est divorcée et vit seule avec son fils Richard qui venait d’avoir 18 ans, à qui j’avais bien l’intention de fêter son anniversaire à ma façon. Elle exerce toujours un métier dans l’import/export qui la met à l’abri du besoin. Ils habitent à côté de Houston aux États-Unis si bien que nous ne les voyons presque jamais.
Ça ne faisait que la troisième fois que je rencontrais mon cousin Richard et je voyais toujours comme un petit garçon ; nous avons 5 ans de différence. À leur arrivée, j’ai surtout remarqué qu’il avait changé, sa voix avait mué et sa stature était devenue imposante. Il m’avait dépassée en taille et l’exercice du foot américain lui avait donné une bonne musculature. Sûrement un bel homme à venir, et tout à fait dans mes goûts. Au niveau caractère, il me semblait être resté un petit garçon, pas très mature et surtout un peu « coincé ». À son arrivée, il m’avait d’ailleurs vouvoyée ; c’est vous dire !
Petit à petit, les barrières sont tombées, nous avons appris à nous connaître, le tutoiement devint rapidement de rigueur et nous avions pu confronter nos points de vue malgré nos goûts parfois différents. Il était très agréable et savait échanger sur des sujets simples, et des discussions d’ado qui me rajeunissaient.
Les vacances se déroulaient merveilleusement bien, c’était un bonheur de les avoir à la maison. Ma tante est une personne extraordinaire, très intelligente, toujours tirée à quatre épingles ; la classe, quoi ! Elle donnait souvent des avis éclairés sur tout, mais elle était trop sérieuse à mon goût. Elle ne semblait pas savoir s’amuser et n’avait qu’un objectif : réussir sa carrière et, elle y était déjà parvenue ! Aujourd’hui, je comprends que son mari ne soit pas resté avec une femme aussi peu aventureuse. Pour finir, je sais qu’ils vivent dans une très grande maison aux États-Unis (avec tout le confort) et ils semblent assez heureux.
Un soir, nos parents sont sortis en ville à Vannes à une cinquantaine de kilomètres de chez nous et j’ai eu la nette impression qu’ils avaient tout fait pour que nous ne les accompagnions pas. Ils nous ont dit qu’ils allaient à l’opéra, en sachant que cela ne nous intéresserait pas. J’ai contrôlé un peu plus tard et je n’ai pas trouvé d’opéra dans cette ville, encore moins le concert que mon père avait décrit. Je les soupçonne de s’être organisés une soirée entre adultes, ou à faire je ne sais quoi, car je suis tombée par hasard sur l’adresse d’un club échangiste, et ça, ce serait bien leur genre.
Enfin, ce n’était pas bien grave, et je dirais même que c’était une aubaine, car j’avais le minou en feu et puis, cousin ou pas, l’envie de me taper un Amerloc n’était pas pour me déplaire. Richard et moi avons alors décidé de nous faire une soirée pizza/jeu vidéo. Je suis un peu nulle aux jeux vidéo, mais ça lui faisait plaisir. Après plusieurs parties, et mon piètre niveau de jeu a vite ennuyé Richard ; j’ai dû me résoudre à finir par le regarder jouer. Lui, accaparé par sa manette ne prêtait plus trop attention à moi, aussi je décidais d’engager la conversation sur un sujet qui m’intéressait davantage que les jeux : sa vie sentimentale. Le fait qu’il doive se concentrer sur son jeu me permettait d’avoir des réponses sans filtre, avec moins de gênes que lors d’une conversation normale ; ce qui m’amena assez rapidement à aborder le sujet qui me taraudait l’esprit, ou plutôt la chatte.
Ça a commencé du style :
— Et au niveau copine, comment t’en sors-tu ? Aussi bien qu’avec ton jeu ?
— Non, je n’ai pas de copine et je ne suis jamais sorti avec une fille.— Ça ne t’intéresse pas ?— Si, mais je ne sais pas comment faire, dit-il en essayant de dégommer ce put... de zombie.— Tu ne sais pas comment séduire, ou comment coucher ?— Les deux, mais bon dieu, il me résiste celui-là, il va voir sa gueule, tiens, prend ça enflure.— Séduire c’est vouloir plus d’une personne pour éventuellement s’engager, mais souvent on n’a pas besoin d’aller jusque-là, ça peut aussi n’être que du sexe.— Oh pour ça, j’ai internet, je vois et j’essaie de reproduire les gestes pour m’entraîner. Je dois bien dire que ça ne marche pas bien, je n’ai qu’un oreiller ! Oh je l’ai eu, je passe niveau 7 yeahh ! Niveau 7 ! T’es pas prête d’y arriver hahaha !!!!— Oui c’est sûr, aux jeux, je suis une bille, par contre niveau séduction, je m’y connais pas mal. Et si je te montrais comment t’y prendre ?
Là, il lâche la manette et me regarde fixement.
— Sérieux ?— Oui, par contre si quelque chose ne te plaît pas ou si tu juges que ça va trop loin, tu m’arrêtes et tu dis stop.— Non, non, ce sera OK pour moi.
J’ai vu une certaine lueur dans son regard qui en disait long sur son enthousiasme. J’étais donc confortée dans mon initiative.
— Tout d’abord, la séduction. Tu sais, tout est dans le regard et tes expressions. Je vois le tien qui brille et ça, ça me plaît. Après, il faut passer des moments ensemble et voir s’il y a des affinités, des goûts en commun. Tu sauras quand c’est la bonne personne quand tu seras impatient de la retrouver et quand tu ne voudras jamais la quitter quand tu es avec elle. Tu sauras que c’est la bonne, ne me demande pas comment, mais tu le sauras. Mais on n’est pas obligé de tomber amoureux à chaque fois, ça peut n’être que du sexe.
Il était complètement hypnotisé par mes mots et buvait mes paroles, son jeu vidéo n’existait plus et il était suspendu à mes lèvres. Je réussissais à ouvrir la porte et à le captiver sur un sujet enfoui en lui. Peut-être n’en avait-il pas conscience, mais il était beau ainsi, il me regardait comme un homme et non comme un enfant. Ça me touchait, et bien que je fusse en train de glisser doucement vers une relation incestueuse, je décidais donc de m’aventurer un peu plus loin. Je lui saisis la main en l’invitant à se lever.
— L’étape suivante, tu peux l’inviter à danser par exemple, les femmes adorent danser. — Ça, je ne sais pas faire non plus.— Eh bien regarde, c’est simple, on commence par trouver une bonne musique, dis-je en cherchant un vieux CD de mon père, pour le mettre dans sa chaîne hi-fi. Puis on bouge l’un en face de l’autre de la façon la plus souple possible. On se regarde, oui comme ça, tu le fais bien, puis éventuellement on se rapproche jusqu’à presque se toucher (mes seins électrisés frôlent son torse, ça me fait de l’effet, c’est sûr). Ensuite, l’homme prend la femme par la taille et moi par tes épaules et toi tu me rapproches de toi ; eh doucement, la femme est précieuse, il ne faut pas être brutal. Maintenant, si la femme te plaît, tu peux descendre un peu tes mains sur le haut de ses fesses, oui comme ça, et moi, j’ondule légèrement les hanches comme ça, oui. — C’est assez sensuel, tu ne trouves pas ?— Oui j’adore.— Tu vois, la femme qui te laisse venir à elle comme ça est probablement séduite. Maintenant, reste à savoir si elle veut une histoire ou une aventure.— Oui, comment savoir ?— Écoute-toi d’abord, qu’est-ce que tu veux toi ?— Moi j’aimerais aller plus loin, c’est sûr.— Bien, arrêtons la séduction et passons à l’étape suivante. Tu m’as dit tout à l’heure que tu t’entraînais pour le sexe, montre-moi comment tu fais ?
J’arrêtais la musique devenue inutile et il s’allongea sur le ventre sur le canapé, un coussin calé à son entre cuisses et commença un mouvement de va-et-vient ridicule. Je pouvais malgré tout mater son cul, son dos, ses cuisses musclées faire ses mouvements. Cela eut pour effet de m’exciter, de me troubler encore plus, car il était, en fait, très sexy dans cette position, mais si ridicule que je me mis à rire.
— Hahaha ! Pas très efficace comme technique, il manque quelque chose là-dessous, non ?— Je sais, mais c’est tout ce que j’ai trouvé pour m’entraîner. De toute façon, c’est pas comme ça que j’ai du plaisir. — Bien, je vais me glisser en dessous et on va voir si c’est mieux.— Okay, dit-il.
Il se releva et je m’allongeais sur le canapé dans un mouvement virevoltant qui releva ma petite jupe noire jusqu’au nombril, ce qui fit apparaître ma petite culotte violette en coton. Après la piscine de cet après-midi, j’avais mis une petite brassière multicolore sans soutif. Richard lui est en short et tee-shirt (49 ers San Francisco, je ne savais pas bien ce que ça voulait dire). Je restais ainsi, les cuisses légèrement écartées, et l’invitais à venir prendre position sur moi, en missionnaire. Il commença alors ses mouvements et j’avais tout le loisir de le peloter. D’abord les bras musclés, puis les épaules, le dos et les fesses. Il avait un corps très ferme et musclé comme les jeunes sportifs de son âge. Pouvoir le caresser ainsi me mit dans tous mes émois, mais ses mouvements n’étaient pas très agréables. Aussi je lui demandais d’arrêter.
— Bon, on arrête, il y a un truc qui gêne et ça ne va pas.— Oui je suis d’accord, mais moi j’aime bien quand même, tu sens bon et j’aime ta chaleur.— D’accord aussi, si tu veux, je peux enlever tous mes vêtements, tu pourras mieux sentir mon parfum et ma chaleur.— Oui.
J’enlevais tout, brassière, jupe, culotte et je me rallongeai dans la même position. Lui revint sur moi et recommença ses mouvements. Je sentais qu’il devenait bien excité à se frotter de la sorte.
— C’est pas encore le top, il faudrait que je te sente mieux aussi, peux-tu aussi tout enlever ?— Oui pas de problème, je pense aussi que ça va être mieux.
Là, il enleva le haut laissant apparaître son torse sans poil et svelte, puis son short glissa avec une belle vue pour moi sur ses cuisses musclées, puis son boxer est là, stupéfaction ! Il apparut une énorme queue d’au moins 20 centimètres. Quel morceau avec un gland décalotté, tout luisant du plaisir qui montait en lui ! J’étais déjà avide de cette queue, il le remarqua, car il se recoucha sur moi assez précipitamment. Son énorme bite vint buter contre mon ventre, ce qui me fit un peu mal. Je lui dis :
— Stop Richard ! Vas-y doucement. Caresse-moi un peu avant de commencer. Tiens regarde, on va commencer par s’amuser avec ce bel outil.
Donc je pris en main son engin et le fis glisser à l’entrée de mon vagin en m’amusant avec mes lèvres et son gland, sur mon clito, mon Dieu que c’était bon. Je me disais : surtout ne pas le faire entrer, je tenais juste à lui montrer la montée de désir, pas qu’il jouisse en moi, bien que je prenne la pilule. Son souffle s’accéléra nettement, le mien aussi. Une main sur son bras et l’autre sur son sexe, je le sentais se durcir encore, comme si c’était possible. Sa rigidité et sa grosseur me firent terriblement envie, je voulais le sentir en moi, mais je résistais et continuais à faire joujou avec ce gode vivant sur mon minou. Je mouillais comme une malade et je voyais Richard me regarder de haut en bas. Je savais qu’il regardait avec envie ma chatte et qu’il voulait me pénétrer avec sa bite. C’était trop dur de résister et je poussais de petits gémissements de plaisir. Je crois qu’il comprit et d’un coup il poussa d’un grand coup de reins et me pénétra avec fougue.
C’était tellement fort que sa grande queue me faisait presque mal, puis il fit quelques mouvements maladroits ; son inexpérience le rattrapait, mais je ne pouvais pas lui en vouloir. Je l’aidais avec mes hanches en ondulant autour de son pieu. Ses mouvements lui plaisaient et il poussait des grognements de satisfaction.

Ça suffisait pour le moment, je décidai de changer et de reprendre la main. Je lui dis :
— Suffit, on change de position.— OK, mais viiiiite c’est tellement bon, je n’ai jamais connu ça !
Alors, on changea de position, il s’assit pour que je puisse le chevaucher et ainsi y aller à mon rythme. En plus, je pouvais profiter pleinement de son formidable sexe. Ainsi positionné, il se mit à me téter le bout des seins, quelle excellente initiative ! Car il tète très bien, comme un bébé et ça me faisait un bien fou. « Tiens j’en mouille encore ! » Sa pine était tellement dure et grosse que je ne parvenais pas à l’engloutir en entier, mais je gérais à ma convenance. Mes mouvements étaient un délice qu’il semblait aussi beaucoup apprécier. Je n’en revenais pas qu’il tienne encore le coup, plus d’un garçon de son âge aurait déjà déchargé son foutre, mais lui non et avec ses dimensions, c’était vraiment un amant hors pair.
Mais il ne tardait pas à venir, je le sentais, je le voyais dans ses yeux. Mon orgasme se déclencha par un gros coup de chaleur dans mon ventre, et puis des merveilleux picotements qui partaient de l’échine jusqu’au cerveau. Je criais de plaisir. Je n’ai jamais eu un tel orgasme avec une telle puissance de ma vie.
Lui me regarda jouir et n’en perdit pas une miette, mais il était toujours en forme le bougre, toujours aussi dur et raide comme un I. Il décida de me basculer sur le côté pour retrouver notre position initiale. Je vis qu’il voulait me montrer qu’il avait bien appris sa leçon.
Je me rendis compte tout de suite qu’il avait retenu comment contenter une femme. Ses mouvements étaient plus précis et moins saccadés. Il était harmonieux et fougueux dans ses gestes. Il savait utiliser ses mains pour solliciter mes seins. Et puis son regard prit de l’assurance. C’est là que j’eus mon second orgasme, toujours aussi puissant.
Avec mes deux mains sur ses fesses et j’imprimais son va-et-vient et j’ai joui à nouveau juste avant lui. Son visage était déformé sous l’expression du plaisir. Je pouvais mesurer son intensité en sentant ses giclées en moi. Ça a été long et puissant, je n’avais à ce jour jamais connu d’hommes qui jouissaient aussi intensément. Mon vagin fut rempli entièrement de son précieux liquide. Je ressentais sa jouissance et les saccades de son sexe. Quel amant, et j’y étais un peu pour quelque chose, je crois.
Puis est venue la discussion d’après, mais j’avoue ne pas me souvenir de quoi nous avons parlé. Je sais qu’il me remercia d’avoir été sa professeure d’une matière qu’il ne connaissait pas très bien.Cet été-là, nous nous sommes débrouillés pour être tous les deux le plus souvent possible, ça n’a pas été trop difficile à organiser. Mais ça fera l’objet d’autres chapitres.Ma tante trouva son fils changé après les vacances. Eh c’était un homme maintenant !

Maintenant si vous voulez savoir ce que je recherche, contactez-moi en MP. Bises à tous !
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