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Initiation perverse 1

Chapitre 1

Erotique
Voila 45 ans que j’ai découvert l’érotisme, le sexe et la perversité. Ou plutôt que l’on me l’a fait découvrir.
Natif de mars, je venais tout juste de fêter mes 18 ans lorsque le printemps m’a saisi. Beau gosse, encore un pied dans l’adolescence, je n’en étais pas moins très banché "sexe". La moindre pensée me conduisait à l’érection intempestive.
Interne dans un lycée de province, je m’étais inscrit à un cours d’art plastic le mercredi après midi. Il y avait toujours de belle nanas et des mecs sympas. C’était la troisième année consécutive que je suivais ce cours et les choses devenaient plus passionnante au fil du temps : des leçons académiques, nous étions passés au stade de la concrétisation de notre projet artistique. Le mien s’inscrivait dans un travail de groupe axé sur la représentation du corps ... le choix n’avait rien d ’innocent pour mes camarades comme pour moi.
Nos travaux nous amenaient à poser nus, du moins en slip (à l’époque, en coton blanc potelé assez béant, bref rien de bien sensuel). Cela avait conduit une fille et deux gars du groupe à ne plus venir. Nous restions cinq : trois fille et deux gars. Raymond, boutonneux et toujours la queue en l’air. Moi aussi, mais sans boutons ni poils au menton ! Sylvie, les yeux en feu et la chatte suintante ; Brigitte, belle comme une déesse mais inabordable ; Dolorès, brune sans complexe mais accro à un mec externe.
Bref, beaucoup d’érections, de branlettes et toujours puceau. Seule Dolores avait sans conteste passé le cap.
La prof d’arts plastics, que l’on nommera Madame, était une belle femme de 35 ans, châtain clair, sans complexe mais distante néanmoins. Assurément pourvoyeuse de nos fantasme, y compris pour Sylvie qui nous avait confié une fois se caresser en pensant à Madame !
En ce début de mai, à quelques semaines de la fin de mon internat, j’espérai bien quitter les lieux avec un bagage étoffé en matière de sexualité : en rêver, se branler, fantasmer, ... c’est bien beau mais cela me laissait toujours sur ma faim !
Premier mercredi de mai, il y a des dates qui restent gravés dans votre mémoire, facile de se souvenir pourquoi !, nous attaquions notre séance de pose. Je posai en slip, mi allongé sur la table qui nous servait de divan, le profil impérial et appliqué à égrener toutes sortes de blagues pour me dominer de l’assurance devant les copines et le copain qui me croquait (du regard) pour me coucher (sur leur feuille Canson).
Arrive Madame qui se penche vers moi pour affiner ma posture. Regard profond dans les miens, souffle doux, haleine excitante et la voix claire "Lexi, enlevé donc cette loque posée sur votre sexe que vous dressez comme un étendard". Rouge, cramoisi, touché, pas coulé ... mais sonné le Lexi ! Rires gênés des trois copines et du copain. Simulacre de copulation par Raymond dans le dos de Madame. Cinq doigts repliés autour d’un cercle virtuel avec une manœuvre de coulissage n’offrant aucune ambiguïté sur la nature du geste évoqué de la part de Dolorès. Déjà mes sens reprennent le dessus, mes yeux se plongent dans échancrure du large pull de Madame. Je me régale des deux globes emmaillotés d’un soutien gorges en soie. Je devine, ou j’imagine, plus que je ne les voient, deux tétons aux auréoles larges ... Son odeur, douce, légèrement parfumée, m’enivre ...
"Alors, il se décide à poser en tenue correcte le jeune homme ou il continue à dresser sa culotte comme un étendard ?" Madame me ramène brutalement à ma piteuse condition de modèle amateur ! Pour autant, son ton dément la dureté de son propos. La voix est chaleureuse, enjouée, taquine. Le regard également. Je découvre un sourire amusé et un coup d’œil rapide mais intéressée vers ma bite encore plus violacée que d’habitude.
Si Madame continue à me regarder, on fait mine de me toucher, je sens que je vais exploser !
Sylvie se mêle de la situation "Lexi, montre nous ta bibite, elle doit être mignonne sans son cache nez ...". Madame se retourne, souriante et taquine vers Brigitte "Ne te précipite pas, ton jean m’a l’air déjà bien trempé comme ça !" Cassée la Brigitte. Du coup, c’est elle qui est rouge feu ! Madame s’approche d’elle et glisse sa bouche près de son oreille et lui dit à haute voix "t’inquiète pas Brigitte, on est tous fait du même bois et au printemps, la sève sort de partout".
Remis un peu de mes émotions, je me décide à me mettre "officiellement nu" avant de reprendre la pose, la bite volontairement exposée dressée et exposée aux yeux de tous. Madame quitte la pièce avec un moment amusé "maintenant, vous n’aurez plus de prétexte pour ne plus dessiner un sexe dans toute sa splendeur.
La séance continue entre commentaires gentils de mes camarades qui tout en dessinant, calme leurs excitation par le passage furtif de la main sur le sexe, y compris Raymond dont je comprends d’un seul coup que je ne laisse pas insensible.
La fin du cours arrive, je me rhabille. Sylvie décide de venir m’aider ce qui lui donne occlusion de me toucher. Lorsque je tends ma queue vers elle d’un coup de bassin, elle rougit  et s’en va précipitamment. Ce qui fait rire aux éclats Dolorès qui me matte également.
Au moment de m’en aller avec Raymond et Brigitte, Madame me rappelle. Son regard est sérieux, il m’englobe de la tête au pied. Comme un maquignon qui jauge une bête ! "Le weekend prochain, je fais une séance de pose chez moi. Nous travaillons en famille avec mon mari et les enfants. Ils ont ton age, Marie 20 ans et Simon, 19 à peine. Si tu es d’accord, nous t’accueillons. Nous travaillons le dessins, la photographie et le moulage. Cela peut intéresser pour progresser dans bien des domaines ..." Je rêve, je l’imagine posant nue pour moi, je suis sans voix. "Nous travaillons essentiellement la représentation du corps dans tous ses états" .... je n’entends plus rien, je rêve ! "Alors, ... c’est oui ?"
Complément sonné, je m’entends répondre "Oui Madame".
... " D’accord, samedi, à 11H, à la fin de tes cours, tu me rejoins à la voiture sur le parking. Bonne après midi."
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