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Initiation au plaisir anal...

Chapitre 1

Hétéro
Comme je l’ai écrit dans ma présentation, j’ai envie de vous faire partager quelques anecdotes vécues de mon passé...
Celle-ci raconte l’initiation au plaisir anal que j’ai "administrée" à une charmante femme de 39 ans, j’en avais 40 à ce moment là.
J’ai connu Nathalie grâce à un célèbre site de rencontre, fin octobre ou début novembre 2012, mes souvenirs sont un peu flous quant à la date précise, mais seul cette date m échappe...
Nous nous sommes rencontrés un samedi en début d après-midi à Nantes, rendez-vous à un arrêt de tram en centre ville, je l’ai reconnue aisément avec son parapluie, il pleuvait ce jour là.
Elle était comme sur sa photo présente sur le site, un visage avenant, mignonne, un peu coquette, de beaux yeux verts légèrement maquillés derrière ses lunettes, des cheveux bouclés, châtains avec des mèches claires.Habillée avec goût, pantalon et manteau, elle était assez menue comme le laissait supposer sa description, un peu moins d 1m60 et à peine 45kg, ce qui contrastait avec ma stature, 1m80 pour 8Okg, assez musclé, crâne rasé.
Nous conversions par message depuis une dizaine de jours, nous nous plaisions, et je la sentais très désireuse de me rencontrer.
Notre attraction mutuelle s’est confirmé rapidement, nous nous sommes baladés environ une heure en discutant, avant qu’elle ne prenne l’initiative de m attirer sous une porte cochère et de m’embrasser avec fougue.Elle me regarda ensuite dans les yeux et me dit "on va chez moi?"Waouh! Très direct!
On a pris le tram, direction la ville en périphérie où elle habitait, récupéré sa voiture, et elle m’a emmené dans son appart où elle vivait avec son jeune fils, en garde chez son ex-mari ce jour là.
Dès la porte franchie, elle m’attira dans sa chambre, et nous avons fait l’amour assez fougueusement, elle avait très envie et moi aussi.
Notre histoire a ainsi commencé.
Je ne suis resté que l’après-midi cette première fois, elle récupérait son fils le soir même, ne s’étant libérée que pour me rencontrer.Et nous nous sommes revus régulièrement, au gré de ses disponibilités professionnelles et maternelles.
Elle travaillait dans une "Maison de la presse", et son fils était en institut spécialisé, donc elle m’invitait souvent. Pour ma part, je vivais à ce moment là en coloc chez un pote d’enfance à 70km de Nantes depuis mon retour d’un long voyage à l’étranger.On s’est donc vu assez souvent, j allais passer deux jours chez elle par semaine.
Elle était demandeuse sexuellement, et je m’étais vite rendu compte qu’elle avait une expérience limitée dans ce domaine.Quelques petites aventures avant son mariage avec un homme un peu rustre, guère raffiné selon ses dires en matière de sexe. Ma sensualité lui plaisait énormément, elle qui n’avait connu que des rapports un peu bâclés, sans fantaisie, et malheureusement sans beaucoup de plaisir pour elle.
J’étais sa première rencontre depuis sa séparation, son divorce était d’ailleurs en cours.J’ose dire qu’avec moi, elle a vraiment découvert le plaisir.Le plaisir de se faire caresser longuement, de se faire lécher (j’adore!), d’être pénétrée dans des positions souvent jamais pratiquées par elle auparavant.
Elle découvrait le vrai plaisir sexuel à presque 40 ans, elle était ravie, et moi aussi. Cette situation était très plaisante, même gratifiante pour moi. Et je prenais un malin plaisir à la "dévergonder", même si je me rendis assez vite compte qu’elle avait des principes, qu’elle avait des limites infranchissables pour elle, lorsque j’évoquais mon passé libertin.Mais à deux, dans notre intimité, elle acceptait toutes mes envies souvent inconnues pour elle, on a fait l amour partout dans son appart, elle qui ne connaissait que la chambre. Elle se sentait d’ailleurs beaucoup plus à l’aise sur son lit.
Question pratiques, elle aimait tout, seule la fellation posait un peu problème, elle n’était pas très douée, certainement marquée par la relative brutalité de son ex-mari. Elle me suçait du bout des lèvres, sans véritable passion ou envie, pour me faire plaisir même si je ne le lui demandais pas particulièrement, sentant ses réticences.Elle devait se dire que c’était un passage obligé pour elle vu que je passais de longs moments à la caresser et la lécher, mais un homme remarque très vite si sa partenaire aime ce qu’elle fait ou non. Et Nathalie n’aimait pas trop me sucer même si elle le faisait sans que je le lui demande, allant même jusqu’à me faire jouir dans sa bouche, mais sa réaction de dégoût fut si forte que je refusais ensuite qu’elle recommence.Je me contentais de rapides caresses buccales de sa part, pour ensuite la pénétrer, ce qu’elle adorait, elle en jouissait, même si moins que par stimulations de son clitoris.
J’avais donc pris l’habitude (dommage les habitudes au bout de quelques semaines...) de la prendre après des préliminaires surtout pour elle, dans des positions où je pouvais stimuler son clito en même temps.Et là, elle jouissait très fort.Souvent en levrette, sa tête dans l oreiller pour atténuer ses petits cris de jouissance, je la pénétrais longuement, une main par dessous son ventre triturant son p’tit bouton tout dur.Et dans cette position, ses petites fesses sous les yeux, je voyais son anus qui m attirait. J ai très tôt dans ma vie sexuelle découvert la sodomie, et j adore cette pratique, c’est une sensation très différente de la pénétration vaginale, tant au niveau des sensations physiques que psychologiques.
Connaissant son passé sexuel, je n’osais pas trop la caresser à cet endroit, tout du moins au début de notre relation.Puis un jour, en la léchant, j’aventurais un doigt vers sa petite corolle et commençais à l’effleurer. Elle me prit la main, m’arrêta, et me dit qu’elle n’avait jamais fait ça, qu’elle avait essayé mais qu’elle avait eu trop mal. Je l’ai alors rassurée, lui ai dit de me faire confiance, que j’allais la caresser doucement, et elle me laissa reprendre. Je me suis contenté ce jour là de masser son petit trou que je trempais de salive, passant ma langue dessus par moment en lui relevant les jambes alors qu’elle était sur le dos. J’introduisis même une ou deux phalanges, et apparemment cela lui plaisait.Je ne suis pas allé plus loin ce jour là avec elle, mais j’en avais très envie...
A notre rencontre suivante, j’avais encore cette envie précise en tête...et un plan.
Cette fois-ci on se voyait en milieu de journée, je l’avais attendue garé sur le parking devant la presse où elle travaillait, et nous sommes partis chez elle où elle voulut rapidement faire l amour. Elle était devenue très "sexuelle" depuis que nous nous fréquentions.
Je lui proposais alors un massage, ce qu’elle accepta avec plaisir. Sans pudeur avec moi, contrastant avec son allure de femme un peu stricte, elle se mit nue et s’allongea sur le ventre dans sa chambre, sur son lit.J avais acheté un gel de massage D...x, je m’en étais déjà servi avec de précédentes compagnes, j’en aimais la texture non grasse comparée aux huiles de massages.
Je me suis déshabillé, restant en boxer, et m’installa à son côté, commençant mon massage, je sentis vite que l’action de mes mains lui plaisait et lui faisait beaucoup d’effet.
Au bout de quelques minutes, elle avait déjà écarté largement les jambes, dévoilant sa petite chatte que je lui avais rasé quelques semaines plus tôt (j’adore aussi!), et depuis elle préférait rester toute lisse. Sa fente était légèrement ouverte, et ses lèvres luisaient de ses sécrétions intimes, témoignant de sa forte excitation. Je pris plaisir à la faire languir, à sentir monter son excitation, ne caressant son sexe que de courts moments, reprenant ensuite mon massage et mes caresses sur son dos, ses fesses, ses jambes, et sur ses flancs, passant parfois une main sur ses petits seins aux tétons tout durs.
Et je m’intéressais beaucoup à ses fesses...
Je les prenais à pleines mains, bien enduites de gel de massage, je les pétrissais, les écartais, je passais la tranche de la main du haut de la raie de son p’tit cul jusqu’à sa chatte, ce qui la faisait soupirer de plaisir et d’envie.Elle surélevait même son bassin lorsque mes mains étaient sur ses fesses, sa chatte coulait, elle avait très envie que je la fasse jouir, en la masturbant ou pénétrant, ou les deux, et me le disait.
Mais j’étais décidé à la faire patienter, et à m’occuper de son anus...
Ses fesses bien glissantes avec le gel, j’ai commencé à préciser mes caresses sur son p’tit trou, appuyant mes doigts dessus, le massant, l’assouplissant au fur et à mesure de mes passages, allant toujours de temps en temps caresser sa chatte trempée, lui introduisant quelques doigts dans le vagin, caressant son clito.
Elle en jouissait, mais sans atteindre l’orgasme que je refusais de lui donner.
Elle semblait apprécier que je lui caresse son anus, je lui glissais alors un doigt et très rapidement deux (deux c’est mieux, la sensation est meilleure qu’avec un seul, de sentir son anus franchement écarté plutôt que l’impression bizarre d’avoir juste un doigt), et elle en gémissait de plaisir. Je l’ai masturbée ainsi de longues minutes, deux doigts plantés dans son cul, l’autre main sur sa chatte dégoulinante.
Puis, j’ai pris un oreiller, et soulevant son bassin, l’ai glissé sous son bas-ventre sans protestation de sa part, surélevant idéalement ses fesses pour continuer à m’occuper d’elles.Remettant du gel pour que ça glisse toujours très bien (très important lors de jeu anal, surtout les premières fois), mes deux doigts faisaient des vas et vient en elle, bientôt rejoints par un troisième, elle adorait, en criait presque. Le spectacle qu’elle m’offrait me faisait bander très dur, sans même me toucher, ma bite était raide dans mon boxer. Sentant que je jouirais trop vite si je la pénétrais maintenant, et voulant aller au bout de ce que je voulais lui faire "subir", je me suis contenté d’enlever mon boxer et de passer mon sexe le long de sa raie, installé derrière elle. Ce qui a déjà failli me faire jouir...
Constatant qu’elle aimait toujours ma masturbation anale, et ne me demandait pas d’arrêter, j’ai continué avec mes doigts, et voulant aller plus loin, j ai pris le flacon de gel à la forme équivoque (allez voir au rayon du supermarché! ) et j’ai commencé à l’appuyer sur son anus tout dilaté sans réaction négative de sa part, au contraire...Le flacon, pourtant d’une taille respectable, est rentré très facilement dans son cul, entièrement, et Nathalie me disait en gémissant "oh c’est bon, c’est bon..."
Je l’ai godé de longues minutes avec le flacon, elle jouissait vraiment, l’orgasme la tétanisait, allongée le cul offert, jambes écartées. L’orgasme anal, lorsqu’il est atteint, peut durer longtemps, tant que la pénétration continue...alors je continuais.
Puis, ayant très envie de jouir moi aussi, elle ne m’avait pas du tout touché, j’ai enlevé le flacon laissant son anus tout ouvert, et j’ai rentré ma bite entre ses fesses sans aucune résistance, et la sensation de ses chairs les plus intimes, bien chaudes, enveloppant ma verge, me procurait un immense plaisir, et elle aussi appréciait toujours.J’ai réussi à tenir quelques minutes en faisant de longs et profonds aller-retour, les deux mains sur ses fesses, les écartant, en variant la vitesse de ma pénétration, avant de sentir ma jouissance monter inexorablement, je me suis alors enfoncé le plus profondément possible, et j’ai éjaculé de longs jets de sperme au fond de son p’tit cul, en criant le fort plaisir que je ressentais.
J étais repu, et Nathalie aussi.
Je me suis retiré d’elle, laissant son anus tout ouvert, et vu qu’elle ne bougeait pas, j’ai vu assez vite des filets de sperme sortir de son p’tit trou plus si petit, c’était très beau à voir...
Je me suis allongé près d’elle, elle m’a enlacé, et m’a dit qu’elle avait adoré, un peu gênée, car je pense qu’elle n’avait jamais pensé pouvoir jouir en se faisant enculer.
Son éducation un peu rangée avait du lui apprendre que les femmes "convenables" ne prenaient pas de plaisir avec leurs fesses.
Par la suite, cette pratique est devenue fréquente entre nous, elle était même demandeuse.
Anecdote finale, je lui ai offert un vibromasseur d’une belle dimension, plus épais et plus long que ma verge, désirant secrètement l’initier au plaisir de la double pénétration, mais elle n’aimait que moyennement.Je jouais quand même souvent avec ce vibro, elle adorait quand je la sodomisais avec.
Elle a découvert avec moi qu’elle jouissait encore plus avec ses fesses qu’avec son vagin, tout en aimant toujours tout. Très clitoridienne, un peu vaginale, et fan de sodomie!
A tel point qu’elle m’avoua quelques temps plus tard que seule dans sa chambre, elle se masturbait longuement en s’enfonçant le vibromasseur dans l’anus tout en se caressant le clito.
Une belle révélation!
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