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Initiation au plaisir à trois, dans une voiture exiguë

Chapitre 1

La branleuse et la suceuse…

Avec plusieurs femmes
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Très important :
Introduction, à lire pour ceux qui veulent comprendre la société française, et à dépasser pour ceux qui cherchent à lire uniquement du sexe.

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La société française regorge d’un genre de femme, en proportion qui augmente d’un jour à l’autre. Celle, pas gâtée par dame nature, généralement d’un niveau social modeste ou carrément démuni, avec habituellement des enfants à charge. Surtout un mari ou un compagnon, qui excelle par une passivité exemplaire. Elle finit par mettre sa sexualité entre deux parenthèses, surtout lorsque le mari ou le compagnon n’en voit qu’une « vide-couille » à baiser, faute de mieux.
Entre ce délaissement chronique, et un quotidien plus que difficile, se résume une vie, qui ne vise qu’à joindre les deux bouts.A l’instar de Caroline et Sonia (comme vous allez le lire), et bien d’autres, cette femme a pour réflexe premier, d’enfouir sa propre sexualité, tant l’instinct de survie, et la charge d’une vie de plus en plus chère, sont nettement plus importants.
Néanmoins, ce diable enfoui ne met jamais longtemps pour se réveiller. Une simple masturbation, ou même un gode, arrive souvent à le calmer. Pour un certain temps.Cette femme rêve toujours, comme toutes ses semblables, d’amour et du prince charmant, mais sous la pesanteur du réel, sait se contenter, même être heureuse, et connaître un vrai bonheur, avec un homme qui lui offre en premier le respect, sans tenir compte de sa situation sociale, en second satisfaire, autant que possible, son éternel besoin sexuel.
Elle n’exige ni la bite de Rocco Siffredi, même si certaines en fantasment, ou la tendresse de Roméo pour sa Juliette. Uniquement un brin d’attention, et de la tendresse qui finit sur un lit. Un plaisir sexuel, offert par les doigts ou la langue, peut faire l’affaire, si la bite, sous l’effet de l’âge, le stress, et surtout l’alcool, trouve toutes les peines à se redresser.
Un pourcentage non négligeable de ce genre n’a jamais eu de plaisir par le biais d’une bite... Hormis les godes de différents calibres.Cette femme, qui se néglige toujours, devient une bête de sexe, à la première occasion sérieuse...Comme est le cas de Caroline et Sonia (les deux protagonistes de cette histoire), qui sans être libertines, ont accepté ce qu’elles ne peuvent imaginer faire, une minute avant notre rencontre. Uniquement, par esprit rationnel, et même instinct de survie sexuel.
Pour faire perdurer cette relation et par conséquent ce plaisir, ce genre est généralement, est prêt à tous les sacrifices. Non seulement élargir brusquement le cercle de la pratique sexuelle acceptable, mais mettre en danger le foyer familial, et même le fragile fil qui maintient l’équilibre de sa famille.
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Assis sur la banquette arrière d’une voiture, qui n’encourage guère à y monter, tellement lugubre, et sans aucun luxe, mon regard n’a pas quitté les deux dames assises à l’avant. Elles représentent l’image de cette « mère de famille », en éternelle confrontation avec la fameuse « fin du mois », raison pour laquelle, elles font recours au covoiturage, pour s’alléger autant que possible du coût du carburant, et de la sorte réduire le coût de ce voyage. La preuve : elles ont encaissé ma contribution, avant que je ne puisse mettre mes fesses sur la banquette de leur voiture.
Soudain, la sonnerie d’un SMS me fait sortir de mes pensées. Je reconnais le numéro de la femme assise à côté de la conductrice. Celle avec qui j’ai discuté pour arranger ce voyage.J’ouvre le SMS, et je reste bouche ouverte une dizaine de secondes. Voici ce je viens de lire :« - À ton regard, j’ai vu un chaud lapin, tu baiseras laquelle de nous deux ?»

Maîtrisant mon cœur qui bat la chamade, je réponds :
« - Je ne peux faire le choix. A vous de le faire. Car personnellement, je dirais les deux. »« - Réponse qui exprime l’éternel fantasme de tous les hommes. »« - Pas un fantasme, je vis ce plaisir avec deux copines, qui oseront le faire, devant, et même avec vous deux»...« - Prétentieux et mythomane...»« - Mets tes écouteurs, je vais t’envoyer la preuve ».
Avant qu’elle ne mette ses écouteurs, je balance quelques vidéos tournées avec mes deux copines.J’entends sa respiration, tellement la surprise est grande.
« - Qui me dit que la personne sur les vidéos est bien toi ? » « Si ta copine est OK, je baisserais mon pantalon volontiers. »« - Place-toi derrière ma copine, et baisse ton pantalon sans éveiller ses soupçons. »
Je me glisse totalement derrière la conductrice, je baisse mon pantalon délicatement jusqu’aux genoux, je prends mon téléphone et je filme mon interlocutrice, puis mon sexe, et j’envoie la vidéo. Elle se tourne brusquement, me regarde dans les yeux, puis fixe mon sexe.La conductrice lui demande :
— Ça va ?— Oui, il m’a semblé connaître la voiture d’une amie au rétroviseur.
« - Tu me feras quoi avec cette grosse et belle bite ? » « - Je vois que tu es une salope, qui adore fantasmer. Moi, j’adore le réel. Ou bien, tu trouves le moyen d’informer ta copine, et je vous baise ensemble. Ou bien tu gardes les vidéos pour accompagner tes masturbations. Et je descends à la prochaine station. Je veux un OUI ou un NON. »« - À la prochaine station, je lui en parlerai »...«- OK salope de branleuse »...
— Dis donc Caroline.— Oui ma chère Sonia.— La prochaine station est toute proche, je pense ?— A quelques kilomètres.— On s’arrête.
Dans la station, on descend tous les trois, les deux femmes s’absentent quelques minutes. Elles reviennent l’air plus que sérieux :
— Comme ça, Monsieur veut nous baiser ensemble ?— Ta copine m’a demandé laquelle j’ai envie de baiser, j’ai répondu les deux.— On n’a jamais fait ça ensemble.— Alors, oubliez tout. Mille excuses. Je peux descendre ici, tant j’ai payé ma contribution.
La conductrice semble plus que contrariée, et dit d’une voix timide, en regardant sa copine :
— J’ai dit : « On n’a pas fait », et non pas « on ne fera pas ».
Sonia intervient :
— Tu proposes quoi ? On n’a pas un lieu intime, ici.— Montons dans la voiture.
Puis j’ordonne à Sonia :
— Toi derrière.
Dans la voiture, j’ordonne à Caroline de rouler à l’extrême du parking vide, en cet après-midi de mardi. La surface du parking, et le mur qui l’entoure, nous offrent la meilleure discrétion.Avant qu’elle ne stoppe la voiture dans un coin, mon pantalon est à mes chevilles, je prends sa main, et je la mets sur mon sexe. Elle prend une respiration :
— Mon Dieu, je pensais que des choses comme ça n’existent que dans des films X.— Suce-le.
Caroline semble n’attendre que mon ordre. Je regarde Sonia dans ses yeux. Rarement, un désir n’a été aussi fort dans les yeux d’une femme.
— Salope, masturbe-toi.
Elle lève sa robe, et se lance avec frénésie en écartant un slip à dentelle, de couleur rose.Concernant les mensurations des femmes, que les auteurs adorent citer dans les détails, je dirai pour résumer, que je suis avec deux « mères », qu’on a l’habitude de voir plutôt dans les grandes surfaces, à pousser un Caddie plein à craquer, en zigzaguant entre les rayons, en quête de la moindre réduction, plutôt que dans un parking. Une à tailler une pipe, et l’autre à jouer la branleuse/voyeuse.Caroline tout en enfonçant mon sexe au fond de sa bouche, actionne le levier pour mettre le dos de mon siège à plat. Puis sans lâcher mon sexe, ouvre son pantalon, et s’en débarrasse. Son slip aussi, et me monte dessus.Mon sexe n’a mis que quelques secondes pour prendre sa place au fond de son vagin ruisselant.Elle m’embrasse, et se lance dans une ondulation de son bassin.
— Tu vas bouffer le sexe de Sonia.— Dans cette position, je ne te refuse rien.
Avec difficulté, Sonia trouve la posture, qui permet à Caroline de lui bouffer la chatte.Tout en ondulant de plus en plus fort son bassin, Caroline commence à lécher le sexe de sa partenaire, qui gémit très fort.Je ne sais pas quel rapport entretiennent ces deux femmes, mais je remarque une aisance partagée.Sont-elles expérimentées, ou une simple décision courageuse ?Caroline n’a pas cessé une seule seconde de faire bouger son bassin. J’ai entre mes mains une femme, plus qu’avide de plaisir. Sonia aussi semble frustrée, sinon elle n’aurait pas eu le courage de m’envoyer un SMS aussi direct, pour déclencher toute cette cascade d’événements, qui ont fini en un trio, dans une voiture aussi exiguë.
Soudain, les deux femmes commencent à gémir, chacune émet un son différent. Caroline, une voix douce, mais un gémissement plus long, peut-être parce que sa bouche est engagée dans un cunni improvisé. A l’inverse de Sonia, qui d’une voix haute et un gémissement plus court, exprime, elle aussi, ce cheminement en crescendo vers un plaisir certain.
Les deux jouissent avec un décalage d’une dizaine de secondes. Sonia la première, qui s’empresse de presser la tête de sa compagne contre son sexe.Caroline par contre, serre mon sexe entre les muscles de son vagin, et se bloque ainsi.Le réveil est à la fois doux et lent. Les deux femmes ouvrent les yeux.Caroline m’embrasse tendrement :
— Merci bébé.
Sonia réplique :
— Je ne savais pas que tu suçais les femmes ?— Tu me connais bien. Je n’ai jamais pensé à sucer une femme, surtout toi... Mais j’ai craint qu’il s’en aille.
Elle regarde Sonia, puis me regarde :
— Lorsque j’ai vu la bite sur ton téléphone, puis ici devant mes yeux, je me suis sentie prête à sucer en public l’humanité entière.— En tout cas, tu suces bien...
Caroline se dirige vers moi, et me dit tendrement :
— Bébé, tu n’as pas éjaculé ?— Je vais le faire tout de suite dans vos bouches.
Caroline me regarde et dit :
— Je suis prête.— Moi aussi.— Descendez alors.
Caroline cherche son pantalon pour le mettre, et Sonia soigne son apparence. Habillées, elles viennent se mettre à genoux devant moi, entre la voiture et le mur, la bouche ouverte, et la langue dehors.
— Sonia, tu es déjà « ma salope »... Caroline, tu seras « ma pute ».— OK, belle bite.
Les deux bouches entament une fellation commune. Sans coordination aucune. Parfois, elles se frottent, et parfois, une lâche mon sexe.Je prends la direction des opérations. J’enfonce mon sexe totalement dans la bouche de l’une, et j’ordonne à l’autre de lécher mes couilles.Je fais monter la pression de la gorge profonde. Aucune ne proteste. Je ne sais pas, si elles acceptent par pur plaisir, pour ne pas paraître moins coopérative que sa partenaire, ou de peur de ma réaction.La dernière gorge profonde pour Sonia est d’une force telle, qu’elle a risqué la suffocation.Devant un tel engouement, mon plaisir commence à monter. Sans rien dire, elles comprennent l’imminence du jet de sperme. Les deux bouches grandes ouvertes se remplissent.
— Avalez...
Sonia se charge de nettoyer mon sexe avec sa langue, et ne laisser aucune goutte.Dans la voiture, Caroline me dit :
— Tes copines sur les vidéos paraissent plus jeunes et plus belles, et certainement t’offrent plus de plaisir que nous deux.
Elle me prend par la main, et continue :
— Nous espérons t’avoir à nous deux, par moments.— Vous allez les connaître et on va s’éclater ensemble.
Sonia éclate :
— Baiser à quatre... Je veux dire à cinq.
Caroline remarque :
— Elles vont accepter deux femmes comme nous ?— Si vous n’avez rien à faire ce soir. On les rencontre et vous pouvez leur poser la question.
Les deux semblent gênées. Caroline me dit calmement :
— Tu penses que deux femmes très belles, en tout cas plus belles que nous deux, accepteraient de te partager avec nous.— Plus que certain.
Le reste du voyage se passe très bien. J’apprends qu’elles sont cousines, célibataires, et sans enfants. Aussi, chômeuses, et vivent ensemble.
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