Fin de soirée. La nuit est tombée, mais vous êtes toujours en train d’échanger sur la terrasse aménagée avec goût. Tu vas peut-être découvrir en rentrant que quelques moustiques se sont encore fait un festin avec ton sang, mais sur le moment, l’idée ne préoccupe même pas. Avec la satiété après ce barbecue plus les quelques verres de mojitos, il est plus facile de se concentrer sur l’instant présent et éviter de se prendre la tête avec ce qui pourrait se passer. Pour cette fois, vous n’êtes pas partis dans un hôtel anonyme, mais chez un vieil ami chez qui vous allez séjourner au moins une fois par an. La pinède, le soleil, la grande piscine où bronzée toute nue voire s’envoyer en l’air sans choquer les amis habitués à ce qu’aucun endroit et aucun risque d’être surpris ne vous arrêtent, que demander de plus. Rien de tel que quinze jours dans une immense villa dans le sud pour décompresser de trois mois du boulot. Les endroits où vous êtes invités doivent se préparer à être baptisés à coups de fluides intimes, parties communes comprises. Quelle idée de ne baiser que dans le couvert d’une chambre à coucher quand o peut se laisser aller n’importe où et rajouter au sexe le frisson d’être découverts et éventuellement surpris par un ou plusieurs spectateurs. Ton cul a déjà beaucoup pris cette après-midi alors que te surprenant nue et le corps huilé sur une chaise longue, H t’a offert sa queue bandée que tu as goulûment prise en bouche avant qu’il ne profite de toute cette huile pour se glisser bien au fond de ce cul auquel il est si accro. Cette chaise longue gardera certainement définitivement les marques de cet enculage sauvage et impromptue. Ça fera un souvenir de plus pour votre ami. Son petit côté voyeur est gonflé à bloc à chacun de vos séjours. Ce soir, vous n’êtes pas trois, mais quatre. Votre ami s’est permis d’inviter une copine. Vous n’alliez pas dire non, après tout, il est chez lui. Et puis Sarah, jolie blonde dans son minishort et haut de maillot de bain a l’air de mettre de l’ambiance. Votre ami vous connaît bien. S’il était aussi ouvert à l’idée d’inviter Sarah ce soir, c’est entre autres choses parce qu’il la connaît elle aussi, et sait que c’est une femme très ouverte et pleine de vie. Elle ne risquait pas d’être choquée et mal à l’aise avec certains sujets de conversations et souvenirs pouvant être évoqués pendant cette soirée. Tu es assise à côté d’elle sur la banquette et à votre gauche et votre droite entourée par un homme sur un fauteuil de jardin. Vos jambes qui se frottent occasionnellement lorsque vous bougez. Les petits gestes comme la main sur l’avant-bras ou la cuisse ne trompent pas. Tout le monde ce soir est vraiment à son aise.La soirée est délicieuse ce soir. La tombée de la nuit compense juste comme il faut la chaleur de la journée. Si vous preniez la peine de lever la tête, vous pourriez vous perdre parmi les étoiles infinies qui ressortent comme des diamants dans la nuit noire. Le temps semble suspendu alors que les verres et les sujets de conversation entrecoupés d’éclat de rire s’enchaînent. Sarah s’est parfaitement intégrée à votre groupe. Vous la connaissez depuis quelques heures à peine et c’est comme si cela faisait des années. La blondeur de ses cheveux contraste avec son bronzage. Ses seins naturels un peu plus gros que les tiens forment un magnifique décolleté dans son haut de maillot de bain. Tu ne sais pas pour les hommes, mais même toi qui pourtant n’as qu’un intérêt sexuel occasionnel pour les femmes ne peux empêcher tes yeux d’observer ses seins bouger en même temps qu’elle. Quand ton regard n’est pas attiré par un reflet des torches Tiki sur la pierre accrochée à son nombril. Un instant, tu te demandes si c’est le seul endroit que Sarah a de percer. En tout cas, ça ne semble pas être le cas de ses mamelons qui pointent à travers le tissu. Il est déjà quasiment minuit, mais personne n’a envie de bouger. C’est le genre de soirée dont on aurait tendance à vouloir qu’elle dure éternellement. Ce genre de moment hors du temps où le plaisir de la bonne compagnie permet aux sujets de conversation de s’enchaîner les uns après les autres. Les effets désinhibiteurs de l’alcool font petit à petit leurs boulots, et des sujets que l’on ne se serait pas vu abordé en début de soirée finissent par monter à la surface. On se permet des questions plus intimes, on est plus ouvert à partager ses expériences personnelles. Même toi qui en début de soirée t’étais contentée de te présenter comme autoentrepreneuse, finis par avouer que tu gagnes ta vie en tant que webcam girl qui prend du plaisir à s’exhiber devant des inconnus. Sarah bien qu’un peu surprise au début, n’a pas du tout l’air gênée par cette révélation. Au contraire, elle fait partie de ce genre de personne pour qui la curiosité l’emporte sur la gêne. Est-ce à cause de ce sujet de conversation qu’elle semble avoir le rouge aux joues ? Elle se montre tellement intéressée que ça ne semble même plus si étonnant que ça quand, confidence pour confidence, elle avoue que ça l’exciterait bien de tenter ce genre d’aventure pour voir. Elle n’en a jamais eu l’occasion, et ne s’est jamais sentie assez à l’aise avec un partenaire pour ça, mais l’idée d’être observée prenant du plaisir n’est pas pour lui déplaire, avoue-t-elle avec un petit sourire coquin. Après qu’elle t’ait questionnée sur le boulot de camgirl, c’est toi qui te retrouves à l’interroger sur ses précédentes expériences pour tenter de l’aider à savoir si ça pourrait être son truc à elle aussi. Tu tentes petit à petit d’en savoir plus sur cette sphère intime de la vie de votre toute nouvelle amie. Il n’y a pas besoin d’avoir une vie sexuelle particulièrement débridée, d’avoir couché à plusieurs, avec des femmes aussi bien que des hommes ou dans des lieux publics comme toi pour se masturber devant une caméra, mais c’est l’occasion de vérifier à quel point elle est libérée... Et sans aucun doute de nourrir tes fantasmes. Le résultat ne se fait pas attendre. Ces expériences et fantasmes avoués du bout des lèvres autant que son manque d’expérience font monter la température. Tu sens que le rouge te monte aux joues à toi aussi et que l’atmosphère se réchauffe pour tout le monde. Les deux hommes sont assez silencieux pendant cet échange, mais il est évident qu’ils sont attentifs à la moindre parole que vous échangez entre femmes. À un moment, tournant la tête, tu perçois un mouvement discret de H essayant de ranger son paquet qui semble être devenu plus imposant dans son short. Votre ami commun est plus discret et seul son regard intense alors qu’il boit régulièrement une nouvelle gorgée de whisky montre son intérêt pour l’échange très personnel qui a lieu entre Sarah et toi. Soit la jeune demoiselle est très influencée par l’alcool soit elle n’est vraiment pas pudique, car même si son ton est un peu timide, elle partage volontiers ses expériences un minimal original. Comme un certain nombre de femmes, elle a plus d’envie que d’expérience. Elle n’a jamais sucé un mec devant un pote, mais elle s’est déjà envoyée en l’air sur un parking. Elle n’a jamais fait de partie à trois ou plus, mais elle a déjà joué à touche-pipi avec une copine à l’adolescence et eu une expérience lesbienne lors d’une autre soirée où elle avait un peu bu. Comme toi-même si cette expérience entièrement féminine ne lui a pas déplu, elle ne se voit pas tomber amoureuse d’une femme et se passer définitivement d’une bonne bite capable de la démonter à grands coups de reins solides. Plus les confidences s’enchaînent et plus il te semble que la nuit ne suffit plus à rafraîchir l’atmosphère.
Il ne fait aucun doute que si tu glissais un doigt sous ton string le long des lèvres de ton sexe, celui-ci glisserait facilement avec la mouille que tu sens rendre moite ton entrejambe.Si Sarah avait plus d’envie que d’expériences, peut-être cette soirée était-elle l’occasion de tester sa motivation ? L’idée te tentait bien. Les rennes de la raison tentaient vainement de te contraindre à un peu de raison, mais entre l’alcool et l’excitation, la raison avait encore moins d’emprise sur toi que d’habitude. Une part de ton esprit tentait de te convaincre que vous veniez de la rencontrer, que vous risquiez de gâcher quelque chose en allant trop vite et que de toute façon, tu n’étais pas seule à décider, car vous étiez quatre lors de cette soirée. La part la plus naturelle chez toi avait surtout envie de lui arracher son short et goûter le fruit juteux caché entre ses cuisses. Tu ne savais pas vraiment pour ami en commun, mais tu connaissais suffisamment H pour savoir que voir le physique de Sarah une part de lui fantasmait déjà sur l’idée de la démonter avant même que la discussion ne vire sur le sujet du sexe. Cette idée augmentait encore ton excitation. L’instinct de chasseuse de la lionne qui plante ses crocs dans sa proie et offre la part du lion à son dominant. C’était encore plus excitant à tes yeux que l’idée de conquérir cette jeune antilope pour ton bénéfice personnel. Est-ce que tu t’étais déjà rapprochée suffisamment de cette jeune proie innocente pour qu’elle ne puisse te résister ? Tel était la vraie question. Tu décidas de prendre un peu de recul en faisant mine de devoir te rendre aux toilettes. Ton pas était pressé autant par l’excitation que le désir de ne pas t’absenter trop longtemps et laisser l’occasion à l’ambiance de changer. Tu ne te rendis pas aux toilettes, mais dans la chambre que H et toi occupiez le temps de votre séjour. Tu glisses une main sous ton petit short serré. Le bout de tes doigts effleure ton petit abricot. Rien de surprenant, tu es toute mouillée. Ton index et ton majeur ressortent, tout luisant de cyprine. Tu observes une seconde le fruit de son excitation jouant avec sa texture, portes ta main à ton visage et suces tes doigts pour les nettoyer. Tu n’es pas venue dans la chambre pour ça. C’est un outil que vous n’utilisez pas habituellement, mais tu fouilles dans vos bagages dans l’espoir que, toujours prévoyant, tu y trouves quelques préservatifs oubliés. Évidemment, venant d’un couple qui couche aussi souvent depuis aussi longtemps, point de préservatifs oubliés dans les valises. Qui aurait pu envisager qu’au cours de vos quinze jours de vacances prévus ce mois-ci, une proie si aguichante se présenterait à vous quasiment offerte sur un plateau. Peut-être était-ce l’intention de votre ami en fait. Il sait bien que vous êtes toujours à l’affût et que rien ne vous arrête. Peut-être espérait-il pouvoir se gorger du spectacle d’une partie à trois, en plus de vos exhibitions quotidiennes quand vous vous efforcez de marquer votre territoire en baptisant autant d’endroits où vous mettez les pieds que possible. D’ailleurs, si vous ne vous n’utilisez plus des préservatifs que lors des fois occasionnelles où vous réussissez à convaincre un troisième à se joindre à vous, lui a la sexualité plus traditionnelle et sans partenaire attitrée pour le moment doit bien avoir un stock à porter de main. Tu cours presque lorsque tu sors de votre chambre pour pénétrer dans la sienne. Tu croises les doigts quand tu ouvres le tiroir de sa table de nuit. Youpi. Tu déchires quatre capotes que tu glisses hâtivement dans une poche avant de redescendre précipitamment sur la terrasse. « _ Alors où on en était tous les deux ? Demandes-tu un peu haletante, en t’asseyant de nouveau sur le canapé de jardin et posant négligemment une main sur le genou de Sarah.Elle sourit à ton contact et ne bouge pas sa jambe. — À tout ce que j’avais déjà fait et ce que j’avais encore envie d’expérimenter.— Ouiiiii. Du genre ce que tu as déjà fait avec une femme. — Rien de bien original, tente de nuancer Sarah.— Toujours plus que les hétéros de base... Si je mettais au défi d’autres femmes, de m’embrasser, beaucoup en seraient incapables. Sarah se redressa et ouvrant exagérément les bras, t’embrassa d’une façon qui n’était pas celle à laquelle tu pensais en les refermant autour de ton cou. — Ce n’est pas compliqué. Voilà, je t’ai embrassée, rit-elle. Saisissant l’occasion de ce rapprochement, tu en fais autant et passes aussi tes bras autour d’elle à ceci près que tu en profites pour poser tes lèvres sur les siennes. Elles sont aussi douces qu’elles en avaient l’air toute la soirée. — Moi, c’est plutôt comme ça que j’embrasse, réponds-tu dans un souffle en la regardant dans les yeux, vos visages à quelques centimètres l’un de l’autre. » Elle place sa main droite sous l’angle de ta mâchoire et, alors que tu as tout juste fini ta phrase, colles à son tour ses lèvres sur les tiennes. Il se passe bien un demie minute pendant laquelle les deux hommes qui vous entourent disparaissent alors que vos bouches jouent ensemble, que vos lèvres s’effleurent, qu’elle embrasse ta lèvre inférieure non pas du bout des lèvres, mais avec la timidité féminine d’une femme qui se laisse aller à en découvrir une autre. Tu es d’autant plus excitée, mais tu te laisses porter par la sensualité du moment. L’univers semble reprendre son cours uniquement au moment. Quand elle lâche tes lèvres, elle ne semble plus impactée par l’alcool ingurgité au cours de la soirée. Ta bouche serait-elle le moyen de dessaouler en 30 secondes ? En tout cas, la demoiselle a l’air bien consciente de l’instant présent et de ce qui vient de se passer. — Ca aussi je sais faire, répond-elle, un petit sourire aux lèvres. Quant à toi, ton corps frissonne après cet avant-goût du potentiel de plaisir que semble recéler cette jolie blonde, tu as le regard qui pétille et la banane aux lèvres quand tu tournes la tête vers H et lâches : — Tu n’imagines pas à quel point elle est délicieuse. — Je te crois sur parole, réponds H, souriant lui aussi. Tu te tournes vers Sarah et reprends l’initiative en l’embrassant à nouveau. Vos lèvres se font moins timides, plus aventureuses. Vos bouches s’entrouvrent sous la passion du baiser et la pointe de ta langue vient chercher la sienne. Sarah a fermé les yeux de plaisir sous ton assaut qu’elle ne se contente pas de subir, alors que sa langue joue avec la tienne. Elle n’ouvre pas les yeux quand, presque sans détacher ta bouche de son corps, tes lèvres quittent les siennes pour voyager jusqu’au creux de sa mâchoire, jusqu’à cette zone juste en dessous du lobe de l’oreille où tu sens encore une légère touche de parfum. La peau de sa nuque est aussi délicieuse sous tes lèvres que le sont les siennes. Alors que tes lèvres arrivent sur son épaule, l’une de tes mains s’aventure le long de sa poitrine. La paume de ta main passe sur son sein et arrivant en dessous, la presse gentiment. Tu la sens complètement détendue entre tes mains, mais à sa respiration, tu sais que tu pourrais sentir facilement son cœur battre sous l’excitation. Tu ne sais toujours pas si, même payer une petite fortune pour ça, elle serait capable comme toi de prendre du plaisir sous le regard virtuel de trois cents personnes, mais en tout cas, elle n’a pas l’air d’avoir du mal à se laisser aller sous le regard direct de deux hommes. Ta main remonte sur son sein en même temps que tes lèvres remontent vers les siennes. Par-dessus le haut de maillot, ton pouce passe encore et encore là où se trouve son mamelon afin de continuer à l’exciter. Elle ne gémit pas, mais lâche un soupir de plaisir. Tes lèvres sur les siennes, ta langue se glisse à nouveau dans sa bouche et la langue de Sarah semble avoir encore plus de répondants. Elle ouvre les yeux, surprise quand, sans prévenir, tu te lèves et venant t’asseoir sur les genoux de H, lui roule une pelle majestueuse en fourrant ta langue dans sa bouche afin qu’il n’ait plus besoin de « te croire sur parole »— Mmmh, lâche-t-il quand tu le laisses reprendre son souffle. Délicieux en effet. Tu es déjà bien excitée et ça ne s’arrange pas quand tu sens sous toi le barreau de chaise difficilement caché par son short. Tu ne peux t’empêcher de bouger dessus. S’il est capable de résister à la pression de ton petit cul autour de sa bite, ce n’est pas un baiser entre filles et le frottement de ton corps sur le sien qui vont l’achever. Heureusement, sinon un nombre considérable de vos expériences à plusieurs auraient tourné court par le passé. La vie avec toi n’est pas faite pour les fragiles incapables de retenir la purée dès que l’ambiance se réchauffe un peu. Tu attrapes une de ses mains et l’entraînes avec toi jusqu’au canapé où se trouve Sarah. Le voilà assis entre vous. Est-ce que tu as rêvé ou la main de Sarah était posée entre ses cuisses un instant plus tôt ? En tout cas, une des mains de H est maintenant négligemment posée sur le devant de son sexe afin, peut-être, de ne pas effrayer la jeune femme avec l’ampleur de la bosse que cette situation lui donnait.Tu te penches par-dessus lui et une main le long du cou de Sarah, l’embrasses goulûment à nouveau, histoire de t’assurer qu’elle reste bien chaude. — Sois gentille, demandes-tu fermement dans un murmure. Fais-lui goûter à quel point tes lèvres sont douces et délicieuses. Après une seconde d’hésitation, elle acquiesce d’un mouvement de tête, l’air de dire « tant qu’à faire, pourquoi pas »Elle embrasse H plus maladroitement qu’elle ne l’a fait avec toi, et très vite, H prend le contrôle de leur baiser. Tu profites quelques instants de leurs deux bouches collées l’une à l’autre. Bien sûr, il est toujours possible que Sarah soit prise d’un accès de conscience et que sa morale reprenne le dessus, mais quand on la voit embrasser un quasi-inconnu rencontré le jour même devant sa copine, ton petit doigt te dit que plus rien ne peut vous arrêter ce soir. Ça a été si rapide et si facile que ton désir de conquête de cette petite nana en est presque frustré... Mais bon, seul le résultat compte et il en faudrait plus pour t’empêcher de prendre du plaisir à ce qui se déroule à cet instant. Tu jettes un coup d’œil à votre ami commun. Il se fait tellement discret dans son fauteuil que vous en viendriez presque à l’oublier. C’est peut-être aussi bien que Sarah lui tourne le dos. C’est lui qu’elle connaît le plus personnellement (plus le plus intimement maintenant quoique, peut-être avaient-ils déjà eu une aventure par le passé ces deux-là), et c’est l’idée des conséquences sur le long terme pour eux une fois que vous serez repartis qui risquez le plus de la faire reculer. Il semble se contenter volontiers de son rôle de spectateur pour le moment et d’un hochement de tête, te fait signe de continuer. La suite très vite
