H a goûté les lèvres de Sarah sur les tiennes, avant de pouvoir sentir leur saveur directement à la source. Une main derrière la tête de Sarah, tu la tires un peu pour les décrocher l’un de l’autre et roules une nouvelle pelle à H, histoire de bien marquer ton territoire avant d’embrasser à nouveau Sarah. Quand il joint sa langue, vos langues s’emmêlent et se lèchent maladroitement. Ça fait bizarre de sentir la langue de deux personnes contre la sienne en même temps, mais cette sensation n’est pas désagréable. H a une main sur les fesses de Sarah et une autre sur les tiennes. Sarah a une main sur ta joue et une autre derrière la tête de H. Tes doigts s’entremêlent aux siens derrière la tête de ton homme, alors que ton autre main caresse sa queue bandée à travers son short. Ta main dans le cou de Sarah s’aventure sur le nœud qui tient son maillot de bain à son cou. Tes doigts habiles le défont et les ficelles tombent sur sa poitrine, dévoilant un sein alors que le tissu semble se maintenir sur l’autre. Ta main quitte le cou de Sarah pour caresser son bras jusqu’à atteindre sa main que l’air de rien, tu diriges sur la bosse dans le short de H afin qu’elle puisse profiter elle aussi de l’ampleur de sa virilité. Alors que la bouche de H descend de plus en plus le long de la poitrine de Sarah, la tienne s’aventure sur le même chemin. Vous vous retrouvez à embrasser sa poitrine en parallèle. La main de H se glisse sous le sein dénudé au mamelon sombre et au téton moins proéminent que les tiens, mais tout aussi alléchant. Pour l’instant, il renonce à descendre lécher ce téton et te laisse cet honneur. Il a remarqué que dans votre position, elle serait obligée de lâcher sa queue si vous vous attaquez tous les deux à sa poitrine en même temps. Il choisit plutôt de remonter jusqu’à sa bouche et une main sur ta tête t’encourageait à goûter l’autre sein de Sarah que, d’une caresse, tu viens de libérer du tissu de son maillot. Peut-être qu’elle réagirait au fait de se retrouver les seins à l’air devant des quasis inconnus et un de ses amis si elle n’était pas aussi submergée par le plaisir et occupée par la langue de H harcelant la sienne, tes lèvres atteignant son mamelon et l’une de ses mains qui branle doucement ton mec au travers de son short. Tu sens une main caresser tes cheveux (sois celle de H ou de Sarah ? ) et descendre jusqu’à ton cou où à son tour elle libère un des deux nœuds qui maintiennent ton haut de maillot mettant les deux femmes de la soirée sur un pied d’égalité. Toi en tout cas, ça ne te gêne pas de retrouver les seins a l’air. Ton côté exhib n’est plus à prouver et votre ami commun a déjà vu bien plus que tes seins au cours de votre séjour. Et puis toi aussi, tu es bien trop occupé par les caresses que tu donnes et que tu reçois, sans compter tes lèvres autour d’un téton de Sarah que tu lèches et sur suçote, pour tenir qui compte de qui voit quoi. Les seins de Sarah sont aussi doux que le reste de son corps jusqu’à maintenant. C’est un vrai délice de sentir le contraste entre son sein doux et son téton dur contre tes lèvres et sous ta langue. Sarah gémit quand ta langue frétille contre son téton, à moins qu’elle commence à être éprouvée par la langue de H dans sa bouche. Tétant ce sein délicieux, l’une des mains trouve le torse de H à tâtons et descendant vers le bas, rejoint la main de Sarah massant toujours son sexe. Posant ta main sur la sienne, tu accompagnes et accélères un peu le mouvement puis agrippes la bordure du short pour la tirer vers le bas au rythme de vos caresses. Sarah semble tellement occupée de tous les côtés qu’il semble impossible de dire si elle s’est rendu compte qu’elle ne caressait plus du tissu, mais la peau douce d’un pénis enveloppant une barre de chair dure comme l’acier. En tout cas, le changement de texture ne semble pas la perturber le moins du monde. Tes lèvres lâchent le mamelon de Sarah et tu transfères ton visage le long du torse de H que tu embrasses jusqu’à son entrejambe. Sous la pression du corps de H qui se penche sur le côté de Sarah, celle-ci se laisse basculer en arrière et il peut enfin goûter à son tour les seins de la jeune demoiselle. Celle-ci est obligée de lâcher sa queue, mais ce n’est pas grave parce que ta bouche ne demande qu’à prendre le relais et passer au stade supérieur de la branlette. Ta langue lèche le bout de cette queue que tu connais si bien et ramasse une dose de précum. Mmmh délicieux. Décidément, tu ne t’en lasseras jamais, que ce soit le goût de ce lubrifiant naturel ou du contact de la peau de son sexe entre tes lèvres alors que tu l’invites dans ton orifice buccal. Faisant passer le bord du short sous les couilles, sa queue est libre pour les caresses de ta langue et les baisers de tes lèvres le long de sa hampe. Baisers de haut en bas, coup de langue de bas en haut. Le bout de sa queue entre tes lèvres et ta langue qui tourne autour. Tu sens son sexe se contracter sous le plaisir de tes attentions. Tu quittes sa bite des yeux pour les lever et voir H jouer avec les seins de Sarah qu’il embrasse, lèche et suçote lui aussi alors qu’une des mains de Sarah s’agrippe à sa tête et l’autre presse son sein libre. Ton excitation augmente encore d’un cran. Tu glisses une main entre tes cuisses, dégrafes adroitement le bouton de ton short pour pouvoir la glisser plus facilement le long de ta chatte trempée où tu branles ton clito du bout des doigts. Ton regard se décale sur le côté et tu vois à la main de votre ami commun faisant des va-et-vient le long de son short que lui aussi commence à se laisser gagner par le spectacle. Il semble né même plus cligner des yeux pour ne pas manquer un millième de seconde de ce qui se déroule sous ses yeux. H ne serait-il pas en train de se montrer encore plus aventureux alors que, sa bouche jouant toujours avec les seins de Sarah, une de ses mains se glisse sur l’intérieur de ses cuisses et doit effleurer le sexe de cette dernière quand ils les caressent sur toutes leurs longueurs. À la façon dont le bassin de Sarah remue quand la main se glisse le plus entre ses cuisses, cette caresse aussi semble lui plaire. Elle semble prendre un plaisir aussi intense que toi avec une main à la base de la queue de H, une autre dans le short et ce spectacle sous les yeux. Qui va jouir le premier a ce rythme-là ? Pourvu que ce ne soit pas H, la fête peut aller encore tellement plus loin.
Ta bouche lâche la queue de h. Tu passes ta langue sur tes lèvres avant de mordiller ta lèvre inférieure sous l’effet de l’excitation. Tu te redresses et t’allongeant sur le ventre au travers de H et en partie sur Sarah, rejoins son visage et l’embrasses passionnément afin de lui faire goûter la bite de ton mec et tant qu’à faire, l’encourager à venir la goûter par elle-même. Elle attrape un de tes seins. H a enlevé sa tête pour te libérer le passage. Il a toujours une main qui caresse la cuisse de Sarah et effleure sa chatte alors que son autre main, avec laquelle il sait pouvoir se montrer plus direct, cette pose sur ton cul qu’il malaxe un peu avant de se glisser entre tes cuisses par-derrière et masser ta chatte vigoureusement. Tu sens son excitation au travers de la pression que sa main exerce sur ta petite chatte qui est déjà bien affamée. Ta bouche lâche celle de Sarah pour gémir librement sous sa caresse vigoureuse et la main de Sarah dont le pouce excite ton mamelon gauche. La deuxième main de H doit avoir lâché la cuisse de Sarah, car tu le sens tenté de se glisser sous toi pour descendre la fermeture éclair de ton short. Il en profite pour exciter ta chatte des deux mains, à la fois par-devant et par-derrière. L’excitation se fait torture, il va déjà te faire jouir le salaud. Heureusement, la torture s’arrête des deux côtés en même temps quand il agrippe ton short des deux mains pour le faire glisser difficilement sur ton cul tendu. D’une légère pression de la main derrière ta tête, il pousse ta bouche à se connecter de nouveau à celle de Sarah. Sens le tissu de ton short, tu sens encore mieux sa main sur se glisser entre tes fesses sur ton string trempé. Tes mains ne restent pas inactives non plus. L’une d’elles a lâché un sein de Sarah pour se poser entre ses cuisses. Tes doigts se crispent involontairement sur son sexe, alors qu’un doigt de H se glisse dans le tien et commence à te doigter. Au lieu de te laisser un peu plus aller contre Sarah, ton corps se cambre sous ce doigt magique qui fouille tes chairs trempées de plaisir et déclenche des contractions de plaisir dans ton bas-ventre. Sarah profite de ta poitrine qui se tend vers l’avant. Ses mains se placent sous tes seins et les serrent doucement alors qu’à son tour, elle peut profiter de ton corps sous ses lèvres. L’envie compense son manque d’expérience et c’en est d’autant plus mignon de la voir effleurer tes mamelons du bout de la langue et des lèvres, les embrasser en les prenant à peine entre ses lèvres. Elle explore, elle teste différents contacts de la partie sensible de tes seins contre la partie sensible de son visage. Une de tes mains dégage les cheveux autour de son visage alors qu’elle englobe un de tes mamelons en entier avec sa bouche et tire sur ton sein en l’aspirant. H caresse vos deux culs en même temps, mais il n’y a que dans ta chatte qu’il a planté un doigt pour moment quand sa bouche trouve la tienne libre. Sa main sort d’entre tes cuisses et présente son majeur souillé de cyprine à ta bouche pour que tu le lèches, avant de le glisser encore plus aisément en toi de nouveau. Sa main secoue ton cul alors qu’il agite son doigt en toi et que vicieusement, sa bouche s’agrippe à la tienne pour t’empêcher de crier de plaisir librement. Il faut que tu te libères. Tu as envie de jouir. Comment cela pourrait ne pas être le cas dans cette position, mais tu ne veux pas jouir encore ? Ton excitation restera intacte, voire prendra encore de l’ampleur si tu t’efforces de te retenir encore un peu. Redressant par les cheveux la tête de Sarah, tu l’embrasses et l’attires avec toi en reculant maladroitement jusqu’à ce que vous vous retrouviez de nouveau chacune d’un côté de h. Il veut te torturer de plaisir, voyons comment il va réagir à ça. Tu prends la main que Sarah a posée sur la cuisse de H et la pose à la base de sa queue a même la peau maintenant qu’elle est libérée de son short. Tu suces la moitié de la queue de H pendant qu’elle en branle la base. Quand tu la regardes tout en suçant, elle semble hypnotisée par le mouvement de tes lèvres montant et descendant encore et encore le long de son sexe bandé. Tu vois même un petit bout de langue passer entre ses lèvres. Tu suces encore un peu en tournant un peu la tête en même temps avant de lâcher sa bite dans un petit « pop » d’aspiration. D’une main douce, mais ferme, tu ramènes les cheveux de Sarah vers l’arrière et attires doucement son visage encore plus près du sexe de H jusqu’à ce que ses lèvres se posent dessus. Elle embrasse la base de son gland du bout de lèvres, puis ouvrant un peu plus grand les lèvres, la goûtent de façon plus prononcée avant de prendre complètement son gland brillant entre ses lèvres et le téter gentiment. Ses lèvres pressées autour du gland, chair rose englobant chair violacée, elle aspire et aspire encore en faisant à peine glisser ses lèvres autour du sexe. Une main derrière sa tête, tu l’encourages d’une légère pression à prendre un peu plus de ce morceau de chair en bouche. — _ Sens-le coulisser entre tes lèvres. N’hésite pas à bouger ta langue le long de son gland au fur et à mesure, l’encourages-tu. Fais-le glisser entre tes jolies lèvres comme tu voudrais qu’il glisse entre tes cuisses. Sa bouche passe la seconde. Ses lèvres ne se contentent plus d’aspirer alors que sa tête se met enfin en mouvement et monte et descend carrément sur au moins quinze centimètres, voire plus. Cette fille est pleine de surprises. Un instant, l’action timide et l’instant d’après en train d’exécuter une gorge profonde quasiment sans réflexe vomitif. Pour le coup, elle a l’air d’avoir pris ton dernier conseil pour argent comptant, alors qu’elle fait coulisser les trois quarts de la queue de H dans sa bouche encore et encore. Alors qu’elle pompe sans les mains, tu glisses une des tiennes sous les couilles de H et fais rouler ses testicules comme si tu jouais avec deux noix. — _ N, et si tu montrais à notre nouvelle amie comment tu sais aussi t’occuper des femmes ? T’invite H le souffle court. Mmmh. C’est vrai qu’il y a toujours un petit abricot qui n’a pas encore été exploré ce soir. Tu te relèves et passes du côté de Sarah penchée sur la queue de H. une de tes mains caresse son dos et sent chacune de ses vertèbres le long de sa colonne vertébrale alors qu’elle se dirige vers son cul. Tes bras passent autour de sa taille et tes mains dégrafent les boutons fermant son petit short. Tu repasses les mains sur son cul. Tu renonces à l’envie passagère de la fessée et choisis plutôt de libérer son cul de son short comme H l’a fait pour toi un peu plus tôt. Son string est assorti au haut de maillot de bain qu’elle a porté toute la soirée. Tu t’accroupis au niveau de son cul. Ta main passe le long de sa raie et son bassin s’excite un peu quand ton pouce passe sur son string mouillé au niveau des lèvres de son sexe. La situation et la main de H plutôt ont fait des ravages, car même l’intérieur de ses cuisses en dessous, son sexe est mouillé et glissant sous tes doigts. Tu presses ton visage contre son string. Ça sent le sexe et la liqueur féminine quand tu inspires un bon coup. Réaction primaire, biologique, ton excitation fait un bon et ton propre sexe se contracte à ce parfum. D’un index joueur, tu fais des va-et-vient le long de sa fente à travers le string en même temps que tu embrasses une fesse puis l’autre, lui fait sentir une légère pression de tes dents sans vraiment la mordiller. Son bassin ondule et c’est autant elle qui se frotte sur ton index que ton index qui frotte son sexe. N’en pouvant plus, tu passes les doigts sur la bordure de son string et le fais glisser sur le côté afin de voir enfin le bijou convoité. Contrairement au tien, la ligne de son sexe laisse dépasser de mignonnes petites lèvres rosées qui semblent fines comme du papier. Tu vois son sexe briller à la lumière des torches hawaïennes. Un supplément de salive envahit ta bouche à la simple idée de passer ta langue dessus. Vous avez beau être habitués aux plans à trois, c’est plus facile de trouver des partenaires masculins que féminins, et ça fait un si long moment que tu n’as pas profité du corps d’une autre femme. — Mmmmh, laisse échapper Sarah quand tes lèvres se posent à quelques millimètres de son sexe. Le désir est prenant, étouffant, insatiable, mais tu prends quand même le temps de la faire frémir en tournant un peu autour du fruit défendu. Tu le humes, tu en effleures le bord du bout de la langue. Ce serait tellement plus simple de presser tes lèvres autour de son clitoris gonflé et de glisser ta langue à l’intérieur de ses chairs d’où dégouline un filet de cyprine, mais même au cœur de l’action, tu sais que le fruit d’une femme est comme un bon vin. On ne l’apprécie pas vraiment en allant droit au but. Alors qu’elle était à quatre pattes sur le canapé, Sarah bascule sur le côté. Sur le dos, penchée sur H, elle peut continuer à téter sa queue une main, la caressant doucement, mais elle te facilite l’accès à sa petite chatte. Tu ne le remarques qu’alors qu’il se trouve à côté de toi, mais votre ami commun observateur de ce spectacle a pensé à tes genoux. Pour épargner ces derniers, il pose au sol le coussin de la banquette d’en face. Il est fin, mais c’est toujours mieux que les dalles de pierre. Tu n’y pensais pas vraiment, mais c’est vrai que tu es beaucoup plus à l’aise ainsi, sur les genoux entre les cuisses de Sarah. Tu le remercies vite fait d’un bisou mimé avant de retourner à ton exploration de ce petit abricot plein de promesses. Tes lèvres embrassent, ta langue lèche. Tu goûtes l’intérieur de ses cuisses et te rapproches des lèvres de son sexe, baiser après baiser, coup de langue après coup de langue. Enfin, ta petite langue rose passe sur les lèvres du sexe de Sarah qui ne peut s’empêcher de gémir la bouche pleine. H une main posée sur sa tête, l’encourage doucement à se concentrer sur ce qu’elle fait pendant que tu t’occupes d’elle. Le goût de sa chatte est délicieux et tu te régales. Tu n’abandonnerais les bites pour rien au monde, mais tu ne bouderais jamais le plaisir d’un sexe féminin non plus. Tu dois bien te débrouiller parce que Sarah a de plus en plus de mal à se concentrer sur la fellation qu’elle prodigue à h. Quoi d’étonnant ? Qui est le plus à même de savoir comment faire jouir une femme qu’une femme elle-même ? Bien sûr, vous n’êtes pas tous identiques, mais il y a des petits trucs qui fonctionnent quasiment à tous les coups et dont sont à peine conscients certains hommes. Tu ne te contentes pas de harceler son clitoris gonflé de plaisir. Tu alternes les caresses et les sucions sur les différentes parties de son sexe. Tu alternes aussi les pressions. Ta langue et tes lèvres accélèrent et ralentissent, se font avides à un moment et effleurement à un autre. Ton cunnilingus est plaisir, mais aussi douce torture rendant le plaisir encore plus intense. Quand tu glisses un doigt lubrifié par sa propre mouille à l’intérieur de sa chatte. Tu sens son sexe se contracter et se relâcher autour de ce dernier. Ton doigt magique glisse, est de plus en plus glissant alors qu’il enchaîne les allers-retours dans ce conduit brûlant et trempé. Quand tu sens que la place est faite et que les parois du sexe de Sarah se font un peu lâches autour de ton doigt, tu en rajoutes un deuxième. Ce deuxième doigt, tel un pénis, doit se faire plus rigide pour réussir à se glisser lui aussi au paradis, mais Sarah est tellement excitée que c’est bien plus que deux doigts qui pourraient rentrer. D’ailleurs, il est fort probable que ce sexe soit visité par autre chose d’ici peu. À cette idée, et pour reprendre ton souffle aussi, tu redresses la tête tout en continuant à jouer d’une main avec la chatte de Sarah. Tu regardes H, qui, les yeux clos et la tête renversée en arrière, profites pleinement de cette nouvelle bouche glissant encore et encore autour de sa bite. Tu regardes votre ami en commun qui continue à mater le show qui s’offre à lui. Il a un peu perdu de son flegme avec sa main qui se balade autour de sa queue sortie de son short. Il ne t’a jamais touchée et l’inverse est tout autant réciproque. Il a déjà eu l’occasion de profiter de vos exhibitions d’insouciance, mais toi tu n’avais jamais vu son sexe jusque-là. Son sexe non circoncis, épais à la peau sombre et au gland violet foncé. Un nouveau frisson d’excitation t’étreint et descend jusqu’à ton sexe alors que tu te rends compte que, à genoux entre les cuisses de Sarah, tu lui offrais une vue de premier plan sur ton cul et la fente de ton sexe dégoulinant. Peut-être s’est-il décidé à sortir sa queue de son short alors qu’il s’imaginait se mettre à genoux derrière toi et te manger le sexe à son tour, voire te pénétrer en levrette. Et bien, il devra se contenter de la vue pour cette fois. Tu ne t’offres jamais à un autre, fût-ce un ami, sans avoir obtenu la permission de H. C’est bien la seule règle. Tu lâches la chatte de Sarah pour te rediriger vers h. Tu te retrouves à genoux entre ses cuisses alors qu’il a toujours les yeux fermés. Sarah te regarde sans te voir, le regard dans le vague, drogué par le plaisir, et la bouche déformée par la barre de chair qui glisse encore et encore entre ses lèvres. H sursaute un peu et ouvre les yeux qu’il baisse vers son entrejambe quand il sent une de ses couilles gobées et gentiment aspirée par une deuxième bouche. Il ne doit pas être loin du paradis assis là une main autour d’un sein de Sarah, sa queue dans une petite bouche chaude alors qu’une autre joue avec ses couilles. Sa deuxième main attrape une des tiennes posées sur ses cuisses et cherche à te faire te relever et remonter vers lui. Sarah se retrouve obligée d’arrêter de sucer quand ton corps recouvre celui de H. Son regard exprime une pointe de déception de se retrouver privé de son jouet. Tes mains autant que celles de H se retrouvent soudain trop occupés pour jouer avec elle alors qu’il dirige ton corps pour te faire t’asseoir sur sa bite. Tellement de mouille et de salive partout. Son sexe glisse en toi sans problème, alors que ses mains sous tes fesses écartent ta chatte en même temps. Les caresses, les cunnilingus et même les sex-toys, c’est fantastique, mais rien ne vaut une grosse bite bien raide, chaude, palpitante, écartant les lèvres de ton sexe, tirant comme il faut sur les parois de ton sexe qui l’englobent parfaitement. Ce frottement alors que sa bite qui t’écartèle bouge en toi au rythme des mouvements de ton bassin dirigés par ses mains puissantes. Ça ne vibre pas à huit vitesses différentes comme le magic wand, ça n’aspire pas ton clitoris comme le satisfyer mais la nature est bien faite. C’est justement parce que le sexe d’un homme ne vient pas appuyer directement sur le bouton orgasme de ton cerveau, que le plaisir monte et prends son temps, que plaisir est encore plus intense quand il explose finalement. Peut-être que c’est comme l’addiction au jeu et que frisson de l’action, l’imprévisibilité du résultat augmente encore le plaisir.Sous l’effet du plaisir, ton sexe tente de se contracter encore et encore autour de cette barre qui fouille tes chairs. Penché en arrière, ta tête se tourne vers Sarah qui, faute de mieux, se retrouve assise à vous regarder elle aussi, l’une de ses mains écartant les lèvres de son sexe pour que trois doigts de son autre main puissent glisser aisément sur son clitoris à un rythme qui rend sa main presque floue sous la faible lumière des torches. Le visage tendu par le plaisir et les coups de bite qui s’enchaînent encore et encore, tu tends une main vers elle. Ça t’excite de la voir se caresser en vous matant, mais tu ne veux pas que la demoiselle se sente délaissée. Sarah saisit ta main et tu en profites pour l’attirer vers toi. Tout en tentant d’absorber les coups de boutoir avec ton bassin pour ne pas être secoué de la tête aux pieds, tu passes une main dans son cou et attires sa tête vers la tienne pour pouvoir l’embrasser à pleine bouche. Ta tête a tendance à monter et descendre au rythme de la bite qui rentre et sort de ta fente, mais Sarah passe à son tour une main autour de ton cou pour maintenir vos lèvres en contact et prolonger le baiser, permettre à vos langues de continuer à se caresser et s’emmêler intimement. Ta main en profite pour descendre de son cou jusqu’entre ses jambes et prendre le relais. C’est toujours plus agréable de se faire branler par quelqu’un d’autre comme le démontrent ses gémissements alors que ta main trouve et commence à jouer avec son petit bouton.Les spasmes de plaisir qui remontent de ton bas-ventre s’intensifient. C’est tout ton corps qui se contracte de plaisir alors que celui-ci explose dans ton cerveau. Raz-de-marée, bigbang, cris de plaisir exprimés sans retenue alors que ton corps convulse sur la bite de H qui a arrêté ses mouvements pour rester planté au fond de toi jusqu’à la garde. C’est tellement bon, puissant. Pendant quelques secondes, le reste du monde disparaît. Le moment, le lieu, la compagnie, plus rien n’a d’importance alors que ton cerveau est noyé sous un flot d’ocytocine qui te donne l’impression d’être sur un petit nuage. Toujours shooté par les hormones de l’orgasme, ton esprit revient suffisamment sur terre pour reprendre conscience de ce qui t’entour,e même si l’éclat dans ton regard et le sourire béat sur tes lèvres ne font aucun doute sur l’état dans lequel tu te trouves. Reprenant ton souffle, tu dis à Sarah : — _ Mmmh, mmmh. Tellement bon. Tu veux essayer ? Je veux bien te le prêter si tu as envie de grimper au rideau toi aussi. Sarah se contente d’un vif hochement de tête pour réponse. Pourtant elle ne doit pas encore s’être totalement abandonnée parce qu’elle demande quand même un préservatif. Elle ne prend pas la pilule et puis même si ça ne le dirait pas dans cette situation, il est vrai que vous ne vous connaissiez pas il y a encore quelques heures. Si tu ne planais pas encore à cause de ton récent orgasme, tu te féliciterais d’avoir été aussi prévoyante. Tu lui indiques ton short au pied de la banquette. Elle en sort les quelques préservatifs que tu y avais fourrés à la hâte. Si votre ami commun reconnaît les siens, il ne le montre pas, mais il faut dire qu’assister à une scène digne d’un film porno directement sous ses yeux a tendance à détourner de ce genre de détails. Les doigts de Sarah sont fébriles d’excitation, alors elle déchire l’emballage de l’un des préservatifs avec les dents malgré les contre-indications. Les muscles de tes cuisses ne sont pas loin de la crampe, mais tu réussis à enjamber H pour libérer la place. Ton corps est moite et commence tout juste à se détendre un peu. Tu viens de jouir, et pas qu’un peu, mais tu es encore énormément excitée à l’idée de ce qui va se passer maintenant. Voir Sarah dérouler le préservatif autour du sexe de l’homme que tu viens de baiser et l’anticipation de ce qui va se passer dans un instant suffit à faire se diriger une de tes mains vers ton sexe encore terriblement sensible. Sarah fait mine de se mettre dans la même position que toi, mais H lui demande de se retourner. Alors qu’elle est penchée en avant et recule un peu à l’aveugle vers la queue de H, elle lâche un cri de surprise alors que dans un même mouvement, il se met debout et la fait basculer à quatre pattes... sur le coussin de l’autre banquette toujours au sol. Sarah allait s’asseoir sur une bite et se retrouve finalement en levrette, le cul cambré et offert. Le choc de cette surprise est très vite remplacé par un autre bien plus agréable quand elle sent non pas la bite de H mais sa langue, et d’expérience son bouc, sur sa chatte. Les petits cris de plaisir qu’elle pousse sont très excitants. Tu aurais dû te douter que H ne se contenterait pas de vouloir la pénétrer, mais voudrait goûter son petit abricot lui aussi. Tu comprends très bien ce qu’elle doit ressentir, offerte ainsi et sentant la langue de H titiller son petit clitoris et fouiller son intimité. Ton homme et votre nouvelle amie intime vous tournent le dos. Vous vous retrouvez toi et votre ami commun observateur jouant avec votre sexe, mais ce n’est pas une position dont tu es très friande. Tu préfères venir t’asseoir sur le bout de banquette devant Sarah. Tu veux la regarder dans les yeux quand H s’enfoncera en elle pour la première fois, être la spectatrice au premier plan et ne rien rater de son plaisir, de leurs plaisirs, car tu pourras observer ton homme aussi. H finit finalement par relever la tête d’entre les cuisses de Sarah. Est-ce de la salive ou le jus de cette dernière qui fait briller son bouc à la lueur de torches ? Tu le vois à genoux derrière Sarah, les yeux baissés sur son cul, une main sur une fesse. Tu ne vois pas précisément ce qu’il fait avec sa bite, mais tu n’en as pas besoin. Tu as suffisamment été à la place de Sarah pour visualiser H frottant son gland sur les lèvres du sexe de Sarah, frottant son clitoris pour bien l’exciter et lui faire anticiper, attendre avec impatience le moment où il décidera enfin de se glisser en elle. Sarah a beau avoir eu largement sa dose de préliminaire et appelé cette bite à la pénétrer, à ses mains qui s’agrippent à toi et le « O » que forme sa bouche, tu sais que H s’est enfin décidé à satisfaire la jeune demoiselle et que comme elle l’avait avoué plutôt, sa vie sexuelle était désertique depuis quelque temps. Finalement, le préservatif ne serait pas bon que du point de vue sanitaire, mais donnerait aussi à H une chance de résister un peu plus longtemps à cette chatte qui devait lui comprimer la bite dans un étau. Tes doigts avaient beau avoir ouvert le chemin un peu plus tôt, H commença par y aller doucement. Lui aussi devait mourir d’envie de jouir maintenant et il te semblait lire dans ses yeux toute la retenue dont il faisait preuve à cet instant pour ne pas démonter le petit abricot de Sarah à grands coups de boutoir jusqu’à se déverser entre ses reins. Il avait beau faire doucement une place pour sa bite, Sarah grimaça un peu en se faisant dilater par cette barre de chair. Ce n’était pas tant une grimace de souffrance que la grimace de quelqu’un qui redécouvre des sensations étranges et puissantes après quelque temps alors que son corps en a un peu perdu l’habitude. Les mouvements de bassin de H étaient lents et profonds. La place était faite, mais il continuait à lui laisser le temps d’apprécier chaque centimètre qui rentrait et sortait d’elle. Il était du genre passionné, mais ce n’était pas une brute pour autant. Alors que tu embrassais Sarah qui s’accrochait toujours à tes cuisses, H se pencha sur elle et plongeant une main sous elle, alla chercher le clitoris de cette dernière afin d’augmenter encore son plaisir alors que mine de rien, le rythme de ses va-et-vient commençait à gagner en rapidité. Continuant à caresser gentiment ton sexe d’une main, ton regard alternait entre le visage de Sarah et le visage de H prenant du plaisir. Tu étais autant excitée par le plaisir qui déformait de plus en plus le visage de la première que par la concentration affichée du second. Sarah se laissait complètement emporter par la situation et finit même par encourager H à y aller plus fort. Tu voyais à leurs corps déjà luisants de sueur que l’effort et le plaisir étaient intenses. — _ Vas-y, fais-la jouir, t’entendis-tu aussi encourager H. Baise la fort. Heureusement que la maison et sa grande terrasse n’avaient pas de voisinage immédiat, car quand H attrapa les bras de Sarah et qu’elle se retrouva sur les genoux cambrée en arrière, elle devint carrément bruyante. Debout ainsi, à genoux et cambrée en arrière, son corps était magnifique avec son ventre fin sous ses seins tendus vers l’avant. Ses cris de plaisir sans retenue faisaient monter en toi une deuxième vague de désir, une nouvelle envie de jouir encore. Tu ne pouvais te contenter de les regarder en te caressant. Tu t’avanças pour te rapprocher d’elle. Tu voulais qu’elle jouisse pour H, qu’elle jouisse pour toi. Ça devait être la consécration de cette soirée. Quasiment prise en sandwich entre H et toi, ta bouche descendit le long de son cou jusqu’à ses mamelons bandés et une de tes mains se glissa entre ses cuisses pour la branler à ton tour. Les bras de Sarah devenus des rênes, H la chevauchait maintenant au galop et ce n’était pas étonnant qu’elle crie de plaisir. Il était en train de la démonter et tu savais ce que ça faisait. Sous vos assauts conjugués, Sarah céda enfin sous le flot de plaisir qui l’envahissait, et jouit. Elle jouit en répétant encore et encore qu’elle jouissait jusqu’à ce que même sa voix la lâche. Au moment de son orgasme, H lâcha finalement ses bras qu’elle ramena autour de ton cou et le poids de son corps et du plaisir la fit à nouveau pencher vers l’avant et t’entraîner avec elle. De devant elle, tu te retrouvas allongée sous elle. Tes mains sur son corps qui se contractait de plaisir. Tu sentais l’effet de son orgasme sous tes mains et tu voyais les muscles de son cou se contracter. À la pression du haut de son corps contre le tien au rythme de sa respiration, tu la sentais même en train de reprendre son souffle. Collé d’encore plus près et tu sentirais sans doute son cœur battre la chamade. Tu souriais. Il ne restait plus que H qui devait jouir maintenant et pouvait se laisser aller la conscience tranquille maintenant que son mandrin avait rempli son office, et ce plutôt deux fois qu’une. N’y avait-il vraiment plus que H qui n’avait pas joui ? Sarah avait beau être à son tour sur un petit nuage, peut-être du fait de sa position, vit que ce n’était pas le cas. Comme tu lui tournais le dos et qu’il était toujours si discret, tu avais complètement oublié votre hôte et ami commun. Était-ce parce que les hormones du plaisir noyaient son cerveau et sa raison ou parce qu’elle mourait d’envie d’une telle occasion depuis longtemps ? Tu fus bien surprise de voir Sarah tendre une main vers le fauteuil de votre ami et lui intimer l’ordre de s’approcher. Tu fus encore plus surprise quand, vu ta position, tu te retrouvas entre les jambes de votre ami commun debout devant Sarah, et avec sa bite et ses couilles vues du dessous. Malgré la bite de H continuant à fouiller ses chairs à coups de reins, elle réussit à se tenir sur une main et agripper la queue de votre ami de l’autre. Si par un quelconque miracle, il n’avait pas encore joui. Le traitement que Sarah décida de lui infliger ne tarderait sans aucun doute pas à l’achever. Point d’hésitation, point de dégustation comme avec la bite de H plus tôt. Elle ne dégusta pas la bite de votre ami, elle la dévora. De ton point de vue un peu étrange, tu voyais bien sa bouche pomper encore et encore, bien décidée à tirer tout son jus de ce sexe supplémentaire qui ne goûterait qu’à sa bouche ce soir, mais en profiterait au maximum. La jeune femme un peu timide, bien que très ouverte en début de soirée, n’avait plus aucune trace de timidité alors qu’elle pompait les dix-sept, dix-huit centimètres, à vue de nez de votre ami. Ami qui devait déjà se retenir de jouir et ne tient pas cinq minutes dans cette bouche avide. Avec la main de Sarah qui le tenait par les couilles, il n’eut pas le loisir de reculer quand alors qu’il jouissait enfin, elle le retint dans sa bouche. Ça t’arrangeait bien, car tu n’avais pas prévu de douche de sperme inconnu ce soir. Bien que, qu’avais-tu prévu de toute façon si ce n’est que la soirée pouvait dégénérer, un peu avant qu’elle ne le fasse. Un peu de sperme s’échappa de la bouche de Sarah qui devait être pleine et une unique goutte tomba sur ta joue. Tu t’en sortais bien. Tu ne l’avouerais pas, mais tu profitas de ta position sous le corps de Sarah et le fait que l’attention de tout le monde était concentrée sur autre chose, pour la ramasser d’un doigt et curieuse, le porter à tes lèvres. Quelques secondes plus tard, les mouvements de Sarah au rythme des coups de reins de H s’arrêtèrent. Tu ne voyais pas grand-chose de là où tu te trouvais, mais Sarah gémit quand, après avoir enlevé le préservatif, H arrosa copieusement le cul et la chatte de son foutre brûlant. Une part de la copieuse dose de sperme tomba de la chatte de Sarah sur la tienne. Tu adorais cette sensation. Pas autant que de sentir les jets de sperme frapper directement ton sexe, mais quand même. Ta main droite se glissa à nouveau sur ton sexe et se branla à nouveau en utilisant cette dose de lubrifiant naturelle. Tu réussis à t’offrir un petit orgasme supplémentaire qui bien qu’il n’ait rien à voir avec le premier, n’était pas désagréable pour autant. Tout le monde était épuisé après cette soirée bien plus agitée que prévu. Agitée, mais fantastiquement délicieuse. Entre l’épuisement et l’alcool, il était hors de question que Sarah rentre chez elle. Heureusement, la maison ne manquait pas de chambres. Après avoir pris un moment pour reprendre un peu vos esprits, tout le monde nu comme au premier jour, bien que beaucoup plus sale, rentra dans la villa afin de profiter des douches et d’une bonne nuit de sommeil. A suivre.
