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L' Initiation de trois ados … et plus.

Chapitre 1

Inceste
Hier, j’ai passé une nuit de folie avec mes trois étalons. Je me suis fait baiser et enculer pendant des heures, j’ai avalé des "litres" de sperme gras, j’ai joui et .... re-joui : c’est si bon d’être une belle salope. (lire les vacances de Marie)
Ce matin j’avais encore un peu mal au cul.
je me suis reposée toute la matinée dans ma suite sur mon grand lit, j’avais besoin de me relaxer la chatte et surtout l’anus. Mais, cet après-midi de nouvelles pulsions sexuelles viennent mouiller ma vulve, des envies de luxure me tordent le ventre, des fringales vicieuses inondent mes draps et me poussent à toutes les audaces et dépravations... !
Il faut que je sorte... !!!
Je m’installe à la piscine dans un coin assez retiré, à l’abri d’une annexe de l’hôtel avec des balcons en fer forgé. Sur l’un d’eux j’aperçois trois jeunes gens, deux blondinets et un brun, en train de bronzer, ils discutent faisant semblant de ne pas remarquer mon arrivée, pourtant ils m’ont repérée et bien sûr ils parlent de moi en chuchotant.
Il se trouve que je connais les deux garçons blonds. Ils sont frères jumeaux et fils de ma sœur aînée avec laquelle je suis fâchée pour des raisons familiales. Depuis l’anniversaire de mes dix-huit ans nous ne nous parlons plus et ne nous sommes jamais revues, de ce fait mes neveux ne me connaissent pas. Je vais me faire un plaisir de les déniaiser en pensant à elle, ce sera encore meilleur.
Faisant comme si je ne les avais pas aperçus je choisis une chaise longue bien en vue. J’enlève mon paréo, tourne autour du siège pour me montrer toute nue, je bombe le torse mettant en valeur ma forte poitrine bien ferme, je me penche exagérément pour étaler lentement le tissu, exhibant mes fesses dodues et mon abricot entre mes cuisses. Je m’allonge sur le transat les jambes écartées face à eux.

Une idée perverse me traverse l’esprit : ils sont jeunes, sans doute novices en amour, alors pourquoi ne pas jouer un peu avec eux, je me sens l’âme d’une éducatrice et surtout d’une salope.
Le soleil tape fort sur ma chatte et mes gros seins aux pointes turgescentes, excitant mes désirs vicieux. Les yeux mi-clos je les surveille. Ils se cachent comme ils peuvent.
Je vais leur donner du spectacle et les faire bander mes petits voyeurs.
Les paupières plissées je commence à me masturber, écartant mes lèvres vaginales je cajole mon clito durci par la situation libidineuse, je mouille abondamment. De deux doigts je me pistonne le fourreau, cela produit des chuintements gras en s’enfonçant dans ma vulve. Entre mes cils je vois au-dessus de moi mes ados debout sur le balcon le short baissé, la bite à la main qui se masturbent comme des fous. Rouges d’excitation n’en pouvant plus ils giclent presque en même temps de longues salves de jus clair qui tombent sur le dallage près de moi.
L’aventure crapuleuse et leur sperme qui fuse font monter en moi des ondes de bonheur inhabituel. Je continue à me faire un grand plaisir, ils sont toujours là, la queue à peine ramollie, penchés au-dessus de la rambarde en fer. Ils ont une vue imprenable sur mon corps et surtout sur ma moule dégoulinante de mouille. D’une main je pince mes tétons durcis de l’autre je me pistonne la chatte avec trois doigts.
Le plaisir monte, arc-boutée sur le transat, le ventre tendu vers eux je jouis en poussant de petits cris
Je savoure ma jouissance quelques instants. J’ouvre les paupières, je leur souris en suçant mes doigts pleins de cyprine et leur envoie un baiser. Ils ont un peu honte ou peur ils se sont enveloppés dans leur serviette de bain. Il n’y a personne autour de moi nous sommes seuls, je leur fais signe et les appelle doucement les invitant à venir me rejoindre. Ils hésitent, ne savent pas quoi faire. J’insiste avec douceur et de grands sourires charmeurs. Enfin ils se décident et viennent me retrouver un peu confus et gênés. Je me lève toujours nue pour les accueillir, je les embrasse en les serrant contre moi pour leur faire sentir mes seins dardés.
-Bonjour je m’appelle Marie je suis en vacances, seule dans cet hôtel et je m’ennuie un peu, vous voulez bien me tenir compagnie ?Je m’excuse Je ne vous avais pas vu sur votre balcon j’espère que vous ne m’en voulez pas de mettre laisser aller à des privautés devant vous surtout que vous êtes très jeunes.
-Ooohhhh non pas de problème on ne vous regardait pas … (petits menteurs).   Nous avons plus de dix-huit-ans...
-Vous êtes en vacances ici ? avec vos parents ?
-Oui nous sommes frères nos parents sont absents cet après-midi répondent mes neveux
Le troisième très brun du type méditerranéen dit qu’il habite près d’ici et qu’ils sont copains
-Et vous vous appelez comment ?
-Moi c’est Ludo et mon frère Nathan
-Moi c’est Djib
-Enchantée et merci de me tenir compagnie. Faites comme moi mettez-vous à l’aise enlevez vos serviettes puisque vous avez vos caleçons de bain et allongez vous près de moi je vais mettre mon paréo sur le dallage pour être avec vous sur le sol.
Ils se regardent, hésitent. Deux posent leur drap de bain de chaque côté de moi et le troisième, Nathan le plus petit, s’installe à mes pieds avec vue imprenable... !
-Cela ne vous gène pas que je reste nue ?
-Ho non au contraire...
-Vous faites quoi comme études ?
-Nous venons de passer le BAC
-Je suppose que vous avez des copines et peut-être même des fiancées ?
-Des copines de lycée mais elles ne sont pas marrantes dit Ludo. Si nous avions des copines comme vous nous serions avec elles en ce moment.
-Moi c’est pareil les meufs de mon âge ne veulent jamais rien ou pas grand-chose, peut-être parce que je m’appelle Djib.
-Moi j’ai une fiancée on s’embrasse, elle veut bien que je lui touche les nichons mais pas sa minette répond Nat en regardant entre mes jambes
-Mais alors ça doit vous faire bizarre d’être installés à côté d’une vieille comme moi, nue en plus et sûrement moins belle que vos mères ou vos tantes.
-Vous n’êtes pas vieille, vous êtes drôlement belle et super bandante et vous montrez tout...  Vous êtes aussi belle que maman,
d’ailleurs vous lui ressemblez beaucoup...
-Vous avez déjà eu envie de faire des choses avec elle ?
-Non avec elle on n’oserait pas, bien que l’on en ait envie, mais avec vous...humm oui.. !!!
-Moi c’est ma sœur aînée qui est canon mais pas le droit de toucher c’est mon père qui s’en occupe, par-derrière seulement pour ne pas la dépuceler et elle aime ça.
-Merci vous êtes gentils. Vous me trouvez assez jeune et belle et je vous fais envie ? Peut-être parce que je m’entretiens bien physiquement.Vous pouvez me toucher vous verrez mon corps est ferme.
Un peu hésitant chacun passe ses mains sur mon corps, qui sur mon ventre, qui sur mes seins aux pointes dardées et Nat sur mes jambes remontant bien au-delà de mes genoux. Je glousse de contentement
-hummmm c’est bon vos caresses sur ma peau vous pouvez continuer j’adore
Ils continuent avec plus de hardiesse Djib et Ludo ont chacun dans une main un sein qu’ils pelotent avec fougue et commencent à téter le mamelon turgescent. Leur autre paluche descend sur mon pubis. Nat remonte ses deux mains sur mes cuisses pour les écarter. Je plonge mes menottes de chaque côté dans les caleçons de bain et trouve deux belles bites brûlantes et raides, ils sont déjà bien montés ces jeunes gens, je vais me régaler. Entre mes cuisses maintenant ouvertes Nat avance son visage.
À cet instant j’entends des voix sur une terrasse, un couple âgé nous regarde, je crains le scandale. Je repousse mes jeunes peloteurs je me couvre de mon paréo et leur demande de prendre leurs serviettes.
-Venez ne restons pas là sinon nous allons avoir des problèmes. Venez dans ma chambre nous serons mieux et surtout à l’abri des regards et des ennuis. Je vais monter la première,vous me rejoignez dans cinq minutes au dernier étage Suite 510.
Ils toquent à la porte, je les fais rentrer dans le salon et s’asseoir sur le canapé. Je leur propose un jus d’orange frais et je m’installe nue dans un fauteuil cuisses ouvertes, seins dardés face à eux. Nous trinquons. Ils sont mignons mes trois grands ados lorgnant mon corps offert avec des yeux pleins d’envie. Ils ont une vue imprenable sur ma chatte glabre et mes gros nichons.
-Vous devez avoir chaud, enlevez donc vos caleçons ils sont inutiles plus personne ne peut vous voir sauf moi bien sûr et j’ai très envie d’admirer vos corps nus et vos belles quéquettes.
Ils n’hésitent pas font glisser les shorts de bains sur la moquette et restent assis la bite en l’air...     Ils bandent.
Djib a une belle queue brune, épaisse et circoncise avec un gland très développé, celle Ludo est aussi grande et remonte sur son ventre jusque sous le nombril, quant à celle de Nat elle est également longue mais fine toute blanche avec une tête pointue.
-Vous avez déjà fait l’amour avec une femme de mon âge, une vraie femme d’expérience.
-Heu non !
La réponse hésitante et gênée est générale.
-Je vais vous faire découvrir tous les plaisirs du sexe, si vous en avez envie bien sûr ?
-OH OUI.... !!!
Je m’agenouille devant le canapé
-Allez-y, profitez de mon corps caressez-moi pendant que je suce vos belles queues
Je prends le sexe de Djib et Nat dans mes mains, les masturbe doucement et je gobe le gland de Ludo le faisant entrer loin dans ma bouche.
Des mains triturent mes seins titillent mes pointes dressées, me caressent le pubis, courent partout sur ma peau, sur mes fesses. Je suis aux anges j’ai à nouveau trois bites rien que pour moi.
Je les fais mettre debout autour de moi afin d’être plus à l’aise pour m’occuper d’eux. Je change de queue, je suce la grosse de Djib, l’enfonce dans ma gorge, reviens sur le gland et l’aspire à nouveau. Il respire et souffle fort sous la montée du plaisir.
Pendant ce temps mes mains courent sur la tige des deux frères, mes neveux, pour eux aussi le délire des sens approche. Jamais ils n’auraient imaginé se faire branler par une femme pulpeuse et belle comme leur maman : leur fantasme. !
Ma bouche abandonne le gland circoncis et enfourne le sceptre fin de Nat qui pénètre directement au fond de ma gorge. Je déglutie j’aspire, mes lèvres sont dans ses poils blonds. Il pousse un petit cri de surprise et de plaisir. Il donne des coups de ventre en avant pour s’enfoncer plus dans ma bouche. Mes lèvres font trois allers et retours sur son manche. Il me cramponne par les cheveux et crie les yeux exorbités, il jouit me remplissant le gosier de grosses giclées de sperme. J’avale et continue de pomper pour bien le vider. Il n’en peut plus de jouissance et s’écroule sur le canapé abasourdit de plaisirs inconnus.
Mes deux autres jeunes cavaliers me regarde ébahis, leurs bites raides dans mes mains s’agitent.

Je continue la branlette sur celle de Djib. Je me penche vers Ludo l’attirant d’une main par les fesses, sa queue dure oscille devant ma bouche, je l’avale. Ma langue tourne autour de sa hampe revient vers la collerette puis je l’enfonce jusqu’à la gorge. Je la ressors, lui lèche les couilles, mes lèvres reviennent autour de son gland. J’absorbe à nouveau son sexe en entier faisant coulisser mes babines lippues tout le long du manche. Je lui taille une pipe d’enfer le dard complètement enfoncée dans ma gorge, il est tétanisé par le plaisir qui monte. Je glisse un doigt entre ses fesses serrées humides de sueur, trouve la pastille anale, tourne autour pour la détendre et d’un seul coup j’enfonce trois phalanges dans son trou du cul. Il se crispe de surprise en poussant un bêlement de bonheur. L’orgasme le submerge il éjacule à grosses giclées sur ma langue, remplit ma bouche de jus épais et acre, je continue à lui aspirer le poireau qui n’en finit pas de dégorger sa sauce blanche au fond de ma gorge, j’avale tout. Il me regarde émerveillé, heureux et se laisse tomber sur le sofa étourdit de jouissance.
Du foutre coule aux commissures de mes lèvres je m’essuie le visage d’une main. Je me penche vers la grosse queue de mon jeune rebeu que je tiens toujours. J’avance les lèvres...
-Non non... je me suis déjà fait sucer...........          je préférerai te niquer.
-Tu n’as jamais baisé ?
-J’ai essayé hier avec ma grande sœur je l’ai surprise à poil dans la salle de bain elle m’a laissé mettre ma queue sur le bord de sa schneck, mais pas question de la pénétrer et j’ai juté entre ses cuisses. Pourtant, elle le fait avec mon père mais seulement dans le derche pour rester vierge et ne pas être enceinte. Je voudrais bien niquer une belle meuf blonde et bandante comme toi avec des gros seins et un gros cul.
-Pas de problème mon beau brun tu vas baiser la mature au gros sein et tu vas la faire jouir
Je m’assois dans le fauteuil les fesses placées au bord du coussin les jambes posées de chaque côté sur les bras du siège, je suis écartelée complètement offerte. Djib a une vue imprenable sur ma chatte béante entre mes cuisses ronde, sur mes seins gonflés d’envie et sur mon cul. Les deux frères me regardent la bouche et les yeux grands ouverts de convoitise et d’admiration.
-Viens mon Djib niquer la meuf au gros cul, viens lui fourrer ton grand zob dans la chatte, viens la bourrer et la faire jouir la salope de tes fantasmes.
A genoux, la bite dressée à la verticale il se place entre mes jambes ouvertes. Je saisis ses poignets et pose ses mains sur mes seins. Je prends sa queue, la frotte doucement sur mes grandes lèvres grasses qui s’ouvrent. Je tire le manche et engage le gland dans l’entrée de mon vagin gorgé de mouille.
-Vas-y mon chéri enfonce toi bien dans ma chatte, baise la bien la salope au gros cul défonce moi avec ta belle pine, profite de ma vieille moule pour bien jouir.
Il pousse, s’engouffre d’un seul coup jusqu’au fond de mon manchon soyeux me remontant l’utérus.
-Whouaaaa…. quelle est longue ta queue, c’est délicieux, ramone moi bien le conduit avec ton gros manche, nique bien ta belle salope, fait lui voir les étoiles à la vieille.  Hummmm.... ce que c’est bon d’être bien baisée par ta grosse pine.
Il me pilonne comme un fou, son braquemart me transperce à toute vitesse il est pressé de jouir.  Je pose une main sur son ventre et le repousse.
-Doucement mon beau mâle ralentis, prend ton temps, fait durer le plaisir. Retire toi jusqu’à l’entrée de ma chatte et tu renfonces lentement ton zob jusqu’aux couilles et là tu donnes des coups rapides et forts dans le fond de ma connasse, j’adore ça.... Et tu recommences.
-Hummmm ce que t’es bonne Marie c’est tellement bon de te niquer, ça m’aspire le zob
Maintenant il me baise à merveille il a vraiment une grosse bite qui fait monter dans mon ventre des ondes délicieuses. Ses doigts triturent durement mes mamelons hyper sensibles. J’attire sa tête et lui roule une pelle. Je donne des coups de ventre en avant et resserre mes muscles vaginaux sur sa hampe il n’en peut plus de plaisir il accélère ses coups de boutoir, ça fait des bruits mouillés obscènes. Je sens son gland qui enfle encore dans mon manchon en feu, sa jouissance arrive. Il s’immobilise planté tout au fond de ma cramouille, les yeux exorbités il pousse un énorme grognement, il éjacule.
-Vas-y mon chéri joui fort dans ma chatte, remplis bien ta grosse salope. Haaaaaaa....Ouiii....Moi aussi je jouis c’est si bon tes giclées de sperme dans ma connasse. Vide bien tes couilles dans ta pute.
L’orgasme nous terrasse tous les deux. La bite toujours emmanchée à fond dans ma moule dégoulinante de foutre il s’effondre sur moi je le serre dans mes bras et le cajole. Il est heureux.
Après quelques instants de repos je relève la tête et regarde mes deux autres amoureux en herbe. Assis sur le canapé la quéquette à nouveau bandée à la main mes neveux semblent hypnotisés.
-Rassurez-vous mes petits chéris je ne vous oublie pas vous allez-y goûter à la Marie salope. Après la pipe je vais vous faire découvrir le plaisir de baiser une femme qui pourrait être votre maman ou peut-être sa sœur !?  Si j’étais votre tante vous auriez envie de me baiser ? …... Vous oseriez ?
-Hooo ! oui c’est sûr que nous aurions déjà essayé de faire l’amour avec toi si tu étais notre tante, tu es tellement bandante, tu es belle tu as un cul et des seins superbes....  Tu ressembles à maman...! Tu veux bien être notre tante ? …. Et..... !!!
-Oui mes petits chéris en vérité je suis votre tatie. Mais c’est une autre histoire que je vous raconterai un jour, peut être. Pour l’instant on baise.... !
Je fais se relever Djib. Il se retire de ma moule, sa bite encore grosse laisse tomber sur le tapis d’épaisses gouttes blanches et ma chatte ouverte dégorge de foutre visqueux sur le coussin.
-Venez avec moi dans la chambre mes petits chéris on va s’installer sur mon lit on sera encore mieux pour niquer, je veux dire faire l’amour tous les quatre.  Allongez-vous je vais me rafraîchir, évacuer le sperme et me laver la minette.
Quand je reviens tous les trois m’attendent assis au bord du grand lit. Ils sont si mignons. Je les fais s’étendre sur les draps et l’un après l’autre je m’allonge sur eux, peau contre peau pour leur rouler un gros patin d’amour, ma langue explore leur bouche tout en cajolant leurs queues dures et leurs roustons gonflés.
-Vous aimez la façon dont je vous embrasse et vous caresse ?
-Hooo oui alors... mieux que nos copines elles ne savent pas et trouve ça dégueulasse.
-Vous avez déjà léché une femme pour lui donner du plaisir et la faire jouir ?
-Pas vraiment …. et puis c’est sale, ça pue et le goût doit être bizarre
-Mais alors quand je vous suce, que vous éjaculez dans ma bouche c’est moins sale ?
-On ne sait pas...
-Il faut que vous appreniez à faire plaisir aux femmes en leur léchant la chatte et même l’anus, pour qu’elles jouissent sous vos caresses. Il faut qu’elles se rendent compte que vous faites passer leur plaisir avant le vôtre. Ensuite, elles vous permettront des choses qu’elles vous refusent actuellement et vous aimeront encore plus. Pour elles vous serez devenus un « bon coup » et elles le diront à leurs copines.Allez venez mes chéris ma chatte et mon cul sont tout propres venez me déguster vous allez aimer le jus de moule, c’est aphrodisiaque.
Je m’allonge au milieu du lit les jambes repliées les cuisses largement ouvertes.
-Nat viens le premier étends toi entre mes jambes, passe tes bras sous mes cuisses et ramène tes mains devant sur mon sexe, écartes mes lèvres et colle ta bouche sur ma vulve. Avec ta langue tu lèches tout le long de mon trou et tu remontes jusqu’en haut pour aspirer mon clitoris.
Il commence à me sucer, s’appliquant à faire aller sa langue de bas en haut, l’enfonçant parfois dans mon vagin, puis revient pomper mon bouton. Un délice, je mouille. Il lèche, avale ma cyprine, il s’en délecte avec de petits grognements. Je sens la jouissance qui monte en moi, je repousse sa tête.
-Arrête Nat c’est trop bon mon chéri, tu vas me faire jouir trop vite, je veux profiter de la langue des deux autres, je veux que leur bouche dégustent mon foutre de femme mure. Djib prends sa place vient donner du plaisir à la chatte qui t’a fait jouir, tu vas adorer.
Vous mes neveux mettez vos queues dans les mains de votre tatie, que je vous branle.
Mon jeune rebeu se place entre mes cuisses, il ne se fait plus prier et se délecte de ma foune qui coule de bonheur. Sa langue va partout tourne autour de mon berlingot, le titille puis redescend à l’entrée de mon vagin, lape le jus puis s’aventure entre mes fesses qu’il écarte pour cajoler mon anus.Sa langue fouille ma rondelle qui s’épanouit, il l’enfonce dans mon conduit rectal : le pied. Sa bouche revient sur ma chatte aspire ma cyprine odorante s’enfonce puis vient téter mon clito. L’orgasme monte. Je le repousse lui aussi je ne veux pas jouir tout de suite, j’en veux encore.
-Stop Djib.... stop........stop... c’est trop, je veux la langue de Ludo.
Il se relève un peu déçu mais je le rassure il aura droit à d’autres choses après. Ludo prend sa place et se met aussitôt à me lécher comme un fou. Je le tempère il faut retarder le plaisir c’est tellement meilleur.
-Prend ton temps suce moi doucement, passe bien la pointe de ta langue autour du capuchon de mon bouton. Hummmmm c’est délicieux encore, enfonce-la dans le trou, lape le jus qui coule, régale toi. Descend sur mon anus lèche moi le trou de balle, fait tourner ta langue sur ma rondelle... Ouiiiiiiiii... encore... enfonce un doigt dedans ...oui loin... Hummm....c’est bon dans le cul… Mets moi aussi un doigt dans la moule …. Ouiii vas-y pistonne des deux côtés Hoooo tes doigts en fourchette ramone moi bien les deux trous et aspire mon clito.Whouaaaa.... tu me fais jouir je jouis encore, encore suce, enfonce...pistonne fort oui. Haaaaa mon chéri comme tu me fais bien jouir …...
C’est trop trop.... trop... arrête non... encore...  ouiii...

Je le repousse et laisse retomber mes jambes. Je savoure mon orgasme entourée de mes trois jeunes baiseurs émerveillés. Je reprends mon souffle, je récupère un moment.
Toujours allongée sur le dos, j’ouvre largement les jambes, j’attire sur moi Ludo mon neveu suceur.
-Viens mon chou, viens me biter maintenant, toi qui m’as bien fait reluire, viens profiter de la chatte de ta tatie avec ta grosse trique.
Je saisis sa belle queue bien dure je l’attire vers ma vulve dégoulinante de mouille, l’ajuste à l’entrée de mon vagin, je le prends par les fesses et le tire brusquement sur mon ventre. D’un trait la bite s’enfonce jusqu’au fond de ma moule affamée. Je l’immobilise pour profiter au maximum de la pénétration brutale bousculant mon utérus. Mes muqueuses collées sur sa hampe le malaxe. Ludo affalé sur mon ventre les mains glissées sous mes fesses rondes, la bite engouffrée jusqu’à la garde profite du doux massage de mon con brûlant et moelleux, la bouche béante de surprise les yeux émerveillés.
-Tu vas aller doucement mon chéri, prends bien le temps de baiser ta tatie, que ça dure longtemps, ce sera encore meilleur pour nous deux.
Délicatement son bassin commence des mouvements avant arrière, de toute la longueur de son braquemart. D’une main j’agrippe le zob de Djib et le branle en douceur, pendant qu’il s’occupe durement de mes seins, de l’autre j’attrape la quéquette de Nat l’amène à ma bouche et gobe le gland effilé. Il pousse et m’enfile son membre jusque dans la gorge, mes lèvres s’activent à la racine du manche, je le pompe. Je me fais niquer je suce et je branle, je suis au paradis des salopes.
Mon baiseur s’active dans ma moniche en fusion il me baise merveilleusement bien pour un novice, je sens le plaisir monter dans mes reins. Dans ma bouche Nat accélère ses va-et-vient, ses couilles battent mon menton. Un râle, il jouit, il gicle de longues fusées de foutre au fond de ma gorge il se vide les burnes j’avale toute la sauce de mon neveu avec délice.
Je lâche la queue de Djib, je repousse délicatement Ludo, mes deux jeunes amants me regardent inquiets. Je me retourne, me positionne à quatre pattes les jambes écartées le cul bien cambré les mains posées sur le lit.
-Viens mon Ludo tu vas me prendre en levrette ça va être encore mieux, ta bite ira plus loin. je vais me pistonner sur ton chibre à grands coups de cul pour te faire jouir encore plus fort.  Djib viens pour que je te suce pendant que ton pote me laboure en pensant baiser sa maman. Je vais te faire une pipe mémorable, je vais te vider les burnes et tout avaler.
Aussitôt Ludo m’enfile son manche de pioche dans la connasse il commence à me bourrer en force. Je fais signe à mon jeune rebeu, il a compris et présente son gland sur ma bouche forçant mes lèvres. J’ouvre le bec, d’un coup il s’enfile entre mes joues jusqu’à la glotte, elle est énorme cette queue qui me bourre le gosier !
Ma langue s’active autour de la colonne de chair, avec de mouvements de tête je pompe le gros nœud. En même temps à grands coups de reins arrière je m’emmanche avec des chuintements gras sur le chibre qui me remplit la moule, ma mouille odorante dégouline sur les couilles de mon neveu. Une bite dans la bouche une bite dans le con je me bourrine des deux côtés avec fureur, je veux les faire jouir fort, leur laisser un souvenir impérissable. J’ai envie de les sentir m’inonder, me remplir de foutre brûlant et jouir en même temps qu’eux.
Après un long ramonage voluptueux l’orgasme monte. Ludo donne un dernier violent coup de rein, se fige en gueulant et m’arrose l’utérus d’énormes jets de sperme, il m’inonde la chatte, le jus déborde et s’écoule sur mes cuisses.
Au moment ou je vais hurler mon plaisir Djib me saisit par les oreilles et me bourre la luette à grands coups de pine en éjaculant des litres de foutre visqueux qui me remplissent la gorge, ruissellent sur mon menton et souillent les draps.
À quatre pattes la bouche et la chatte embrochées, pleines de foutre je meugle ma jouissance, je pisse comme une vache en prenant mon pied sous le regard ébahi de mes jeunes neveux et amants. Les draps sont trempés de foutre et d’urine
Après nous être désaltérés et reposés, je les ’’reprends en main’’ pour continuer notre fête coquine. Ce qui est bien avec les hommes jeunes c’est qu’ils rebandent et se régénèrent très vite.
-Mes petits chéris je vais vous faire découvrir une façon plus particulière de faire l’amour. Je suppose que vous savez ce qu’est la sodomie,l’avez-vous déjà pratiquée ?
Pour mes deux neveux la réponse est non, pour Djib c’est différent.
-J’ai déjà essayé avec ma sœur pour ne pas la dépuceler mais cela ne c’est pas bien passé. J’ai réussi à pénétrer son cul, mais elle m’a dit que c’était moins bien qu’avec notre père qu’il en avait une beaucoup plus grosse, qu’avec lui ça durait longtemps et qu’il la faisait jouir. Elle n’a pas eu de plaisir mais j’ai juté quand même dans son cul.
-Mes chéris la sodomie demande de la préparation il faut bien graisser et assouplir l’anus avant d’essayer de pénétrer sinon ça peut faire très mal et c’est la catastrophe. Donc, n’ayez pas peur d’y mettre la langue. Léchez bien l’anneau pour qu’il se décrispe et s’ouvre, mettez beaucoup de salive puis enfoncez doucement un doigt, avant de le faire tourner dans le conduit. Ne forcez pas, attendez que votre partenaire se détende. Puis glissez un deuxième doigt et faites tourner à l’intérieur pour élargir l’ouverture. Quand vous sentez que tout se passe bien mettez encore du lubrifiant.Posez votre gland sur l’anneau et poussez doucement pour qu’il s’ouvre, laissez le temps à l’anus de s’habituer à l’envahisseur et se relâcher, avant d’aller plus loin.Mais avec moi pas besoin de tout ça je suis habituée à me faire prendre par le petit trou. Vous me léchez la corolle pour bien mouiller l’œillet qui s’ouvre, faites entrer la langue pour saliver dans le conduit et hop ça rentre tout seul.
Je me replace en levrette.
-Nat tu vas venir me sodomiser ta queue pointue va entrer toute seule et faire le passage. Avant, tu lèches mon anneau. Ne t’inquiètes pas il est tout propre. Écartes bien mes fesses Hummm c’est bon ta langue sur mon petit trou, fais la rentrer, tu sens comme il s’écarquille.Viens maintenant prends-moi par le cul pose la pointe de ta bite sur l’ouverture et pousse fort
Il se positionne entre mes jambes écartées, les mains sur mes hanches le gland posé sur ma rondelle il admire ma croupe offerte. Un coup de rein puissant, mais ça dérape, le voilà engouffré jusqu’aux couilles dans ma moule
-Hooooo que c’est bon dans ton anus c’est chaud et doux.
-Non mon neveu chéri ta bite s’est trompée de voie, tu es dans ma chatte. C’est délicieux mais j’ai envie ta queue fine dans mon ampoule anale. J’ai envie de la sentir me ramoner le conduit sans forcer, tout en douceur et bien me préparer le boyau pour les dards à suivre.Vas-y mon mignon encule ta tatie salope, fais-toi plaisir... comme si j’étais ta mère...  défonce moi bien l’oignon, j’adore.
Je passe une main entre mes cuisses je saisis sa bite à la base la fait ressortir de ma moule et la positionne sur ma rondelle ouverte.
-Vas-y pousse fort encule la salope, bourre moi bien. Ouiii ...c’est bon dans l’oignon. Haaaa...oui c’est merveilleux de se faire enculer par son neveu
-Hooooo... c’est serré dans ton cul plus chaud..... plus moelleux.... Hummmm. Tatie...
Il y va de bon cœur. À grands coups de bite de plus en plus rapides il me ramone le conduit rectal.  Sa quéquette assez fine mais longue me fait un bien fou. Je resserre mes sphincter interne pour mieux masser cette tige qui commence à me faire jouir
-Haaaaaa... Tu me pompes bien la queue, c’est super, ton cul m’aspire, je jouis dans ton cul.
-Vas-y mon chéri je jouis aussi, vide tes couilles dans le trou du cul de ta pouffiasse de tata.
Des giclées de sperme brûlant m’envahissent les boyaux me faisant jouir. Longtemps il continue à décharger, il me remplit le rectum de jus visqueux. Anéantit de plaisir il décule et s’écroule à côté de moi. Mon anus entrouvert laisse échapper de grosses larmes de foutre blanc qui ruissellent sur ma chatte et s’écoulent le long de mes cuisses. Je m’essuie avec les draps.
Toujours en position de levrette la croupe en l’air je demande à Djib de venir s’allonger sous moi. Je m’empale le con sur son gros zob bien raide et je fais signe à Ludo de venir me prendre par-derrière. Je sens son gland chercher le passage, il force à l’entrée de ma moule déjà occupée, je passe ma main derrière, attrape son manche et le positionne sur mon trou de balle resté entrebâillé.
Pousse mon chéri la porte est ouverte et le couloir bien graissé avec le jus de ton frère.  Haaaaa … que ça fait du bien ta grosse bite dans mon anus, d’un seul coup tout au fond. Vas-y maintenant bourre moi bien la culasse et toi Djib lime-moi la connasse jusqu’à l’utérus. Hummmmm... oui.
Une bite dans chaque trou c’est merveilleux. Allez-y tous les deux pinez-moi, l’un se retire et l’autre s’enfonce à fond et on recommence. Tringlez bien fort la mature, faite lui reluire le cul et la chatte avec vos gros chibres
Comme des fous ils me pilonnent devant et derrière, je suis prise en sandwich, enconnée et enculée comme une pute ils me régalent les deux trous à merveille je jouis sans arrêt, je suis leur chose.
-Haaaa ce que c’est bon de t’enculer tatie, te bourrer l’anus jusqu’aux couilles, c’est trop fort... Mariiiiee je vais te gicler dans le cul te remplir de sperme, ça y est je jute dans ton croupion... Hoooooo.
-Moi aussi je jouis mon mignon, remplie moi l’oignon, vide toi bien dans mon boyau, j’adore
Je contracte spasmodiquement mes sphincters internes pour bien l’aspirer et profiter encore de son manche qui continue de dégorger. À ce moment Djib se déchaîne il me pilonne le vagin à toute vitesse son gland tape fort me remontant les ovaires. Il jouit. Un baume m’inonde l’utérus et me remplit la connasse en fusion. L’orgasme me transperce je deviens folle de plaisir
-Prends tout ma vieille salope, je jouis dans ta moule de pétasse, qui me pompe le zob. Hoooooo putain que t’es bonne Marie, que c’est bon de juter dans une pute comme toi
-Ouiiiii... encore, encore, encore …..remplissez-moi les trous mes petits salauds chéris, vous me faites jouir de la chatte et du cul c’est merveilleux je suis pleine de foutre. Haaaaa...
Nous nous écroulons sur le lit mes orifices ravagés dégorgent de leurs jus visqueux, j’en mets partout. Les draps déjà imbibés de pisse, de sperme se couvrent de nouvelles taches jaunâtres et brunes que mes jeunes amants laissent en s’y essuyant la queue poisseuse.
Après un peu de repos je donne congé à mes petits amis. Je leur explique qu’on ne peut pas se revoir, je dois rester pour eux un beau souvenir de vacances.
J’embrasse tendrement Ludo et Nat en les serrant contre moi. Je leur confirme qui je suis et qu’ils viennent de baiser et enculer la sœur de leur maman. Je leur demande de ne pas raconter à leur mère qu’ils viennent d’être dépucelés par leur tante.
Je conseille à Djib de réessayer avec sa sœur et de lui faire voir qu’il peut la faire jouir aussi bien que son père.
Seule, je me prélasse dans un bain et j’appelle la réception pour que mes draps soient changés. La femme de ménage sonne et entre dans ma suite, je sors prendre l’air dans le parc de l’hôtel.

J’ai besoin de m’oxygéner après cette sieste torride avec mes jeunes mignons. J’y repense avec tendresse ils étaient tellement attendrissants, mais néanmoins fougueux, j’en ai encore des élancements de plaisir dans le ventre. Dépuceler mes neveux m’a tellement excitée que j’ai de nouvelles pulsions sexuelles qui me tordent le ventre de désir. Mes hormones ne me laissent jamais tranquille, des envies lubriques, osées, voire risquées viennent gonfler et mouiller ma chatte.
Au détour d’une allée je vois un buisson bouger ce qui m’intrigue. Je fais le tour et m’approche silencieusement sur le côté. Un jardinier un homme noir de peau assez âgé aux cheveux blancs crépus est en train de pisser masqué par la haie. Le jet est dru, puissant. J’avance par derrière sans bruit. Je tends la main pour caresser ses couilles énormes qui pendent hors de son pantalon ouvert. Sur le moment il a peur et veut me chasser, je lui souris je me colle à lui et l’embrasse. Sans un mot je saisis sa belle bite dodue et longue qui frémit dans ma main. Je me penche je gobe le gros gland violacé et l’enfonce dans ma bouche, il sent fort la sueur et la bite pas lavé, ça m’excite. Je commence à le sucer avec gourmandise, immédiatement il bande. J’enlève ma robe légère je suis à poil, je prends sa main calleuse et la plaque sur ma vulve qui coule déjà abondamment.
-Laisse-moi faire j’ai envie de ta grosse queue, fourre tes doigts dans ma chatte, branle-moi.
Lèvres tendues je replonge sur son énorme trique et reprend difficilement ma pipe tellement elle est grosse. Il grogne de plaisir et me pistonne la chatte de deux doigts épais, je n’en peux plus d’envie. Tenant toujours sa queue je me relève, lui tourne le dos, je me penche en avant, je m’appuie sur la haie, je lui tends mon cul joufflu bien cambré.
-Viens, baisse moi, mets la moi bien à fond.
Il ne se fait pas prier. Il fait glisser de bas en haut le bout de sa queue entre mes grandes lèvres avides et toutes ouvertes, dégoulinantes de jus. Il ajuste son gros champignon mauve sur l’entrée de ma connasse et m’enfile d’une seule poussée puissante, butant violemment au fond de mon vagin. Bien que je mouille beaucoup j’ai l’impression d’être écartelée, j’ai mal sur l’instant, mais j’ai ce que je veux : je me fais baiser.
Ma gaine vaginale se moule sur la matraque et la malaxe en douceur. Il me lime de toute la longueur de sa bite vraiment très grosse. Il me défonce comme un malade, il doit être en manque de sexe. Il me ramone à fond et me fait couiner de plaisir. Je commence à jouir, mes muscles internes enserrent son énorme braquemart, mon manchon brûlant le pompe délicieusement. À bout de résistance il se retire subitement, laissant un grand vide dans mon ventre et gicle sur mon cul. Je sens son sperme brûlant se répandre sur mes fesses, mes reins, et loin dans mon dos. Je prolonge l’orgasme qui me ravage les entrailles en me pistonnant la chatte de trois doigts, puis je me retourne et embouche le gros zob poisseux qui émet encore de petits jets de foutre blanc, je ne veux rien perdre, je suce, je pompe, je lui vide les couilles.
Un couple sur le balcon de sa chambre d’hôtel nous regarde ébahi, il est rejoint par deux grands ados blonds qui écarquillent les yeux de stupeur. Je leur fais un petit signe de la main et tire la langue pour qu’ils voient bien ma bouche pleine de sperme crémeux du vieux jardinier, et j’avale.À ce moment je reconnais ma sœur et son mari avec mes neveux Ludo et Nathan...
Jeunes vieux beaux et moins beaux j’aime séduire et être séduite et pour peu que l’on y mette quelques formes tous les hommes ont leur chance. Ma libido exubérante me pousse à tous les excès sexuels : je suis une salope et j’assume.
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