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Initiation trop zélée

Chapitre 1

Hétéro
Je vais vous raconter une de mes premières thérapies. Je débutais alors ma carrière de psy comme interne à l’université d’Alicante auprès des étudiants, il y’a quinze ans. Les faits relatés sont maquillés, vous le comprendrez, mais les anecdotes qui constituent l’histoire sont véridiques.Je reçois Miguel, un étudiant de 19 ans au parcours brillant de deuxième année de droit qui vient de décrocher subitement. D’après ma fiche, c’est du au divorce récent de ses parents et il n’arrive pas à se décider chez qui il va habiter. Je me dis qu’à l’âge où l’on prend son indépendance ce divorce ne devrait pas trop le perturber comme un enfant plus jeune, ou alors il y’a autre chose…Miguel, jeune adulte au physique agréable, plutôt fin et élégant, rentre dans mon bureau et me dresse le portrait de ses parents. Une mère affective, dans la bonne distance relationnelle avec son fils, qui ne travaille pas, un père chef d’entreprise, ancien sportif de haut niveau dans sa jeunesse, séducteur, forte personnalité (j’aurais l’occasion de le confirmer lors d’un rendez vous) et je sens dans la description que mon patient fait de son père, beaucoup plus précise que celle de sa mère(deux phrases) ou va se situer le problème relationnel. Je décide donc de remonter le temps pour avoir une idée précise des rapports père fils. Dès la petite enfance, Miguel est poussé par son père pour faire du sport de façon intense, idem pour les études, mais ce dernier est d’un caractère plus intellectuel que sportif. Il est admiratif et complexé par la musculature de son père. Première ambivalence de sentiments. Mais la relation devient plus « insidieuse » à la puberté. Voici les questions que je lui pose et les réponses de Miguel.
-Pr Santiago - Quel est le premier événement qui t’a interpellé dans la relation avec ton père ?
-Miguel – A quinze ans, j’ai surpris ma mère qui disait à mon père que je commençais à me masturber, ça les a fait rire et mon père, alors que moi j’étais honteux qu’ils parlent de ça, paraissait même satisfait que je devienne un ado, que je gagne en virilité. Quelques jours après cette conversation, il rentre dans ma chambre, en me tendant des revues érotiques, des magazines de témoignages très divers sur toutes les sexualités. Il ajouta un conseil, en me disant de ne pas faire comme lui, de ne pas se marier trop jeune (il s’était marié à 19ans) de profiter de la vie et d’avoir un maximum d’expériences sexuelles. J’étais à la fois troublé et fier de la confiance qu’il m’accordait en me disant cela. On devenait complice alors que jusqu’à présent je ne subissais qu’une pression de sa part pour être le meilleur en sport et à l’école… Les jours suivants, je me masturbais comme un fou en découvrant les revues, les témoignages d’expériences sexuelles de gens accomplis qu’un ado de quinze ans n’imagine même pas (à cette époque en tous cas) Trio, partouze, adultère, etc…
-Pr Santiago - Cette situation a duré ?
-Miguel – Oui, régulièrement, pendant un an, mon père me passait des revues, me demandait ce que je préférais dans les témoignages…. Je lui disais que les histoires de femme mure avec des jeunes me plaisaient (fantasme normal à cet âge), les histoires de partouze aussi…Mon père m’avoua qu’a 14 ans il s’était dépucelé avec une prostituée assez âgée avec son cousin un peu plus vieux qui lui avait payé sa passe. Là encore j’étais gêné et heureux de cette confiance entre nous deux. -Pr Santiago - Tu pourrais me dire, dans cet apprentissage entre ton père et toi de la « vie » , quelle fut l’étape suivante ?-Miguel – Oui, le dimanche soir, je faisais exprès de veiller car le seul film érotique passait sur Télécinco…en général je prétextais vouloir regarder un reportage pour rester devant la tv alors que mes parents allaient se coucher. Ce soir là, mon père, en simple short, comme moi (nous sommes au mois de juillet à Alicante) reste pour le regarder avec moi…ça m’emmerde mais pas le choix, on regarde ce reportage ennuyeux…au bout d’un moment mon père me dit : Pas d’hypocrisie, je sais que tu mate le film érotique tous les dimanches soir, alors change de chaine, on va se le mater tous les deux. En matant le film, il a sorti son sexe et s’est masturbé, moi de même, j’étais heureux de ne plus me caché, et à la fois envieux du corps de mon père qui était parfait, bien musclé avec un sexe de bonne taille , mais il remarqua que malgré mon corps mince de garçon de seize ans, j’étais mieux monté que lui…on s’est donc branlé une bonne heure avant d’éjaculer. Après, régulièrement on prenait notre douche ensemble (mes parents n’ont jamais été pudiques et l’on se lavait ensemble depuis longtemps déjà) et mon père et moi nous masturbions sous le jet chaud de celle-ci, mais jamais il n’a eu de gestes déplacer envers moi, je vous rassure docteur !
-Pr Santiago - Certes ! Mais bon, ce n’est pas au père de faire découvrir de la sorte la sexualité à son fils, votre relation passe de père fils à celle de copains complice…enfin, ce n’est pas votre faute Miguel ! Mais continuez, je vous en prie !
-Miguel - Le fait marquant a eu lieu l’année de mes seize ans, nous étions au mois d’Aout, en camping en Catalogne. Moi et mes parents avions pour voisins de tente un couple de quadras qui était venu avec leur belle-sœur, Anna, trente ans, divorcée depuis un an, pour lui remonter le moral. Une brune assez frêle mais avec un très beau visage qui dès le premier apéritif avec nous, était fasciné par mon père, son physique et sa prestance…elle le draguait ouvertement en présence de ma mère qui commençait sévèrement à faire la gueule, de jalousie, et je dois dire que moi aussi, j’étais jaloux du succès de mon père auprès de cette femme. Lui, loin de « calmer le jeu » se foutait de la réaction de ma mère et il finissait de la séduire par son discours enjôleur de mâle dominant. Un jour ou ma mère se disputait à ce sujet, il me regarde et me dit : Viens Miguel, on va se détendre en faisant de la planche (mon père et moi adorons la planche à voile) et pas soucieux le moins du monde, en passant devant nos voisins il invite Anna à nous rejoindre qui saute sur l’occasion pour nous suivre. Là, mon père lui en met plein la vue avec sa planche pendant qu’elle nous regarde de la plage. Après une heure, nous revenons sur la rive et il dit à Anna qu’il va l’initier à garder l’équilibre sur une planche…pendant ce « cours » je vous assure que la petite Anna est tremblante d’émotions de se retrouver si près de mon père, qui tantôt l’entoure de ses bras pour la mettre sur la planche, lui touche les seins ou les fesses pour la maintenir en équilibre, ou la rattrape et la serre contre lui lorsqu’elle chute…elle est « mure », mon père s’en rend compte et me fait un clin d’œil complice. Nous rangeons le matériel, on s’allonge tous les trois sur le sable..Mon père susurrent à l’oreille d’Anna, ils se lèvent tous les deux, mon père me dit à voix basse d’attendre dix minutes avant de les rejoindre et ils partent derrière la dune. Devinant ce qui s’annonce, l’émotion me submerge, je suis puceau et mon père me donne une occas’ en or…vais-je la saisir ? Est ce qu’Anna sera d’accord ? Mon cerveau (et mon maillot de bain) semble exploser !!! C’est les jambes flageolantes que je me dirige vers les dunes…et ce sont les petits gémissements d’Anna qui m’indique leur position exacte ! Je crois rêver, elle est allongée et mon père la pénètre en missionnaire, elle a vraiment le visage déformé de plaisir…. « Mets toi à poil et vient » me dit mon père, il la positionne alors en levrette et Anna, dominé par mon père, me suce suite à son ordre…franchement, je manque de m’évanouir d’excitation !! Voyant mon émoi, mon père se retire de sa chatte et m’invite à sa place. Je me positionne, tremblant de désir en voyant cette croupe offerte et déjà besognée, je n’oublierais jamais cette sensation voluptueuse d’humidité et de chaleur enveloppant mon sexe tendu. Mais après seulement trois ou quatre va-et-vient je décharge au fond du vagin d’Anna une quantité de sperme qui me surprend moi-même….je me dégage et me couche sur le coté, mon père prend alors Anna avec une virilité époustouflante pendant cinq minutes pour lui aussi déverser sa semence, Anna s’écroule en se tournant sur le dos …de son sexe, le sperme en trop grande quantité s’écoule, je regarde ce spectacle nouveau, fasciné.
— Pr Santiago - Y’a-t-il eu récidive durant ce séjour ?
-Miguel - Oui, mon père, excité par la situation, réussissait à donner le change à ma mère, il lui faisait l’amour avec ardeur tous les soirs, car avec la promiscuité de la tente, j’entendais tout, une simple cloison de toile séparait leur espace du mien. Chaque jour il trouvait un but pour s’évader avec moi et Anna, choisissant avec malice les activités que ma mère n’aimait pas trop comme la planche à voile, les courses au marché ou une excursion en Montagne. Ma mère s’imaginait s’être fait des idées sur Anna et mon père, vu qu’il honorait son épouse tous les soirs, et que de plus, j’étais présent lors de nos activités et sorties, servant de « chaperon ». Ce fut difficile à vivre, au contraire, j’étais l’alibi et le complice de mon père pour cet adultère, mais mes hormones et mon envie de sexe finissaient toujours par balayer mes remords. Durant les quinze jours qui ont suivi, Anna fut laminé par nos deux sexes, elle n’avait jamais connu ça. Une fois dans les douches du camping, nous lui avons fait une double pénétration, avec l’excitation j’ai même perdu connaissance un moment…(rire). Nous lui avons fait l’amour dans les dunes souvent. Lors de l’excursion en montagne, nous avons baisé tous les trois pendant trois heures à l’ombre des pins près d’un ruisseau, nous mettant tête bèche avec mon père pour qu’Anna puisse prendre nos deux bites ensemble dans sa bouche. Bref, une révélation sexuelle pour moi, mais aussi pour Anna, ce séjour.
-Pr Santiago - Bien, je te remercie Miguel, de tout me dire sans rien censurer, mais cette histoire a eu lieu il y a deux ans, c’est ça qui te perturbe ? Ou le divorce récent de tes parents ? Car ta baisse de résultats universitaires date de quelques mois .
-Miguel - Les deux sont liés, docteur. L’année qui a suivi a marqué une détérioration des rapports entre mes parents pour diverses raisons. J’avais toujours la même complicité avec mon père, il me repassait des revues, on regardait des pornos, il m’a emmené une fois ou deux au « club » baiser des prostitués, mais la surprise fut quand il a emménagé dans un appart du centre ville d’Alicante après la décision de se séparer de ma mère. Il m’a donc proposé de vivre avec lui il y’a quatre mois. J’ai accepté, bien sur, et quand je suis venu apporter mes affaires, j’ai vu Anna par l’embrasure de la porte. Depuis ce temps, c’est vraiment un ménage à trois malsain. Mon père l’a mise sous son emprise, elle est à notre disposition sexuelle permanente. Dés le matin, je vais à la salle de bains, leur porte de chambre est ouverte, je la vois lui faire une fellation, je rentre les rejoindre, elle m’en fait une aussi... On vit nu dans l’appart. Quand c’est son tour de se doucher, je vais la rejoindre et je la prends, ou alors pendant qu’elle cuisine je lui fait un cuni et on baise debout…. Le soir, devant la Tv, nous lui faisons l’amour…. Ils sont devenus libertins et le weekend, quand les couples d’amis viennent chez nous, je participe à leurs échanges sexuels. Je deviens accro au sexe docteur, et n’ai plus gout aux études….
Je décidais donc, sans en parler à Miguel qui était contre cette décision, de prendre rendez vous avec son père, Miguel sénior. C’est effectivement un très bel homme, sur de lui, dominateur, et tout de suite dans la séduction de son interlocuteur…Avec beaucoup de précautions je lui explique que Miguel junior a besoin d’aide….qu’il a cru sincèrement bien faire avec lui mais que l’on ne pouvait pas projeter sa façon de vivre sa sexualité sur son enfant. Bien sur Miguel junior parait heureux, au premier abord, de cette sexualité débridée mais il est en fait écartelé entre la testostérone puissante d’un jeune homme et un sentiment de culpabilité sur le divorce de ses parents et un doute profond sur son avenir, ce qui l’empêche de se construire, car si le père a choisi ce mode de vie, Miguel junior l’a subi et n’est pas armé comme un adulte pour lui faire face…..je passe sur le reste de l’argumentaire que j’ai utilisé. L’homme si sur en face de moi à laissé place à un père inquiet en proie au doute…pour une fois.
-Miguel senior- Vous avez raison docteur, j’envoie mon fils faire des études à Madrid et il passera dorénavant les fins de semaines et une partie des vacances chez sa mère….FIN
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