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Initiation zoophile

Chapitre 2

Zoophilie
Après avoir eu, et je dirai même avoir subie ma première initiation à l’amour canin, je ne cessais de penser à cette scène, où malgré l’horreur initial de cette relation contre nature, je n’en gardais que les moments de plaisir. Contre toute attente, à la mi août, Sabine et Mathieu avec qui nous avions sympathisé suite à mon initiation, nous téléphonèrent pour nous demander si nous pouvions garder leur chien pour une semaine. Ils partaient en vacances, et plutôt que de le mettre dans un chenil, ils pensaient qu’il serait mieux à gambader chez nous que d’être enfermé. Je leur répondis que j’allais en parler à mon mari.— C’est toi qui décide, moi je bosse, alors si tu veux t’en occuper…Oui, je désirais m’en occuper, et peut être aussi que ce chien désirerait s’occuper de moi ? Ainsi, trois jour plus tard, en fin d’après midi Sabine m’amena son chien Eros, un nom déjà prédestiné ! Il prit ses repaires dans le jardin, saccageant un parterre de fleur et délimitant son territoire en arrosant chaque arbuste. Lorsque Greg arriva, il joua avec lui, puis nous le laissions dehors pendant le dîner, avant de lui faire réintégrer la maison pour la nuit. Des pensées d’amour canin me tourmentèrent lorsque j’allais me coucher. Je m’affalais nue sur le lit, tant la chaleur de cette nuit était étouffante, et je me mis à me caresser. — Hé ! me lança Greg, tu n’aurais pas envie d’autre chose que tes petits doigts ?Il me fit l’amour, et comme à l’accoutumé, il se répandit dans mon ventre. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil, était-ce la chaleur, mes pensées folles de luxure ?Le lendemain matin je n’entendis pas mon mari se lever, pourtant il revint dans notre chambre vers huit heures pour, comme tous les matins me faire un petit câlin avant de partir au boulot. J’étais endormie et recroquevillée sur moi-même lui tournant le dos. Il posa de petits baisers sur mes fesses qui me sortirent de ma torpeur. Je sentis ses doigts caresser la courbe de mes fesses et se glisser dans le sillon de mes rondeurs, et tout en poursuivant ses bécots, ses phalanges s’insinuèrent entre mes lèvres humides. C’était tellement bon d’être réveillée de la sorte, que je m’allongeais sur le ventre en écartant mes cuisses pour profiter davantage de ses doigts fouilleurs. Je gémissais de bien être.— Ma petite femme est aussi une petite salope, comment sais-tu que c’est moi et non le facteur ?— Simplement parce que le facteur est toujours pressé, et il ne fait pas de préliminaires, murmurais-je.— Une vraie petite chienne ! A propos de chienne, j’ai donné à manger à Eros, et je l’ai sorti dans le jardin.Il m’embrassa une dernière fois dans le cou en me clouant trois de ses doigts bien profondément dans ma vulve humide avant de me quitter en humant ses phalanges parfumés de ma cyprine. Il me laissait sur ma fin comme souvent avant de partir à son travail, alors je glissais ma main sous mon ventre pour finir ce qu’il avait entreprit.Je paressais encore une petite demi-heure au lit, puis je me levais en enfilant un tee-shirt de mon mari qui me servit de mini robe. Je me préparais un petit déjeuner et je m’installais sur la petite table du salon en ouvrant toute grande la baie vitrée que le soleil inondait. Quelques minutes plus tard Eros entra dans le salon et se mit à renifler la confiture, le yaourt… Puis ce fut à mon tour d’être flairée avant qu’il ne repose sa tête sur mes jambes, mais très vite sa truffe se colla sur mon entre cuisse par-dessus le coton du tee-shirt en cherchant à s’y enfouir en donnant des coups museau.— Hé dit donc ! T’es bien matinal pour t’exciter de la sorte !L’odorat d’Eros avait dû percevoir les effluves émanant de mon intimité, tant de nos ébats de la veille que de la masturbation qui m’avait faite mouillée il y avait encore que quelques minutes. Je le repoussais sans vaine, il revenait tout fébrile à la charge, remuant sa queue dans tous les sens, et en jappant. Je finissais mon déjeuner avec l’idée de commencer cette matinée dans l’oisiveté et l’ivresse du bien être. J’allais m’assurer que la porte de notre portail était bien fermée à clé, puis je téléphonais à mon mari sans vraiment de prétexte pour me garantir qu’il était bien à son travail et qu’il ne rentrerait pas chez nous à l’improviste.Je me vautrais dans le canapé tout en retroussant mon tee-shirt sur mon ventre et j’écartais mes cuisses. Je n’eus pas besoin d’appeler Eros, il vint sur le champ plaquer sa langue contre ma vulve, lapant mes chairs moites. De mes doigts j’entrouvrais mon vagin en tirant sur mes lèvres afin de mieux sentir sa langue m’explorer et redécouvrir le plaisir qu’il m’avait procuré la première fois. Il fouillait mon utérus à la recherche de mes effluves de femme envoûtée de luxure. Après un moment où la jouissance n’avait pas été totale, je me décidais à changer de position. Je m’agenouillais face au canapé, puis je trempais deux de mes doigts dans le pot à confiture dont j’enduisis copieusement ma vulve et mon anus avant de poser ma tête sur le divan en cambrant bien mes reins.Le souffle chaud d’Eros souffla sur mes fesses et sa langue se pourlécha de mon intimité tandis que sa truffe heurtait l’œillet de mon anus. Je commençais à jouir et m’abandonnais à ce délice qui devint croissant lorsqu’il fouilla mon anus en quête de la confiture. J’étais saoule de luxure, et les interdits tombaient sans m’en rendre compte au fil de l’ivresse qui m’envahissait.Je sentis le poids de la bête sur mon dos, ses pattes postérieures enserrant mes flancs.— Non Eros ! Pousses-toi ! Criais-je sans trop de conviction.Je n’étais pas très persuasive, et la masse du chien m’empêchait de me relever. Puis je perçus son sexe venir buter tantôt contre ma vulve ou mon anus, ou bien glisser contre mes fesses. Son liquide séminal jutait sur mes chairs et ruisselait entre mes lèvres, tandis qu’il voulut me lécher le visage. De ma main j’écartais sa tête.— Non, pas ça Eros !Son léchage me détourna l’attention, pour me rendre compte qu’il était en moi. Son sexe allait et venait à un rythme soutenu. J’eus un moment de frayeur, me faire baiser par un chien ! Je ne désirais que retrouver le plaisir de sa langue sur mon sexe, mais il était trop tard. Si j’arrivais à me retirer, j’aurais tout de même été prise quelques instants par un animal, et puisque j’y trouvais de l’impudicité jusqu’à ce moment, je me résolus à le laisser me posséder.Au fur et à mesure de son pilonnage j’avais la délectation de sentir sa queue grossir dans vagin. Une fois de plus je tombais dans la torpeur de ma dépravation, savourant ses assauts répétés. J’étais novice, et je laissais Eros à mes dépends. Il avait introduit son nœud en moi ; il se mit à enfler distendant pour mon plus grand plaisir les chairs de mon vagin. Les palpitations de son nœud dans ma vulve ballonnée me donnèrent un premier orgasme, j’étais folle de cette immoralité dévergondée. Puis des jets sperme chauds m’inondèrent. J’avais des spasmes dans mon ventre, me faisant émettre des râles sous mes orgasmes qui se répétaient. Eros haletait, sa bave coulait sur mes épaules, il me souillait.Je restais avachie, le buste sur le canapé.-Allez ! Pousses-toi Eros !Il ne bougeait pas collé à mes fesses. « Pousses-toi je t’ai dit ! ». Le chien ne réagissait pas. Je voulus m’ôter de son dard, mais dès que je le repoussais, je sentais ma matrice comme aspirée, et irriter mes chairs. Nous étions soudés. C’est alors que je me souvins avoir vu lorsque j’étais gamine, un chien saillir une femelle, et rester collés l’un à l’autre de longues minutes. Tout à coup une frayeur m’envahit. Si quelqu’un venait ? Non, impossible, j’ai fermé le portail ! Mon portable résonna. Merde ! On verra plus tard.Ce n’est que bien des minutes plus tard qu’Eros se retira. Ma vulve béante laissa s’écouler un sperme abondant qui ruissela le long de mes cuisses. Je savourais ce dernier instant en sentant la semence de mon amant suinter sur ma peau ; du bout des doigts j’osais en récolter quelques gouttes que je portais à mes lèvres. Répugnant ? Non, un délice !Avant d’aller sous la douche, je rappelais le numéro qui m’avait contacté.— Allô ?— Coucou, c’est Sabine. Alors comment ça va avec Eros ?— Ho ! Sabine. Bien, très bien. Eros est très câlin tu sais….
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