Je m’appelle Noémie, j’ai 22 ans et je suis bisexuelle. Dans ma vie, j’ai toujours eu des périodes où je n’étais attirée que par des filles, et des périodes où il n’y avait que les garçons qui m’intéressaient. Et en ce moment, c’étaient les filles.Le problème, c’est que je n’ai jamais fait l’amour avec l’une d’entre elles, malheureusement je ne dois pas être à leur goût. Ce manque d’expérience me vaut de ne pas avoir un grand succès auprès de la gent féminine. Pourtant je ne pense pas être si moche que ça, j’ai les yeux verts/bleus, les cheveux mi-longs châtains, des seins que tous mes anciens copains ont qualifiés de parfaits et un pubis naturel. Je ne suis clairement pas un canon de beauté, mais je trouve qu’il y a pire que moi. ’fin bref, quand il s’agit de faire l’amour, j’aime que tout soit long et tendre, qu’un baiser soit lent et intense, qu’une caresse soit douce et électrisante. J’aime la douceur de manière générale, mais ce soir-là, avec elle, j’étais tout, sauf romantique. Je l’ai rencontrée sur un site de rencontre un soir totalement random alors que je mangeais mon assiette de pâtes devant mon ordinateur. Elle s’appelait Fleur, son prénom respirait l’innocence et pourtant, bien plus tard, j’ai appris que cette salope était loin d’être une sainte nitouche.Lors de nos discussions très intéressantes, elle m’a avoué n’avoir jamais fait l’amour avec une fille non plus, et je lui ai fait confiance. Ce soir-là on est allées dans un bar typique de la capitale aux alentours de 18h30, pour la première fois qu’on se voyait, elle trouvait que c’était mieux de se voir dans un lieu où l’on pouvait discuter plutôt que d’aller directement se confiner dans un cinéma. Why not. Un peu avant de se voir j’avais décidé de m’habiller de manière totalement naturelle alors j’ai enfilé ma salopette et mes baskets, pas de maquillage, et c’était parti. Le moment de nous voir est arrivé. Le trajet en métro m’a paru long, on se retrouve près des quais de Seine et... Oh mon dieu je la vois là-bas, je suis choquée. Elle est encore plus belle que sur ses photos. Une fille féminine, cheveux châtains aussi, lisses, plus longs que les miens pour le coup, les yeux marron classique mais un air tout timide et innocent sur son visage qui m’exciterait presque. Ses vêtements étaient encore plus classiques que les miens, un leggings qui lui faisait de jolies fesses, un tee-shirt arrivant à son nombril laissant un décolleté vraiment agréable à regarder, néanmoins pas si provocant que ça.Un peu plus tard, on arrive dans un bar, on s’assoit, et à ce moment-là je me sens encore plus stressée qu’à l’instant où on s’est vues, j’ai chaud, alors j’ai commandé un Schweppes et elle un Coca. Je ne suis encore pas habituée à date des nanas et j’ai peur de la faire fuir, ça se voit sur mon visage qui rougit de timidité. Elle a des seins encore plus gros que les miens, je peux le voir à travers son haut, ça dépasse un peu, ça me donne juste envie de déballer ce cadeau, de les toucher et de les téter.Ce soir-là j’étais en pleine période d’ovulation, pour ne rien arranger, j’avais très envie de... baiser. Pas de faire l’amour, non, de baiser sauvagement. Intérieurement je lui ai sauté dessus trois fois, je l’ai léchée cinq fois et je l’ai déjà faite jouir six fois. Oula pardon, retour à la réalité, on discute de banalité, ce qu’elle fait dans la vie, ce que je fais dans la mienne, mais je me sens très excitée par ce que je viens de penser. Je n’aurais pas dû ? Je la respecte trop mais je crois que j’ai envie d’elle. — "Hey Noémie, tu vas bien ? On dirait que t’es partie dans tes pensées" — "Ah oui, non t’inquiète pas Fleur, je pensais à... mon travail de demain, j’espère arriver à finir mon projet à temps" J’ai menti. Je lui ai menti. Je n’aime pas mentir, mais qu’est-ce que je devais lui dire ? "Non en fait je pensais juste à tes énormes seins qui m’appellent et qui me donnent envie d’y poser ma tête pour les sucer", non, je ne pouvais pas dire ça. Quelques minutes de discussion plus tard, elle me dit :— "Tu sais, quand on discutait sur nos téléphones, je t’ai dit quelque chose à propos de moi, mais... j’ai menti sur ça. J’ai menti sur le fait que je n’avais jamais fait l’amour avec une fille. J’ai déjà eu des relations avant, plusieurs mêmes, mais jamais sérieuses donc je l’ai déjà fait, je suis désolée. Je voulais te faire croire l’inverse car sinon ça aurait été plus dur pour toi d’accepter que je ne sois pas très sérieuse..." Ah bah, on est deux à avoir menti. Un point partout. Je me souviens bien lui avoir dit que je n’avais pas d’expérience dès le début de nos échanges en plus, elle m’a manipulée pour que j’accepte le date avec elle. Haha, bien joué. Attends... Pourquoi ça m’excite de savoir ça déjà ? Je vais peut-être enfin pouvoir sentir une langue de nana sur mon clitoris bientôt, qui sait, c’est génial. Je sens un petit liquide chaud qui sort de mon pubis rien que de penser à ça. C’est dommage car je voulais quand même aller loin avec elle, elle est tellement mignonne. — "Oh... C’est très gentil de t’excuser, je ne t’en veux pas, tu as eu ta vie avant c’est normal. Mais pourquoi tu me dis ça ? Je dois accepter le fait que tu ne sois pas sérieuse ?" — "Non en fait, je veux pas me caser. Je veux faire ta première fois. Désolée pour toute cette discussion banale, je veux juste coucher avec toi, tu m’attires beaucoup et je suis sûre que tu pourrais être un bon coup pour moi. J’espère que tu comprends un peu..." Ce n’était pas prévu ça. Je tombe des nues. Elle vient de me proposer de coucher avec elle là, non ? Je me sens rougir maintenant, je sens mon soutif me serrer la poitrine, mon ventre faire de la danse contemporaine et ma culotte qui commence à tremper. J’ai très très envie d’elle, son sourire d’innocent me fait craquer. Elle me prend par la main, paie l’addition, me fait sortir du bar et me sort un :— "Eh, j’irai doucement, d’accord ? Tu es très jolie, je voudrais pas abîmer un visage aussi pur" Ces mots font trembler ma culotte, j’ai juste envie de la pousser contre un mur et de la déshabiller entièrement, de suite.Mais je ne peux pas, encore. Elle m’emmène chez elle, enfin je crois, je sais plus bien où j’en suis là, je sais juste qu’on est main dans la main, et je sens qu’elle a les mains moites, est-elle aussi chaude que moi ? Qu’ai-je fait pour l’exciter autant ? J’adore me faire mener comme ça, je suis la petite pute soumise qui ne demande qu’à prendre cher et j’adore.
