Innocente Océane Chapitre 3 Tu ne vas pas rester comme ça, je vais te passer d’autres vêtements pour ce soir.Ma tante m’apporte un chemisier quasiment transparent et une jupe portefeuille courte, elle me donne aussi un tanga de dentelle.— Essaie ça. Ça sera mieux que ton jean de déménageur.Elle m’accompagne dans ma chambre et me regarde me déshabiller. Une fois nue je passe les vêtements qu’elle me prête, nous avons à peu près la même taille et ils vont à ravir.— Quand même, tata, on voit mes seins à travers, tu ne crois pas que je devrais mettre un soutien gorge.— Quand on a des seins aussi jolis que les tiens, on ne les cache pas.Elle en profite pour me les caresser, ce qui me les fait pointer, j’adore ses caresses.— Arrête, tata, tu m’excites.Au lieu de cesser, elle m’attire et m’embrasse, une de ses mains glisse entre mes cuisses, déjà je sens que je mouille. Je passe mes bras autour de son corps, je descends sur ses fesses, elle se colle contre moi, je glisse mes mains sous sa jupe, elle n’a toujours pas de culotte, mes doigts se glissent entre ses fesses, caressent son petit trou en passant, atteignent sa fente bien humide. Elle se cambre pour me donner accès à sa grotte brûlante.Nous nous caressons tout en nous partageant nos salives, enfin nos vêtements finissent rapidement au sol et nous tombons emmêlées sur le lit. Tout en explorant nos corps nous nous mettons tête bêche, je me retrouve au dessus de ma tante et je pose mes lèvres sur sa chatte. Je m’aperçois qu’elle est complètement épilée alors que je n’ai jamais touché à ma toison, elle a aussi un clitoris beaucoup plus gros que le mien et je n’ai aucune difficulté pour le prendre entre mes lèvres et le mordiller un peu, ce qui lui fait faire des bonds énormes et pousser des cris aigus. Nous nous doigtons mutuellement, ma tante a un vagin large et dégoulinant de cyprine. Comme elle a largement écarté ses cuisses et remonté ses jambes, j’ai une vue magnifique de son petit trou, je le vois palpiter et ça me donne envie de le visiter, je profite de son jus pour le mouiller et faire pénétrer un doigt qui ne demande qu’à rentrer.— Oui vas y, branle moi le cul, j’adore ça ! Me crie t’elle.Nous sommes toutes les deux dans une transe sexuelle débridée et nous ne tardons pas à jouir plusieurs fois avant de retombées repues et épuisées.Après un petit temps de repos nous nous relevons et nous nous rhabillons. Comme mon oncle ne rentre que ce soir, nous prenons un peu de bon temps sur la terrasse, mais nous ne manquons pas de nous embrasser et de nous caresser à chaque occasion.Après nous préparons le repas du soir en attendant le retour du ‘mâle’ comme dit ma tante. Quand mon oncle arrive, il embrasse sa femme rapidement mais pour moi il m’enlace avant de vouloir m’embrasser mais je lui donne ma joue.Nous prenons un petit apéro pendant lequel tonton essaie de me peloter, mais je m’esquive sous les regards amusés de ma tante.Puis nous nous mettons à table, ma tante me place à côté de mon oncle et se met en face. Durant le repas, mon oncle m’attire à lui, je le repousse en riant, je repousse sa main qui se promène sur ma cuisse mais le rosé qu’il m’a servi me tourne un peu et je sens que je vais finir par céder, il me trouble et je sens que ma culotte se mouille.Quand le repas se termine, je me lève, enfin j’essaie, je suis un peu pompette, je chancelle et mon oncle me rattrape, il en profite pour me peloter les seins et le ventre. Il me tourne vers lui en me serrant, je n’en peux plus, je lui donne ma bouche, nous commençons un duel fiévreux de langues avides, je le tiens par le cou pendant qu’il me caresse le dos et les fesses.Puis il me soulève et il m’emporte dans ma chambre, toujours m’embrassant, il me pose sur mon lit et il m’ouvre mon chemisier, il embrasse mes seins et me suce les tétons, il me fait gémir de plaisir.
Du coin de l’œil, je vois ma tante arriver et se déshabiller, elle s’installe sur le lit à côté de nous.Elle me dégrafe ma jupe et me l’enlève, puis ma culotte prend le même chemin. Mon oncle se relève et se met à poil à son tour. C’est la première fois que je vois son sexe, et d’ailleurs la première fois que je vois un sexe d’homme. Il me paraît énorme une tige raide surmontée d’un gland large qui lui donne l’allure d’un champignon.Ma tante m’attire mon dos sur elle, elle me prend par les cuisses et les écarte, m’offrant grande ouverte à son mari.Il se place entre nos cuisses, il promène son gland le long de ma vulve qui commence à ruisseler d’envie, il le place à l’entrée de mon vagin et il me pénètre doucement, je me sens remplir au fur et à mesure qu’il progresse, bientôt sa bite vient buter sur mon utérus, il reste sans bouger un moment, avant de commencer ses va et vient.Je peux dire que les effets des doigts de ma tante ne sont rien par rapport à ceux que je ressens avec une grosse bite comme celle ci. Je crois que je vais jouir bientôt s’il continue de me pistonner comme ça. Il accélère par instants, il me fait crier, puis il va doucement, je suis à bout, je jouis déjà, il continue longtemps, pendant ce temps ma tante me caresse les seins et me titille mon clitoris, ce qui me fait jouir encore plus.Mon oncle commence à souffler fort, il me pistonne plus brutalement avant de se bloquer au fond de mon ventre et d’éjaculer de grosses giclées qui me font jouir encore.Il se couche sur moi et nous nous embrassons passionnément jusqu’à ce que ma tante proteste qu’on l’écrase tous les deux, nous nous séparons en riant.— Encore, tonton, c’est tellement bon.— Attends un peu, ma chérie, ou alors aide moi.— Oui, tonton, qu’est ce que je dois faire ?— Le mieux, ma chérie, c’est de le mettre dans ta bouche, ça le remettra en forme.— Euh, dans ma bouche, tata ? C’est dégoûtant, j’ai jamais fait en plus.— Tu t’y habitueras, je vais te faire voir.Elle se baisse et commence à lécher la queue de mon oncle depuis la base jusqu’au gland qu’elle prend dans sa bouche. Elle me regarde.— Fais comme moi.J’hésite puis j’essaie, je lèche en même temps que ma tante, finalement ça n’a pas mauvais goût ce mélange de sperme et de cyprine. Quand j’arrive en haut je retrouve la bouche de ma tante et nous nous embrassons avant de redescendre le long de la tige et de remonter. Quand je suis sur le gland j’ouvre la bouche pour le gober.— Suce le bien, passe ta langue autour. Me conseille ma tante.Je commence à sucer, mon oncle fait des petits mouvements dans ma bouche tandis que je le pompe, je sens qu’il grossit et qu’il durcit, je le pompe plus fort. Il commence à grogner, j’essaie de l’avaler plus loin, c’est à ce moment qu’il m’envoie des giclées de sperme au fond de ma gorge, il me tient la tête et je suis contrainte d’avaler son foutre épais. Enfin il me lâche.— Tu aurais pu prévenir, tonton !Ma tante se marre.— Excuse moi, ma chérie, mais tu m’as trop excité, regarde, je bande encore.Il me fait mettre à quatre pattes, il m’attrape par les hanches et il me pénètre d’un coup, il est plus brutal que la première fois et il me pistonne à grands coups de reins.Ma tante s’est placée devant moi pour que je lui mange sa moule, j’essaie de la lécher mais j’ai du mal, étant donné les secousses que je reçois malgré qu’elle me tienne la tête collée entre ses cuisses.Il accélère encore, je sens qu’il cherche à prendre son plaisir sans tenir compte du mien.En fait j’ai la chatte en feu et je jouis quand même, le summum est quand il enfonce son pouce dans mon anus et qu’il me le branle, avant de m’injecter une nouvelle dose de sa semence au fond de ma matrice.Ma tante n’a pas joui par ma langue et se finit à la main tandis que mon oncle se retire et que le sperme coule doucement le long de mes cuisses.Après ces excès nous décidons de nous reposer et nous finissons par nous endormir les uns contre les autres. Je me réveille au milieu de la nuit avec une douce sensation, Mon oncle a profité que j’étais couchée en chien de fusil pour me pénétrer doucement, il va et vient très lentement mais sur toute la longueur de son sexe. Je sens le plaisir monter en sentant le parcours de son gros gland dans mon vagin, par instants il s’arrête et pousse fort contre ma matrice avant de refluer jusqu’à l’entrée de ma vulve.Je lui murmure de continuer comme ça, je voudrais que ça ne s’arrête jamais, avoir toujours un sexe en moi. Il commence à respirer fort, il va un peu plus vite, il me donne des coups de reins, je jouis plusieurs fois et je jouis encore plus fort quand il se bloque au fond de mon vagin qu’il me remplit à grandes giclées tout en grognant.Il ne bouge plus tandis qu’il reprend sa respiration, c’est trop bon.— Reste en moi, tonton, j’aime bien sentir ta bite comme ça.Malgré qu’il ait débandé un peu, j’ai toujours envie de le sentir en moi. Je finis par m’endormir de nouveau, toujours pleine du sexe qui me procure une plénitude inconnue jusque là.
