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Innocente Océane

Chapitre 5

Un tonton peut en cacher un autre

Inceste
Innocente Océane
Chapitre 5

J’ai attendu ma tante qui finissait ses consultations et nous nous mettons à table. J’avais préparé le repas suivant ses indications.— Alors, Océane, la matinée s’est bien passée ?— Oui tata, j’ai été promener et j’ai fait la connaissance d’un monsieur qui s’appelle Robert. Il m’a fait visiter son jardin.— Ah, je vois qui c’est. Il est beau son jardin ?— Oui, c’est magnifique, et il m’a prise en photo dans ses fleurs.— Tu me les feras voir.— Ah oui, c’est vrai, il ne m’en a pas donné.— J’espère que ça n’était pas des photos, euh, coquines.— Non, enfin, pas toutes.— Bon, j’ai compris. Et donc je suppose qu’il s’est occupé du tien de jardin.— Oui, il l’a bien labouré.— Je m’en doutais, tu sais, bienvenue au club ! Robert a baisé toutes les femmes du quartier. Y compris moi !— Il faut dire qu’il est bien équipé !— Oui, il a du matériel !Nous éclatons de rire avant de nous prendre dans les bras et de nous embrasser goulûment.
— A propos, je crois que Gaétan le père de Michel, va passer cet après midi, tu te rappelles de lui ?— Ah oui, c’est encore un tonton à moi, oui, mais j’étais encore petite.— Oui, c’est ton grand oncle. Je ne serai pas là, tu pourras le recevoir ?— Oui, il vient pourquoi ?
— En fait, je lui ai dit que tu étais là et il souhaite te revoir.— Il se souvient de moi ?— Oui, et il avait un bon souvenir de toi.— Bon, d’accord.
Donc, l’après midi, on sonne, je vais ouvrir, c’est un vieux bonhomme, enfin, plus vieux que dans mon souvenir, dans les soixante ans.— Bonjour, tu es mon oncle Gaétan ?— Bonjour Océane, dis donc je ne te reconnais pas, c’est vrai que tu étais toute petite quand je t’ai vue la dernière fois.— Entre, tonton.Je le fais asseoir dans le salon. Je me mets à côté de lui.— Alors, qu’est ce que tu deviens ?— Ben, je viens de passer mon bac et je vais aller à la fac.— Ah, tu n’es plus une petite fille, et tu es drôlement jolie.Il me reluque du haut en bas, j’ai du mal à cacher mes cuisses, j’aurais dû mettre autre chose, tant pis.— Et toi, tonton, ça va ?— Oui, maintenant je suis en retraite, mais tu sais que j’ai perdu mon épouse il y a deux ans.— Oui, maman me l’a dit. Ce n’est pas trop dur ?— Bah, on s’habitue.— quand même, je suis désolée pour toi.— Merci. Mais parlons d’autre chose. Tu sais je me souviens bien de toi, tu étais déjà une jolie petite fille et tu m’aimais bien, tu étais toujours fourrée sur mes genoux.— Oui, j’aimais bien quand tu venais.— Et maintenant tu es une grande fille. Laisse moi te regarder, lève toi pour que je te voie mieux.Je me mets devant lui, il me détaille partout.— Tourne toi, ma chérie. Ah, la, la, qu’est ce que tu es belle ! Ta poitrine a bien poussé, et j’adore tes fesses, ça ne te dérange pas que je te dise ça ?— Non, tonton, ça me fait plaisir— Approche toi, ma belle.Il écarte les jambes et m’attire à lui, quand je suis près de lui, il me coince entre ses jambes.Il pose ses mains sur mon ventre et mes reins au niveau de ma taille, il est très doux, il effleure mon corps, il remonte sous mes seins, il redescend sur le haute de mes fesses et sur mon bas ventre, il me fait frissonner de plaisir.— J’aime ton corps, j’ai envie de le caresser, tu veux bien que je te caresse, ma chérie.— Oui, tonton, j’aime bien tes mains sur moi.Il continue doucement, il vient sur mes fesses et sur mon pubis, il remonte le long de mon dos et li touche mes seins, je les sens pointer et durcir, il les empaume, il me fait gémir, il redescend le long de mon ventre et de mes fesses, il arrive sur mes cuisses, il les caresse, il remonte doucement en passant sous la jupe. — Qu’est ce que tu fais, tonton ?— Tu n’aimes pas, ma chérie ?— Si, mais ça me gène.— Laisse toi faire, tu vas aimer.Ses mains remontent lentement sur mes cuisses, je frissonne, le bout de ses doigts atteint mon aine tandis que ceux de son autre main pénètrent mon entre-fesses sous la culotte. Je me sens fondre en sentant les doigts frôler ma vulve en feu et me titiller l’anus. Je chancelle, heureusement qu’il me tient avec ses jambes. Il s’en aperçoit.— Viens t’asseoir sur mes genoux, ma chérie.Quand je suis assise il me tient par la taille d’une main puis il commence à déboutonner ma chemise. En même temps il m’embrasse dans le cou.— Mmmmm ! Qu’ils sont beaux tes seins.Il enlève ma chemise et il les prend en mains, il les caresse, puis les manie plus fort, il prend mes tétons et les tire, puis il me les suce, j’adore tout ce qu’il me fait. Pendant qu’il me suce il glisse sa main entre mes cuisses et il m’explore la culotte, je suis déjà prête à jouir, j’appuie sur sa main qui me caresse la vulve. Je gémis de plus en plus fort.Alors, soudain il me bascule en arrière, je me retrouve allongée les fesses sur ses genoux et ma tête sur le canapé, il me retrousse ma jupe et aussitôt il me baisse et il m’enlève ma culotte. J’ai ma chatte surélevée juste sous ses yeux.D’une main il écarte mes lèvres et de l’autre il explore ma fente.— Tu es toute mouillée, cochonne. Ça te plaît de te faire tripoter, pas vrai ?— Oui, tonton, continue.Il enfonce un doigt dans mon vagin, mmmm, c’est bon d’avoir quelque chose qui me remplit.— Oui, enfonce bien, tonton.— t’aime ça ma cochonne, hein !— Ouiiii ! Vas y !Il met un deuxième doigt et commence à me branler. Avec difficulté j’essaie de lui ouvrir sa braguette et lui sortir sa queue, il m’aide en ouvrant son pantalon, finalement j’y arrive et je me mets à l’astiquer.Il me baise de plus en plus fort avec ses doigts, je le branle à la même cadence, nous respirons fort tous les deux. Maintenant il me baratte le con, ça fait un grand bruit de clapotis, je suis à bout je sens mon orgasme monter, je commence à crier.— Jouis, ma cochonne, jouis !Sous l’effet de ma jouissance je resserre les cuisses sur sa main. Sans le vouloir je lui comprime sa bite dans ma main, il grogne et décharge tout son sperme sur ma main et mon ventre.Nous soufflons cinq minutes puis il me soulève pour se dégager, il enlève son pantalon sur lequel il y a des traces de sperme, je vois qu’il est toujours au garde à vous, il se place entre mes cuisses, il promène son gland le long de ma fente puis il me pénètre d’un coup. Je suis tellement mouillée qu’il peut entrer à fond dans mon vagin.Il me baise d’abord lentement sur toute la longueur de sa bite, Il s’est mis en appui sur ses bras mais par moments il se couche sur moi et nous nous embrassons en mélangeant bien nos langues.Il accélère et s’enfonce plus fort, il me secoue, je suis surprise qu’un homme de son age ait d’aussi bons coups de reins.— Oui, vas y tonton, baise moi fort !— T’aime bien ma bite, ma cochonne !— oh oui, tu me fait du bien ! Ahhhh ! C’est bon ! Ouiii !Je jouis comme une folle tandis qu’il me défonce à toute vitesse.Il se bloque d’un coup et il décharge sur mon utérus, me faisant jouir encore plus fort. Il fait encore quelques va et vient plus lents avant de s’enfoncer au fond de mon ventre et de se coucher sur moi pour m’embrasser de nouveau.Nous restons embrassés longtemps, je le caresse du dos jusqu’à ses fesses, mais je sens qu’il débande tout doucement.
Enfin il se redresse et se retire de ma chatte repue, puis il approche sa bite de ma figure.— Nettoie la moi, petite cochonne !Elle est complètement enrobée d’un mélange de sperme et de cyprine, ça a coulé jusque sur ses couilles. Je lui prends la queue en main et je commence à le lécher de bas en haut, je redescend et je lèche au milieu des poils gris, je remonte et j’embouche son gland gluant. Je promène ma langue autour, il gémit et je sens qu’il rebande encore.— Tu suces bien, ma chérie, continue comme ça.Il commence à faire des va et vient dans ma bouche et je le branle en l’empêchant de s’enfoncer au fond de ma gorge , il durcit de plus en plus, je le branle plus fort.— Ahhhh ! Ma cochonne, arrête ! Arrête ! Je vais jouir !Il me tapisse la langue et le palais de quatre ou cinq giclées de foutre que j’ai du mal à avaler. Puis je lui rends sa bite après un dernier coup de langue ;— Oh, tonton, tu as bien failli m’étrangler !— excuse moi, j’aurais dû te prévenir.— c’est pas grave.Il se lève et se rhabille, puis il se penche pour m’embrasser en me caressant encore entre les cuisses.— Je reviendrai te voir, chérie cochonne à moi.Il part enfin. Je suis un peu crevée et je me lève pour aller dans ma chambre. En me levant je m’aperçois qu’il a glissé deux billets de cinquante entre mes cuisses. Ça me laisse un peu rêveuse.Je ramasse mes vêtements qui traînent et je pars dans ma chambre. Je m’allonge sans me rhabiller pour récupérer un peu.

J’émerge d’un sommeil lourd en sentant des mains sur moi qui me font frissonner, j’ouvre les yeux et je me souviens d’un coup de la visite de tonton Gaétan, mais maintenant c’est son fils Michel qui est au bord du lit. J’ai les cuisses grandes ouvertes et je crois que c’est lui qui les a écartées. Il regarde mon sexe et il écarte mes lèvres.— Ah, bonjour tonton, tu es là. Je dormais.— Dis donc, Océane, tu pues le sperme et ça dégouline de ta chatte. Qui est ce qui t’a baisée ?— Ben, c’est tonton Gaétan qui est venu, tu le savais pas ?— Et il t ‘a baisée.— Ben oui, il m’a bien fait jouir !— Ah, le salaud, je ne savais pas que papa était encore si vigoureux.— Oui, il a joui trois fois.— Et tu l’as laissé faire ?— Ben oui, tu sais il baise bien, aussi bien que toi.— Comme on dit : Tel père tel fils !Nous rions bien ensemble puis il se déshabille et s’installe sur le lit, tête bêche au dessus de moi, il bande déjà, je lui prend sa queue en bouche et je commence à le pomper, je le fais gémir. Il met sa tête entre mes cuisses et il me lape la chatte, il avale tout le sperme de son papa qui coule de mon vagin. Il me remonte les cuisses et il m’écarte les fesses de ses deux mains, je sens qu’il me creuse mon petit trou en tirant sur la peau et il y plonge sa langue. Je ne peux pas lui faire la même chose, j’ai déjà son sexe en bouche mais je lui titille la rondelle et j’enfonce un doigt, il grogne, je fais des va et vient dans son cul. — Oui ! Continue Océane ! Tu as fait de sacrés progrès, ma coquine.Je lâche sa bite et je lui réponds :— Grace à qui, tonton ? Et ça te plaît bien, pas vrai ?— Mmmmm ! Fait il en me mordillant mon clito.Je sens que je vais encore jouir s’il continue à me sucer et me tripoter mon cul.Il est bien excité et il se retire d’au dessus de moi. Il me fait mettre à quatre pattes et il se place entre mes jambes.Tout de suite il me pénètre, dans cette position il me la met plus profond, il ne perd pas de temps et me pistonne vigoureusement.— Ouiiii ! Vas y tonton ! Ahhhh ! Elle est grosse ta bite, c’est bon ! Ahhhh ! Tu vas me faire jouir !Tandis qu’il me ramone, je sens son pouce tourner autour de mon anus, puis forcer le passage de mon petit trou, il va et vient en même temps que sa queue.Puis il se retire et il retire son pouce mais aussitôt je sens qu’il essaie de le remplacer par son sexe.— Non, tonton, pas là, j’ai jamais fait ça, ça va faire mal !— Détends toi, ma chérie, tu vas voir, je vais y aller doucement.Il pousse, j’essaie de me détendre.— Ahhh ! Ça fait mal ! Tu es trop gros !— Il est presque rentré, et puis j’ai trop envie !Je sens que le gland est passé, ça me fait drôle, je n’ai plus trop mal.— Attends un peu, tonton chéri.Il ne bouge plus son sexe mais il me caresse la chatte en attendant.— Vas y doucement maintenant, tonton.Il me pénètre lentement, je sens mon rectum se remplir.— Ça va chérie ?— Oui, continue doucement, oui, comme ça.Il commence à bouger, ça ne me fait plus mal mais ça fait une drôle de sensation. Il va un peu plus vite et son pubis commence à frapper mes fesses, en même temps il me branle mon clitoris.— Ahhhh ! C’est bon, tonton, j’aime bien, vas y plus fort !Il coulisse plus vite, je ne savais pas que c’était si bon, bientôt je jouis sous ses coups de reins, il me cramponne par les haches et il me fourrage de sa queue rigide.Enfin il râle de plus en plus fort, et dans un grognement de fauve, il libère son sperme au fond de mon rectum, me faisant crier à mon tour.Il finit par se retirer et se couche contre moi, nous nous embrassons profondément en nous caressant partout, puis nous finissons par nous assoupir.Nous sommes réveillés par ma tante qui proteste.— Alors vous avez vu l’heure, il est temps de passer à table au lieu de vous mignoter !
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