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Instants furtifs

Chapitre 2

Gay
Je suis revenu chaque année sur cette plage. J’y ai profité de la mer et du soleil. Dès mon départ du gite, je suis déjà excité par le plaisir de la baignade, du soleil et de l’exhibition à venir. Si de nombreux adeptes du naturisme sont peu enclins aux prouesses coquines, il n’en reste pas moins qu’une frange importante de nudistes associe le plaisir de vivre nu avec celui de l’exhibition et de la drague en milieu naturel. Pour ma part, longtemps complexé par mon physique et une éducation rigoriste, j’ai peu à peu appris à m’accepter tel que je suis et à trouver du bonheur dans « l’exhib ». Naturellement tourné vers les autres, j’ai appliqué à cet exercice la même recette qu’à toutes les autres relations humaines. De là à avoir besoin de séduire et d’être séduit, il n’y a qu’un pas qui a vite été franchi. C’est donc ce désir profond qui m’habite lorsque je me rue, à demi nu, à bicyclette vers la plage. Mon esprit en est envahi et mon corps en frémit sans cesse.
Se régaler de la chaleur du soleil et de la fraicheur de la baignade en est l’indispensable complément.
Arrivé au port, ou plutôt au rivage, j’ôte fébrilement ce qui me reste de vêture avant même d’attacher mon vélo à un arbre, puis je dévale la dune. La brûlure du sable puis la fraicheur de l’eau me saisissent. Peu à peu, mon corps se détend et s’apaise dans les vagues qui me bousculent et me caressent. Lorsque je suis totalement relaxé, je sors de l’onde et me laisse sécher en longeant le rivage. Bientôt, j’erre totalement nu dans la dune, à l’ombre, et en profite pour contempler quelques anatomies intéressantes. Je ne m’y sens bien que si je déambule, absolument dévoilé, sans même mes lunettes, au prix d’un léger flou qui finit par me plaire. La pinède est étonnamment calme et les voyeurs discrets et peu nombreux. Des incursions gendarmesques et la Covid sont passées par là. Parfois, au sommet de la butte, côté mer, quelques couples se caressent et provoquent de petits attroupements, mais rien de plus.
Mes partenaires de jadis n’ont jamais reparu et je regrette de ne pas entrevoir le petit homme sec au short noir. Il embrassait si bien ! Sa peau était si douce !
Heureusement, il y a la masse inépuisable de mes congénères allongés sur le sable, s’agitant à des jeux variés, déambulant les pieds dans l’eau ou en partie immergés, s’amusant des vagues. Les uns et les unes affichent un bronzage savamment uniforme. D’autres ne font pas un secret de leur conversion récente au nudisme en affichant leurs culs blancs et parfois leurs seins d’albâtre...
De magnifiques créatures à la peau claire (essentiellement des filles), sans la moindre trace de brunissement, déambulent ou se réfugient sous de jolis parasols. Dans un univers de bronzage intégral, leur originalité les rend incontournables. On ne voit qu’elles ! J’avoue que je suis absolument fan de toutes ces nudités que je ne remarquerais même pas en ville et habillées. Garçons et filles me séduisent et ma curiosité est inépuisable. Nulle différence entre les jolis petits culs bien fermes et les seins, ronds et denses des jeunesses, et les glorieux popotins et les poitrines tombantes des plus âgées...
Les fesses à fossette musclées et les phallus m’intéressent aussi (interminables ou tout petits). Quelques « vieilles et vieux », joliment conservés, devisent en groupes compacts de choses mystérieuses. Ils et elles restent là des heures, sans jamais regagner l’abri des pins ou des parasols. Quelle vigueur !
Cette année, alors que la pandémie est plus présente que jamais, l’activité dunaire est paradoxalement plus importante. Il faut dire que la plage est beaucoup plus fréquentée qu’à l’habitude. A plusieurs reprises, du sexe hétéro réjouit les voyeurs : cunni et doigtage s’enchaînent à la vue de tous au haut du relief ; derrière des paravents de plage, on devine quelques 69, voire plus. Plusieurs spectateurs se caressent d’un air décontracté... Tordant ! A l’ombre des taillis, ce sont des groupes d’hommes qui se sucent et se branlent avec fébrilité jusqu’à ensemencer le sable. Je bande, me touche, puis fuis ces groupes-sexe où personne ne maîtrise rien. Tiens, tiens, un peu trouillard tout de même ! La maraude de l’association Aide me rappelle les risques en me proposant dépistage, capotes et lubrifiant. Et puis il y a la Covid ! Il n’empêche que mon envie de sexe obscurcit mon raisonnement. Je veux des caresses, de la peau, des mains indiscrètes, des regards complices...
Après une petite semaine, je commence à m’enhardir et m’expose, entre deux baignades et deux balades sur la plage et dans la dune, assis sur une grosse branche, au sommet d’un joli monticule. A l’approche de rôdeurs nus, je me caresse les seins, les cuisses, le sexe de façon explicite. En pure perte, nombre d’entre eux ne sont là que pour mâter ! Ils déambulent en faisant semblant de ne rien voir d’autre que les furtifs accouplements qui émaillent, çà et là, la forêt côtière. Nombre d’entre eux me paraissent sans intérêt à cause de leur déambulation rapide et de leur attitude peu ouverte aux autres. Nul moyen d’accrocher leur regard ! Quelques-uns tournent autour de ma butte sans manifester d’intention ni me regarder vraiment. Après quelques coups d’œil en dessous, ils disparaissent dans les frondaisons. Qu’importe, je me sens bien ainsi exhibé et je sais qu’ils me contemplent à leur manière.
Ma peau, devenue hypersensible, frissonne sans cesse et mon petit sexe, à demi dressé, se présente sous son meilleur jour. Mais que leur faut-il de plus ? La plupart n’attendent sans doute rien d’autre que de se branler devant les aventures des autres.
Par une belle fin d’après-midi, fatigué de m’exposer en pure perte, j’allais quitter la plage lorsque je découvre, pas loin de moi, un autre personnage exhibé. Chaussé de sandalettes, il a gardé son short de bain lie de vin malgré le lieu et est assis sur un tronc imposant, occupé à regarder passer les armées de voyeurs furtifs. Je ne sais ce qui m’a attiré chez lui. Massif et de taille moyenne, il n’est pas vraiment séduisant hormis un bronzage régulier et une attitude modeste, presque timide, qui a fini par m’émouvoir. Sa pilosité est peu développée. Il parait maigre alors que son abdomen grassouillet déséquilibre un peu sa silhouette. Son regard est bienveillant, mais ne manifeste pas d’intérêt particulier pour ma personne. Il me regarde arriver sans déplaisir, attentif tout de même. Lorsque je lui demande ce qu’il attend, il élude la question puis, acculé par mon insistance, il finit par avouer sa soif d’aventure et le plaisir qu’il a à sucer quelques queues.
Mais il reste étonnamment inerte et sans volonté manifeste.
Je le sens tendu et en insécurité. Je lui parle vaccination, mais cela ne semble nullement le rassurer. Je finis par m’apercevoir que seuls le lieu et le regard des autres l’inquiètent. Nous nous déportons à l’abri des frondaisons. Mais il ne semble toujours pas tranquillisé. Après une longue période d’atermoiements, je finis par lui proposer de le caresser pour le détendre. Lorsqu’il accepte, je le serre dans mes bras et caresse doucement son dos puis ses seins. Il frémit. Cela m’incite à les prendre en bouche tandis que ma main s’égare vers son bas-ventre. Je le caresse, extrais son sexe puis le branle, mais il reste étonnamment mou. Il se lève, touche un moment mes fesses puis se ravise. Je baisse son short et m’agite autour de son sexe de la main puis de la bouche. Rien n’y fait et je suce un ectoplasme sans réaction. Il caresse mollement ma tête. Il finit par s’agenouiller et me prendre en bouche sans aucune conviction.
Je le perçois les sens en alerte alors que, pour ma part, l’excitation monte franchement et durcit ma queue. Au bout de quelques instants de ce traitement, il se relève brutalement et remonte son short. Je reste là, bite au vent, décontenancé de voir qu’il a décidé d’en finir. Nous échangeons quelques mots sur ce qui vient de se passer. Sa peur est plus forte. Incapable de me calmer, je me branle sous ses yeux. Son regard ne quitte pas mon bas-ventre. Il me félicite de la quantité de foutre que j’expulse dans le sable et s’enfuit vers la plage. Je me sens penaud et, malgré tout, soulagé. J’y reviendrai... avec d’autres.
Le lendemain, je renouvelle la même manœuvre sur mon promontoire avec plus de succès. Au bout de quelques minutes, un beau vieux (mon âge ou un peu plus) me tourne autour, visiblement intéressé. Son corps mince et légèrement vouté est mis en valeur par un bronzage intégral superbe et sans tache. Il est lisse, magnifiquement imberbe ou épilé, sauf une couronne de cheveux blancs, coupés courts, qui bordent son crâne presque chauve. Son petit ventre surplombe ses cuisses un peu maigres. Ses fesses n’ont pas encore totalement fondu et son sexe est d’une assez jolie taille, bien supérieure au mien. Par contre, il ne manifeste pas son attirance par la moindre érection alors que ses travaux d’approche me font déjà bander. Je le fixe dans les yeux et me caresse doucement. Il hésite et refait un tour. Je lui souris en me branlant franchement. Il approche enfin. Il me demande de me déplacer plus à couvert et je le fais volontiers en l’emmenant par la main.
Je lui dis que je suis vacciné et que « tout est possible ». Il me confirme que lui aussi puis se colle à moi. Immédiatement, il enfourne une langue gigantesque dans ma bouche que je laisse visiter sans combattre. La sensation de pénétration est étonnante et m’envoie l’image mentale d’une expérience similaire dans mon cul. J’en suis tout retourné. Le corps à corps est ferme et doux à la fois. Ses mains empoignent fortement mes fesses. Mon sexe s’incruste dans son bas-ventre, mais je ne sens pas le sien. Je risque une main et le branle. Rien n’y fait. Il est à la fois manifestement excité et inerte de ce côté. Je profite d’un léger relâchement pour m’agenouiller et le sucer sans plus de résultat. Je crois qu’à cet instant, il avait obtenu tout ce qu’il espérait ou pris conscience qu’il n’obtiendrait rien d’autre. Il m’a alors gentiment sucé jusqu’à l’orgasme puis, profitant de mon inattention, s’est éclipsé sans un mot.
Après ces deux expériences, je ne rêve que de bites turgescentes, fièrement érigées. Je laisse tomber l’exhib et me contente d’étaler ma nudité sur le sable de la plage entre deux rafraichissantes baignades. Quelques jours plus tard, alors que je vais récupérer de la lecture dans les sacoches de mon vélo, mon regard est attiré par un attroupement d’hommes au milieu d’un désordre de branchages. Je m’approche et constate qu’une jeune femme brune et bronzée, aussi belle que robuste et bien en chair, est l’objet de l’attention et des caresses de deux hommes qui n’hésitent pas à peloter fermement ses seins et à fourailler entre ses cuisses largement ouvertes. La scène doit durer depuis un moment, car les nombreux voyeurs sont très excités et commencent à l’asperger de leur foutre. Elle semble au comble de la stimulation et son corps, bandé comme un arc, ne repose plus au sol que des fesses et des épaules.
Elle se libère de cette tension dans un hurlement suraigu agrémenté de violents spasmes qui réjouissent manifestement son public. Comme tous les autres, je n’ai pu qu’aller jusqu’au bout du plaisir et je nettoie le bout de mon sexe du doigt que je lèche discrètement. La jeune brune saute enfin sur ses pieds et part en courant vers la mer pour se débarrasser des nombreuses souillures. Les hommes restent ensemble à deviser, manifestement fiers de leur prouesse. Leur jolie proie ne tarde pas à être soigneusement lavée par la mer agitée. Le groupe tarde d’autant plus à se disperser que l’objet de ses désirs revient récupérer quelques affaires. Puis, peu à peu, la dune se vide, comme toujours en fin d’après-midi.
Je n’ai plus été acteur ou témoin du moindre moment de ce type jusqu’à la fin de mon séjour. Il faut dire que je ne l’ai pas cherché du tout et me suis contenté du plaisir du bain de mer. L’océan est, lui aussi, source inépuisable de petits bonheurs...
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