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Instants furtifs

Chapitre 3

Comment j’ai enculé un trav.

Gay
Me voici encore de retour sur cette jolie plage bordée de sa bruissante forêt côtière. Mes expériences précédentes me laissent peu d’espoir d’y trouver une relation sexuelle satisfaisante... Tant pis ! Je profite à fond du soleil et de la baignade. Tout est maintenant ritualisé. J’arrive en vélo et installe mes affaires de plage tantôt en plein soleil, tantôt à l’ombre des arbres lorsque son rayonnement est excessif. Je me baigne une dizaine de minutes, longe la plage à pied le temps du séchage puis m’allonge sur ma canne. Je lis un polar, somnole un peu, contemple la mer... Je recommence deux fois la manœuvre avant mon retour au gîte à l’heure du dîner. Les premiers jours, cela me suffit et j’ai l’impression de profiter pleinement de ce superbe lieu.
Mon principal souci commence au moment de ma petite balade les pieds dans l’eau. Nous sommes en août, et la plage est copieusement peuplée de corps nus tout aussi attirants les uns que les autres. Alors je contemple sans insister, mais sans me retenir non plus. Comme en d’autres lieux, ce que chacun veut bien montrer de lui est fait pour être regardé. Je me refuse aux coups d’œil « en loucedé » des voyeurs qui attendent d’être embusqués pour insister plus. Il faut dire que le concours de bronzage est plus qu’attractif. Parfois, une peau claire vient chatouiller mon œil qui ne demande que beauté et diversité des profils. Les baigneurs sont de tous âges même si les enfants sont sous-représentés sur la zone naturiste. Je sais depuis longtemps que chacun est porteur d’une beauté singulière à condition qu’il le décide. On peut être difforme et superbe si on en a ainsi décidé.
Mais surtout, ma randonnée dans le sable me permet d’apercevoir la dune toujours agitée de déambulations compulsives. Et, à chaque fois, je me sens attiré par elle. Cette année, je vais résister plus d’une dizaine de jours. Les maraudes de l’association Aide pour le week-end du 15 août me rappellent, s’il en était besoin, que celle-ci est toujours un lieu de sexe actif. Impossible de résister longtemps ! Dès que les « locaux » ont quitté le bord de mer pour reprendre le travail, la forêt côtière est plus accessible. Je m’y risque...
J’adore ce moment où je me sens un peu coupable de mes désirs incontrôlés alors que je franchis la dune, uniquement vêtu de mes lunettes. Autant la nudité est de règle au bord de l’eau, autant ici elle commence à être transgression. D’ailleurs les baigneurs qui regagnent la route ou la piste cyclable sont déjà habillés. Y circulent, dans le plus simple appareil, que les amateurs d’aventures d’un instant. J’erre ainsi, la tête peuplée de désirs. Je sens mes congénères peu réceptifs à ma plastique et cela me navre. Alors je bouge de façon plus lascive, me mets en scène assis les cuisses bien écartées, et le sexe en évidence, sur un tronc d’arbre mort. Debout, je me plie en deux pour enlever le sable de mes pieds, pieds écartés, sans tenir compte du fait que cela dévoile largement mon entrefesse et mon œillet plissé. Je déshabille des yeux (si l’on peut ainsi dire en ce lieu) mes interlocuteurs de rencontre. Mais rien n’y fait du moins les premiers jours...
Les habituels ahanements qui signalent les copulations en cours dans les fourrés ou derrière les paravents ne sont pas au rendez-vous. Seuls les voyeurs continuent leur cheminement en une triste farandole. Alors je continue à errer un peu dépité. J’ai envie de toucher l’un, de caresser l’autre, mais je n’ose pas. J’espère toujours un signe et ne serais pas contre un peu de « rentre-dedans » de la part de mes congénères. Personne ne manifeste la moindre intention dans ce domaine. Je ne vois pas non plus, comme à l’habitude, de naïade prête à exciter un groupe d’hommes. C’est le désert !
Un dimanche soir, peu avant la rentrée des classes, alors que je suis résigné à ne rien voir venir, soudain on m’appelle. « Viens, viens » dit la voix au milieu du fourré. Je contourne le buisson et découvre un être indéfinissable en perruque blonde, habillé d’une robe légère déjà froissée. Il (elle) a une cinquantaine d’années, un corps svelte, des pieds et des mains d’une grande finesse tandis que son visage osseux paraît grimaçant, même lorsqu’il sourit. « Viens là que je suce ta jolie bite ! ». Il ne me plaît pas... Son accoutrement caricatural l’enlaidit à souhait. Mais je suis dans une telle déshérence sexuelle que je décide me laisser faire.
Lorsqu’il engloutit mon sexe à demi rigide, je constate que ce n’est pas la reine du pompier. Il est fébrile et son geste est imprécis, trop doux pour être efficace. Le temps passe et mon excitation est encore presque à zéro. Il semble préoccupé, chasse vertement deux voyeurs venus se rincer l’œil. Il ne semble pas du tout concentré sur son ouvrage. Très vite, il me propose de le sodomiser. Sans attendre ma réponse, il enfile une capote sur mon sexe et, agrippé à un arbre, me présente son cul. J’y entre comme dans du beurre. Mon excitation est toujours minimale et l’expérience menace de tourner au fiasco. Il fléchit ses jambes et se met en position de levrette. Je voudrais le satisfaire, mais je suis toujours peu ardent.
Je trousse sa robe, dévoile largement ses fesses, sa longue bite flasque et je commence à le besogner sérieusement. Mes mains sont crispées sur ses hanches. A chaque mouvement, mes couilles claquent violemment sur son entrejambe. Mon sexe, à demi dressé, entre et sort sans effort. Je touche le sien inerte. Je n’ai aucune sensation véritable, finis par me demander à quoi cela rime. Puis, je me force à essayer de lui donner du plaisir, m’agite dans son cul, serre plus fort encore ses hanches, branle son sexe ; mais rien n’y fait. Son désir semble plus cérébral que physique et le mien est inexistant. Je finis par quitter son cul. Il n’insiste pas et ôte la capote de ma bite. Il dit : « Alors, comment tu la trouves ma chatte. Elle est bonne, hein ! ». Je bredouille un « ouais » peu convaincu et m’enfuis...
En regagnant mon espace habituel, je suis partagé entre la déception et la fierté de la découverte. Mais cela ne dure pas. Je crois que le sexe actif est pour moi réservé à l’accouplement hétéro et que la copulation homo ne m’attire que pour la position passive. Du moins, je le crois sans l’avoir encore expérimenté. Voilà mon nouveau challenge ! Je continuerai donc à fréquenter les lieux de drague dans cet objectif. Je sais maintenant d’expérience que j’aime embrasser et être embrassé, caresser et être caressé, branler et être branlé, sucer et être sucé ; cela me fait de bonnes entrées en matière...
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