Ma voisine m’a fait des infidélités. Même si on est instit, on peut être reconnaissante à celui qui vous a presque tout appris. Un jour tout se paye, la preuve.Il neige, les routes sont fermées. Elle est bloquée chez elle, à deux pas de chez moi. Je la vois par la fenêtre passer d’une pièce à l’autre encombrée par son fils. Des fois elle laisse les lumières allumées. Je peux la regarder se mettre nue, elle se caresser la chatte peut-être. Je ne sais que faire, j’ai à la fois envie d’elle et de la jeter aux gémonies. Elle revient me demander quelque chose en frappant à la porte. Elle oubli son infidélité avec le directeur de l’école : je les ai vu, elle se faisait mettre, enfin je crois par son supérieur. Et puis, après tout pourquoi lui en vouloir. C’est de ma faute si je ne l’ai pas satisfaite le jour où elle en avait envie, quand j’étais fatigué. La voilà dans mes bras, sa bouche sur la mienne.— J’ai besoin de toi.— - Pour quoi faire ?— -Imbécile, pour me baiser, me faire jouir ;Elle se roule dans mes bras, elle se donne directement. Je ne peux refuser, elle me fait trop bander. Elle connait mes points faibles et touchant la queue par-dessus le pantalon. Elle me pousse vers l’intérieur, à l’abri du froid. Je sens son corps contre le mien, elle est chaude dehors comme à l’intérieur. Elle me pousse toujours. Sa main se pose sur la poignée de la chambre. Elle se souvient toujours de cette pièce. C’est une folle qui me veut. Elle me désire autant que je la désire. — Encules moi, ça me manque !!!On ne peut pas être plus directe, c’est vrai que je lui ai appris la sodomie, mais de là à réclamer haut et fort que je recommence, il y a un pas qu’elle franchi allègrement. Pendant son absence je me suis souvent branlé en pensant à ma queue dans son cul et ma main sur son clitoris : elle mouillait beaucoup. Elle est revenue, elle me veut encore. Je veux savoir pourquoi elle m’a trahi.— J’aimais baiser avec toi, j’ai voulu chercher ailleurs si une autre queue pouvait me satisfaire. J’en ai trouvé « plusieurs. La meilleure est la tienne. Tu sais j’ai eu un amant, comme ça, qui m’a trouvé un jour que j’avais envie. Je « me suis livrée, je mouillais trop. Il m’a léchée avant de me baiser, c’était bon, j’ai joui vite, trop vite. Sa langue faisait « le tour de mon entrejambes, depuis le clitoris en allant sur l’anus. Je l’ai pris dans la bouche, il avait bon goût. Ma langue passait sur son manche, sur son gland. Il était doux, tellement doux que je l’ai fait jouir au fond de ma gorge. Il a donné tout son jus. Il giclait en moi. Je jouissais avec lui.« Je suis restée contre lui, je l’ai fait encore bander. C’est lui qui m’a demandé le cul. Il s’est enfoncé doucement dans « l’anus qui s’écartait seul. C’était sacrément bon. Je n’en pouvais plus de bonheur de me faire sodomiser. C’est toi « qui m’a appris cette façon de prendre des orgasmes.Alors encule moi encore !!Ainsi elle revient simplement pour son cul. Pas pour ma queue. Je vais le lui faire payer. Je la laisse venir sur moi, elle s’empale seule sur la pine, se fait pénétrer à fond. Je passe une main sur ses fesses, recherche son anus. J’y mets deux doigts pour l’écarter. Elle se laisse faire, profite au maximum de ma queue et mes doigts.Et puis, elle s’arrête, elle ne me veut plus. Je sors d’elle un peu déçu.La voilà en 69 qui me donne sa moule. J’ouvre son abricot avec ma langue tendue. J’enfonce un doigt dans l’anus que je vois Elle prend la queue dans sa bouche, elle aime l’odeur et le goût de son cul. Elle tient mes couilles dans une main, passe l’autre vers mon cul aussi. Nous nous sodomisons en partie ensemble..Elle a appris une foule de chose en mon absence. Elle fait l’amour bien mieux qu’avant. Elle cherche son plaisir avant le mien. Je la sens jouir autour de la queue, j’en fais autant en lui donnant mon sperme. Elle m’embrasse ensuite pour partager ma semence : c’est bon dans sa bouche ;
