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L’institutrice se dévergonde

Chapitre 1

Attirance coupable

Hétéro
La rentrée s’est bien passé cette année et pour une fois, je me retrouve avec une classe de seulement 22 élèves, un grand changement par rapport à la trentaine habituelle. Je vais pouvoir souffler un peu plus. Beaucoup pensent qu’être professeur des écoles est un métier reposant avec peu de travail et beaucoup de vacances. Ils n’imaginent pas la charge que nous avons alors que leurs charmantes têtes blondes rentrent chez eux. Entre les cours à préparer et le reste, je n’ai pas beaucoup de temps pour ma vie privée.
A 26 ans, j’ai ma propre classe depuis peu, alors je suis assez rigoureuse sur mon travail, comme si j’étais encore à l’essai. Cela me prend tout mon temps, j’ai à peine le temps de sortir boire un verre avec mes amies une fois par semaine. Alors niveau relationnel, c’est le désert total. A part une brève relation pendant mes études, qui a fini assez brutalement pour que j’en aie tiré une bonne leçon, je n’ai jamais vraiment eu quelqu’un dans ma vie. Ce n’est pourtant pas une question de physique, si j’en crois mes amies, je suis même plutôt jolie. Fine, une petite poitrine bien ronde, des cheveux châtains et le teint clair, mon atout principal est la couleur de mes yeux : ils sont verts, un vert intense qui s’éclaircit selon la lumière du soleil.
Non, cette absence de relation vient surtout d’une profonde timidité que je nourris depuis toute petite et qui m’empêche de parler aux hommes. C’est plus fort que moi, quand un homme me plaît, je bégaie, je bredouille, j’en deviens maladroite et je me ridiculise. Autrement dit, je préfère rester seule chez moi, à me plonger dans mon travail.
La réunion de rentrée se tient ce soir et je vais rencontrer la plupart des parents d’élèves de cette année. Je crains surtout ceux que je nomme secrètement les Cornichons, les parents aigris aux remarques acides, qui pourrissent l’année de tout enseignant en demandant maint et maint rendez-vous, pour en conclure que le problème vient de vous et pas de leurs chers rejetons trop gâtés. Mes collègues m’ont prévenue que j’en aurai au moins un spécimen tous les ans et j’appréhende celui de cette année.
Je suis en train de préparer la réunion dans la classe, disposant les chaises correctement et rangeant autant que faire se peut la salle. J’entends les premiers bavardages derrière la porte close. Certains sont en avance. D’autres ne viendront pas. Il n’y a jamais tous les parents et certains ne viennent que cette seule et unique fois. Timide comme je suis, c’est une épreuve pour moi de me retrouver devant ces adultes, presque tous plus âgés que moi, qui sont venus pour me juger et voir si j’effectuerai correctement mon travail. J’ai un trac monstrueux et quand j’ouvre enfin la porte, j’essaie de reprendre une attitude digne et professionnelle. Après tout, ils sont venus pour m’écouter, je ne dois pas me mettre la rate au court-bouillon.
Sur quarante parents, seule une quinzaine sont présents, la plupart des mères, venues seules ou avec leur marmaille au complet. Il y a quand même cinq couples dont un couple lesbien qui attire les regards courroucés de quelques bourgeoises coincées. Ce que la bêtise humaine peut être grande parfois...
Tout le monde a l’air d’être enfin là, je peux commencer. Durant tout mon speech, bien répété à l’avance, je ne peux m’empêcher de remarquer l’un des pères de famille qui me fixe intensément, absorbé par ce que je dis. Sa femme fait partie de ceux qui posent le plus de questions et aussi du groupe de femmes qui dévisageait le couple atypique. A mon avis, je vais pouvoir la glisser dans ma catégorie secrète d’ici peu.
L’homme semble avoir la trentaine. Grand, brun, il porte un bleu de travail gris avec le nom de son entreprise dessus, apparemment il est électricien. Son regard me trouble. J’essaie de ne pas y accorder d’importance, mais chaque fois que mes yeux rencontrent ses prunelles sombres, j’y reste accrochée quelques secondes de trop. Je me concentre pour ne pas rougir. Je ne l’avais pas encore croisé jusqu’à présent, mais sa femme oui, c’est elle qui emmène leur garçon tous les matins. Il est tellement attirant, je m’en serai souvenu. Hélas, encore un que je ne reverrai sans doute pas. Dommage, j’aurais bien aimé le voir tous les jours, un tel spectacle dès le matin, c’est toujours agréable.
La réunion continue et vient le temps des questions. Comme prévu, la femme m’abreuve de questions en tout genre. Son mari ne desserre pas les lèvres et son regard navigue le long de mon corps, de mes jambes à mes yeux, en s’arrêtant un moment sur mon décolleté pourtant assez sage. Heureusement que ma robe n’est pas trop courte... Enfin, la réunion prend fin. Les parents désertent petit à petit la salle et après avoir discuté avec les derniers retardataires, je prends mes affaires pour partir à mon tour.
— Excusez-moi je crois que j’ai oublié mon téléphone, dit une voix masculine derrière moi.
Je me retourne et me retrouve face à l’homme de tout à l’heure, le père du petit Louis. Je ne peux m’empêcher de rougir maintenant que nous sommes seuls et qu’il me dévisage de haut en bas.
— Oui, bien sûr allez-y, balbutiai-je en essayant de garder mon calme.
Il retrouve son téléphone et se dirige vers la porte quand il marque un arrêt et se retourne en me souriant.

— Excusez ma femme, elle pose beaucoup de questions, elle couve un peu trop notre fils.— Ne vous en faites pas c’est normal. — J’espère que vous n’aurez pas trop de problèmes avec Louis, si c’est le cas, n’hésitez pas à m’en parler plutôt qu’à ma femme, elle a tendance à être un peu excessive par moments.— Très bien, je n’y manquerai pas, merci. Louis semble être un enfant très actif, il a du mal de tenir en place très longtemps, nous verrons bien comment cela évolue au cours de l’année.
Il ne dit rien et me sourit. Franchement son sourire... il me donne des frissons. Je dois me raisonner, je ne vais pas craquer pour un parent d’élève ! Je sursaute un peu quand sa main s’approche de mon visage et le frôle.
— Pardon, s’excuse-t-il, vous aviez un petit bout de papier dans les cheveux depuis tout à l’heure. — Oh, merci, ça doit être à cause des travaux manuels de cet après-midi... tentai-je de me justifier, honteuse.
Il me salue et s’en va, non sans me jeter un dernier regard amusé. Quelle cruche ! Moi qui croyais que je lui plaisais, en fait je lui faisais juste pitié... Je suis un peu déçue en rentrant dans mon petit appartement vide. Je suis seule depuis bien trop longtemps, je commence à en avoir assez. Il faut que je me bouge sinon je risque de finir vieille fille, avec quarante-quatre chats en guise de marmaille... Je suis un peu déprimée alors je m’ouvre une petite Desperados et décide de remettre mon travail à plus tard. Je m’inscris sur un site de rencontres et commence quelques discussions qui ne vont pas plus loin. Ce n’est pas de virtuel dont j’ai envie, non je veux du concret, du réel. Une rencontre d’un soir ? Non, je suis bien trop sage et peureuse, qui sait sur qui on peut tomber ?
En naviguant sur les sites de rencontres, j’en viens à me retrouver sur un site un peu plus coquin, sur lequel des femmes se dévoilent sur des photos érotiques. Elles sont toutes différentes : jeune ou moins jeune, petite ou grande, mince ou ronde... La seule chose qui les rassemble c’est qu’absolument toutes sont magnifiques. J’envie leur courage de se montrer telles qu’elles sont, fières de leur corps et de leurs imperfections. Jamais je ne pourrai faire ça !
Mais...
Et pourquoi pas ? Après tout, je suis jeune et bien foutue, je n’ai pas à avoir honte de mon corps, il suffit juste que je dissimule mon visage. L’alcool doit sûrement contribuer un peu à cette soudaine initiative.
Je décide de passer mes plus beaux dessous : un soutien-gorge noir en dentelle finement travaillée qui laisse entrevoir le cercle plus foncé de mon aréole, le tout liseré d’un ruban rouge délicat. Le bas est léger, un tanga assorti, avec un porte-jarretelles noir et des bas. J’ose même sortir la paire de talons aiguilles rouge vernie du fond du placard où je les avais remisées après avoir souffert en les portant une seule journée.
Je cherche l’endroit idéal, avec assez de lumière et un fond uni, pour finalement me décider pour ma chambre et son grand miroir qui orne le mur. J’essaie plusieurs positions et au bout d’une demi-heure, me voici avec une quinzaine de photos plutôt réussies, pour la plupart. En les faisant défiler sur mon téléphone, je constate qu’elles sont franchement pas mal et une certaine fierté me prend alors. Je ressemble à ces femmes, j’ai l’air bien dans ma peau, sexy. J’en choisis une, hésite encore pendant quelques minutes puis la poste sur le site. Ensuite, je ferme tout subitement, comme si j’avais honte de ce que je venais de faire et pars me coucher.

Le lendemain matin, alors que j’accueille mes élèves, je suis surprise de voir le père du petit Louis passer le portail de l’école. Il s’approche en souriant et je sens mon cœur bondir dans ma poitrine. Il me salue puis se penche vers son fils pour lui dire au revoir. Nos regards se croisent et s’aimantent un instant. Finalement, il s’en va et lorsqu’il me tourne le dos, mes yeux se rivent à son sublime fessier. Des pensées malvenues me viennent alors que j’essaie de décrocher mes yeux de son postérieur de rêve. Voyons, il faut que je me reprenne, je suis au boulot et qui plus est, en présence d’enfants ! Je devrais avoir honte...
Pourtant j’attends avec impatience l’heure de la sortie, ayant maigre espoir de le revoir. Quand enfin les élèves rejoignent au fur et à mesure leurs parents, j’aperçois sa silhouette athlétique passer le portail et avancer d’un air décidé vers moi. Ma gorge se serre, mon cœur reprend sa course effrénée. Cet homme dégage une telle aura, j’en perds mes moyens...Il me fixe de ses iris d’un brun profond et alors que ses yeux dérivent sur mes lèvres, je les humidifie discrètement avec la langue. Je vois ses pupilles se dilater, signe évident de désir et cela fait monter en moi une douce chaleur. Mais le moment est clairement inopportun. Et pas que le moment. Qu’est-ce qui me prend de fantasmer sur un homme marié, et qui plus est un parent d’élève ? ! J’arrive à échanger quelques politesses avec lui, mais ma timidité reprend le dessus et je prétexte avoir encore du travail pour écourter la conversation et fuir avant de dire une bêtise.
Le soir, après avoir fini mon travail, je nage dans les remords et les regrets contradictoires. Je regrette d’avoir eu ce comportement amoral, mais en même temps je m’en veux de ne pas être allée plus loin. Plongée dans mes pensées, je m’imagine des scénarii coquins, avec comme acteur principal, mon envoûtant parent d’élève. J’en ai l’entrejambe qui frémit. Cela me fait penser à la photo que j’ai postée hier. Et si j’allais voir les retombées ? Je me connecte et découvre avec plaisir que ma photo a provoqué bien des émois au vu des commentaires du plus mignon au plus vulgaire:
— magnifique, un ange tombé du ciel”, ”divine...”, ” bandante à souhait”, ”Je te boufferai toute la nuit”,” Quelle salope, je te recouvrirai bien de foutre”
Je ne suis pas choquée, au contraire. Je suis flattée. Les messages privés en attente de lecture saturent presque ma boîte mail. J’en poste alors une autre et cette fois, je reste connectée pour voir ce qui se passe. De nouveaux messages affluent et cette fois, j’en ouvre quelques-uns.
Tous me couvrent de compliments et j’en choisis un qui me touche plus qu’autre chose et entame la discussion. Au fil du temps, la conversation dérape et je me sens si bien, si séduisante. Mon interlocuteur est un homme, instruit et drôle, pour le moins charmant avec des mots qui me donnent des frissons. J’en viens même à glisser mes doigts entre mes lèvres et découvre que je suis trempée. Le sexe me manque tellement, je ne m’en étais pas rendu compte avant, mais là c’est évident. Je m’adonne alors aux plaisirs solitaires, chose que je ne fais pas souvent d’ordinaire, et quand l’orgasme m’emporte sans prévenir, je sens mon vagin se contracter autour de mes doigts et ma liqueur couler le long de ma main.
Cette euphorie qui me submerge après l’orgasme est si intense ! Je me sens si bien, si sensuelle, j’ai l’impression d’être capable de tout, que rien ne peut me résister. Y compris mon fantasme récent, le père du petit Louis dont je ne connais même pas le prénom. Il doit être écrit dans les fiches d’informations, je n’ai qu’à jeter un coup d’œil. Ça y est, j’ai trouvé. Yann Pesquier, 34 ans, électricien à son compte. Électricien ? Et si quelque chose arrivait au rétroprojecteur de la classe ? Pas grand-chose, juste quelque chose qui nécessiterait les conseils d’un pro. Ou bien alors, pourrai-je le faire venir pour faire un point sur son fils ?Me voilà maintenant en train d’échafauder des plans grotesques dans le seul but de me retrouver seule avec lui. Je suis vraiment devenue folle... ou perverse. Mieux vaut aller me coucher.
La semaine se passe tranquillement, je me raisonne tant bien que mal. Le matin, c’est la mère qui amène le petit Louis, mais le soir, je continue de flirter innocemment avec Yann. J’ai remisé pour l’instant dans un coin mes projets fous, mais pour combien de temps ? Le soir, je me couche en pensant à lui, une main explorant mes cuisses et j’atteins à chaque fois l’orgasme en imaginant son regard si hypnotique.
Le week-end arrive enfin, mais cette fois, il a un goût amer. Ce besoin de sexe grandit en moi et pour éviter de faire l’erreur de me jeter sur le fruit interdit qu’est cet homme marié, je m’arrange pour rencontrer mon correspondant le samedi soir, dans un bar en ville.
Il m’a promis une baise rapide, sans paroles, sans prises de tête. Juste de quoi satisfaire mes envies lubriques. J’ai accepté, mais à mes conditions. Et c’est ce que je veux. Je dois résister aux pulsions qui me taraudent, ce serait mal de céder à la tentation. Même si le désir est puissant, je ne veux pas briser un couple et surtout pas être l’Autre femme. J’en ai déjà bien souffert avec mon ex.
Je rejoins mon correspondant dans un pub, un endroit où il y a beaucoup de monde. J’ai accepté de m’y rendre, mais seulement à quelques conditions : comme convenu, je suis censée le retrouver dans les toilettes des hommes, un masque dissimulant mon visage. Lui a interdiction de me parler, il doit suivre le scénario que je lui ai imposé par mail juste avant. J’ai les jambes qui tremblent quand je passe la porte du pub. Je commande un verre de tequila pour me donner du courage, l’avale d’une traite et me dirige vers les toilettes, le cœur tressautant dans la poitrine. Je respire un bon coup, mets mon masque et entre enfin dans les sanitaires plutôt propres et pour le moment inoccupés. J’en profite pour jeter un œil dans le miroir. J’ai mis une robe noire, plutôt courte et moulante avec en dessous le porte-jarretelles noir et des bas noirs transparents. Le rouge intense de mes lèvres tranche avec la blancheur de mon teint. Je me sens si sexy comme ça, que le courage me revient.
Je vais dans une cabine, la plus éloignée, et attends patiemment que mon inconnu arrive.
Les minutes passent quand soudain la porte s’ouvre, dévoilant la haute silhouette de l’homme avec qui j’avais rendez-vous. Assise sur le dossier des toilettes, j’ai une vue directe sur le sexe déjà en érection de cet homme qui débarque, son membre à la main, prêt à me la mettre tout de suite. Mais il doit respecter mes consignes s’il veut que je reste. Il sort un préservatif de sa poche et l’enfile sans rechigner puis me présente son sexe en le posant sur mes lèvres. J’aurais aimé sentir sa peau, mais c’est bien assez risqué comme ça. Ma main s’empare alors de ce sexe dont la taille n’est ni grande ni petite, mais d’une épaisseur épatante. Je le branle, palpe ses couilles en lui donnant quelques coups de langue. Il se retient de me posséder la bouche, sa frustration se ressent tandis que ses poings se crispent. Il a aussi interdiction de me toucher, c’est uniquement moi qui dois le faire.
Alors je m’amuse encore quelques minutes, le pousse à bout en jouant avec ma langue sans jamais le prendre en bouche. Je pousse même le vice à le présenter sur ma langue bien tirée et le fais coulisser. Je me sens tellement maîtresse de la situation, j’en suis toute trempée. Une de mes mains retrousse un peu ma robe, et vient caresser mon clitoris gonflé d’excitation.
Enfin, je prends bien soin de plonger mes yeux dans ses iris gris avant d’engloutir tout doucement cette verge épaisse dans ma bouche. J’aspire son membre à moitié, le titille avec ma langue, le recrache pour mieux le reprendre plus profond, jusqu’à ce qu’après de nombreux aller-retour, mon nez se retrouve contre sa toison pubienne. Ses yeux se révulsent quand son gland bute contre le fond de ma gorge. Je le vois se retenir de me toucher et sa frustration m’excite encore plus. Je continue mon traitement, teste son endurance afin de voir s’il est prêt pour la suite.
Je le relâche, le repousse contre la porte qu’il a fermée, puis me retourne pour lui dévoiler ma croupe. Il me fixe, une lueur bestiale dans le regard, n’osant pas s’approcher tant que je ne lui en ai pas donné l’ordre. Je joue un peu avec ma robe, écarte mes fesses d’une main pendant que de l’autre, je me soutiens au réservoir d’eau. Je suce mon index en plongeant mes yeux dans les siens et avec une langueur infinie, je le glisse doucement dans mon petit œillet rosé. Il commence à devenir fou lorsqu’il voit la première phalange disparaître. Il se masturbe frénétiquement, le visage rougit, une goutte de sueur perlant à son front.
Une fois mon doigt bien enfoui, je lui lance un regard qu’il comprend aussitôt. Il n’y va pas par quatre chemins et m’enfonce son chibre épais et dur directement dans ma chatte. Ma cyprine est tellement abondante qu’il entre sans encombre dans mon antre pourtant inexploré depuis des mois. Je le sens me remplir et cette sensation est si forte que je manque de jouir immédiatement.
J’enlève mon index pour prendre sa main et la poser sur ma hanche. Cela signifie qu’il a le droit maintenant de me toucher et de m’imposer le rythme qu’il désire. Il ne s’en prive pas et s’empresse de malaxer mon sein pendant qu’il se démène pour marteler ma chatte ruisselante. Ses coups de reins sont de plus en plus puissants et je sens monter l’orgasme tant attendu. Une bouffée de chaleur me prend, mes muscles se raidissent et de ma bouche sort un cri presque animal. Et là, je jouis, bruyamment, sans me soucier de ce qui m’entoure, ni même de mon inconnu qui s’active encore en moi tandis que les spasmes de mon vagin enserrent sa queue.
Quand enfin la vague de plaisir s’amenuise, il se retire, enlève le préservatif et éjacule sur mes fesses. La première giclée de sperme vient s’écraser sur mon anneau et dégouline le long de ma raie, les autres s’étalent sur les globes de mes fesses. Il y en a tellement que j’en ai même sur les bas. Comme convenu, il se rhabille et sort sans un mot. Il me donnera certainement des nouvelles par mail, mais j’ai comme l’impression qu’il a beaucoup apprécié cet instant. Comme moi d’ailleurs. J’ai joui comme jamais et cette félicité qui me submerge après coup, donne un sérieux coup de fouet à mon ego. Qui aurait cru que je gagnerai de la confiance en moi en me faisant baiser dans les toilettes d’un bar par un inconnu, moi la sage institutrice ?Je rentre chez moi et m’endors comme un bébé, fière d’avoir réussi à me dévergonder.
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