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Un intéressant voyage en train

Chapitre unique

Hétéro
Ce texte est une collaboration entre Cataleya77 et Tenaka85. C’est une pure fiction sortie de notre imagination. Bonne lecture.
Veronica
Bon allez, c’est parti pour quatre heures de TGV, départ Paris Gare de Lyon, destination Béziers. À moi le soleil, les plages et les bonnes glaces !
Cette année, je pars en solo. Je me suis réservé un petit bungalow, pour une semaine, dans un super camping tout confort. J’ai besoin de me retrouver un peu seule pour respirer et évacuer la tension du boulot. Ca va me faire un bien fou ! J’ai prévu de quoi m’occuper pendant le trajet : de la bonne musique, un bouquin et un livret de jeux que je ne fais que pendant les vacances d’été.
L’idée de passer quatre heures avec un masque sur le nez ne m’enchante pas, mais bon, je me fais une raison. J’en ai l’habitude au boulot, alors je vais prendre mon mal en patience.
Les passagers entrent dans le wagon et s’installent. Je me retrouve dans l’îlot central. J’aurais donc une personne à côté de moi et deux autres personnes en face. J’espère que mes voisins de voyage ne seront pas trop perturbants.
Je regarde, par la fenêtre, le flot de personnes circuler en tous sens, à la recherche du bon train ou du bon wagon. Je déteste les retardataires qui arrivent au dernier moment, bousculent tout le monde et se croient tout permis.
Les places se remplissent, mais je n’ai toujours personne avec moi. Je commence à espérer pouvoir faire le trajet sans voisins quand soudain, un couple s’avance vers moi, accompagné d’un petit garçon. Terminée la tranquillité !
Mon regard est aussitôt attiré par l’homme. Il est très grand, une magnifique peau d’ébène et un corps musclé et sculpté. Je sens immédiatement mon corps se mettre en alerte. Je souris amicalement à la famille, derrière mon masque, en leur adressant un bonjour et lorsque l’homme me répond avec une voix grave et profonde, je tressaille et un frisson me parcourt l’échine. L’enfant prend place à mes côtés, sa mère en face de lui et l’homme... en face de moi...
Sur tous les voyageurs présents dans le train, il fallait que mon voisin soit justement le parfait représentant de mon idéal masculin, accompagné de sa famille... Formidable ! Elles vont être longues ces quatre heures...
Luc
Les vacances tant attendues débutent enfin. Après 25 minutes de taxi dans la jungle urbaine parisienne, avec ses concerts de klaxon et les scooters tous plus pressés les uns que les autres, nous voilà enfin sur le quai.
Isabelle et Théo, mon fils, montent à bord tandis que je range les valises dans les emplacements. Je les suis de près et nous nous approchons du ’’carré’’. Une chevelure frisée rousse dépasse du siège, côté fenêtre.
Théo s’installe à côté d’elle et Isa en face de notre fils. Je passe entre Isa et la table tout en disant bonjour à notre voisine. Malgré le masque, je peux me rendre compte qu’elle est magnifique. Une combinaison en jean sur un corps ni maigre ni gros, un décolleté attrayant sans pourtant être vulgaire.
Le plus frappant est sans nul doute les deux prunelles vertes d’une intensité toute sensuelle. Je m’y perds, l’espace d’un battement de cœur.
Le voyage va être difficile avec une telle femme juste en face de moi. Heureusement, le train démarre et je la vois mettre son casque avant de poser sa tête contre la paroi. Elle me lance un dernier regard, accompagné par un sourire que je devine prendre forme sous son masque, puis ferme les yeux.
J’en profite pour l’observer discrètement à la dérobée entre deux discussions avec Théo et Isa. Ces derniers commencent lentement à sombrer dans le sommeil, me laissant seul éveillé.
Naturellement, je m’enfonce dans mon siège et mon regard se pose sur ma voisine qui, destin ou coïncidence, ouvre les yeux et me fixe.
Veronica
Les paroles de Josh Groban et sa voix angélique me permettent pendant un instant de m’évader de ce train où la tentation a pris place juste sur le fauteuil en face du mien. Ma chanson préférée, when you say you love me est diffusée par mon téléphone et me réveille lentement. Je garde les yeux clos, savourant les paroles et les laissant s’imprégner en moi. Un jour, moi aussi j’aurais la chance d’être aimée, comme l’homme de cette chanson aime la femme pour qui il chante...
Une fois la chanson terminée, mon téléphone passe à la suivante. Now or never. Maintenant ou jamais... Je souris bêtement en pensant à la situation actuelle et j’ouvre soudain les yeux... Mon voisin m’observe et mes yeux fondent dans les siens.
Je n’y avais pas prêté attention jusqu’à présent, mais ses yeux sont bleus. Bleu foncé, moucheté d’or. Ils ressortent incroyablement sur la couleur chocolat de sa peau. Un frisson me parcourt et je me redresse sur mon fauteuil, mal à l’aise par ce regard scrutateur.
Je vois ses paupières se plisser, preuve qu’il sourit derrière son masque. Il se fiche de moi. Parfait, tu veux jouer, on va jouer...
Je cambre mon dos, ce qui fait ressortir ma poitrine. Immédiatement, son regard se pose sur mon décolleté. Tellement prévisible. Je jette un œil autour de moi et vois que la femme et l’enfant dorment. Alors, mine de rien, je fais passer un doigt sur le renflement d’un de mes seins, comme pour retirer quelque chose de ma peau.
Je vois l’homme se redresser à son tour sur son siège. Alors, je continue et ma main droite vient caresser mon bras gauche, du bout des doigts. L’homme suit chacun de mes mouvements. Je sens un courant électrique parcourir mon corps. Et l’excitation commence à monter en moi. Mes seins pointent sous mon tee-shirt.
Luc
Je ne sais pourquoi, mais je ne parviens pas à la quitter des yeux. J’ai pourtant déjà vu de nombreuses femmes, jeunes ou moins jeunes, dont certaines me faisaient du charme. Mais cette femme, en face de moi, m’attire comme jamais.
Mon sourire vient naturellement et j’ai l’impression qu’elle le voit au travers du masque, car son attitude change radicalement.
D’une femme légèrement assoupie, la voilà qui se transforme sous mes yeux en séductrice absolue. Je ne sais même pas si elle s’en rend compte. Peut-être ignore-t-elle tout de la sensualité qu’elle dégage. Ou peut-être n’est-ce qu’un jeu pour elle.
Bon sang, comme j’aimerais que ce soit mon doigt qui passe sur sa peau !!!
Mon sexe commence à se réveiller et la position inconfortable le bloque.
Et si à mon tour, je jouais avec elle.
Je tends doucement mon bras droit et ma main gauche vient s’en saisir, au niveau de l’épaule, comme lors d’une séance d’étirement. Mon tee-shirt aux manches courtes permet à ma voisine d’apercevoir la musculature de mes bras, qui glisse sous ma peau sombre.
Je la sens m’observer sans toutefois déceler la moindre réaction de sa part.
Je vais jouer encore un peu, juste pour voir.
Je farfouille dans mon sac et en tire mes écouteurs ainsi que le nouveau thriller que je viens d’acheter au kiosque.
Je referme mon bagage puis me lève afin de le placer au-dessus de ma tête. Ce faisant, je lui offre la vue de mes abdominaux légèrement saillants.
Cependant, lorsque je regarde furtivement dans sa direction, ce n’est pas mon ventre qu’elle regarde, mais un peu plus bas.
Le visage légèrement rosé, elle retire un des côtés de son masque, comme si elle manquait d’air.
Le mordillement de lèvre qu’elle m’offre à la dérobée me fait définitivement bander.
Veronica
Alors comme ça, mon voisin est joueur aussi ! Finalement, ce voyage va être des plus intéressants.
La vision qu’il vient de m’offrir est plus qu’alléchante. J’ai pu, sans difficulté, voir l’effet que mon petit jeu avait provoqué sur son anatomie. Et la température de mon corps vient d’augmenter de quelques degrés en voyant la bosse se former dans son pantalon.
Voulant continuer dans la séduction, j’attrape la bouteille d’eau se trouvant dans mon sac et, profitant d’avoir retiré un côté de mon masque, je la place sur le bord de ma lèvre pour boire une gorgée. En la retirant, je lèche une goutte invisible, en prenant bien soin de mordiller ma lèvre ensuite. Cette fois, je prends le goulot entier en bouche et lorsque l’eau atteint ma gorge, je sens un filet glisser sur la commissure de mes lèvres. Je pose le récipient sur la table, essuie mon menton avec mon doigt et le porte à ma bouche pour le lécher.
Après avoir remis mon masque correctement et rangé ma bouteille, je m’installe confortablement avec mon livre, comme si mon voisin n’existait pas. En l’observant discrètement sous mes cils, je vois qu’il a pris son thriller.
Je n’arrive clairement pas à me concentrer et j’ai beau relire plusieurs fois le même paragraphe, je ne comprends rien à ce que je lis.
Au moment où je m’apprête à reposer mon roman, je sens quelque chose d’étrange au niveau de ma cheville.
Luc
Ce jeu devient terriblement excitant.
Je la sens à la fois désireuse, tout autant que distante. La combinaison parfaite pour m’attirer sans me repousser.
Je manque presque un battement de cœur lorsqu’elle se met à boire.
J’aimerais tellement que mon gland remplace ce goulot et qu’il franchisse...
Merde, mais calme-toi Luc ! Isa et Théo sont juste à côté.
Ça va, ils dorment et puis je ne fais rien de mal au final. C’est juste un petit jeu anodin. En plus, elle se met à lire.
Prenant exemple sur elle, je m’installe confortablement et commence ma lecture.
J’ai l’impression d’être shooté. Mes yeux lisent inlassablement les mêmes lignes depuis cinq minutes.
Je les lève de quelques centimètres et ils se posent sur elle. Ses prunelles se déplacent rapidement sur son livre, mais bizarrement, je remarque qu’elle ne change jamais de page.
Serait-ce...
Il faut que j’en aie le cœur net. D’un coup d’œil rapide, je regarde ses jambes et glisse l’une des miennes entre elles.
Le contact est d’abord très subtil.
Je continue de faire semblant de lire, mais je ne sens pas le retrait de sa jambe.
Au contraire, le contact s’intensifie un peu plus.
C’est électrisant à mort !
Je fais alors glisser mon pied le long de son mollet tout en observant ses joues rougir quelque peu. Sa jambe bouge de façon un peu désordonnée avant de dupliquer mon mouvement.
À ceci près que sa chaussure n’est plus là et que son pied remonte de plus en plus haut...
Veronica
Mais qu’est-ce qui te prend ma fille ? Tu es cinglée ! Tu flirtes avec un inconnu, dans un train, alors que sa femme et son gosse sont juste à côté. C’est franchement n’importe quoi ! Mais, étrangement, je n’arrive pas à m’en empêcher. Et quand je comprends que c’est son pied qui caresse mon mollet, mon corps prend feu et j’en veux plus.
Alors je laisse tomber ma chaussure au sol et je fais remonter mon pied sur sa cheville, sa cuisse et je le glisse entre ses deux jambes, jusqu’à trouver le renflement que je cherchais.
Je frotte la plante de mon pied contre son sexe, sur toute la longueur. Je le vois fermer les yeux et pousser un soupir silencieux. Il me donne son accord pour poursuivre mes investigations.
Je fais glisser mon autre chaussure, place mon bassin sur le bord du fauteuil et mon second pied vient à la rencontre du premier.
Soudain, l’enfant bouge à côté de moi.
Je me redresse d’un bond et mes pieds retrouvent leur place dans mes chaussures.
Juste au moment où le jeune garçon ouvre les yeux et s’étire.
Luc
C’était moins une !
Je me réinstalle en demandant à Théo s’il a bien dormi. Nous discutons quelque temps tous les deux au sujet du trajet et des choses que nous pourrons faire durant le séjour.
Je jette quelques coups d’œil à ma voisine qui s’est apparemment replongée dans sa lecture. Malgré tout, je sens toujours le contact de sa jambe contre la mienne.
Je la caresse très furtivement et le clin d’œil en coin qu’elle me lance me fait frissonner intérieurement.
Théo me demande sa console. N’y voyant pas d’inconvénient, je me lève pour la chercher dans mon sac. Je ne manque pas de regarder à nouveau ma voisine, comme auparavant. Celle-ci me dévisage sans se cacher et, au moment où je saisis les lanières, je la vois se lever.
Elle s’excuse auprès de Théo qui la laisse passer. Son corps frôle le mien et son regard passe comme au ralenti près de moi.
L’envie de l’embrasser, là maintenant, est extrême tout autant que la sienne au vu du second clin d’œil qu’elle m’offre. Je ne peux m’empêcher de bloquer sur son corps qui se déhanche le long du couloir.
Un dernier coup d’œil vers moi et la voilà qui franchit les portes automatiques...
Veronica
Je ne peux pas rester dans cet état, il faut que je fasse quelque chose pour me calmer sinon le reste du voyage va être une vraie torture.
Direction les toilettes pour un petit moment d’intimité solitaire.
La cabine est minuscule, mais ça suffira bien pour ce que j’ai à faire.
Je referme la porte à clef et descends ma combinaison en jean et mon string. Je me retrouve en soutien-gorge.
Je sais que je suis déjà trempée. Je glisse un doigt à l’entrée de ma fente pour le lubrifier et je le remonte directement vers mon clito. Je veux faire ça vite, un autre voyageur pourrait avoir besoin des toilettes.
Je trace des petits cercles autour de mon clito, descends vers ma fente, remonte titiller mon clito. Je réitère ces mouvements plusieurs fois puis j’insère deux doigts en moi. Je fais quelques allers-retours puis retourne jouer avec mon clito. J’accélère le mouvement.
Quelqu’un frappe à la porte et je sursaute.
— Oui, une minute !
C’est la merde ! Il faut absolument que je termine ce que j’ai commencé...
Luc
Ma queue durcit de plus en plus en repensant à ces dernières dix minutes de trajet. Je suis à l’étroit, mais ça va être dur de faire autrement.
Je ressens encore ses pieds qui me frottent et me massent. J’ai l’impression qu’ils sont encore présents. Je sens les orteils bouger autour de mon gland et de ma colonne.
Theo est absorbé par son jeu. Je me lève en prenant soin de ne pas réveiller Isa.
Mon cœur bat la chamade alors que je remonte le couloir. Les portes s’ouvrent et je me glisse devant les toilettes.
Fermées.
Personne dans le couloir. J’en profite pour coller mon oreille à la porte et les minuscules gémissements qui me parviennent aux oreilles sont enchanteurs.
Je toque et j’attends.
— Oui, une minute !
La porte ne s’ouvre pas. Mon cœur bat plus fort.
Je regarde à nouveau autour de moi. Toujours personne. Je frappe une seconde fois et j’approche ma bouche de l’interstice.
— Ouvre, c’est moi !
Pas de réponse... puis un cliquetis se fait entendre avant que la porte ne s’entrouvre...
Veronica
À peine ai-je eu le temps d’ouvrir la porte qu’un corps me repousse à l’intérieur des toilettes en refermant la porte à clef.
Je suffoque et nos deux corps sont collés l’un à l’autre vu la taille minuscule du lieu.
D’un mouvement, il retire mon masque et le sien et sa bouche s’écrase sur la mienne, impatiente. Je gémis et mes bras s’accrochent à son cou pour l’attirer à moi. Ses mains se placent sur mes fesses et je sens son érection se frotter à moi.
Je n’ai pas pris le temps de me rhabiller quand j’ai compris qui était derrière la porte alors le contact de sa peau sur mes fesses est un vrai régal.
Rapidement, je déboutonne son pantalon et glisse une main sous son boxer pour saisir son manche que je commence à branler.
Il est aussi excité que moi et il bande dur. Sa main s’insinue vers ma chatte qui pulse de désir et n’attend que d’être comblée. Sans plus de cérémonie, il glisse deux doigts en moi et les met en mouvement.
Je me mords la lèvre pour retenir un gémissement. La situation est tellement intense. Je sais que je ne vais pas mettre longtemps avant de jouir.
Luc
Ses lèvres sont exquises tout autant que sa langue qui danse avec la mienne. Et ses fesses grrr ! Je sens sa peau chaude sur ma queue bandée.
Mes baisers quittent ses lèvres pour glisser dans son cou. Les frissons sur sa peau se répercutent sur la mienne. Je descends encore et malmène son téton offert et tendu. Elle gémit tout autant que moi lorsque sa main s’active encore plus intensément sur ma verge dure.
Je repousse sa main pour ne pas jouir trop vite puis je fléchis mes jambes. Ma tête arrive au niveau de son sexe luisant de mouille. Je ne résiste pas longtemps à ce festin et y plonge aussitôt ma langue. Je me repais de son sexe, de son odeur, de son goût. Ma langue découvre et explore chaque recoin tandis que ses mains s’enroulent autour de ma tête.
Je la fais s’asseoir sur les w.c. et place ses jambes sur mes épaules. Son sexe se colle à ma bouche et ses coups de bassin m’excitent comme un dingue. Je me déchaîne et je la lèche avec force. Une de mes mains vient m’aider et alors que j’introduis deux doigts en elle, je la sens se contracter autour de ma tête. Ses jambes se serrent et m’emprisonnent.
Ma bouche se retrouve soudain inondée de son jus qui dégouline sur mon menton. Je ne sais pas comment, mais je deviens encore plus bestial et la lèche avec encore plus de vigueur en la branlant comme un damné. Et elle gémit et jouit encore et encore.
Veronica
Les assauts de sa langue sont terribles. Combinés à ses doigts qui fouillent mon intimité, j’ai la sensation de décoller. En à peine quelques minutes, il a réussi à trouver la combinaison parfaite qui me rend folle et me fait perdre tous mes moyens.
Le bruit de succion sur ma chatte trempée est d’une sensualité incroyable. C’est enivrant et électrisant.
Après m’avoir fait jouir plusieurs fois, je le repousse doucement. J’ai besoin de reprendre un peu de forces. En attendant, je compte bien lui rendre un peu du plaisir qu’il vient de m’accorder.
J’attrape sa queue entre mes deux mains et la branle lentement. Je ne veux pas le faire jouir trop vite alors je vais le faire bouillir de l’intérieur. C’est un jeu auquel je suis particulièrement douée. Pendant que mes mains s’activent, je viens lécher la petite goutte de sperme placée sur son méat. Puis, je laisse glisser son gland entre mes lèvres. Son corps entier est parcouru d’un frisson et un grognement sourd sort de sa bouche.
Je fais glisser son gland un peu plus profondément puis fais entrer ma langue en action. La bouche fermée sur sa tige, mes lèvres faisant pression sur elle, ma langue fait des mouvements d’avant en arrière. Et pendant que je fais descendre une de mes mains sur les boules pendantes, ma bouche glisse le long de sa queue pour le prendre plus loin dans ma gorge. Mais pas jusqu’au bout. J’entame de lents va-et-vient, m’appliquant à lubrifier son sexe pour qu’il glisse avec encore plus de facilité.
Je remonte mes lèvres sur son gland en resserrant la pression autour de lui. Je fais un mouvement d’avant en arrière sans jamais dépasser la limite du gland, pour le chauffer à fond. J’entends des gémissements rauques et bientôt, une main vient se placer dans mon cou pour accompagner mes mouvements.
Je fais remonter une de main des boules jusqu’au gland et je le libère de ma bouche. Je me lèche les lèvres en le regardant dans les yeux. Sa main pousse ma tête à reprendre sa queue en bouche. Ce que je fais immédiatement.
Et cette fois, je vais jusqu’au bout et m’immobilise pendant quelques instants, sa queue tapant contre le fond de ma gorge.
Luc
Sa bouche est divine. Je ne me souviens pas d’une telle fellation. L’excitation de cette situation et le lieu font en sorte de décupler ce moment unique.
Ma main autour de son cou se resserre alors que mon gland s’immobilise au fond de sa gorge. Cette sensation est incomparable. Le regard excité et pervers qu’elle me lance me laisse à penser qu’elle apprécie.
Je décide alors de placer ma 2ème main autour de sa tête avant d’entamer un va-et-vient des plus torrides. Sa bouche va-et-vient sur ma queue et je gémis littéralement d’un plaisir brut et animal. Le rythme n’est pas celui des films pornos. Au contraire, je savoure chaque centimètre de cette caresse buccale hors norme.
Puis soudain, elle m’offre un nouveau présent. Sa main qui masse mes couilles lisses vient s’égarer entre mes fesses. Son index me masse la rondelle hypersensible puis lentement en force l’entrée pour mon plus grand plaisir.
Le va-et-vient de sa bouche, couplé à cette pénétration me fait partir dans un état de béatitude totale. Ma jouissance est proche et elle le ressent. Un second doigt s’introduit et elle se met à me branler furieusement le cul, tandis que je baise sa bouche avec plus de puissance.
Ma jouissance vient avec force et j’emplis sa bouche de mon sperme chaud et épais. Ses gémissements de dégustation sont un nectar à mes oreilles. Ses doigts quittent peu à peu mes fesses avant que je l’aide à se relever.
Nos lèvres se retrouvent avec tendresse et sa langue glisse sur la mienne...
Veronica
Nous sommes à bout de souffle, blottis l’un contre l’autre, ma tête reposant sur sa poitrine.
— Moi c’est Luc. — Veronica. — C’est un réel plaisir de te rencontrer. — Pareil pour moi.
Je lui souris et l’embrasse à nouveau.
Tant bien que mal, Luc se rhabille et sort des toilettes. Je m’habille à mon tour, remets de l’ordre dans mes cheveux puis retourne à ma place.
La femme dort toujours et le jeune garçon joue à sa console. Je sors mon livre de jeux et mon crayon et tâche de me concentrer sur mon activité.
Après quelques grilles résolues, je jette un œil à ma montre. Il reste une heure et demie de trajet. Ça devrait passer vite maintenant que mes pulsions sont apaisées...
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