Chloé continue d’embrasser l’intérieur de la cuisse de madame Duval. Doucement la jeune fille remonte lécher le vagin de la cinquantenaire à travers sa culotte. Avec vivacité Chloé retire l’ultime vêtement de la directrice. Madame Duval sourit, voyant sa culotte blanche disparaître dans la bouche vorace de Chloé. Cette dernière lèche le tissu, savoure la douce odeur de son amante. Laissant tomber sur le sol la culotte, Chloé se penche sur la cinquantenaire, admire son vagin avant de le lécher et l’aspirer. Les deux amantes se sourient, alors que les doigts de Chloé font de petits mouvements circulaires. La pensionnaire se met alors à offrir un cunnilingus sensuel à la directrice. Qui finit par se redresser alors que Chloé se saisit de sa poitrine. — Ta langue est si magique, chuchote-t-elle.
Chloé sourit, continue d’embrasser madame Duval sur les lèvres. Leurs regards plongent l’un dans l’autre. Avec ses doigts habiles, Chloé retire sa culotte, la jette plus loin alors que son amante se penche pour admirer ce vagin surmonté de quelques poils. Madame Duval commence à faire de petits mouvements circulaires sur l’abricot de la jeune fille. Chloé frissonne, passe sa main sur les belles fesses qui sont offertes à sa vue. Elle les caresse doucement, une main ferme se saisit de son poignet et Chloé se sent tirer en arrière. Elle tombe dans les bras de madame Duval qui s’est mise dans le coin du canapé. Elle peut donc coller son amante contre son opulente poitrine en gémissant sous les caresses de plus en plus rapides de la directrice. Chloé passe sa tête en arrière pour l’embrasser. Surprise alors par le doigt de madame Duval qui se glisse dans son vagin et fait de rapides mouvements de va-et-vient. Un deuxième doigt entre dans le vagin de Chloé, alors que madame Duval se met à accélérer de plus en plus vite. La cinquantenaire glisse sa main sous la gorge de son amante alors que cette dernière supplie que ce doux traitement ne s’arrête jamais. Chloé laisse sa tête partir en arrière suffisamment pour embrasser les lèvres de madame Duval. Le corps de la jeune fille se tend alors, les yeux clos, son cri de plaisir est presque hurlé dans la pièce. En ouvrant les yeux, Chloé voit les doigts enduits de mouille de la directrice devant son regard. Elle lèche alors ce doux miel chaud n’en laissant pas une goutte. Madame Duval sourit, l’embrasse sur la bouche avant de s’allonger dans le canapé. La jeune pensionnaire ne lui laisse pas le temps de se redresser que ses lèvres dévorent déjà le vagin de son amante. Chloé aspire les grandes lèvres, fait de petits mouvements circulaires. Sa langue visite l’intimité de la directrice qui se tend en savourant ce doux traitement. — Prends-moi dans tes bras, dit Chloé en se redressant. En s’asseyant, madame Duval lui obéit. Avant que leurs lèvres se rencontrent. Chloé se laisse alors chouchouter par la directrice avec un plaisir complice... Quelques minutes plus tard, alors qu’elles ont trop traîné. Les deux femmes se rhabillent.
Le lendemain midi, Sarah lit tranquillement à sa table habituelle. Pauline arrive alors avec son plateau-repas, le pose devant la jeune fille rousse. — Je sais que je te parle peu donc que l’on traîne trop ensemble va attirer l’attention de madame Duval, mais je veux te dire que j’ai quelques informations. — Lesquelles ? questionne Sarah. — Alice et une policière vont réussir à fermer cette prison, on sera de nouveau libre.
Sarah ouvre la bouche pour parler, mais trop tard, Pauline vient de partir. La jeune rousse sourit, enfin elle allait pouvoir quitter ce trou à rat, qui malgré ces airs bucoliques est en réalité à la botte de madame Duval.
A quelques kilomètres, le lieutenant Léger assise sur son lit regarde de nombreuses feuilles éparpillées dessus. Plongée dans ses réflexions, elle voit à peine sa petite amie Cindy s’asseoir sur le lit. — Que se passe-t-il Margot ? Tu as l’air lointaine aujourd’hui ? questionne la jeune fille de vingt-trois ans.— J’espérais avoir plus de nouvelles venant de l’internat de la vallée. Mais ce qui m’étonne c’est que leurs documents parlent de transfert... Pour un lieu plus strict et secret. — C’est possible ? — Bien sûr que non, tous les rapports nous montrent que seul cet internat est spécifié... Ce qui m’étonne c’est que pourquoi son nom est spécifié dans les dossiers secrets de la police ? — Que veux-tu faire alors Margot ? questionne sa copine. — Je peux rien faire... Au moins jusqu’à demain. Cindy se met derrière elle, pose ses mains sur les épaules de Margot. — Si jamais je peux t’aider pour quelque chose, lance Cindy en massant les épaules de sa petite amie. — Je suis désolée, je ne devrais pas parler de mon travail, répond la policière en portant ses doigts à son visage pour masser ses yeux. — Ne le sois pas et puis on pourrait parler d’autre chose, dit Cindy en embrassant le cou de la policière. — J’aime ce genre de discussion, réplique son amie en répondant à ses baisers. C’est bon tu m’as eue.
La policière laisse ses dossiers, sourit alors que Cindy passe ses jambes nues de part et d’autre des cuisses de Margot. Qui soulève le t-shirt de sa petite amie remarquant l’absence de soutien-gorge en souriant. Elle lui embrasse les seins, l’un après l’autre avant de reprendre les lèvres de Cindy. Les doigts de cette dernière glissent sur la chemise de la policière et doucement la déboutonnent. Mais avant qu’elle n’aille plus loin, Margot pousse sa petite amie sur le dos et la force à s’allonger. Cindy sourit, gémit en sentant les nombreux baisers de Margot sur son ventre, sous ses seins, avant qu’ils ne descendent jusqu’à ses cuisses. La policière se redresse pour enlever sa chemise avant de repartir embrasser sa petite amie. — Tu as raison, cette affaire me prend trop de temps, je devrais m’occuper plus de toi, lance Margot en embrassant les deux seins, puis le ventre de son amie avec avidité. Lui lèche la culotte, avant de remonter le long de ses cuisses.
Cindy voit sa petite amie s’allonger sur le dos, déboutonner son pantalon. La jeune fille l’aide alors à le retirer. Cindy le jette plus loin avant de s’allonger, gardant appui sur ses coudes. La policière s’allonge sur le ventre et vient lécher son amie à travers sa culotte...
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