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Into the wild

Chapitre 2

Hétéro
Quelques mois plus tard, les manifs étudiantes battent leur plein contre la réforme du CPE et cela fais plusieurs semaines que nous n’avons pas eu cours, je suis entouré de James et Manuel dans le cortège en train de chanter des slogans, l’ambiance est bon enfant il fait chaud en cette fin de mois de mars et tout le monde a plus la tête aux vacances qu’a la manif. Soudain je reçois un message de Clarisse : " j’ai envie de toi, viens me rejoindre sous l’université".
Sous l’université se trouve un parking avec plein de recoins ou nous avons fais des galipettes durant toute notre scolarité, sa sent mauvais et c’est un peu glauque mais il y fait chaud même en hiver et on y croise quasiment personne. Je lui conseil de s’échauffer avant que j’arrive et je quitte mes amis qui me regardent avec un grand sourire m’éloigner. Je traverse la ville a une vitesse hallucinante, je suis porté par mon désir de rejoindre ma belle. J’entre dans le parking, comme d’habitude il y a peu de voiture et je ne croise personne jusqu’à notre recoin préféré. Il est situé dans le fond du parking et il y a une berline qui nous cache de la vue de tous et j’ai toujours aimé prendre Clarisse en levrette sur cette voiture.
Je me faufile et je vois ma belle en haut blanc et en jupe d’écolière assise dans la pénombre, sa jupe est retroussée, ses yeux sont fermés, sa main droite pétrie ses seins et sa main gauche est rivée sur son clitoris qu’elle frotte très vite. Je la regarde quelques instants et je défais les boutons de ma braguette en m’approchant d’elle, elle perçoit ma présence et arrête sa masturbation, je sors mon sexe et le présente a sa bouche. Elle joue avec sa langue sur l’extrémité de mon gland. Je posai alors mes mains sur son crâne, effleurant ses barrettes au passage, et m’engouffrai doucement dans sa bouche jusqu’à la garde.Elle comprit alors qu’il était temps de passer aux choses sérieuses et commença à me pomper avidement dans un bruit de succion très excitant. Donnant quelques coups de reins pour mener la cadence, je ne savais plus qui guidait cet ébat. Était-ce elle la maîtresse de cette cérémonie, ou bien moi qui avais l’impression de me branler dans cette bouche onctueuse et humide ? Elle continua de me pomper de la sorte pendant un long moment, échappant des gloussements lorsque ma queue cognait sur son palais pour mieux s’enfoncer dans sa gorge, déversant à cette occasion d’épais coulis de bave lorsque je me retirais pour la laisser respirer. À chaque coup de queue dans sa bouche, ses grands yeux clairs n’avaient de cesse de me détailler et son khôl avait coulé le long de ses joues. Sentant que j’allais venir, je retirais mon sexe de sa bouche a son plus grand désarroi, je l’allongea sur le sol et m’enfonça brusquement en elle. Son vagin était tellement trempé que mon sexe ne lui fit même pas mal malgré sa taille, je la limais tout doucement et j’accélerais le rythme. Elle avait la tête en arrière, les yeux révulsés, je saisis un de ses jolis seins dans ma bouche et le couvrais de mille caresses, sa jupe était retroussé, son joli string ficelle noir était rabattu sur le côté de son vagin. Nous baisions comme des bêtes, elle haletait, elle gémissait, elle semblait tenter de dire quelque chose mais n’y arrivait pas sous les coups de bite que je lui infligeais. Je fis glisser ma main sous elle pour pétrir ses fesses et laissa mes doigts s’égarer dans sa raie. Son sexe mouillait tellement que sa raie était tout autant trempé de sa jouissance, j’en profitais pour aller titiller son petit trou et qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’il était tout ouvert et complètement dilaté. Sous le choc je m’arrêtais quelques secondes et reprenant son souffle, Clarisse me dit "tu m’avais demandé de m’échauffer je crois que je suis prête a recommencer l’expérience de sous la tente".
Effectivement depuis l’épisode de la tente elle n’avait pas voulu recommencer. Je me levais et la mis debout, mon sexe en éréction était recouvert de sa jouissance, je la plaquais contre la berline, souleva sa jupe et j’écartais ses fesses avec ma main. L’autre main guidait mon gland jusqu’a son anus et je le fis rentrer tout doucement jusqu’a la garde, je la sentis se tendre et je mis une main sur son clitoris et lui pris la tête pour l’embrasser. J’étais en train d’enculer la plus belle fille de la fac dans le parking souterrain et elle aimait sa ! Les 25 cm de bite dans ses intestins semblaient lui convenir tout a fait, et c’est assez brutalement qu’elle jouis du cul, les sensations prodiguées a mon sexe étaient fantastiques mais pas suffisantes pour jouir. Elle se mit à hurler et je la défonçai sans plus aucune retenue. Ma bite se mit à sortir, puis à rentrer à fond. Elle était dans un état second et je voyais son anus totalement dilaté, déjà rempli de sécrétions anales. A un moment, je retirai ma queue de son fondement, dont le trou était impressionnant et je la retournai violemment pour la forcer à s’agenouiller et lui présentai ma queue souillée. Elle ne posa aucune question et l’enfourna tout de go, je forçai un peu sa gorge mais en habitué a la pratique de la gorge profonde elle aspira mon sexe et son nez toucha mon ventre pendant que sa langue caressais mes testicules. Les bruits obscènes de sa bouche enserrant mon sexe jusqu’a la garde me rendait, elle avait des renvois mais le gardait planté dans sa gorge. L’image me rendait fou, elle était là a genoux en train de me pratiquer la plus belle pipe de ma vie, sa jupe descendue sur ses cuisses je voyais la ficelle de son string s’enfoncer dans sa raie et j’imaginais son anus dilaté aspiré ce petit bout de tissu. Les filets de baves coulaient le long de sa bouche et c’est au fond de sa gorge en 4 ou 5 jets de spermes bien fournis que je jouissais et elle avalait tout avec un sourire charmeur. Elle lava de façon experte mon sexe et le remis dans mon pantalon, quand a elle on aurait dit qu’elle s’était faite violer par tout un groupe de mec tant son apparence était obscene.. Elle me dit qu’elle allait avoir un peu de mal a marcher mais que l’orgasme l’avait tellement dévastée qu’un peu de souffrance en valait bien la peine. Elle partie aux toilettes se refaire une beauté et je retournais rejoindre mes amis a la manif.
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