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Intrusion fraternelle

Chapitre 4

Inceste
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Que vais-je faire ? C’est un désastre ! J’avais juré fidélité à Jean, et voilà que le soir même je me fais surprendre par ma mère en fâcheuse position avec Alexej. Maintenant, elle va aller le dire à mon époux, et tout le bonheur que je me suis efforcée à construire va s’effondrer comme un château de cartes. J’ai tout perdu, tout ça parce que je n’ai pas pu résister à ce frère que je déteste tant. C’est la panique.
— Calme-toi, lance Alexej, imperturbable. Elle ne dira rien.— Quoi ? Comment peux-tu le savoir ?— Je le sais, c’est tout.
Il tente de m’embrasser de nouveau mais je le repousse violemment. Il se fout de moi ou quoi ? Il me donne la nausée. Je le laisse là et me précipite à l’intérieur pour tenter de sauver ce qui peut encore l’être. Jean m’aperçoit et me lance un grand sourire ravi. Visiblement, elle n’a encore rien dit. Je m’approche de lui et l’embrasse.
— Bah alors, où étais-tu passée ? On te cherchait partout.— J’étais juste sortie prendre l’air. Dis, tu as vu ma mère par hasard ?— Je crois qu’elle est partie en cuisine.— OK. Merci, mon amour.— Tu es magnifique ! Je suis heureux de t’avoir épousée, me lance Jean tandis que je m’éloigne à grands pas pour aller retrouver ma mère.
J’ai un pincement au cœur : il risque de ne pas dire la même chose d’ici quelque temps. Ce soir, j’étais censée résister à Alexej et repartir sur de bonnes bases ; comment en suis-je arrivée là ? Je pénètre dans la cuisine. Ma mère est bien là. Son visage a toujours l’air aussi choqué. Elle ne dit rien : c’est donc moi qui vais être obligée d’entamer cette conversation qu’aucune de nous deux ne souhaite avoir.
— Maman, je… bredouillé-je.— Tu es folle ! lâche-t-elle finalement. Le jour de ton mariage, en plus ! Qu’est-ce qui t’a pris, bon sang ?— Je suis désolée, maman, me mets-je à pleurer. Je ne voulais pas, je te le jure. Mais c’est plus fort que moi, je n’arrive pas à lui résister.
Je ne contrôle plus mes larmes. Toute la pression accumulée depuis le début de la journée est en train de s’évacuer. Mon corps est pris de spasmes nerveux. L’expression du visage de ma mère change radicalement : sa colère et son incompréhension laissent place à une profonde pitié. Elle s’avance et me prend dans ses bras pour me calmer. Une nouvelle fois, je mets plusieurs minutes à retrouver un semblant de paix.
— Alors tu couches avec ton frère, reprend-elle finalement sur un ton plus doux. Cela fait longtemps que ça dure ?— C’est arrivé plusieurs fois, dis-je sans répondre réellement. Tu dois me prendre pour un monstre. Je suis si dégoûtante… Je me déteste !— Chut, ne dis pas ça ! me calme-t-elle. Il ne faut pas te flageller autant : cela n’arrangera rien.
— Non, tu ne comprends pas. Je l’ai laissé me faire tout ce qu’il voulait. J’ai trompé Jean de la plus effroyable des façons alors que je l’aime. Oui, je l’aime de tout mon cœur. Je te le jure ! Tu dois me croire !— Je te crois. Tu aimes Jean, et c’est tout ce qui importe. Tu dois te concentrer sur ça.— Mais, maman, je n’y arriverai pas. Je n’ai jamais su l’empêcher de profiter de moi. Il est plus fort que moi. Déjà sous la tente… laissé-je échapper.— Sous la tente ? Tu veux dire quand nous sommes allés camper vers Solérèse ?— Oui, avoué-je. C’est là que ça a commencé.— Mon Dieu… se morfond-elle. J’ai soupçonné quelque chose, mais j’étais loin de m’imaginer ça.— Quoi ?— Oui, reconnaît-elle, j’ai vu que tu étais bizarre : tu faisais comme si tout allait bien mais tu avais l’air ailleurs. Je me suis douté qu’il avait tenté quelque chose.— Quoi ? Tu avais des doutes et pourtant tu l’as laissé abuser de moi ? l’accusé-je.— J’étais loin de m’imaginer ça, je te le jure. Et puis, je… hésite-t-elle d’un air coupable, j’ai un aveu à te faire…— Un aveu ?— Je ne sais pas si tu te souviens de la dernière fois où il est venu, celle avant le camping. Toi, tu étais partie dormir chez ton amie.— Oui, je me souviens. Je voulais justement l’éviter. Que s’est-il passé cette fois-ci ?— Ton père a été appelé pour une intervention urgente. Il m’a laissée seule avec lui. Nous avons discuté longtemps avec Alexej, il avait tellement d’anecdotes à raconter… Puis il a mis de la musique et a voulu me faire danser. Il était très proche. Il a fini par me coller et poser ses mains sur mon corps. Je ne sais pas pourquoi je l’ai laissé faire. On avait bu, il était charmant, jeune, drôle, sensuel…— Non, maman ! Tu n’as quand même pas fait ça ?— Malheureusement si : j’ai couché avec lui. Je te jure que c’est la seule fois où j’ai trompé ton père… ou plutôt la seule nuit. Je ne sais pas pourquoi j’ai accepté de faire tout ce qu’il voulait. Oh, mon Dieu, il m’a même prise par derrière !— Arrête ! Je ne veux pas connaître les détails.— Oui, désolée… Tu vois, je comprends ce que tu peux ressentir. Je n’approuve pas ce que tu as fait avec lui, mais je comprends. Je pense que c’est pour ça que je n’ai pas cherché plus à savoir ce qu’il s’était passé sous la tente : j’avais peur de faire ressurgir cette histoire du passé. Mon Dieu ! Tout est de ma faute, alors ! Je suis tellement désolée, ma chérie…— Arrête, maman ! J’ai aussi ma part de responsabilités ; je n’ai jamais été assez forte pour lui résister. Je crois que je n’y arriverai jamais.— Tu le dois pourtant, ma chérie, pour ton mariage.— C’est pour ça qu’il est venu ce soir : il veut que je le suce le jour de mon mariage.
La conversation a été moins pire que je ne l’imaginais. Cela m’a même fait du bien d’en parler librement. Enfin quelqu’un qui comprend qui est vraiment Alexej ! Enfin quelqu’un de mon côté ! Finalement, mon mariage n’est plus en danger. Mon frère avait raison : ma mère ne dira rien. Me voilà rassurée ; c’est un poids en moins sur les épaules. Ce salaud, tout de même… Il s’est tapé ma mère. Jamais je n’aurais pu soupçonner ça.
Que va-t-il se passer maintenant ? Allons-nous continuer la soirée comme si de rien n’était ? Nous allons retourner dans la grande salle. Je vois déjà Alexej qui va revenir vers moi pour reprendre là où nous avons été interrompus : il n’abandonnera pas si facilement. Une boule nerveuse me tord l’estomac. Je repense à ce qu’il s’est passé à l’extérieur : ses mains qui me caressaient, ses lèvres sur ma peau, son sexe désireux de m’imposer sa volonté. J’étais prête à tout accepter une nouvelle fois.
— Tu dois trouver un moyen de l’en empêcher. Trouver la force de résister.
Je me décolle de ma mère et me plante devant la porte, prête à sortir de la cuisine. Je lui tourne le dos. Je ne peux pas la regarder en face avec ce que je m’apprête à lui dire.
— Maman, je te jure que je ne veux pas faire ce qu’il me demande ; mais tout à l’heure, je le voulais, et j’en voudrais bien plus. Je suis désolée, maman : je vais le faire, je le sais.— Et ton mariage ?— Alexej repartira une fois qu’il aura eu ce qu’il veut, comme il a toujours fait. J’aurai alors tout le loisir de m’occuper de mon mari.— Sois prudente, alors, abandonne à contrecœur ma mère tandis que je franchis la porte. Ne te fais pas surprendre.
Je m’en vais rejoindre mon homme à table. Il a l’air maintenant vraiment très éméché. De mon côté, avec toutes les émotions fortes de la soirée, je ne ressens plus le moindre effet de l’alcool. Pauvre Jean, s’il savait ce qu’il va se passer… Je suis prise de remords mais je les chasse rapidement. J’aurai bien le temps pour ruminer plus tard.
Sur la piste de danse, l’ambiance semble être folle ; nombre de nos invités sont déchaînés. Je remarque aussi l’absence de plusieurs autres personnes. Après avoir interrogé mon époux, j’apprends qu’ils ont quitté la soirée. J’ai l’impression que ça fait une éternité que je ne me suis pas intéressée à la fête.Il ne faut pas longtemps à Alexej pour venir me rejoindre à table. Il s’installe à ma droite. Mon cœur s’emballe une nouvelle fois.
— Alors ? me demande-t-il en tchèque.— Tu avais raison : elle ne dira rien.— Tu vois ? Je te l’avais dit, petite sœur.— Comment as-tu pu te taper ma mère ? le morigéné-je.— Quoi ? C’est elle qui est venue se frotter à moi pendant qu’on dansait, rit-il. Je n’y peux rien si toutes les femmes sont dingues de mon corps !— Qu’est-ce que vous dites ? interroge Jean qui ne comprend toujours rien au tchèque.— Non, rien, mon amour. Nous parlions juste de la soirée.— Suis-moi, petite sœur, reprend Alexej dans sa langue maternelle. Il est temps que nous passions aux choses sérieuses.— Va te faire foutre !
Comme je m’en doutais, c’est loin d’être suffisant pour me débarrasser de lui. Voilà que ses mains partent à l’attaque de mes cuisses. Je repousse les premiers assauts mais, très vite, comprends que cela ne sert à rien. Jean, trop ivre, ne réalise pas ce qui se joue sous la table. Je sens les mains d’Alexej palper mes cuisses à travers l’épaisse robe de mariée. Je suis prise de torpeur. Ça recommence ! Je ne vais pas pouvoir lui échapper. Je sais très bien que je ne peux me dérober, mais j’espère lui céder le plus tard possible. Heureusement, la taille de ma robe va le gêner dans ses manœuvres et le ralentir.
Le contact de ses mains sur moi me dégoûte. C’est le moment de laisser l’autre Hélène prendre le contrôle ; j’en ai marre de me battre contre elle. Mais pour une fois que je veux la laisser agir à sa guise, elle tarde à venir. Je suis juste paralysée pour le moment, enfermée dans ma bulle, cachée derrière un mur. Mon esprit est parti délirer ailleurs.
C’est un contact chaud sur ma chair qui me fait revenir à la réalité. Il me touche à même la peau. Je comprends rapidement qu’il vient de faire un trou avec son canif dans ma tenue pour y passer la main.
— Ma robe ! protesté-je.— Quoi ? me répond-il en tchèque. Tu ne la mettras plus à partir de demain, et la soirée est bientôt terminée. Ce n’est qu’un petit trou de rien du tout !
Ses doigts se font plus aventureux maintenant qu’ils ont passé l’obstacle du tissu. La fièvre me gagne peu à peu. L’autre Hélène montre enfin le bout de son nez ; il faut que je la laisse prendre totalement le contrôle. Qu’on en finisse au plus vite ! J’écarte les cuisses en signe d’invitation. Alex ne se fait pas prier et reprend les caresses interrompues par l’arrivée impromptue de ma mère. La seule différence, c’est que mon mari est juste à côté de moi. Je suis surprise par la vitesse à laquelle je me mets à mouiller. Il ne me faut pas longtemps avant de retrouver toutes les sensations que j’éprouvais tout à l’heure. Le plaisir grimpe rapidement, encore plus rapidement précédemment. J’ai peur de jouir comme cela. Ma main le caresse à son tour. Il est très excité lui aussi.
— Tu aimes ce que je te fais, petite sœur ? demande-t-il en tchèque. Tu aimes que je te branle à côté de ton homme ?— Oui, reconnais-je.
Heureusement que Jean est soul comme un cochon ! Il ne voit pas le plaisir me faire grimacer. Je suis rouge de honte. J’espère que personne n’a compris ce qui est en train de se passer. Une nouvelle fois, je me laisse toucher à côté de l’homme de ma vie. « C’est mal, c’est immoral, mais c’est bon… » me souviens-je. Je suis de nouveau à la merci des plaisirs pervers de mon cher frère. Je jouis, et parviens dans un effort monstrueux à retenir un cri.
— Viens maintenant, suis-moi ! m’ordonne-t-il.
Je me lève, obéissante. Je croise le regard désapprouvant de ma mère à l’autre bout de la pièce. Je détourne les yeux. Il est trop tard pour faire marche arrière.
— Où allez-vous ? réagit Jean.— Je… euh…
Sans que je n’aie le temps d’apporter une véritable réponse, Alexej me traîne dans un débarras où sont entreposés des accessoires de ménage. Il ferme la porte derrière lui. Je m’agenouille avant même qu’il ne me l’ordonne. J’ai les cuisses trempées. Enfin ! Il me semblait attendre ce moment depuis une éternité. Alex se hâte de libérer son sexe trop longtemps comprimé dans ses vêtements. Lui aussi attendait ça depuis longtemps. Il s’engouffre impatiemment dans ma bouche qui l’accueille avec plaisir. Je suis heureuse de retrouver ce goût et me rends compte à quel point ça m’avait manqué. Il voulait se faire sucer par la mariée ? Je m’applique de mon mieux pour rendre exceptionnelle la réalisation de ce fantasme. Un plaisir intense se lit dans ses yeux ; je crois qu’il ne sera pas long à venir. Je le sens en effet de plus en plus près du gouffre. Son corps s’agite finalement, et de puissants jets me giclent dans la bouche. J’avale le tout sans hésitation, ne laissant aucune goutte m’échapper.
— C’était très bon… me sourit-il.— Pour moi aussi, reconnais-je.— C’est vrai ? Cela t’a plu de sucer un autre homme que ton mari le jour de ton mariage ?— Oui ; je voudrais pouvoir me marier à nouveau pour recommencer.— T’en veux encore ? Cela te plaît de tromper ton mari ?— Oui. Encore…— Alors tu vas être servie, ma petite salope de sœur !
Il entrouvre la porte et fait un petit signe de main à quelqu’un. Un homme pénètre alors dans la pièce : il s’agit de Dominik.
— Quoi ? protesté-je. Non, pas lui, c’est toi que je veux.— Tais-toi. Mon beau-père avait très envie, lui aussi, de te faire goûter son sexe. Tu vas donc le sucer à son tour.— C’est le moment de me remercier comme il se doit pour ton voyage de noces, ajoute le vieux.
J’observe Alexej dans les yeux ; il se montre autoritaire. Visiblement, c’est vraiment ce qu’il veut. Je vais donc sucer ce type que je connais à peine. Mon regard se pose maintenant sur le sexe tout juste libéré du mari de Nataša. Il est plus court que celui d’Alexej mais bien plus large. Dominik s’impatiente et force ma bouche. Je cède et laisse ce sexe me pénétrer. L’odeur est forte, le goût encore plus. Si mon frère ne me l’avait pas ordonné, jamais je n’aurais accepté de sucer un sexe dont l’hygiène semble négligée. Dominik ne semble pas vouloir me laisser agir à ma guise et commence à me baiser la bouche. Il me fait mal à la mâchoire, ce con ! Je fais mon possible pour faciliter l’opération. Alex s’amuse à me voir malmenée ainsi. Il apprécie que je me donne à son beau-père. Son sourire m’encourage et m’excite. Je suis à leur merci, prête à tout pour satisfaire ces hommes. Je repense à mon ex, qui lui aussi m’avait fait sucer une autre queue. Sauf que lui s’est finalement montré jaloux alors que j’exauçais sa demande.
Alexej, lui, est différent. Il tient vraiment à ce que je me comporte comme une salope. Il aime l’idée que je me donne à quelqu’un d’autre que mon mari, et moi j’aime lui faire plaisir. Je pourrais sucer tous nos invités s’il me le demandait. Mais le voilà qui quitte subitement la pièce, me laissant seule avec le vieux, qui me traite de tous les noms d’oiseaux. « Quoi ? Il ne veut pas me voir lui obéir ? Que se passe-t-il ? » Le vieillard met plusieurs longues minutes à jouir et m’étonne par l’abondance de sa semence. J’avale tout.
Je viens de sucer deux hommes, et j’ai vraiment aimé.
Nous sortons l’un derrière l’autre du débarras. Je cherche mon amant des yeux mais ne le repère pas. Où est-il passé ? Je rejoins mon mari qui semble épuisé et lui demande s’il a vu Alexej. Il me répond négativement. Il ne reste plus beaucoup de personnes, la fête touche à sa fin. Une vingtaine de minutes plus tard, Nataša et Dominik viennent vers nous pour nous souhaiter une bonne nuit ; ils ont pris une chambre dans un hôtel cinq étoiles de la région. La mère d’Alexej me lance un grand sourire avant de m’étreindre affectueusement.Elle non plus ne sait pas où est passé son fils.
De plus en plus d’invités partent, et Alexej ne montre toujours pas signe de vie. Il n’aurait pas osé partir comme cela sans même un au revoir ? J’ai bien peur que si. Il m’a une nouvelle fois abandonnée. Il a pris ce qu’il voulait, est parti tout comme je l’avais prédit, alors que mon corps le réclamait encore. Je me sens soudain vide. J’étais prête à lui offrir bien plus, et lui me laisse en manque. Fumier ! Merde, je me suis encore fait avoir… J’avais l’impression d’être importante pour lui, d’être spéciale à ses yeux ; mais non, je ne suis rien.
C’est finalement à notre tour de quitter la salle. Jean et moi passons le reste de la nuit chez ses parents : c’est l’endroit le plus proche de la salle des fêtes. Nous montons dans notre chambre en évitant de faire du bruit. Ses parents et d’autres invités réfugiés ici dorment déjà. Jean semble excité, il me dévore des yeux ; il est apparemment prêt à profiter de sa nuit de noces. Je n’ai plus trop la tête à ça, mais après ce que j’ai fait plus tôt derrière son dos, je lui dois bien ça.
Nus, nous nous collons l’un à l’autre et commençons à nous caresser. Nous échangeons un baiser langoureux. Je me souviens soudain que deux pénis se sont introduits entre mes lèvres un peu plus tôt. Heureusement, Jean ne repère aucun goût suspect. Le contact de ses mains réveille mon corps délaissé par mon frère. Finalement, je crois que je n’aurai pas besoin de beaucoup me forcer pour coucher avec lui ce soir. La douceur de ses caresses me fait fondre. Il est si adorable… Comme j’aurais aimé qu’Alexej me touche ainsi ! Je me frotte à lui et sens son érection contre mon ventre. Je lui demande de me pénétrer ; il obéit. Sentir son sexe coulisser en moi me fait un bien fou. Je m’allonge de tout mon long pour laisser la sensation glisser dans chaque parcelle de mon corps. Je ferme les yeux pour me concentrer sur mes émotions, cette bouche qui m’embrasse, ces mains qui font honneur à mon corps, ce pénis qui s’agite en moi. Je me sens bien, désirée, aimée.
Je m’égare dans mes songes. Mes fantasmes transforment Jean en Alexej. C’est désormais lui qui me fait l’amour ce soir, lui qui embrase ma peau grâce à de sulfureux baisers, lui qui m’investit de sa hampe virile. Je m’imagine être une nouvelle fois à la merci de mon pervers de frère. Je lui suis totalement soumise et le plaisir grimpe. Je me laisse aller à gémir, et Jean me supplie de ne pas faire de bruit pour ne réveiller personne. Je n’en ai rien à faire ; je veux seulement me faire baiser. J’encourage Jean à y aller plus nerveusement. Je veux qu’il me prenne comme me prendrait Alexej. Mon époux fait des efforts, mais cela reste insuffisant. J’ai envie de plus. J’ai envie de le sentir se déchaîner, j’ai envie qu’il se serve de moi. Mais, trop épuisé par notre longue journée et par tout l’alcool ingurgité, il ne réalisera aucun exploit.
Je le supplie ensuite de m’insulter et de me sodomiser, mais Jean – comme à son habitude – refuse de s’abaisser à ces pratiques qu’il juge dégradantes. Alexej, lui, n’aurait pas hésité. Je n’aurais même pas eu besoin de le lui demander. C’est pourtant cela qui m’excite : j’aime me sentir sale pendant l’acte. Quel mal y a-t-il à être la catin de son mari ? Jean ne comprendra jamais rien aux désirs qui m’animent au plus profond de mon être. Il n’est malheureusement pas comme Alexej ou comme mon ex. C’est vrai qu’il m’a fait découvrir une autre forme de sexe, mais ce soir ce n’est pas de tendresse dont j’ai envie.
Malgré tout, j’arrive à trouver mon plaisir et à atteindre l’orgasme. Jean jouit lui aussi. Le trop-plein d’émotions fortes l’achève et l’emporte rapidement dans le sommeil. Je me colle à lui et m’endors à mon tour.
Mon sommeil est agité. Mes rêves me ramènent à la salle des fêtes. Je me vois nue et ligotée sur une scène à la vue de tous nos invités. Alexej est là et me caresse puis me force à le sucer. Jean est assis en face de moi et observe le spectacle sans rien dire.
* * *

C’est finalement un contact sur mes fesses qui me réveille. J’ignore quelle heure il est. J’aperçois cependant quelques rayons de soleil percer les épais volets de la chambre. Mon cerveau met de longues minutes à sortir de la brume et à comprendre ce qu’il se passe. Une main est en train de me palper la fesse. Je soupire, agréablement surprise, et m’étire de tout mon long. Je laisse cette main ferme profiter de mon cul offert. J’écarte les cuisses pour qu’on n’oublie pas de s’occuper de mon sexe ; la main comprend et vient y plonger quelques doigts. Je mouille. Jean est visiblement prêt pour un second round.
Ses doigts continuent de me faire du bien puis, contre toute attente, l’un d’eux s’introduit dans mon fondement. « Quoi ? Jean aurait-il changé d’avis finalement ? À moins que… » Prise d’un doute, je tourne la tête sur le côté, et malgré le peu de luminosité j’arrive à percevoir un Jean complètement endormi. Ce n’est donc pas lui qui m’enfonce un doigt dans le cul. Mon corps se tétanise. Une seule autre personne oserait me fouiller ainsi : il s’est donc décidé à venir encore profiter de moi. Je ne sais pas si je dois me réjouir ou m’en inquiéter ; en tout cas, mon corps n’hésite pas à s’en réjouir.
— Que fais-tu ? Tu es fou ?— Chut, petite sœur, tu ne voudrais pas réveiller ton époux ? Cela serait fâcheux… Laisse-toi faire, comme d’habitude.
Un deuxième doigt me perfore l’anus, d’autre jouent avec mon clitoris. C’est dingue, mais c’est bon ! Alexej est venu me trifouiller dans le lit conjugal. Jean dort à côté de moi. Il peut se réveiller à tout instant… J’ai envie de gémir mais je me retiens autant que possible. Puis les doigts m’abandonnent et je sens un gros poids abaisser le matelas. Alexej se positionne derrière mon dos, son gland pointe sur mon derrière.
—Allez, demande-le-moi, me chuchote-t-il à l’oreille.— Encule-moi…
Les mots sortent de ma bouche avant même que je n’aie pensé à les prononcer. Je sais que c’est dingue, mais je veux qu’il me prenne ici. J’ai beau avoir peur, l’excitation est plus forte. Je n’ose bouger d’un centimètre, prête à le recevoir. De toutes les perversités que m’a fait faire Alexej, celle-ci est la pire, et je m’y soumets sans résistance.
Son gland fait pression sur mon œillet et s’y engouffre lentement, centimètre après centimètre. La douleur et le plaisir me font tressaillir. Je vais me faire limer le cul alors que Jean dort à quelques centimètres de moi ! Je mords l’oreiller pour ne pas crier ma joie, et je tends le cul.
La hampe d’Alexej s’est maintenant introduite de tout son long et commence à me labourer doucement. Mon Dieu, comme c’est bon… Une de ses mains joue avec mes tétons et les pince. La dernière fois qu’il m’avait sodomisée, il y était allé franchement, répondant à un besoin bestial de me pendre ; mais aujourd’hui il s’oblige à y aller doucement, me laissant le temps de savourer chaque instant. J’ai très envie de le sentir me défoncer, mais ainsi le supplice dure plus longtemps. Et puis, il ne faut pas réveiller Jean ; je n’ose imaginer s’il ouvrait les yeux maintenant ! J’ai échappé au pire quand ma mère nous a surpris, mais là je n’aurais aucun moyen de recoller les morceaux. « Sois prudente ! » m’a-t-elle dit. Je ne pense pas que se faire prendre le cul alors que son mari dort à côté n’entre dans ses critères de prudence. Je risque gros sur ce coup, mais je suis incapable de m’arrêter. C’est tellement mal que c’en est bon.
Dieu, comme j’aime ce que me fait Alexej… Je voudrais que ça ne s’arrête jamais, que le plaisir continue de grimper indéfiniment. « Quand Alex prend quelque chose, il ne la lâche pas. » J’aimerais que ce soit vraiment le cas, mais je sais déjà qu’il finira une nouvelle fois par disparaître. Je suis sa chienne, sa catin, sa petite sœur salope ; comment peut-il m’abandonner encore ?
— Alexej, par pitié, ne pars pas après… chuchoté-je. Je veux que tu restes près de moi.— Quoi ? fait-il, surpris.— Tu me manques trop quand tu n’es pas là. Seul toi sait me prendre comme j’aime. Par pitié, reste en France… Je ferai tout ce que tu me demanderas, je te jure.— Et ton mari ?— Tant pis pour lui ! Je continuerai à le faire cocu pour toi. Ne m’abandonne pas, j’ai trop besoin de toi.— Tu le penses vraiment ?— Oh oui !
Il semble déconcerté par ma demande, mais j’ai l’impression que l’idée lui plaît. Je m’imagine soumise encore et encore à mon frère. Cela serait si bon… Il m’a soumise par deux fois dans le passé, puis a disparu juste après, me laissant avec un vide impossible à combler. Aujourd’hui, je ne veux pas revivre ça. Je veux jouir encore et encore de sa queue.
Alexej accélère la cadence. Jean, à côté de moi, continue de ronfler. C’est vrai qu’avec l’alcool, il a le sommeil lourd. Mon frère est sur le point d’exploser ; il atteint l’orgasme et se libère dans mon cul. Moi aussi, je me sens emportée.
Il se relève tandis que je reprends peu à peu mes esprits.
— Au revoir, petite sœur adorée. Nous nous reverrons bientôt, je te le promets.
* * *

Quand je me lève plusieurs heures après, il a disparu une nouvelle fois.
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