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On inverse les rôles !

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Modeline n’avait pas son pareil pour me faire tourner la tête et encore moins lorsqu’il s’agissait d’arriver à ses fins en matière de sexualité. Voulez-vous un exemple ? Qu’auriez-vous fait à ma place si vous aviez reçu sur votre smartphone, ses photos suggestives à la mise en scène subtile et calculée ? Oh, rien de très osé... juste ce qu’il fallait pour vous retourner les sens. Une délicate silhouette mise en valeur, un coin de peau offert par inadvertance, une atmosphère espiègle... Voici celles qui atterrirent dans ma mailbox, pas plus tard que ce matin-là : une première série de photos dévoilait ses deux jambes, posées sur un bureau dans une attitude négligée, gainées par un jeans moulant s’infiltrant dans des bottes en cuir. Une deuxième série la montrait en chemisier dont elle avait dégrafé deux boutons. Les motifs floraux colorés du tissu contrastaient avec la blancheur délicate de la peau de ses douces collines que l’on devinait par l’échancrure. Deux mots accompagnaient ces sensuels clichés : rejoins-moi !
Inutile de vous dire quel effet me firent les photos illustrant son message, promesses de sensualité et de plaisir des sens. En réponse je lui promis de la retrouver le soir même.
Elle m’attendait dans son salon. Son regard pétillait de désir et d’envie.
— Dis-moi, et si nous inversions les rôles ?— C’est-à-dire ?— Lors de mon anniversaire, je te voulais homme-objet, savoir jusqu’où tu irais pour me satisfaire. Aujourd’hui, j’aimerais t’offrir l’opportunité de goûter toi aussi au plaisir de la domination. Serais-tu tenté ?— Oui bien sûr ! Quel plaisir de contrôler tes sens et te posséder comme seul objet de mon plaisir, répondis-je avec un enthousiasme non dissimulé.— Dans ce cas viens avec moi, je ne t’ai pas encore tout dévoilé...
Je lui emboîtai le pas dans le dédale de couloir desservant sa grande maison, jusqu’à une porte dérobée. L’escalier descendait, ni plus ni moins, vers un véritable temple de la domination. Une croix de Saint-André trônait au centre de la pièce. Accrochés aux murs ou rangés sur des étagères, il y avait ici la parfaite panoplie SM. Fouets en tous genres, boules de geisha, plug anal, godes de formes et tailles variées, menottes, baillons, pince à seins, poids... Bref, le paradis de tout ce qui peut faire du bien en faisant mal... ou inversement !
— Tu m’impressionneras toujours, Modeline !— Laisse libre cours à ton imagination, dorénavant je suis ton esclave !— Bon, allons-y. Tu te plieras à mes ordres, quels qu’ils soient. Le premier est de m’appeler maître. Compris ?— Oui, maître.— Déshabille-toi maintenant, et vite !
Modeline ôta un à un ses vêtements, me laissant entrevoir grâce à ce savant effeuillage, ses formes parfaites et la blancheur de sa peau. Impossible de rester de marbre devant ce spectacle ; une irrépressible excitation montait en moi. Modeline se devait avant tout de calmer mes premières ardeurs.
— Me voilà dans une excitation inconfortable, par ta faute. Agenouille-toi devant moi, déboutonne mon pantalon, sors ma queue et surpasse-toi avec ta bouche !— Oui maître.
Elle s’empressa d’obéir à mes ordres, d’une main prit mon sexe qu’elle couvrit de chauds baisers, de la base jusqu’au prépuce. Toujours en douceur elle inversa le trajet mais cette fois, elle laissa traîner le bout de sa langue, telle une limace agile. Cette tendre manœuvre me prodigua des sensations uniques qui renforcèrent mon érection. Elle goba mon sexe, prolongeant cette divine extase. Ses lèvres emprisonnèrent la base de mon sexe puis câlinèrent la hampe en de délicats va-et-vient. La chaleur de cette caresse m’envahit et parcourut tout mon corps.
— Arrête ! ordonnai-je. Ce n’est pas encore le moment de me faire jouir. Relève-toi !
Je l’attachai à la croix de Saint-André puis reculai pour contempler ma soumise offerte dans toute sa splendeur, tel un chef-d’œuvre. La croix sublimait sa beauté naturelle : ses fines jambes interminables, ses seins fièrement dressés, son sexe nu, écarlate d’excitation et toujours ce regard, profond, intense, brillant de désir. Elle m’était offerte et j’étais bien décidé à en profiter.
— Ouvre grand la bouche ! Ce bâillon-boule te réduira au silence ; je ne veux entendre que tes seuls gémissements étouffés !
Elle ne fit aucune difficulté. Le bâillon distendait ses fines lèvres en une moue obscène ; son corps tendu invitait aux attouchements. Mes deux mains explorèrent tout son corps en caresses dont je variais la pression, alternant la douceur des doigts, la fermeté des paumes jusqu’à la griffure de mes ongles. Ses frissons m’amusaient ; j’en abusais même. J’effleurai ses zones érogènes d’un doigt délicat, tournai autour pour y revenir, plus léger qu’un souffle.
Je serrai entre deux doigts ses tétons que je désirais fermes et bien dressés ; pour m’assurer qu’ils le resteraient, j’y accrochai des pinces. Je la narguai, la questionnant sur son appréciation du traitement. Ses cris étouffés et la cambrure de ses reins laissaient à supposer que c’était le cas. Je me moquai de son impossibilité de répondre. Son supplice ne faisait que commencer.
Je fouillai les tiroirs remplis de jouets intéressants. J’optai pour des boules de geisha et un petit vibromasseur.
— Si on s’amusait un peu, ma belle ?
Je promenai le vibromasseur sur sa peau, au gré de mes envies. Je m’attardai avec un soin tout sadique sur l’extrémité de ses seins martyrisés par les pinces. Les vibrations de l’appareil sur les mâchoires métalliques augmentaient la sensibilité des tétons. Je lui décrivis comment ses lèvres se crispaient sous cette torture.
Je m’accroupis, le visage à hauteur de son sexe. Mon souffle chaud caressait ses lèvres gonflées par l’excitation puis je les écartai du bout de la langue. Je m’enfonçai plus loin dans son antre de plaisir, inspectant ses muqueuses avec minutie. Assuré de leur bonne lubrification, je remontai jusqu’à son clitoris. Mes caresses buccales lui firent perdre le contrôle de ses membres secoués de spasmes. Ses gémissements étouffés sonnaient comme une douce mélopée.
Puis j’introduisis les boules de geisha une à une, centimètre par centimètre pour les faire ressortir avec la même lenteur. De l’autre main, j’appliquai le vibromasseur sur son clitoris. Son supplice s’éternisa. Elle n’en finissait pas de trembler. Je lui faisais parfois croire que ce traitement était terminé, mais après quelques secondes de répit, je recommençais. Je veillais cependant à ce qu’elle ne jouisse pas ainsi.
— Je vais te libérer, tu vas pouvoir jouir mais à ma façon. Je vais continuer à te caresser comme je le fais actuellement ; une fois que tu te sentiras au plus proche de l’orgasme je veux que tu l’annonces d’un signe de la tête. Attention, tu ne pourras jouir qu’à mon signal.
Je continuais mes caresses variant les stimulations sur son clitoris et jouant avec les boules de geisha. Ses frissons s’intensifièrent, ses halètements devinrent plus courts. Elle se raidissait de plus en plus. Puis vint le signal, un hochement de tête presque frénétique. J’attendis encore quelques secondes.
— Vas-y, jouis ! Tu n’auras qu’une seule chance !
Je tirai d’un coup sec sur les boules de geisha introduites en elle. Cela la libéra complètement ! Elle jouit, secouée par de terribles spasmes pendant de longues secondes.
Elle releva la tête, le regard fatigué et drogué de sa jouissance. Je l’embrassai du bout des lèvres puis la laissai récupérer un moment avant de continuer...
À l’autre bout de la pièce se trouvait un meuble étrange, composé d’une table courte mais large et terminé par un carcan. Aux pieds de la table, deux lanières de cuir y étaient fixées à hauteur de sol. Je détachai Modeline de sa croix et la tirai par les cheveux vers ce nouvel engin de torture. La manière dont elle avait joui ne me satisfaisait qu’à moitié. Elle pouvait mieux faire. Peut-être n’était-ce qu’une question de position, ce que je comptai bien tester.
Je l’entravai sur ce nouvel instrument. Les chevilles liées aux pieds de la table, la tête et les mains emprisonnées dans le carcan de bois, Modeline s’offrait en une provocante mise en scène dont je comptais bien profiter. Jambes écartées, buste fléchi à quatre-vingt-dix degrés, elle exposait ses fesses sans défense à mon sexe, à tous mes sévices.
— Tu as un très beau sexe Modeline, mais tes lèvres devraient être plus disciplinées et s’ouvrir comme un rideau sur une pièce de théâtre. On va les y aider un peu...
Sans ménagement, je séparai d’un doigt ses lèvres auxquelles j’accrochai des pinces alourdies de poids. Elle étouffa des cris. Un étirement durable des nymphes nécessiterait toutefois plusieurs séances. Le cul de ma soumise n’était pas assez rouge à mon goût. Rouge... couleur de l’excitation ! Il ne restait plus qu’à y remédier.
Je promenai les lanières en cuir souple du martinet sur sa peau claire en guise de prélude. Puis je donnai quelques coups légers pour la laisser s’habituer avant de commencer les choses sérieuses. J’augmentai peu à peu la force des flagellations. Si les premiers cris de Modeline relevaient de la surprise, ils firent place à l’expression de sa souffrance. Sa peau sensible était un régal tant les lanières la marquaient. Ses cris devinrent des hurlements, mélange d’excitation et de douleur contrite. Le supplice s’acheva lorsque la rougeur et les stries eurent envahi la totalité de ses fesses. Quelle excitante vue ! Je libérai mon sexe tendu de sa prison de tissu et la pénétrai d’un coup sec, sans la prévenir. Son sexe chaud et humide m’avala sans frémir. Son vagin se convulsait autour de mes chairs, m’incitant à poursuivre mes investigations. Le rythme accéléré de mes coups de boutoir me propulsait au plus profond de son sexe. Modeline gémit de plus belle. Ses jambes tremblaient, le corps balayé par les vagues du plaisir que je lui prodiguai. Au bord de l’orgasme, ces mêmes ondes n’allaient pas tarder à m’envahir, j’étais au bord de l’orgasme !
— Modeline, je veux que tu jouisses, tu n’auras pas de seconde chance... je suis au bord de l’orgasme. Débrouille-toi pour jouir avec moi.
Sur ces paroles, j’accélérai encore la cadence. Un premier frémissement m’envahit... puis un second... Modeline tremblait de plus en plus. Puis j’explosai en elle accompagné par les convulsions de tout son être. Elle venait de jouir !
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