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Invisible sensation

Chapitre 1

Une découverte incroyable

Inceste
C’était une nuit comme les autres. J’étais seul dans mon appartement depuis que ma copine m’avait quitté. Depuis ce moment-là, mes nuits étaient agitées, entre cauchemars et réveils nocturnes. Elisa me manquait. Et pourtant ces derniers mois n’avaient pas été des plus agréables. Disputes, silences. Je crois qu’on avait bien fait de se séparer. Non, ce qui me manquait vraiment c’était elle. Je veux dire elle, physiquement. Son corps. Son regard, mais surtout son sexe. Son sexe qui coulait sur le mien quand je la pénétrais. Son corps tendu quand elle jouissait. Ses jeunes seins pointés vers mes yeux quand elle glissait sur moi. Quand à ce moment-là, j’avais l’impression de lire en elle, au plus profond de son âme, comme si le sexe la révélait, me permettait d’accéder à une partie de son être inaccessible en temps normal. C’est comme si mon regard la traversait. Et cette idée m’attristait au plus haut point.
J’étais donc si superficiel que ça pour ne m’intéresser à une autre que comme un objet sexuel ? Non, ce n’était pas possible. Cette idée me torturait.
Cette nuit, comme toutes les autres, j’essayais de trouver le sommeil. Il était minuit passé. Il pleuvait dehors. Il faisait froid. J’étais crevé après une semaine de sommeil compliqué. Dans un état second. Tellement crevé que je sentais enfin mon corps abandonner toute résistance... Je profitais de ce moment juste avant le sommeil, quand le corps se relâche, que les pensées se font désordonnées et incontrôlées, dans un brouillard qui nous enveloppe. J’étais sur le point de sombrer. Dans cette brume proche de l’inconscience, je percevais comme un souffle. Comme une respiration haletante, de plus en plus distincte. Presque une plainte. Une plainte de plaisir. Je n’y prêtais que vaguement attention. Mais cette voix me plaisait, m’empêchait de m’enfoncer dans le sommeil. Malgré moi, j’écoutais.
Et soudain, un gémissement me tirait du sommeil ! Brusquement, j’étais réveillé, totalement alerte, en train d’observer une scène tout à fait incroyable dans un endroit que je ne connaissais pas. Une femme qui semblait plutôt jeune pour ce que j’en voyais était à quatre pattes avec un jeune homme dressé derrière elle en train de la pénétrer avec force. J’entendais le claquement des fesses de cette beauté sur le bas-ventre du jeune homme. Ils avaient l’air de prendre leur pied.
J’étais totalement abasourdi par la situation, si bien que je n’en voyais pas le côté absolument excitant. Et s’ils me voyaient, qu’allaient-ils dire ? Et d’ailleurs, j’étais où ?
— Aaahh, je veux te sucer, donne-moi ta queue.
C’était elle qui venait de dire ça ? J’avais l’impression de reconnaître cette voix. C’était tellement étrange. J’avais l’impression d’être là et pas là en même temps.
— Vas-y, suce ma queue petite salope !
Je voyais la jeune femme se retourner. Bordel, elle allait me voir ! Il fallait que je me cache. C’est à ce moment-là que je réalisais que j’étais nu. Complètement nu ! Je paniquais. Il fallait que je me planque. Que je me tire de là.
La jeune femme s’était retournée. Elle ne pouvait pas ne pas me voir. Et surtout, moi, je la voyais. C’était ma voisine. Ma jeune voisine. Je reconnaissais son visage. Je m’attendais à ce qu’elle crie... qu’elle soit effrayée de me voir planté là, au milieu de sa chambre, à poil, en train de la regarder faire l’amour... se faire baiser, devrais-je dire, car son compagnon n’était pas particulièrement doux avec elle. Je le voyais la prendre par les cheveux, et lui faire gober son sexe violemment. Elle en avait plein la bouche.
Mais rien ne se passa. Enfin si, elle, elle en prenait plein la bouche, elle bavait sur la queue de son amant, une main sur la chatte, ses doigts fouillant son intimité. Mais en ce qui me concerne, rien. Elle ne me vit pas. Comme si j’étais transparent.
La scène était terriblement excitante, mais je ne laissais pas passer ma chance et me sauvais par la porte de la chambre. En me dirigeant à toute vitesse vers la sortie de l’appartement, je me prenais les pieds dans un objet qui traînait au sol... et je m’étalais de tout mon long en me cognant la tête sur le bord de la table basse. Black out, extinction des feux. J’avais cogné si fort que j’en perdais connaissance.
Ce n’est qu’au matin que je reprenais conscience. Après quelques instants, le temps que la brume matinale s’estompe, tout me revenait. Je me levais en sursaut, paniqué, me posant 1000 questions sur l’explication que j’allais bien pouvoir donner à ma voisine. Je regardais autour de moi, pour essayer de trouver quelque chose. Une idée. Un truc bidon qui me permettrait de ne pas paraître être un dangereux cambrioleur.
Quelle ne fut pas ma surprise quand je réalisais que j’étais dans ma chambre ? Devant mon lit. J’étais sans voix. Je ne comprenais pas ce qui venait de se passer. Ma tête me faisait mal, j’avais une sacrée bosse. Un peu hagard, je me dirigeais vers la cuisine pour me faire un café. Que s’était-il passé ? J’avais dû rêver. Sûrement ce choc sur la tête dont je ne me rappelais plus l’origine. Il n’y avait aucune autre explication rationnelle. Oui, j’avais dû rêver. J’en étais certain. Il fallait que je sorte prendre l’air.
Hasard des choses, en sortant, j’apercevais ma voisine. Elle était sur le palier de sa porte. Et surtout, elle était en train d’embrasser son fougueux compagnon d’hier soir. Mon sang ne fit qu’un tour ! Comment était-ce possible ? J’ai beaucoup d’imagination, donc OK pour ma voisine. Mais lui ?! Je ne l’avais jamais vu ! Comment pouvais-je le reconnaître ? Alors, c’est que j’étais bien chez elle cette nuit. Je me répétais une seconde fois : j’étais chez elle. Il fallait que je rentre en vitesse chez moi pour ne pas qu’elle me voie. Manque de bol, cette fois-ci, elle m’avait vu. Grillé. Elle se tournait vers moi, et me disait un joyeux "bonjour". Surpris, je répondais vaguement. J’étais rouge comme une tomate. Je poursuivais donc mon chemin vers la sortie pour aller prendre l’air.
Enfin dehors, je résumais rapidement les évènements. J’avais eu du mal à dormir, je m’étais retrouvé chez ma voisine, pendant qu’elle baisait un gars que je n’avais jamais vu, et je m’étais retrouvé dans mon lit ce matin. Bon. Eh bien, il allait me falloir du repos. Et... ma voisine était une bombe sexuelle ! Oui, je notais ça aussi.
J’appelais ma sœur pour savoir si elle pouvait m’accueillir pour la nuit. Ça me ferait du bien de passer la soirée avec elle. Elle habitait à une cinquantaine de kilomètres de chez moi. J’attendais la fin de journée, et je partais chez elle.
Clémence était une jolie brune de 32 ans. J’avais 4 ans de moins qu’elle. Elle vivait souvent seule, son mari ayant un boulot qui le faisait beaucoup voyager. Pour en avoir discuté avec elle, j’avais compris que ça ne la gênait pas. Au contraire, elle aimait bien sa liberté, et les retrouvailles avec son mari n’en étaient que meilleures. Je vous laisse imaginer ! Enfin, moi, je m’étais toujours interdit d’imaginer quoi que ce soit, c’était ma sœur. On était proche, mais sans l’être à ce point là.
Elle était seule ce soir, et c’est avec un grand sourire qu’elle m’ouvrait la porte. Une fois mes affaires déposées dans la chambre, je la retrouvais autour d’un bon repas. Devant ma mine étrange, elle me posait quelques questions. Je la rassurais, et c’est dans une ambiance détendue que le dîner se poursuivit. Nous rigolions, mais j’étais crevé. Le manque de sommeil de ces derniers jours avait laissé des traces. Elle me proposait donc de finir de débarrasser la table, et je filais dans mon lit sans demander mon reste. Et, enfin, après tant de nuits de galère, je m’endormais sans attendre, comme une masse. Quel bonheur !
Sauf que...
Il faisait nuit. Il était tard. Ou tôt peut-être. Aucune idée de l’heure qu’il était. Je sortais d’un sommeil profond, comme cela nous arrive à tous au cours d’une nuit. J’aurais pu me rendormir directement, mais c’est comme si mes sens étaient ultra-sensibles. J’entendais quelques bruits étranges. Comme un bruit de frottement. De frottements avec des cliquetis. Humides. Mon esprit était encore embrumé.
Et, comme la nuit précédente, un souffle, un gémissement, et me voilà debout, nu, dans la chambre de ma sœur. Totalement réveillé. Sans comprendre comment j’étais arrivé là. J’étais face à elle. Elle était entièrement nue, devant son ordinateur. Et elle se caressait le sexe. Sa main faisait des mouvements rapides sur son sexe entièrement épilé. Une jolie chatte grande ouverte, luisante de mouille. Elle avait les yeux grands ouverts, il était impossible qu’elle ne me voie pas.
Et pourtant... Elle continuait ses mouvements, et je la voyais qui pianotait sur le clavier de son ordinateur. Et son ordinateur lui parlait. Enfin, quelqu’un parlait sur son ordinateur. "Vas-y oui, mets-toi un doigt ma coquine. Regarde comme je bande pour toi."
Je l’entendais qui rigolait. Et surtout, elle se mit un doigt en disant "j’imagine que c’est ta bite qui s’enfonce en moi". Comme hier, j’étais totalement désorienté par ce qui venait de se passer et par ce que je voyais. Mais, elle ne me voyait pas. Maintenant, j’en étais certain. Je fermais les yeux quelques minutes. J’écoutais. Je l’entendais. J’entends son souffle rapide, ses petits gémissements, le bruit de son sexe humide... Je me décidais enfin à ouvrir les yeux. OK, son sexe n’était pas humide, il était trempé. Je regardais et constatais d’ailleurs qu’elle avait mis une serviette sous ses fesses. Elle avait anticipé cette masturbation.
Et je me dis : quitte à être là, autant profiter du spectacle. C’était ma sœur, peut-être, mais c’était aussi une magnifique femme. Et les picotements que je ressentais au niveau de mon bas-ventre m’indiquaient qu’elle ne me laissait pas indifférent.
Je la regardais. Je me rapprochais pour mieux voir. Ses seins lourds ondulaient au rythme de ses caresses. Et je la voyais. Totalement. Je veux dire qu’il ne s’agissait pas d’une masturbation qu’elle ferait seule, pour elle-même. Non, c’est une masturbation qu’elle partageait. Elle voulait être vue. Elle avait le corps totalement offert à cet inconnu sur l’ordinateur. La caméra était orientée sur son sexe. Elle était presque allongée. C’était incroyable. J’avais sous les yeux un corps de femme qui n’était que sexe. La scène à laquelle j’assistais était digne d’un porno. Non, mille fois mieux qu’un porno. Ma sœur se rentrait un doigt, puis deux. Elle écartait les lèvres de son sexe pour que son compagnon de jeu puisse voir les détails de son vagin et son clitoris dressé. Et, sans le savoir, pour moi aussi.
Je bandais. Mon sexe avait durci. Il était énorme. J’étais totalement excité par ce que j’observais. J’avais envie de me branler. De me masturber en regardant ma sœur. Avec ma sœur en fait. J’étais déjà tout prêt d’elle, à moins d’un mètre, mais je m’approchais encore pour n’être plus qu’à quelques centimètres. Elle gémissait. Elle sentait le sexe. Je voyais sur l’écran un homme qui se masturbait. Il avait une queue de belle taille. Il faisait des mouvements rapides. Son sexe était en gros plan sur l’ordinateur.
— vas-y, fais ta salope, lui dit l’inconnu "j’ai envie de gicler pour toi".
Je vis alors ma sœur qui passait sa main sous ses fesses. Et elle vint glisser un de ses doigts dans son anus. En plus des deux doigts dans son vagin. Cette double pénétration était absolument incroyable. Je saisis ma queue, surexcité. Et je me mis à faire des va-et-vient rapides. Je me masturbais devant ma sœur.Elle avait les jambes grandes écartées. Elle respirait très vite. Ses doigts bougeaient à une vitesse folle, toujours avec ce bruit humide incroyable. Ses tétons pointaient. Sa poitrine se soulevait à grande vitesse. Son ventre se contractait. Sa poitrine devenait un peu rouge, comme si elle avait trop chaud. Je voyais un peu de sueur qui perlait sur son corps. Et soudain, elle se raidit. Elle poussa un gémissement profond et referma ses cuisses. Je voyais son sexe qui dégoulinait. Elle était absolument et sexuellement magnifique.
C’en fut trop pour moi. Son orgasme provoqua le mien. Je sentis la sève monter et mon sperme exploser dans une éjaculation impressionnante en même temps que le corps de ma sœur se raidissait. Mon sperme gicla fort, à près d’un mètre de distance. Un jet chaud que je vis avec stupeur recouvrit les seins de ma sœur et les draps du lit. Je n’avais pas du tout prévu ça, et d’un mouvement de recul, je sentis mon corps basculer en arrière et, comme hier, plus rien... Le noir total.
Je me réveillais le lendemain matin. Dans mon lit. Avec l’impression de m’être bien reposé. Et avec des images parfaitement nettes de ce qui s’était passé cette nuit. Je me levais, et me dirigeais vers la salle de bain. Au sol, devant la machine à laver, une pile de draps. Ceux du lit de ma sœur que je reconnaissais parfaitement pour avoir eu le temps de les observer cette nuit. C’était le moment d’en avoir le cœur net. Je dépliais les draps, à la recherche de preuves. J’étalais les draps sur le sol, tel un détective à la recherche de traces. Et je ne tardais pas à trouver. Sur les draps, on distinguait la trace humide laissée par la transpiration d’un corps, et une trace très humide qui devait certainement être le résultat de l’orgasme de ma sœur. L’odeur de sexe qui s’en dégageait ne laissait pas de doute. Je n’avais pas rêvé. Et, un peu plus haut, un liquide gluant. Aucun doute, c’était mon sperme. Ça sentait le sperme.
J’avais donc le pouvoir de me glisser dans la chambre de belles inconnues en train de prendre du plaisir. Je me répétais ceci une deuxième fois, pour me convaincre : j’avais le pouvoir de me glisser dans la chambre de femmes en train de prendre leur pied. Wahou ! Il fallait que je digère l’information. Et, immédiatement après, je me demandais : comment allais-je bien pouvoir profiter de ceci ?
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