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Invisible sensation

Chapitre 2

Deux étages plus haut

Voyeur / Exhibition
Après une douche rapide, et non sans avoir remis les draps en place, je rejoignis la cuisine. Clémence, ma sœur, n’était pas encore levée. J’étais en train de faire le café lorsqu’elle entra dans la pièce. Elle avait une petite mine, comme si elle avait mal dormi. Étonnamment, je n’avais pas de mal à la regarder après ce qui s’était passé hier. Et même, plus je la regardais, plus je me rendais vraiment compte à quel point elle était jolie malgré son visage fatigué. Je réalisai que je ne l’avais jamais vraiment regardé. Pas comme ça, pas comme une femme désirable. Elle était sacrément canon, en fait.Je chassai ces pensées et lui demandai si tout allait bien, ce à quoi elle me répondit qu’elle avait fait une petite insomnie, mais rien de bien grave. Je n’insistai pas. Je poursuivis la préparation du petit-déjeuner en cuisinant des toasts et même du pain perdu. J’avais faim et j’avais envie de faire plaisir à ma sœur. Je sentais que son visage s’éclairait petit à petit avec le parfum de mes préparations. Et c’est finalement dans la bonne humeur que nous avons pris ce petit-déjeuner.
Ma sœur travaillait l’après-midi. Pour ma part, j’allais mieux. Je m’étais découvert un don étonnant que j’avais hâte de tester à nouveau. C’est donc avec empressement que je bouclai mes bagages. Au moment de dire au revoir à Clémence, celle-ci me demanda : "A tout hasard, tu ne serais pas entré dans ma chambre, hier soir ?". Je répondis par la négative en faisant tout mon possible pour ne pas laisser paraître le trouble que provoquait cette question. Je lui demandai pourquoi, ce à quoi elle répondit : "Non, pour rien. Un truc bizarre, mais c’est sûrement moi. Laisse tomber. De toute façon il faut que je file moi aussi." Les traces que j’avais laissées sur ses draps n’étaient pas passées inaperçues ! Il fallait que j’en tienne compte si ce genre d’évènement se reproduisait. Ce que j’espérais bien.
Une fois chez moi, je me sentais bien. Pour la première fois depuis longtemps, je me sentais libéré. Libéré de ma séparation avec Elisa, mais pas seulement. J’étais excité aussi. Excité à l’idée de découvrir ce nouveau truc dans ma vie, ce "pouvoir". Ce mot ne me plaisait pas, mais je n’en trouvais pas d’autre.Presque aussitôt arrivé, je testai des trucs. M’allonger, fermer les yeux, tendre l’oreille, me mettre sur le dos ou sur le ventre ou même en vrac, etc. Eh bien évidemment, il ne se passa rien. Le néant. J’avais juste l’air ridicule. Mais je ne m’inquiétai pas pour autant. J’attendis finalement patiemment le soir. Vendredi soir. Une soirée de relâche pour bien des personnes, seules ou en couple. Le moment idéal pour le sexe. J’espérais que ma voisine serait en forme ! J’avais hâte de la retrouver et de jouer au voyeur.
Le soir arriva enfin. Je me couchai nu dans mon lit. De toute façon, le choix des habits n’avait pas d’importance car je voyageais léger, a priori. J’étais très excité. Trop. Car impossible de trouver le sommeil. Je tournais, et tournais, encore et encore. Mais je finis les yeux fixés au plafond, complètement réveillé. Ça commençait mal. Je voyais l’occasion du jour passer à la trappe quand le réveil afficha minuit et demi. Et c’est vers 3 heures du matin, de façon presque imperceptible que le sommeil me gagna enfin... Pour me réveiller le lendemain matin sans que rien ne se soit passé. Quelle déception !
En colère, je sortis faire un footing. Il fallait que je me calme, que je m’apaise. Et que je ne me focalise pas totalement sur ça. Sur ce truc trop étrange qui m’était arrivé. Je pris donc la décision de faire quelque chose de ma soirée. D’accepter l’invitation de mes amis que je refusais depuis plusieurs semaines déjà, trop déprimé pour faire quoique ce soit. Je mis donc mon "pouvoir" de côté pour m’amuser ce soir. Et j’en profitai. Beaucoup. Trop peut-être, car au moment de partir, j’étais franchement alcoolisé. Alcoolisé, mais détendu. Et en arrivant chez moi, je m’écroulai sur mon lit pour sombrer dans un profond sommeil.
Et c’est là que le miracle se produisit. Je ne sais pas si c’est à cause de l’alcool ou parce que c’était la troisième fois que cela m’arrivait, mais les choses se passèrent plus lentement cette fois-ci. Je percevais de façon bien plus distincte que d’habitude les rires étouffés, les souffles, le bruit des caresses. Je pris le temps d’analyser. J’apprenais à entendre d’où cela venait. Et à ma grande surprise, je pus identifier plusieurs directions. J’avais le choix. Le choix du couple ou du célibataire auquel j’allais rendre visite. J’essayai de reconnaître les voix. Mais autant vous dire que ce n’était pas chose facile, je n’avais pas pour habitude de voir mes voisins s’adresser à moi en soufflant et gémissant ! Alors je me laissai porter par le hasard. J’arrivai chez un couple d’une cinquantaine d’années. Ah, je les reconnaissais ! C’était mes voisins deux étages au-dessus. Eh bien, ils se couchaient tard ces deux-là !
Enfin, quand je dis "couché", c’est une expression. Monsieur, lui, était en effet couché, mais madame, elle, pas tout à fait. Elle était installée sur lui, en train de pratiquer une fellation... La queue de son mari entièrement dans la bouche. Je la voyais en train de le pomper rapidement. Elle lui massait les testicules en même temps. Je la voyais recracher sa queue de temps en temps pour la lécher de bas en haut et la gober de nouveau. Ouah, je crois qu’on ne m’avait jamais sucé comme ça ! Ça avait l’air bon. Divinement bon. Elle était drôlement jolie pour son âge ma voisine. Je me déplaçai pour l’observer de derrière. Son mari s’occupait d’elle également. Un merveilleux 69. Il était en train de la lécher en lui malaxant les fesses. Je le voyais écarter ses fesses. J’avais une vision parfaite sur l’intimité de madame. Quel cul ! Elle devait prendre son pied car je la voyais donner des petits coups de bassin. Je voyais sa fente s’élargir et se refermer avec ses mouvements.
Ma queue me faisait mal. Je la sentais dure. J’avais envie de me masturber en profitant du spectacle. La sensation d’ébriété avait totalement disparu, et je m’approchai en me caressant rapidement le sexe.
Monsieur tenait un gode dans sa main droite. Il l’approcha de la fente de madame et la pénétra sans la prévenir. Je la vis relever la tête et pousser un cri. Elle avait l’air d’apprécier. Il continuait à la lécher en faisant coulisser le gode dans son sexe. J’entendais les vibrations de cet objet de plaisir. Madame n’avait pas repris le sexe de mon voisin en bouche et semblait en proie à un plaisir intense, la bouche grande ouverte. Elle respirait vite. Elle soufflait même, laissant parfois échapper des grognements profonds. De plus en plus fort. J’étais à quelques centimètres d’elle, je regardais le gode qui la limait profondément. Et c’est dans un cri que je vis son corps se mettre à trembler, et sa chatte se contracter autour de l’objet qui la pénétrait. Cela dura longtemps, une minute peut-être. Je me déplaçai alors pour voir son visage déformé par l’orgasme. Elle avait les yeux fermés et elle tenait toujours le sexe de son mari. Ce sexe qui avait pris une couleur plus foncée tellement elle le serrait fort.
Je sentais la sève monter. Je repris ma masturbation en même temps que Madame enfourna la bite de son mari dans sa bouche. Elle le branlait en même temps, et c’est lui que j’entendais souffler fort maintenant. J’avais tellement envie de jouir, mais je devais me retenir car j’allais laisser des traces. Mais impossible de m’échapper, je ne savais pas comment faire pour rejoindre ma chambre. Et je n’avais pas envie de partir non plus. Je voulais voir ma voisine amener son homme au bout. Elle qui était si discrète et toujours très polie quand je la croisais, je voulais la voir se faire gicler dessus. Je voulais voir le sperme couler sur elle."Je vais jouir" grogna mon voisin. Moi aussi, pensais-je...La solution m’apparut alors évidente. J’approchai mon sexe du visage de ma voisine. J’allais prendre part à l’orgasme de son mari. J’allais jouir en même temps que lui. Sur le visage de sa femme, mélangeant nos spermes sur son sourire gourmand. Le sexe de mon voisin cracha un premier jet de sperme. Ma voisine ouvrit grand la bouche pour essayer d’en recueillir le maximum. La voir ouvrir la bouche ainsi provoqua mon orgasme, et une impressionnante quantité de sperme se mit à jaillir de ma bite en feu. La bouche de ma voisine était pleine, le sperme coulait sur son menton et le long de la queue de mon voisin. Nos spermes étaient mélangés."Bon Dieu, tu m’en as mis de partout" disait-elle en rigolant.Elle se releva, et recracha le trop-plein de sperme qu’elle avait en bouche. Celui-ci lui coulait sur les seins, sur le ventre, et même jusqu’au sexe. Une vraie douche de sperme ! La vision que j’avais était d’une obscénité incroyable. Je crois que jamais plus je ne regarderais ma voisine de la même façon.
C’est à ce moment-là que je compris comment rejoindre mon lit. Il me suffisait d’y penser, de le vouloir vraiment, et cela se faisait tout seul. Ma vue se troublait, je sentais un brouillard sombre et doux m’envelopper... Et c’est tard le lendemain matin que je me réveillai dans mon lit, de bonne humeur et en pleine forme. Et avec des souvenirs d’une précision étonnante.
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