Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 157 J'aime
  • 11 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Invisible sensation

Chapitre 3

Clémence

Inceste
Dans l’après-midi, je reçus un coup de fil de Clémence, ma sœur. Elle n’avait pas l’air bien, et me demandait si elle pouvait passer chez moi. J’acceptai bien évidemment. Je me demandais bien ce qui pouvait la pousser à parcourir les 50 kilomètres nous séparant, ce n’était pas dans ses habitudes de venir me voir dans mon petit studio.
Quand elle arriva, elle me prit dans les bras et me serra fort. Il était déjà 17h, et c’est autour d’une boisson chose que je lui demandai:
— Tout va bien, je t’ai sentie étrange au téléphone ?
Elle semblait gênée. Elle finit tout de même par me dire :
— Je suis flippée. J’ai l’impression que quelqu’un s’est introduit chez moi la nuit où tu étais là.— Comment ça ? lui demandai-je.— T’es vraiment sûr que tu n’es pas venu dans ma chambre ? me demanda-t-elle à nouveau.
Je niai, évidemment, comment pouvais-je avouer ce qui s’était passé?
Elle semblait pensive. Elle réfléchissait.
— Je te crois, car je suis allée vérifier dans ta chambre et tu dormais à poings fermés, me dit-elle.
Mais elle continua :
— Mais je ne vois pas d’explication à ce que j’ai trouvé.
Elle semblait mal à l’aise. Inquiète. Je commençais à m’en vouloir énormément de ce qui s’était passé.
Je risquais une question :

— Et tu as trouvé quoi ?— Je ne sais pas, me répondit-elle, mais j’en suis pratiquement sûre. Je crois que c’était du sperme ! Et je ne comprends pas comment il est arrivé là. Surtout à ce moment-là !
Elle se mit à pleurer en disant :
— Ça me fait flipper. Imagine s’il y a quelqu’un qui rentre chez moi. Et avec ce genre d’idées en plus ! Je suis seule pour une semaine encore. Je n’arrive plus à dormir.

Devant sa détresse, j’avouai tout ! Je lui expliquai la première fois avec ma jeune voisine, et les voisins du dessus, et elle. Mon "pouvoir" et le manque de contrôle que j’avais dessus. Et la vision extraordinaire que j’avais eue en la regardant.
Elle me regardait les yeux ronds. Elle me dit, énervée :
— Je ne sais pas si je dois rire ou m’inquiéter pour toi. Pourquoi tu me racontes une connerie pareille ? C’est pas avec ça que tu vas me rassurer !
Je n’en revenais pas, elle ne me croyait pas, et surtout elle me prenait pour un malade mental. Je voulais lui prouver que je disais vrai... J’essayai alors de lui donner comme exemple les détails de son anatomie. Je lui dis à quel point elle était belle, ce que j’avais adoré de son corps. Ce que je l’avais vue faire. Elle me regardait de façon encore plus étrange.
— Je ne te crois pas. C’est bien trop dingue pour être vrai !
Et après un moment :
— Par contre, je constate que tu es un vrai petit voyeur. Je ne savais pas que tu me matais comme ça.
Bon, j’avais encore loupé mes explications. Je passais maintenant pour un pervers à ses yeux. Comment allais-je me sortir de cette situation ? C’est elle qui m’aida finalement.
— C’est flatteur ce que tu me dis, tu sais. Je... Je suis presque contente d’entendre ça de ta part... heu, bref, tu vois quoi !
J’avoue que je n’avais pas trop compris ses explications confuses, mais je constatai qu’elle ne m’en voulait pas, et même qu’un sourire s’était dessiné sur son visage. Je ne savais pas comment je m’y étais pris, mais elle allait mieux.
Puis elle ajouta :
— Enfin, je ne sais pas pourquoi tu as inventé un truc pareil. Je ne te crois pas et je flippe toujours à l’idée de rentrer chez moi.
Je m’exclamai alors, sans réfléchir :
— Eh bien, si tu ne me crois pas, je viens dormir chez toi cette nuit, et tu verras bien !
Oh la belle connerie que je venais de dire ! Je venais très clairement de proposer à ma sœur de la mater pendant qu’elle se masturberait. Je ne savais pas si elle avait compris ça comme elle ne me croyait pas, mais moi, je comprenais très bien ce que j’avais dit. J’allais m’excuser, rouge de honte, quand elle me coupa la parole en éclatant de rire :
— N’importe quoi ! pfff.
Puis, plus sérieusement :
— Mais OK, je veux bien que tu viennes chez moi, ça me rassurera. Tu veux bien ?

Pas le choix, je devais aller chez elle. Après tout, c’était un peu de ma faute tout ça. Je me devais de la rassurer. Je fis donc mes bagages rapidement.
Nous nous arrêtâmes en chemin pour manger un bout. Peu après, nous arrivâmes sur place, devant sa grande maison. Il devait être 22h. Pas très tard. Ma sœur était particulièrement silencieuse. Ce n’était pas son habitude. Je lui demandai si tout allait bien. Elle me dit qu’elle était encore un peu inquiète à l’idée de rentrer chez elle, mais que ma présence la rassurait. Je la pris alors dans mes bras, et la serrai fort pour qu’elle se sente mieux. Elle m’adressa un sourire et m’indiqua qu’elle allait aller se coucher directement, fatiguée de ses dernières nuits trop courtes.

Une fois dans ma chambre, je me préparai aussi à dormir. Je ne savais pas quoi faire cette nuit. Enfin, ça dépendait beaucoup de Clémence, car si elle restait sans rien faire dans son lit, ma nuit serait calme aussi. Oui, c’était ça la solution. Me sachant là, elle ne ferait rien ce soir, et tout irait pour le mieux. C’est ce que je me disais en tout cas.
Je pris donc un livre pour me changer les idées. Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais chez moi, les livres ont le pouvoir de m’apaiser, et surtout de me faire sombrer rapidement dans un sommeil profond. Et c’est exactement ce qui se passa. En quelques pages, j’avais les yeux lourds, impossibles à garder ouverts, et c’est ainsi que je m’endormis.

Il faut croire que je m’étais trompé.

Soit Clémence ne m’avait pas cru, soit elle voulait vérifier si ce que je disais était vrai, mais comme les soirs précédents, c’est le bruit caractéristique d’une respiration qui s’accélère, du frottement des draps, de la gorge qui retient un souffle de plaisir qui attira mon attention. Lointain au départ, le bruit se faisait de plus en plus distinct. Je me sentais comme attiré par ce bruit, encore dans les brumes de mon sommeil. Difficile de réfléchir à ce moment-là, l’esprit encore trop endormi pour trier les pensées de façon claire. Et c’est d’un seul coup que je me retrouvai debout, devant ma sœur.

Elle était allongée, les cuisses grandes écartées. Sa peau paraissait légèrement dorée sous la lumière de sa lampe de chevet. Je voyais sa main effectuer des mouvements lents sur sa vulve. De l’autre main, elle se caressait la poitrine. Une poitrine généreuse, avec des tétons dressés au milieu de petites auréoles. Dans cette position, elle était magnifique. Elle avait les yeux fermés, et murmurait des sons que je ne parvins pas à entendre.
Cette fois-ci, je n’allais pas faire la même erreur que la dernière fois. Je contemplais le spectacle, mais je ne bougeais pas. C’était ma sœur. Point. Je ne me caressais pas. Mais la voir ainsi offerte devant moi m’empêchait de garder l’esprit froid. Je sentais mon sexe gonfler doucement. Je ne le touchais pas, mais il durcissait malgré moi. Petit à petit, il grandissait et m’emmenait inévitablement vers une érection. Une érection forte. Puissante. Je sentais maintenant mon sexe dur, dressé. J’avais l’impression qu’il allait grandir encore. L’excitation était intense.
Clémence continuait ses mouvements enivrants. Elle ondulait le bassin. Je pouvais distinguer son excitation en regardant son sexe luisant.
Je l’entendais murmurer. Les mots se faisaient de plus en plus distincts :
— Je veux le voir... Ce serait incroyable... Ce pouvoir...
Parlait-elle de ce que je lui avais raconté ? Plus je l’entendais murmurer, plus j’avais l’impression que c’était le cas. J’en eus le cœur net lorsqu’elle dit, un peu plus fort :
— Alors tu es là, tu me regardes en train de me toucher ?
Elle gémit un peu.
— J’espère que tu te branles en me regardant... petit frère... Aaahh.
Mon cœur bondit dans ma poitrine. Alors elle me croyait ? Et surtout, elle m’invitait à me branler pour elle ? Je n’en revenais pas. Mais l’excitation du moment m’empêcha de réfléchir, et c’est le sexe en main que je m’approchai d’elle.
— Aaaahhh, si tu es là, j’aimerais que tu me touches...
Ouah, de mieux en mieux, pensai-je. C’était clairement une invitation. Je crois que j’ai failli éjaculer en entendant ces simples mots. Je me retins de toutes mes forces. Je lâchai mon sexe pour faire redescendre un peu l’excitation. Et je m’approchai encore un peu... J’avançai ma main devant ce corps en fusion. Le corps de ma sœur, brûlant. Ma main était au-dessus de son sein gauche. Au moment où je l’effleurai, elle sursauta. Elle ouvrit les yeux et regarda autour d’elle. Elle dit :
— Alors comme ça, c’est vrai. Je n’en reviens pas. Tu es là, en train de me regarder ?
J’avais l’impression qu’elle attendait une réponse. Mais elle ne pouvait pas m’entendre. Elle semblait déçue, et cherchait du regard.
— OK, dit-elle, si tu es là, prends-moi !
Et joignant le geste à la parole, elle se mit à quatre pattes devant moi. C’en fut trop pour moi. Ce n’était plus ma sœur, c’était Clémence, une belle jeune femme qui avait envie de moi. Sans attendre, je m’approchai d’elle, l’attrapai par les hanches, et enfonçai mon pieu brûlant dans son antre.
— Aaaaahh, putain, cria-t-elle. J’y crois pas, t’es en train de me baiser ! C’est incroyable ce truc, c’était vrai.
Elle continua :
— Ah, je crois que je vais jouir, c’est trop excitant. Vas-y défonce-moi.
Il ne fallut pas me le dire deux fois. J’entamai des mouvements rapides et profonds dans cette chatte dégoulinante. Ma queue était luisante de mouille.
— Aaaah putain, mais c’est incroyable, elle est énorme, criait-elle.
Ces cris et la vision de mon sexe pilonnant l’intimité de ma grande sœur avaient un effet si puissant que je me lâchai au fond de son vagin, jouissant d’un plaisir intense. D’un mouvement plus fort que les autres, mon sexe sortit, laissant couler mon sperme de cette chatte béante.
— Aaahh oui, tu as joui en moi, tu viens de me remplir la chatte, dit ma sœur.
Et elle colla sa main sur son sexe, étalant mon sperme sur son clitoris. C’est dans ce mouvement que son corps se contracta dans un orgasme magnifique.
Elle s’affaissa sur le lit, un sourire sur le visage.
— Alors c’était vrai.

Je me sentis alors partir, en direction de mon lit. Dans lequel, malgré moi, je dormis profondément.

Au matin, à mon réveil, Clémence était à côté de moi. Elle me regardait dormir. Elle me souriait.
Je savais que la conversation à venir allait être passionnante...
Diffuse en direct !
Regarder son live