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Invitation hivernale sous haute température

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Dans le chapitre précédent, je vous avais laissé sur votre faim. Ne vous en faites pas ! Vous saurez enfin comment les choses ont dérapé.

— Eh bien ?! C’est du joli ça, Monsieur !
Je sursautai, mon membre entouré de mes doigts, gland décalotté. C’était la voix de Sonia. Elle venait d’ouvrir la porte et était campée devant moi, entièrement nue et fronçant les sourcils. Je m’étais dit qu’elle n’avait pas pris la peine d’enfiler le moindre vêtement, tout simplement parce que vu ma posture, j’avais déjà pris le temps de bien en profiter. Katie était un peu cachée derrière, toujours vêtue uniquement de son pull.
— Fais genre t’es gêné! Nous mater t’a pas vraiment posé de problème apparemment pourtant, hein ? m’accusa-t-elle légitimement en m’écartant les mains, laissant ma verge apparente.
Je ne savais que répondre. Habillé avec ma queue à l’air devant une femme nue et l’autre à moitié, ça faisait vraiment gros pervers. Alors bien sûr le sexe était l’une de mes faiblesses, mais pas une dépravation non plus. Quoi qu’il en était, je ne pouvais pas les empêcher de se dire que c’était ce que j’étais dans cette situation. Mais après ces reproches, je fus surpris de la tournure que prirent les événements. Sonia tourna la tête au-dessus de son épaule et s’adressa à sa compagne.
— Après je peux comprendre. C’est un peu de notre faute. C’est quand même notre invité et ça doit faire quoi ? Au moins 30 minutes qu’on est parties ?!
Elle pivota à nouveau sa tête vers moi.
— Ajouté à ça le fait que tu as dû nous entendre et enfin nous voir, on veut bien passer sur cette bite toute droite que tu dresses devant nous. On est même prêtes à se faire pardonner pour t’avoir laissé seul tout ce temps, me dit-elle en m’attrapant par mon membre viril !
Je restai coi devant cette annonce tellement cette déclaration me surprit. A ma tête, Sonia parut bon de développer son propos.
— Je vois bien que tu ne t’attendais pas à ça ? hein, rit-elle. Je m’explique pour qu’il n’y ait pas de malentendu. On est d’accord qu’on s’entend très bien tous les trois. On est d’excellents amis. Toi, tu es hétéro et nous, nous sommes lesbiennes. Tu le sais aussi. Les bites ne nous intéressent clairement pas. Par contre, la curiosité nous fait dire qu’on aimerait bien tester l’effet que ça fait d’avoir un membre de chair et d’os en soi à la place d’objets en silicone. Et je pense que vu que tu es déjà prêt, c’est l’occasion. Je ne pense pas que tu vas dire non, n’est-ce pas, me demanda-t-elle en augmentant la pression sur mon pénis ?
Je hochai la tête dans un mélange d’envie et d’obligation.
— Bien, continua-t-elle en commençant un léger va-et-vient avec son poignet sur ma verge ! Mettons les choses bien au clair dès maintenant. Nous aimons les filles et tu dois accepter certaines limites que nous ne franchirons pas forcément. D’accord ?
J’acquiesçai.

— Déjà ! Ici on n’a pas de capotes alors est-ce que t’es clean ?
Faisant un dépistage régulier, en particulier lorsque je sortais d’une relation afin d’éviter les mauvaises surprises à la nouvelle, je lui répondis une nouvelle fois par l’affirmative.
— OK ! Alors maintenant voici ce que moi j’accepte. Je ne veux pas mourir idiote alors même si certaines choses ne me tentent pas de base, j’ai envie de tester. Tu as quartier libre avec moi.
J’avouais que je m’en réjouissais intérieurement, même si un petit sourire apparaissait déjà. Elle s’écarta, tout en serrant toujours mon pénis dans sa main, pour laisser Katie sur le devant de la scène toujours en pull, son pubis épilé bien en évidence. Les doigts de la petite brune manifestaient la légère gêne qu’elle pouvait avoir à m’énumérer ce qu’elle acceptait de ma part.
— Si tu veux bien, je ne puis pas prête à accepter autant de choses que Sonia, commença-t-elle en se justifiant.
Je la rassurai en lui répondant que je serai prêt à tout accepter. Au fond, c’était moi qui avais pénétré leur intimité. Ce n’était pas à elle d’être indisposée par la situation.
— Alors tu peux me faire deux choses avec ton manche. La première c’est que je veux sentir ce que ça fait de se faire péter le cul par une vraie bite. Et ensuite... j’ai trop envie de sucer et de goûter du sperme, alors je veux que tu me craches tout ce que tu as dans ma bouche. Tu veux bien ? Avec ta bouche, je te laisse faire ce que tu veux, t’inquiète pas, finit-elle en souriant.
Puisque j’avais été pris sur le fait, je me voyais mal refuser un arrangement qui me convenait, au fond, plutôt bien alors je leur donnai mon accord.
A l’instant même, Sonia tira sur mon phallus toujours dans sa main pour m’indiquer de la suivre. Elle me mena à leur lit déjà défait par leurs premiers moments d’intimité et me fit m’allonger dessus. Sans attendre, la main de Sonia fit quelques va-et-vient sur mon pénis avant d’approcher sa langue de mes bourses et de choper un de mes testicules entre ses lèvres, puis l’autre. Je devais bien dire que ça commençait vraiment très fort. Pour ne pas en perdre une miette tout en prenant du plaisir également, Katie vint placer ses jambes de part et d’autre de mon visage de manière à ce que je puisse lui lécher l’entrejambe. J’avais vu sur ses jolies fesses rebondies. Tandis que ma langue pénétra son vagin, elle attrapa la base de son pull et le tira vers le haut pour l’enlever. Puis elle le jeta sur la droite du lit et posa ses douces mains sur mon torse. Je pouvais alors visualiser sa silhouette arrière. Ce dos qui paraissait si grand de par ma position par rapport à elle.
Et ses cheveux qui ne parvenaient qu’à la base de son cou. Cette vision accentuait sa beauté. Ma bouche suçant ses lèvres intimes provoqua des mouvements de plaisir et sa colonne vertébrale se cambra. Elle était magnifique.
Je continuai d’agiter ma langue dans l’orifice de Katie, plus profondément. Pendant ce temps, Sonia remonta sa langue sur toute la longueur de ma queue, jusqu’à mon gland qu’elle entoura de ses lèvres. Je les sentis descendre centimètre par centimètre jusqu’à l’avaler entièrement. Elle la garda quelques instants au fond de sa gorge comme si elle avait fait ça toute sa vie. Je la suspectais d’avoir un bon entraînement avec les godes. Puis elle finit par la libérer, remontant jusqu’au gland qu’elle garda prisonnier, agitant toujours sa langue sur la fente sur le dessus, avant de recommencer la manœuvre une deuxième, et une troisième fois. Mes yeux se révulsaient de plaisir tandis que je goûtais la cyprine de Katie, qui perlait le long de ses lèvres. Elle me suppliait de ne pas m’arrêter tellement c’était bon et matait sa chérie me sucer comme une dingue, ce qui augmenta encore son plaisir.
Dans cette position, mes mains ne pouvaient atteindre son vagin, alors je laissai ma langue continuer son travail à l’intérieur de sa vulve. Par contre, elles avaient un accès plus simple à ses fesses. Je les pris dans mes mains, les pelotai et les écartai. Je me facilitai ainsi l’accès à son anus. J’approchai mon index droit de son petit trou et commençai à le titiller à l’entrée. Katie eut un léger soubresaut de surprise, mais elle se laissa faire. J’insérai alors mon doigt dans cet orifice si serré et l’agitai à l’intérieur. J’en entrai bientôt un deuxième jusqu’à sa base afin de l’écarter davantage et de le préparer. J’en vins à faire des va-et-vient légers et elle gémit doucement sous mes mouvements et mes lèvres qui lui suçaient ses lèvres et son clitoris.
Après m’avoir fait une des meilleures fellations de ma vie, Sonia se releva. Mon pénis bien lubrifié par sa salive, elle décida de venir s’empaler dessus. Je sentis la chaleur de sa vulve approcher de ma verge. Puis doucement, cette chaleur entoura mon gland et descendit jusqu’à la base. Ma queue glissait toute seule grâce à sa cyprine également et avait buté sur son utérus. Seuls mes testicules étaient encore apparents sous son entrejambe. Elle commença alors de légères flexions avec ses jambes afin de remonter jusqu’à mon gland et redescendre jusqu’en bas. Me sentir taper au fond la fit crier.
— Quelle sensation !... Aaaaaannnnh... J’adore !
Tandis que je jouais toujours de mes doigts dans le cul de Katie et que ma langue était toujours dans son vagin, je la sentis se pencher en avant. Les cris de Sonia l’excitaient énormément au vu de l’augmentation de la cyprine coulant de long de ses lèvres. Je compris rapidement pourquoi elle était partie vers l’avant.
— Touche-moi, Katie, la pria sa compagne !
Elle s’exécuta. Elle prit ses seins dans ses mains et les pétrit. Elle prit ses tétons entre ses doigts et les fit rouler avant de les tirer légèrement afin que Sonia émette un grognement de plaisir qui vint assez rapidement. Katie continua son travail sur la poitrine de sa partenaire qui, elle, poursuivait ses mouvements d’ascension et de descente sur mon pénis en érection, le lubrifiant toujours davantage. Ses roulements de hanches sur mon membre se firent un peu moins vifs. Je sentis qu’elle devait se pencher un peu en avant et qu’un de ses bras se leva, probablement pour attraper la mâchoire de Katie. Je ne pouvais pas les voir, mais j’entendais les fluides s’échanger dans leurs bouches. Leurs langues s’entremêlaient goulûment. Leurs lèvres se posèrent doucement les unes sur les autres pendant de longs instants tout en se déplaçant légèrement, s’attrapant mutuellement la lèvre inférieure et la mordillant.
J’entendais des gémissements et de légers cris mêlés de douleur et de plaisir, me stimulant davantage.
Ce fut à ce moment que Sonia décida qu’il était temps de changer de position. Elle se redressa sur mon membre et accéléra son mouvement pour buter à nouveau sur mon gland. Elle monta et descendit quelques fois jusqu’à ce que j’entende un très très long gémissement de plaisir et que sa cyprine ne dégouline le long de mon phallus.
Elle était bien excitée par la situation, prête à passer à la suite du programme. Elle se leva et nous intima de patienter bien sagement. Mais Katie et moi-même n’avions pas envie de rester tranquillement à l’attendre. Elle resta l’entrejambe posté au-dessus de ma bouche, mais commença à se pencher en avant pour s’allonger sur moi afin d’avoir ses lèvres au-dessus de mon pénis. Devant de telles impulsions sexuelles, elle fut curieuse de goûter la cyprine de sa compagne sur mon manche extrêmement dur étalé sur mon bas-ventre. Sa langue se posa sur mon gland et descendit tout le long de mon membre viril, millimètre par millimètre pour ne perdre aucune goutte du jus de Sonia. Puis elle fit le trajet en sens inverse, décida de gober mon gland et le stimula avec le bout tout en le capturant de ses lèvres, avant de descendre jusqu’à mes testicules en entourant ma verge bandée. Je sentais l’extrémité de mon sexe buter au fond de sa gorge, à s’en étouffer.
Pourtant elle resta immobile quelques instants à profiter, ce qui n’était clairement pas pour me déplaire. Je finis même par émettre un léger grognement de plaisir en me mordant la lèvre inférieure tant c’était bon. Je ne la laissais pas en reste de toute façon. Cette satisfaction émanait également des gémissements qu’elle émettait. Sa position allongée vers l’avant permettait une meilleure ouverture de ses cuisses et, par la même occasion, me favorisait l’accès à son vagin. Je continuai donc de plonger profondément ma langue entre ses lèvres intimes et de ressortir à l’orée en faisant des mouvements sur toute la longueur de sa fente, titillant son clitoris et lui suçant au passage. Lorsque je m’attardais avec mes lèvres sur son bouton du plaisir, j’immergeai deux doigts à l’intérieur de sa cavité en va-et-vient à vitesse irrégulière. Je tapai dans son utérus et finis par lui dilater complètement sa chatte en insérant deux doigts supplémentaires.
Elle sécrétait tellement que j’en ressortais une main trempée. Son plaisir se faisait largement ressentir dans ses soubresauts et son corps qui se cambrait. Je sentis même parfois qu’elle mordillait un peu mon manche sous l’enivrement, ce qui m’excitait encore plus.
Sonia revint à ce moment-là à côté du lit.
— Et voilà ! Je m’absente deux minutes et je te retrouve à sucer alors que c’est pas encore l’heure pour lui de sortir sa crème. Tu es hors contrat là, Katie !
Ni elle ni moi ne relevâmes la tête à cette remarque mêlée autant d’indignation que d’autorité et nous continuions nos affaires. Sonia fit mine de s’offusquer et elle se mit à genoux sur le lit au-dessus de mes yeux, de part et d’autre de mon visage, écartant davantage la jambe de Katie afin de se caler entre deux. Je m’interrompis légèrement et vis alors qu’elle avait enfilé un gode ceinture en silicone sur lequel j’avais une vue directe, ainsi que sur sa chatte rasée. C’était la première fois. C’était impressionnant de voir une fille avec quelque chose entre les jambes et particulièrement agréable de voir de beaux attributs féminins complétés d’un membre masculin, même si celui-ci n’était que factice. Elle abattit une claque sur les fesses rebondies de Katie qui grommela de plaisir, sa langue gesticulant toujours autour de mon pénis.
— Alors comme ça mon étoile s’amuse sans moi ? Et tu crois vraiment que ça va se passer comme ça ? lui demanda-t-elle rhétoriquement tandis qu’elle enchaînait les fessées.
Sous mes yeux, elle prit ses fesses entre ses mains et les écarta, lui laissant la vue sur son anus. Katie grogna face à cette rudesse qu’elle appréciait. D’ailleurs, elle en bavait sur mon phallus. J’étais quelque peu désappointé par la situation, mais recommençai rapidement à sucer les lèvres de la brunette tandis que sa partenaire lui cracha sur l’anus afin de le lubrifier davantage. Elle commença par insérer ses doigts un par un dans le trou arrière de Katie jusqu’à en mettre trois. La jeune femme étouffa des cris de douleurs mêlés à son plaisir tandis que la métisse fouillait son orifice si serré et l’écartait. Puis elle sortit ses doigts et je vis l’extrémité de l’appendice artificiel s’enfoncer doucement à leur place. Lorsqu’elle atteignit le fond, écartant bien les parois de Katie au passage, elle arracha un cri de douleur à sa compagne.
— Ouiii ! Vas-y ! Crie pour moi, Katie ! Plus fort, insista-t-elle !
L’excitation des coups de reins de Sonia accompagnés de ma langue sur sa vulve la faisait sécréter énormément. Elle me remplissait la bouche de sa cyprine. Le jus de sa chatte était un mélange de douceur et d’acidité particulièrement agréable. Je continuai de la pénétrer de mes doigts, essayant de ne pas gêner les mouvements de sa chérie tandis qu’elle lui défonçait littéralement l’anus à coup de va-et-vient rapides, juste pour la faire crier de plaisir. Les lèvres de Sonia étant juste sous mes yeux, je laissai mon autre main les titiller ainsi que son clitoris, d’abord en surface puis plus profondément, ce qui la fit sursauter légèrement lors de l’insertion. Katie, quant à elle, tentait tant bien que mal de continuer de lécher mon pénis, mais je ne pouvais lui en vouloir tant sa compagne la démontait avec son gode. Je pouvais sentir que la métisse était excitée par la domination de mon autre hôtesse de par sa gestuelle vigoureuse et ses petits cris l’accompagnant.
Katie essayait de désobéir à Sonia en gémissant le moins possible, mais c’était très compliqué tant le mal qui était fait à son cul était intense. Mais ça lui faisait tellement de bien qu’elle finit par craquer.
— Mmmmmmmm... Ouiiiiiii... Oh continuez... tous les deux... C’est trop booooon ! exulta-t-elle.
Nous nous ne fîmes pas prier. Sonia continua de lui écarteler ses parois anales tandis que quatre de mes doigts lui remplissaient son vagin, fouillant à l’intérieur, sortant et rentrant à nouveau. Ma langue léchait toujours son clitoris en même temps. La combinaison de tous ces gestes la faisait sécréter encore davantage. Les doigts de ma deuxième main étaient toujours à l’intérieur de Sonia. Je la sentis dégouliner le long de ma paume. Elles étaient occupées à m’arroser de partout bien comme il faut. La métisse se maîtrisait pour se concentrer sur ses coups de reins, mais elle n’arriva plus à se retenir. Les deux jouirent exactement au même instant. C’était magnifique à voir (et très humide sur mon visage.)
Sonia se retira de l’anus de sa compagne qui s’affala sur moi. Elles reprirent leur respiration quelques instants. Katie tenta même de me sucer à nouveau. Elle redressa mon pénis qu’elle entoura de sa main avant de poser le bout de sa langue sur la fente de mon gland et de le faire tournoyer dessus. Mais elle fut vite interrompue par sa partenaire.
— Tu perds pas de temps dis donc Katie ! Relève la tête et laisse-le sortir de dessous toi ! Plus vite que ça !
Celle-ci obtempéra plus rapidement que précédemment et se posa sur ses genoux. Je me redressai également et nous pûmes voir tous les deux que Sonia enleva son gode ceinture pour en mettre un second. Je ne savais même pas qu’il en existait des comme ça. Il y avait deux proéminences en silicone. Une vers l’intérieur plus petite et une autre plus grande sur l’extérieur, mais clairement ce n’était pas idiot. Ainsi, elles pouvaient toutes les deux prendre du plaisir et pas que celle qui subit les assauts. Katie se mordit le doigt avec sa lèvre inférieure d’avance en pensant à la sensation agréable qu’elle aurait.
Sonia dirigea les opérations. Elle me fit m’allonger sur le bord du lit, les jambes dans le vide, mon pénis en l’air bien bandé. Elle l’attrapa pour le maintenir bien droit avant d’enjoindre à sa compagne de s’empaler dessus par l’anus déjà bien dilaté par le gode. Pour mon confort personnel, j’attrapai un coussin et le plaçai sous ma nuque. Katie se conforma à la volonté de son étoile, s’installa dos à moi et plaça son orifice sur l’extrémité de mon gland en écartant ses fesses pour l’aider dans sa descente. Je la tins par les hanches le temps de sa manœuvre et sentis ses parois se serrer tout le long d’une grosse partie de mes dix-neuf centimètres avant de buter contre le fond. Elle osa quand même la remarque tout en gémissant et ses yeux se révulsant sous la douleur :
— Putain... ! C’est bon... ! Mais je la sens passer... J’ai jamais rien eu d’aussi imposant là-dedans... Waooowww...
Sa partenaire lâcha mon phallus une fois Katie bien embrochée. Elle l’allongea sur moi. Mes bras entourèrent ses cuisses et lui tirèrent en arrière pour bien les écarter. Cette position permit à Sonia de venir se placer debout, avec son double gode ceinture au bord du lit, entre mes jambes, bien en face de la vulve de la petite brune. Elle frotta rapidement le clitoris de sa chérie de ses mains afin de la faire mouiller un peu avant de pénétrer sa cavité. Je sentis l’appendice entrer jusqu’au fond par la paroi entre le vagin et l’anus. Afin de lui donner le plus de plaisir possible en toute sécurité, nous nous calions sur un rythme de trois mouvements de va-et-vient à l’intérieur avant de changer de meneur. Katie était aux anges. Cette sensation de deux membres lui bouchant deux de ses trous était enivrante. Elle gémit fort, en particulier quand je bougeais dans son cul.
Mais bon, dans cette position, j’étais un peu bloqué dans mes mouvements à cause du poids de Katie sur moi, même d’un petit gabarit comme elle. Je restai humain après tout...Au bout de quelques minutes, j’indiquai à Sonia que j’allais rester un peu passif et qu’elle pouvait y aller vraiment à fond. Celle-ci s’en donna à cœur joie. Ses coups de reins se firent plus virulents. L’extrémité en elle tapait bien plus fort. Son point G s’en trouvait stimulé bien davantage. Avec les orgasmes qu’elles eurent précédemment, il ne leur fallut pas longtemps pour crier à nouveau tellement la sensation était extraordinaire. D’autant plus pour Katie qui avait son anus obstrué par mon pénis et qui subissait les assauts de sa compagne, pour son plus grand bonheur. Les cris et autres gémissements ainsi que le gode qui me stimulait à travers la paroi intercavités n’eurent pour effet que de m’exciter davantage. Lorsqu’elles jouirent ensemble, trempant les extrémités en silicone des deux côtés, je fis un signe à Sonia qui comprit que je souhaitais pouvoir être à nouveau plus actif.
Elle retira le gode du vagin de Katie tandis que je libérai son cul. Son orifice arrière s’en trouvait complètement dilaté. Elle en tremblait de plaisir et bascula sur le côté, soulagée de ne plus être prisonnière. Mais c’était sans compter sur Sonia et moi-même.
— Tu crois vraiment que c’est fini ? l’interpella d’ailleurs la dominante.
Sonia s’allongea sur le lit, sur le dos, le double appendice toujours entre les jambes. La petite brune comprit aussitôt qu’elle attendait qu’elle vienne s’installer à califourchon dessus. Elle vint alors s’enfoncer sans autre préambule sur l’extrémité en silicone d’environ quinze centimètres et commença à faire quelques mouvements de bassin. Une réaction en chaîne s’effectua alors, car elle faisait inévitablement bouger la protubérance en silicone à l’intérieur de la jeune métisse, ce qui leur procurait un plaisir partagé. Les deux femmes prenaient leur pied, mais Sonia m’invita très rapidement à me joindre à elles. Et elle savait très bien où elle voulait que je sois pour satisfaire Katie. Je ne me fis pas prier davantage. Mes deux hôtesses avaient déjà eu le loisir d’avoir plusieurs orgasmes et elles en auraient probablement encore. A moi d’en avoir un maintenant !
Je pris place, à genoux, derrière Katie dans le même orifice que précédemment. Celui-ci était tellement ouvert que mon phallus s’y inséra comme dans du beurre, ce qui n’empêcha pas la brunette de gémir à son passage, se trouvant à nouveau fourrée des deux côtés. Nous reprîmes nos va-et-vient à l’intérieur avec Sonia, toujours en échangeant au bout de trois assauts. Son anus se serrait toujours autour de mon pénis, ce qui faisait remonter l’excitation à son comble pour tout le monde. Le gode dans le vagin me faisait toujours le même effet. Je sentis qu’il ne me faudrait pas bien longtemps pour éjaculer, mais pour cela, il faudrait que je termine seul mes mouvements, alors je décidais de laisser tout le monde profiter un peu. Trois mouvements de bassin pour Sonia avec le petit appendice en elle tapant sur son point G. Trois va-et-vient pour moi détruisant l’orifice de Katie. Encore Sonia. De nouveau moi. Encore. Encore. Encore et encore. Les gémissements reprenaient pour les deux femmes.
Beaucoup plus puissants pour Sonia, ce qui était surprenant puisque c’était sa partenaire qui était la plus stimulée, mais elle devait probablement être plus expressive de base.
— Haaaann... Haaaaan... Ouiiiiii... s’écria Sonia. Je sens que je viens à nouveau.
Katie en profita pour se joindre à sa compagne.
— Ouiiii... Continuez comme ça... Ouiiiiii... Détruis mon cul... Ouiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...
Les deux femmes étaient vraiment synchrones pour jouir comme si leurs corps se connaissaient assez pour réagir en même temps. Leurs longs gémissements de plaisir et leurs yeux se révulsant en étaient la preuve infaillible. Katie commençait à nouveau à trembler sous l’orgasme. Sonia stoppa ses mouvements, mais resta en elle, comme je le fis quelques dizaines de minutes plus tôt, afin de me laisser le champ libre pour démonter seul l’anus de Katie. Je la saisis vigoureusement par les hanches. Les miennes vinrent claquer sur ses fesses rebondies. Le bruit de nos deux corps l’un contre l’autre était excitant. Ajouté au membre en silicone planté de l’autre côté de la paroi frottant contre mon phallus, il ne me faudrait plus longtemps pour sortir mon jus. Je tapais bien profond dans son trou. Encore et encore. C’était particulièrement bon et le corps de Katie était rempli de soubresauts. Un orgasme anal lui arrivait. Elle ne put se retenir d’émettre un nouveau cri de plaisir.
— Putaaaaaiiiinnn... J’en peux... plus... C’est... trop... trop... booooooooonnn...
Lorsque la jouissance sortit, c’était comme si son cul transpirait de bonheur. A cela, mon propre plaisir remontait le long de mon manche. J’accélérai mes mouvements. De plus en plus rapides et d’un seul coup, mes coups de reins se firent plus doux. Mon sperme remontait enfin de mes couilles et s’évada, remplissant la cavité anale de Katie, à tel point qu’il s’échappa le long de mon pénis et coula le long de ses lèvres intimes. Je restai là quelques instants, le temps de cracher par quatre fois. Puis je décidai d’extraire enfin mon phallus recouvert de mon foutre de son cul. La sensation d’avoir un membre de chair pour Katie fut très agréable. Rien à voir avec un gode. Un pénis était rempli de chaleur humaine. Et puis il fallait dire ce qui était, mais du sperme dans le son orifice arrière, elle n’en aurait pas souvent. Au moment de l’éjaculation, être poussée par un liquide était des plus agréable.
Après cette séance sexuelle intense, nous nous retrouvions tous les trois allongés sur le dos, nous remettant doucement de ce fol après-midi. Nous nous avouions que l’expérience était fructueuse et ne serions pas contre de remettre le couvert de temps à autre, même pour des lesbiennes. Elles ne pensaient pas si bien dire. Cela viendrait bien plus tôt qu’elles n’auraient pu l’imaginer. Idem pour moi.
Et dire que tout cela était parti d’un simple verre de vin renversé...!
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