Nous sommes au début octobre et c’est encore un peu l’été indien ici, ce soir nous sommes invités chez des collègues de travail de ma compagne devenues ses amies, j’avoue que j’appréhende un peu, car je ne connais personne. Mais au fait, je ne nous ai pas présentés, je m’appelle Cédric j’ai 48 ans et ma compagne se prénomme Alexandra, elle a 43 ans. Nous arrivons vers 20 heures là où doit se dérouler le fameux apéritif dînatoire, la maîtresse de maison, Clara, nous accueille dans une robe moulante et dont l’ouverture au niveau de sa poitrine laisse entrevoir le galbe de ses seins et même une partie de ses aréoles, je me dis que ça commence bien, mais je ne m’attarde pas trop, ne voulant mettre personne mal à l’aise. Les présentations faites, on nous propose de prendre l’apéritif autour d’un buffet, nous sommes en extérieur, les températures sont douces. La soirée suit son cours, les discussions s’installent avec les uns et les autres sans aucune difficulté tant et si bien que j’apprécie la soirée, mais aussi et surtout la robe de notre hôtesse ou plutôt son contenu. L’alcool aidant chacun se désinhibe un petit plus après chaque verre, je fais tout de même attention, je dois prendre le volant pour le retour, de toute façon je n’ai pas besoin de boire pour m’amuser ou pour raconter des bêtises. Je constate que ma compagne, elle commence à être de plus en plus à l’aise, elle rigole, s’approche de moi, me caresse les cuisses, les bras, m’embrasse de manière plutôt enjouée et j’avoue que ce n’est pas pour me déplaire. Les filles se racontent quelques histoires et inévitablement des allusions sexuelles fusent de ci de là, on parle de positions, on évoque la taille des seins des unes et des autres, j’en profite pour souligner que ceux de notre hôtesse semblent même à travers le tissu de sa robe d’une bien belle forme, bref une bonne ambiance sans que, pour autant, il n’y ai de vrais débordements. Il commence à se faire tard, Clara, qui joue à domicile a peut-être un peu trop arrosé sa soirée, elle trébuche, manque de tomber à terre et casse le verre qu’elle tenait dans sa main, cela marque la fin de la soirée et le retour de chacun des couples dans leurs foyers respectifs. Alors que nous revenons vers notre voiture, ma compagne s’approche de moi et m’embrasse d’une manière très significative, sa langue tout entière plonge dans ma bouche, je lui rends la pareille et ainsi nos deux langues liées entament un balai des plus excitants, la soirée n’est finalement peut-être pas complètement terminée, il semblerait bien que le spritz et les histoires à connotations sexuelles de la soirée l’aient quelque peu excitée à mon grand bonheur. Nous nous installons dans la voiture et alors que je prends le chemin du retour, je sens sa main se poser sur ma cuisse et à mesure que je roule elle presse de plus en plus sur mon pantalon, et ses caresses se rapprochent de plus en plus de mon entrejambe non sans me donner à chaque frôlement un petit frisson de désir. Rapidement, sa main s’attarde bien plus sur mon sexe qui commence à se sentir à l’étroit dans ce pantalon, sentant bien la situation, Alexandra commence par déboutonner ma ceinture, puis mon pantalon et délivre cette belle queue devenue maintenant bien dure. A la vue de mon membre, je distingue malgré la pénombre son regard coquin et je la vois se pencher sur moi et la prendre tout entière dans sa bouche, cela eut pour effet de m’arracher un gémissement de plaisir, elle sait pertinemment que j’adore lorsque qu’elle prend ma queue tout entière dans sa bouche et qu’elle utilise le bout de sa langue pour titiller mes boules. Rapidement, et alors que sous les allées et venues de sa bouche, mon précieux a encore gagné en vigueur, je ne résiste pas à l’envie d’aller caresser ses seins, ce soir, Alexandra a opté pour une combi-pantalon près du corps qui mettait aussi bien en valeur ses fesses bombées que ses seins proéminents, je descends donc la fermeture éclair, dégrafe à deux doigts son soutien-gorge, et me donne ainsi un accès privilégié sur son bonnet E, Alexandra a des seins magnifiques, presque plus gros que mes mains et d’une douceur incomparable, je constate que ses tétons sont déjà bien dressés et ne demandent plus qu’à être caressés, roulés, je ne m’en prive pas et je constate que les pressions que j’exerce sur ces deux merveilleux obus rendent la fellation qu’elle est en train de m’offrir encore plus intense.
Je descends à présent un peu la fermeture de la combi pour m’offrir un accès vers ses fesses et sa chatte qui doit être complètement trempée. Je vois bien que c’est également l’envie de ma partenaire qui tout en gardant ma queue bien raide dans sa bouche m’apporte son aide et ôte totalement ses vêtements, incrédule je prends conscience qu’elle est totalement nue à côté de moi, mon sexe prend encore un peu plus d’ampleur je le sais, car je sens qu’il rentre moins facilement dans sa bouche pour autant Alexandra continue de me sucer comme une affamée alternant les aller-retour rapides et les gorges profondes, je manque à plusieurs reprises d’éjaculer, mais j’ai envie prolonger ce moment encore et encore. Ma main caresse à présent son petit cul bombé et s’approche de plus en plus de la chatte de ma chaude passagère, même à quelques centimètres de celle-ci je peux sentir la chaleur qui s’en dégage, un de mes doigts finit par s’immiscer entre ses grandes lèvres, c’est chaud, très chaud, c’est mouillé, c’est très mouillé, mon doigt glisse tellement sous sa trempe qu’il rentre aussi sec dans son minou et lui décroche presque un cri d’orgasme.
L'auteur a prévu une suite à ce chapitre. Ajoutez cette histoire à vos favoris et soyez alerté de la sortie du prochain chapitre !
