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L'invité sur

Chapitre 1

Zoophilie
Elle sursaute. Le téléphone a sonné. Elle répond : oui allo?
— Tu dois dire Petite salope bonjour…— Il est en retard!— Il m’a appelé, il arrive dans 10 minutes. Je lui ai dit que tu étais libre pour l’heure complète, tel qu’entendu.— …— Relaxe, respire, tout va bien aller.
Elle raccroche en maugréant. Tout ira bien, mais tout va déjà mal. Elle a bien failli être elle-même en retard. Pas du tout relaxe, au bord de la crise d’angoisse, elle se fit dans le miroir un grand sourire rouge. Puis, certainement pour se calmer, marcha de long en large de la chambre, s’assis, rajusta son corset d’ou débordait déjà la chair blanche et fragile. Sur le noir, c’était plutôt joli. Et pour se consoler, elle chanta : Savon noir sur ses seins blancs, avoue baignoire que c’est troublant oh-oh, avoue c’est …
— DING DONG— Merde!— Euh, pardon!
Elle couru à la porte. Panique. Figea. Et s’il était vraiment moche? Et s’il sentait mauvais? Oh, qu’il ne sente pas mauvais!
Elle ouvrit la porte avec son air d’écolière naïve et nympho. Elle n’eut pas le temps de remarquer son invité qu’elle se pencha, admirative, vers son compagnon. Toute ses craintes s’estompaient.
— LE BEAU CHIEN!Elle se pencha et lui câlina les oreilles. L’animal, en retour, lui lécha affectueusement la joue.
— Eh, euh, oui, il s’appelle Prince.— Oh le beau Toutou, c’est un berger allemand?— Oui, il a 3 ans, il est un peu énervé. Comme moi d’ailleurs.
— Il ne faut pas, voyons! Donnez-moi votre manteau. J’ai apporté du vin, vous en voulez? Oh, vous avez quelque chose à donner à manger à ce bel animal?— Euh, enfin…
Elle était déjà en train de fouiller dans son caban et en ressortit un morceau de saucisson, que le chien mâcha gauchement puis avala. Elle n’était plus tout nerveuse : entre un homme puant et un chien, elle préférait encore le chien.
Le téléphone retentit.
— Je vous demande pardon. Allo? Oui, il est là. Non, ça va. Euh d’accord. Byebye!— Qui c’est?— Alexis (elle fit une moue gênée). Je devais avoir un autre rdv, mais il s’est désisté. Si vous voulez rester après 21h, ne vous gênez pas.— Ok, merci. On va voir.
Il s’assit et pris le verre de rouge qu’elle lui tendait. Il pris une gorgée et soupira d’aise. Il la dévisageait d’un œil professionnel. Elle se tordait de malaise, voulant quasiment disparaître sous le lit.. Mais elle se remémora qu’une telle attitude n’était guère excitante. Ainsi, assise sur ses talons derrière le chien, elle écarta volontairement les jambes, montrant sa chatte offerte. L’homme eu un petit rire, elle sourit sans le regarder.
— Comment il s’appelle vous avez dit?— Prince.— Alors mon beau Prince, c’est pour toi ou pour papa, cette visite?— Les deux.
Le ton avait été terriblement sec. Elle n’avait pas eu le temps de remarquer que son client avait posé son verre et la regardait avec insistance. Pas de main sur la braguette, pas de sourire, nerveux, mais évidemment très sérieux.
— Je ne peux pas rester tard. Je sais que j’étais en retard.— C’est ta première fois avec un chien?— Oui, mais comme vous voyez, c’est loin de me gêner…
Le monsieur se leva précipitamment.
— Mets-toi à quatre pattes.— Mmm ma position préférée.— Tu es vraiment une petite salope, et c’est en plein ce dont j’ai besoin. Je sens qu’on va se revoir souvent.— Je le souhaite bien…
Il s’approcha et mata le sexe béant, trempé et rasé. Le cul lui apparut particulièrement attirant vu la cordelette qui en dépassait. Il la tira. En vain.
— Prince, vient mon chien.— Oh oui vient, vient mon chien…— Ta gueule chienne.— Mmm…
Le chien renifla le derrière de la pute et gémit. Il lui lécha les fesses, arrachant à la garce force de petits cris de surprise.
— C’est ruuuuude!— Ta gueule!!!
Et il lui envoya une, deux, trois fessées. La chair rougit sous les coups, et la tête de la demoiselle baissa. Elle pris conscience qu’elle était au service de cet homme, et de ce chien… À ses services sexuels se juxtaposaient des services « softs » de soumise. La fessée n’avait donc rien de grave, au contraire. Sa cyprine ne s’en trouva que plus généreuse. Ses cuisses tremblaient de spasmes, pleines du désir que lui envoyait sa chatte et son cul. La violence et la nouveauté l’allumaient comme jamais. Comme elle aurait voulu qu’Alexis assista à la scène!




Le chien, quand le Maître avait tapé, s’était mis à gémir de plus belle et à aboyer. Il se rapprocha de l’anus maintenant glissant de jus… Suivant les directives de son Maître, il le lécha. Sentant sous sa langue la petite cordelette, il entreprit de l’attraper avec sa gueule. Comme cette partie privée se trouvait ainsi bien humide, le chien et son Maître n’eurent aucune peine à faire sortir les boules chinoises. En métal, elle faisait un bruit délicieux. Par ailleurs, celle qui les portait jouit haut et fort de cette retraite à l’arrachée. Elle poussait de petits bruits et son cul vers les mains, pattes et langues travaillant ses orifices.
L’homme tenait sa queue entre ses mains. Il dit : « Tu fais bander mon chien, chienne » et lui envoya une autre claque sur le haut du fessier. Elle sursauta mais se remit aussitôt en position : les fesses bien hautes, le dos cambré, ses mamelons sortis du corset et durcis par de petites pinces délicates qu’elle tirait. Elle fût aussi surprise quand le chien sauta sur son dos et lui serra la taille. Elle figea, même. Quelle étrange pratique, enfin… L’homme soufflait difficilement, si excité qu’elle pensait qu’il viendrait avant même que quoi que ce soit ait commencé.
Les pattes du chien se resserrèrent sur sa peau, puis descendirent très bas sur ses hanches. Les griffes lui laissaient de jolies marques rouge clair. Le chien faisait déjà des mouvements de va-et-vient contre elle, se frottant sans jamais arriver à pénétrer. La pute sentit ses lèvres inférieures et supérieures se gonfler et rougir, et de sa main, elle guida le membre du chien dans son trou. L’effet fût immédiat. Le chien se mit à se branler en elle. La sensation confirma son statut : elle était chienne parce qu’elle aimait être prise comme tel. Bestiale, le sexe comme un instinct, incompréhensible et irrésistible. Se faire mettre sans égards, absolument femelle. Elle adorait et en redemandait.
L’invité se leva et se masturbait frénétiquement. Il épiait les moindres mouvements de la chienne. Son regard, quoique dur et condescendant, trahissait une excitation extraordinaire. Il s’approcha et tira les cheveux de la salope. Il approcha son pénis vers la bouche. Il le mit sous le nez de la fille. « Je sais que ce n’est pas ce que tu veux. Tu aimes que mon chien te mette. Tu adores ça. Chienne. »
Elle sourit. Quand le monsieur eut protégé sa queue, il lui enfonça dans le fond de la gorge. La tenant toujours par les cheveux, il baisait sa bouche et cherchait à y entrer tout son membre. La fille manquait de s’étouffer à chaque fois, mais ne reculait pas devant les suivantes. De sa main libre, il se pencha au dessus d’elle et rentra un, deux, trois doigts dans son cul.
Elle était en extase. Le chien dans sa chatte (!), la queue entre ses lèvres, les doigts dans son cul, ses seins martyrisés. Soumise, prêtée, mais si donnée…
Le chien se retira. Le maître le félicita. Puis, il enleva son phallus et alla derrière la pute. Le chien dût manger la mouille partout sur ses cuisses. L’invité pris ensuite un gode géant (Justin) et l’inséra dans sa chatte béante. Soulagement. Ce remplissage, enfin. Il ordonna à la nana de bien le garder sans y toucher. Elle était tout contractée, et se sentait près d’exploser. Elle se fit enculer sans grande délicatesse. Défiant l’homme, elle empoigna le gode et le fit cogner au fond d’elle. Lui, au dessus, se vidait les couilles dans son cul, ses cheveux dans une main et un doigt encore pris dans son cul. Elle ne tarda pas à jouir.
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