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L’invitée

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Enfin… Après plusieurs planifications, annulations et re-planifications, nous y sommes ! Mon téléphone a vibré : Je suis garée à deux rues, j’arrive. Ce fameux trio dont nous avons tant parlé, quasiment depuis les débuts de notre relation, va enfin devenir réalité. Je mesure à cet instant la confiance absolue qu’elle a en moi et j’en suis immensément touché. Cette invitée que nous attendons, elle ne lui a jamais parlé, elle ne l’a jamais rencontrée, jamais vue même. Pourtant elle est là, vêtue uniquement d’un body de dentelle noir, d’un porte-jarretelles et de bas de la même couleur. Elle a chaussé une paire d’escarpins à talon aiguille, une paire qu’elle a achetée pour moi. Elle se tient ainsi, debout, dans notre salon, les mains attachées dans le dos par une paire de menottes. Ses chevilles sont reliées à une barre d’écartement qui maintient ses cuisses grandes ouvertes. Pour parachever le tableau, j’ai bandé ses yeux ; elle ne verra notre invitée que lorsque je le déciderai… Une confiance absolue, à l’image de notre amour. Elle est magnifique, sublime. Je m’approche d’elle, j’embrasse son visage délicatement tout en effleurant la pointe de ses seins à travers le mince tissu de dentelle ; je sais à quel point elle aime cette sensation. Elle frémit sous la caresse et je sais que ce n’est que le début…
La sonnerie retentit ; Notre invitée est enfin là. Je lui ouvre la porte ; nous nous saluons, heureux de nous voir enfin. Elle a revêtu une belle robe portefeuille bleue qui met admirablement en valeur ses formes. Elles ne se sont jamais rencontrées, mais j’ai depuis toujours l’intense conviction qu’elles vont se plaire. Notre invitée correspond en tout point à ce que mon Amour m’a dit aimer chez une femme ; quant à elle, je manque sans doute d’objectivité, mais je ne vois pas comment elle ne pourrait pas plaire à une femme qui aime aussi les femmes…Je la fais entrer dans le salon, et je vois tout de suite que je ne m’étais pas trompé, en tout cas en ce qui la concerne. Quand elle la voit, quasi nue et attachée au milieu de la pièce, elle me renvoie une image entre la mâchoire qui se décroche et celle de l’enfant qui découvre ses cadeaux au pied du sapin le soir de Noël. Soit nous sommes deux à être subjectifs, soit elle est objectivement magnifique…Elle s’approche en la saluant. Elle résiste sans doute à la tentation de lui sauter dessus ; non, un tel cadeau se déballe et se découvre lentement. Je lui propose un verre tandis qu’elle commence à passer délicatement ses mains sur le body de dentelle. Elle acquiesce et je pars chercher le vin, les laissant seules un instant pour faire connaissance. Quand je reviens, les mains de notre invitée se baladent sur tout son corps, évitant pourtant encore soigneusement les zones les plus sensibles. En revanche leurs bouches ne s’évitent pas, ne s’évitent plus. Elles s’embrassent à pleine bouche, leurs langues se mêlent avec délice et passion. Je les observe un instant tout en versant le vin ; le tableau qu’elles offrent est d’une beauté sensuelle intense. Je sens cette tension, cette envie, cette sensualité entre elle ; rien n’est automatique dans leurs gestes, rien n’est joué. C’est le désir pur qui s’exprime dans leur étreinte et dans les caresses. Notre invitée prend le verre que je lui tends et elle passe derrière elle ; à nouveau, la mâchoire se décroche… L’avant est splendide mais l’arrière est hors norme. Je ne suis pas le seul apparemment à penser que son petit cul devrait être un jour dans un musée. Elle joue un instant avec ses seins, les caressant du bout des doigts, passant parfois son verre frais sur ses tétons dardés. Très vite elle s’agenouille pour explorer et embrasser ses fesses, tandis que je joue avec la pointe de ses seins. Elle remonte pour enfin se saisir de la poitrine magnifique de mon Amour. Elle la libère en écartant les bretelles du déshabillé et je happe un de ses tétons entre mes lèvres pour le suçoter lentement. Bien qu’attachée les mains dans le dos, elle n’est pas en reste : elle essaye de caresser de la pointe des doigts le sexe de notre invitée qui n’en demandait pas tant. Celle-ci se penche à nouveau et elle crache sur ses phalanges pour les humidifier et faciliter cette caresse. Si notre invitée savait à quel point elle a visé juste à cet instant : à quel point mon Trésor aime quand je crache sur son sexe en feu… si elle m’avait vu quelques jours plus tôt, crachant de la même manière sur la pointe de ses seins, enserrés dans un jeu de cordes de shibari, pour mieux les lubrifier et faire rouler encore et encore ses tétons affolés sous mes doigts…Je décide enfin de la libérer, défaisant ses liens et la barre ; je finis par enlever le bandeau. Elle voit notre invitée pour la première fois. Ses yeux s’éclairent, s’embrasent. Je le savais, mais là je le vois : elles se plaisent énormément. Elles s’embrassent à nouveau à pleine bouche, et je me joins à elle pour un baiser à 3 bouches et à 3 langues des plus savoureux, tandis que nos mains ne se donnent plus de limite dans l’exploration des corps.
Ce n’était là qu’un préambule, et il est temps de passer aux choses sérieuses : encadrant sensuellement notre invitée, nous la menons dans la chambre à coucher. Le lit nous tend les bras et bientôt nous reprenons, allongés nos caresses et nos découvertes. C’est désormais notre invitée qui est le centre de l’attention. Ma bouche explore enfin sa chatte humide tandis que mon Amour embrasse et caresse avidement ses seins ; je les observe du coin de l’œil tout en léchant délicatement son clitoris, m’émerveillant de leur complicité et de la sensualité de leurs baisers.Nous alternons les rôles et les positions avec délice, délice des sens et des yeux. Je revois chaque scène dans mon esprit : elle, sur le ventre, cambrée, la croupe offerte aux doigts inquisiteurs de notre invitée qui s’enfoncent sans relâche dans son orifice le plus intime tandis que ma langue effleure lentement son clitoris et qu’elle gémit tout son plaisir. Elle encore, allongée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes pour que je puisse à nouveau laper son sexe comme je l’aime tant, et notre invitée à califourchon sur son visage ; elle lui lèche elle aussi le sexe avec application, enfonçant à son tour deux doigts entre ses fesses pour la faire crier de plaisir.Moi, allongé, livré à leurs bouches qui explorent mon sexe dans tous ses recoins. Je ne sais pas à qui appartient cette langue qui lèche divinement mes bourses et à qui sont ces lèvres qui vont et viennent merveilleusement sur ma queue ; et peu importe au fond, car elles alternent sans cesse.Elle, à nouveau, qui se redresse, laissant notre invitée seule en tête à tête avec mon sexe, pour venir se placer derrière elle. De ma position je ne peux que deviner ce qu’elle fait : ses doigts qui pénètrent son vagin, d’abord avec précaution, puis de plus en plus rapidement. Les gémissements de notre invitée, étouffés par mon sexe entre ses lèvres, montrent à quel point elle aime ce traitement. Elle l’aime tant qu’elle finit par délaisser mon chibre, posant sa tête sur ma hanche alors qu’elle sent l’orgasme approcher. Je caresse doucement ses cheveux et son épaule tout en regardant mon Amour qui s’active derrière elle, les doigts en elle ; elle me fixe droit dans les yeux alors qu’elle accélère encore pour faire jouir notre amie. Ce moment est d’une merveilleuse intensité érotique, un partage à trois d’une jouissance qui enfin éclate dans toute sa beauté. Notre invitée se crispe, gémit et crie son plaisir, puis elle se relâche, reprenant lentement son souffle et ses esprits contre mon ventre.Quelques instants plus tard, c’est mon Amour qui jouit à son tour sous l’effet conjugué des caresses et des baisers de notre invitée sur ses seins gonflés par le plaisir et de ma langue qui parcourt sans relâche son clitoris en feu. Elle crie à son tour sa jouissance dans les bras de notre amie qui découvre pour la première fois à quel point elle est expressive dans son plaisir.Nous ne nous laissons aucun répit et très vite les étreintes reprennent. Honneur aux invitées semble penser ma compagne, c’est donc tout naturellement qu’elle propose à notre amie que je la prenne, ce qu’elle accepte aussitôt. Elles s’allongent l’une sur l’autre, leurs deux sexes se touchant ; je savoure un instant ce beau spectacle avant de m’enfoncer en elle en levrette.Je la prends ainsi tandis qu’elles s’embrassent, s’effleurent, se caressent. A un moment mes doigts remplacent mon sexe. Deux doigts pénètrent son vagin sans difficulté, je me prends même un instant à imaginer un troisième voire plus… Nous ne sommes pas là pour des records, mais pour le plaisir, deux doigts suffiront donc. Je la pénètre avec de plus en plus de vigueur et je la vois saisir les poignets de mon Amour, les plaquant fermement au dessus de sa tête. Elle la regarde ainsi droit dans les yeux tandis que le plaisir monte à nouveau en elle. Elle jouit enfin en criant, partageant à nouveau son plaisir dans une étreinte passionnée.
Nous avons perdu toute notion du temps, mais nos estomacs nous rappellent à l’ordre : une collation s’impose ! Nous retournons donc au salon pour nous livrer à quelques agapes bien méritées. L’occasion aussi de discuter, d’échanger, de nous découvrir un peu plus : il n’y a pas que le sexe dans la vie !Il n’y a pas que le sexe, mais tout de même… Et bientôt c’est « à mon tour ». Installé confortablement sur le canapé, les deux bouches et les deux langues me parcourent à nouveau avec application. En revanche, cette fois, elles semblent décidées à ne pas me laisser de répit et à libérer la « tension » accumulée depuis le début de la soirée. Je me laisse donc aller à leurs caresses buccales avec un plaisir immense. Honneur aux invitées à nouveau ! Elle laisse mon sexe aux seuls soins de notre amie. Elle se redresse en me regardant, en me caressant doucement le bras. Je sais qu’elle veut me voir jouir entre les lèvres de notre invitée, qui fait tout pour cela. Le plaisir monte encore et encore et j’explose soudain. Ses lèvres ne relâchent pas mon sexe, aspirant chaque gorgée de ma jouissance et elle continue longtemps après mon éjaculation à dorloter mon chibre dans sa bouche chaude et humide.Elle libère enfin ma queue et ses lèvres plongent vers celles de mon Amour ; elles s’embrassent toutes les deux langoureusement, partageant le goût de mon foutre du bout de leurs langues humides. Je les regarde faire, reprenant doucement mes esprits.
Le canapé est rapidement converti en lit d’appoint : nous n’avons pas le temps de regagner la chambre, l’envie de caresses est trop grande. Cette fois c’est notre invitée qui prend place entre les cuisses accueillantes de mon Trésor ; je vois sa bouche qui parcoure son sexe avec douceur et je sens chaque tressautement de son corps sous les effets de cette langue dont j’ai expérimenté l’habileté quelques instants auparavant.Nous alternons à nouveau, et je me retrouve à mon tour à lécher son clitoris trempé. J’entends le bruit de succion qui m’indique que ses seins sont eux aussi soumis à une caresse buccale intense. Je vois, je sens, tous les signes avant-coureurs de son plaisir que j’aime tant repérer ; j’accélère alors ma caresse et elle jouit enfin, criant son plaisir en serrant à nouveau notre amie contre elle.Honneur aux invités encore… Elle l’attire contre elle pour l’embrasser et caresser ses seins, tandis que je me positionne à mon tour derrière elle pour la pénétrer à nouveau de mes doigts. Tout nous rappelle la première fois, mais avec les rôles inversés : je la masturbe vigoureusement pour l’amener à l’extase tandis que ma compagne la câline, ses yeux plongés dans les miens. Ses cris s’intensifient et elle jouit soudain. Nos regards ne se sont pas quittés et à cet instant j’ai l’impression que nous sommes deux à la faire jouir, deux à partager cette pénétration digitale intense et le plaisir qui s’en suit pour notre invitée.Nous nous serrons tous les trois, les uns contre les autres. Il est tard, très tard, mais nous n’avons pas vu passer le temps. Il est l’heure de dormir. Notre invitée reste à la maison, s’endormant bien vite sur le canapé tandis que nous rejoignons notre chambre. Nous devons partir travailler tôt demain matin, mais j’ai encore une envie, la même en fait à chaque fois que nous nous endormons : la faire jouir avant que ses yeux ne se ferment. Elle ne dit pas non, elle dit même franchement oui et très vite je plonge à nouveau entre ses cuisses ; ses cris de jouissance retentissent bientôt dans la nuit silencieuse. Elle se serre dans mes bras et nous nous endormons ainsi, la tête pleine des images de la soirée. Ces images résonnent encore dans ma tête le lendemain au réveil. Pas uniquement dans ma tête d’ailleurs… Ma queue est dressée, tendue et en quête de plaisir. Je me retourne pour m’approcher d’elle : elle est également éveillée et elle me sourit. Ses yeux s’éclairent d’une lueur intense quand elle sent mon sexe dur se poser contre sa cuisse. Sans un mot, elle se retourne, dos à moi. Quelques contorsions nous suffisent pour que je la pénètre ainsi, en cuillère. Je m’enfonce en elle sans difficulté, c’est dire son excitation encore intense après notre soirée.J’aime cette position, notamment au petit matin, mais cette fois cela ne me suffit pas. Je la déplace sur le côté, la faisant allonger sur le ventre, droite comme un « i ». Et c’est ainsi que je la prends, à califourchon sur elle. Les sensations physiques sont intenses, son sexe est ainsi serré comme jamais. Mais j’aime par-dessus tout cette position dominante à l’extrême ; sa croupe relevée, offerte comme une chienne qui attend la saillie de son mâle, et je sais à quel point elle aime cela, se sentir ainsi. Très vite je jouis, maculant ses reins et ses fesses de mon foutre chaud. Je la retourne ensuite sur le dos et une fois de plus mes doigts et ma langue viennent la fouiller pour lui rendre le plaisir qu’elle vient de me donner. Elle jouit à nouveau pour mon plus grand bonheur alors que le réveil sonne… Il est grand temps de se lever… Dans le salon, nous découvrons notre invitée, éveillée depuis longtemps. Si nous avions su… Nous l’aurions rejoint, mais nous n’aurions sans doute jamais été à l’heure pour nos rendez-vous respectifs…
Nous nous quittons finalement, avec sans doute une seule idée en tête : planifier notre prochaine rencontre… Nous évoquons quelques dates par SMS dans l’après-midi ; j’en viens à imaginer une journée entière plutôt qu’une soirée. « Et pourquoi pas un week-end ? » me dit ma compagne le soir même avec les yeux brillants…
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