Je vous vois revenir dans la voiturette, un sourire béat aux lèvres. Avant que d’autre vous voit, je remarque vos mains qui caressaient vos cuisses reprendre une position bienséante. Ta complice gare son véhicule et rejoint son poste, tandis que je t’attire à l’écart pour que tu me racontes ton aventure. Ton récit m’excite rapidement et je commence à caresser tes fesses et ton sexe en embrassant ton cou. Tu commences à t’échauffer et ton récit se ponctue de quelques gémissements au gré de mes caresses. Sentant mon érection, entre deux soupirs tu parviens à articuler : « Baise-moi ! » Je te retourne alors à quatre pattes pour pouvoir te saillir en levrette. Je sais comme tu aimes être prise brutalement, sans préliminaires. D’autant que la gamine t’a déjà totalement préparée et c’est contre une fente ruisselante que je présente ma queue pour te pénétrer d’un coup, totalement, jusqu’à plaquer mes couilles contre ton clito. Mon gland parcourt ton vagin et tu jouis de plaisir. J’entame une série de va-et-vient rapides dans tes entrailles, et chaque mouvement amplifie ton plaisir. Ton sexe n’est plus que plaisir, ton corps ondule sous mes coups de béliers. Je saisis tes seins tendus de plaisir et en pinces les pointes entre mes doigts. Je suis tellement excité par ton récit et par les contractions de ton sexe sur le mien que je ne tarde pas à exploser en toi, libérant mon jus par longues saccades au plus profond de toi. Nous jouissons à l’unisson puis nous nous effondrons au sol et tu te loves dans mes bras. Tu me plaques sur le dos et nous échangeons un long baiser passionné. Je lis le bonheur dans tes yeux et j’aime ça. Défi brillamment relevé. J’admire comme tu sais exalter le plaisir de tes partenaires, et avec quel art tu parviens au plaisir. Je sais comme tu aimes les plaisirs charnels et te propose ton second défi, en la personne de Florent, que tu as habillement laissé sur sa faim tout à l’heure... Il est temps de lui offrir un peu de jouissance aussi. Avec une étincelle dans l’œil, tu me proposes de vous attendre par là, en précisant que de toute façon, ça ne devrait pas être long. Puis tu ramasses ta robe, l’enfile et repart vers les convives. Je n’ai effectivement pas longtemps à patienter pour te voir revenir avec le quadra bedonnant, chacun une flûte de champagne à la main. Tout heureux de sa chance il se laisse guider et m’ayant deviné derrière une statue de pierre, tu te places pour que je ne rate rien du spectacle. Je te vois lui rouler une pelle d’enfer, tandis qu’il te pelote les fesses. La scène pourrait durer longtemps, si tu ne prenais pas l’initiative de te mettre à genoux et de descendre son pantalon. Il semble confus et essaye d’articuler un « non attend je dois te prévenir que... », mais tu as déjà ouvert son caleçon et tu restes comme bloqué devant le tableau. Surmontant des bourses gonflées, il a un sexe minuscule, qui bien qu’en pleine érection, doit à peine atteindre les huit centimètres. Je comprends mieux le manque que j’avais deviné chez sa femme. Tu hésites un instant, puis prise d’inspiration, tu attrapes ta flûte, bois une gorgée, et entreprend de le sucer. Amusé par la petite taille de son sexe, tu en profites pour l’aspirer totalement entre tes lèvres et faire jouer ta langue dessus. Tu le décalottes d’un coup de bouche, le mordille délicatement entre tes dents, le branle du bout des doigts en gobant ses couilles, le reprend en bouche tandis que ton doigt va titiller son anus,... Tout à ton jeu, tu sens son excitation monter, sa respiration devenant saccadée et ses jambes commençant à trembler. Tu continues avec application à pomper cette queue miniature, jusqu’à ce que tu sentes une goutte de pré-sperme sur ta langue. Tu retires alors ta bouche pour approcher la flûte que tu as toujours en main. Mais une première giclée, longue et puissante, part et tu sens son sperme chaud couler au-dessus de ton œil jusque sur ta joue. De ta main libre, tu viens saisir sa bite entre ton pouce et ton index, pour la guider dans la flûte que tu présentes face à son gland. Un peu de champagne coule par terre, mais très vite un nouveau jet de sperme vient s’écraser contre le verre. Fascinée, tu regardes cette petite queue libérer plusieurs autres longues traînées blanches au point qu’il remplit presque la moitié de la flûte de sa semence. Il n’avait semble-t-il pas tiré depuis un certain temps... L’œil brillant, tu vides totalement sa queue dans ta flûte, puis tu nettoies son sexe avec application, aspirant bien pour ne pas perdre une goûte de son délicieux nectar. Stimuler par ta bouche, il t’honore encore de trois belles giclées, que tu gardes dans ta bouche un instant avant de les avaler avec délice. Vidé et béat il semble sur un nuage et ne cherche même pas à contester lorsque tu lui donnes l’ordre de rejoindre sa femme. Dès qu’il est hors de vu, je m’approche de toi, ramasse ta flûte et te propose de trinquer. Tu la saisis et me dis « Attends, j’ai une meilleure idée, viens. » puis tu t’engages dans un des sentiers. Je t’emboîte le pas, intrigué, avant de comprendre ton idée en apercevant la voiturette électrique... En me désignant ta complice de tout à l’heure, tu précises avec un clin d’œil « Un bon cru, ça se partage entre connaisseuses... »
