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J'irai plus souvent chez le coiffeur

Chapitre 1

Hétéro
— Bonjour !— Bonjour jeune homme, que puis-je faire pour toi ?— Eh bien, je viens sans rendez-vous, vous avez de la place ?— Oui bien sûr, installe-toi ici, je m’occupe de toi tout de suite.
Nous sommes fin avril, il commence à faire chaud, j’avais bien besoin d’une nouvelle coupe... Ça doit faire au moins 6 mois que je n’étais pas allé chez le coiffeur, et ça se ressent après la douche. Impossible de me coiffer correctement. Il faut dire qu’entre les cours, les travaux, les examens et les sorties, je n’ai pas trop de temps pour moi. Mais cet après-midi, je n’avais rien de prévu, donc c’était le moment parfait. Une courte présentation, je m’appelle Alexis, j’ai 20 ans, je fais 1m75, j’ai des cheveux bruns qui ont tendance à onduler légèrement et je fais 65 kilos. En gros, je suis dans la moyenne, rien d’exceptionnel, mais pas dégueu non plus.
— Ça va, l’eau n’est pas trop chaude ?

Oups, j’étais perdu dans mes pensées.
— Euh non, merci, tout va bien !— Super !

...
— Voilà, relève la tête s’il te plaît...

Wow, elle fait ça bien, on croirait presque à un massage, si ça pouvait durer un peu plus longtemps... Elle est plutôt mignonne en plus, je lui donne pas plus de 26 ans. Un peu plus petite que moi, une poitrine moyenne, un fessier... Oula qu’est-ce que je fais, je la dévore carrément du regard ! Je pense qu’elle n’a pas remarqué, mais il faut que je me calme, ce n’est pas correct de faire ça, en plus, ça pourrait être gênant par la suite.
— Suis-moi, prends place face à ce miroir.

Oui bien sûr, tout ce que tu voudras... Arrête Alex ! Débarrasse-toi de ces pensées, ce n’est pas le moment ni l’endroit !Je m’installe et elle m’équipe de cette espèce de drap qui empêche les cheveux de tomber sur les vêtements. Face au miroir, j’ai une vue imprenable sur elle, et c’est sûr que je ne vais pas pouvoir m’empêcher de mater, mais restons discrets.
— Comment je les coupe ?— Euh, assez courts, mais pas trop... Oui comme ça, c’est pas mal, peut-être un peu plus courts sur les côtés, ouais comme ça !— Ça marche !

Même sa voix est craquante... Et je suis censé tenir 15 minutes sans bouger ? Ça s’annonce délicat.
— Tu as quel âge ?— Ah euh, 20, bientôt 21.— Et tu fais quoi comme études ?— Je suis à ma deuxième année en droit.— Un futur avocat ?— Pourquoi, vous auriez besoin d’un avocat ?— Ahah non pas du tout, mais tu sais, tu peux me tutoyer !

J’ai rêvé ou elle m’a fait un clin d’œil ? Non, je dois me faire des films.
— Je... balbutiai-je. D’accord pas de soucis.

Petit silence gênant, ça m’arrive souvent chez le coiffeur, mais là c’est différent, je n’ai pas envie qu’on reste dans ce silence. Raah pourquoi j’suis aussi nul ? Trouve un truc à dire !Elle continue son travail et entame les côtés de ma tête. Pour plus de facilités, j’imagine, elle pousse ma tête sur le côté opposé à celui qu’elle coiffe et, volontairement ou non, écrase sa poitrine sur mon épaule, pour mon plus grand bonheur.
Elle enchaîne ensuite par l’avant de ma tête, que je penche un peu en avant. Mes mains sont posées sur les accoudoirs et elle appuie sa jambe droite sur mes doigts. Sa jambe glisse un peu et c’est finalement son entrejambe qui arrive au niveau de ma main droite. Je reste immobile comme une statue, je regarde attentivement la suite des événements, profitant que ma tête soit toujours baissée.
Mais... Elle est en train de se frotter la coquine ? C’est quasiment imperceptible, mais j’en suis sûr, je ressens son jeans qui glisse sur mes doigts ! Je relève doucement la tête et je la vois légèrement rougir, alors je tente de faire ce qui pourrait se rapprocher d’un petit sourire, en essayant de ne pas la gêner non plus.
— Je... -c’est à elle de balbutier- Hum, comme ça, ça te convient ?

Le temps est passé et elle semble avoir fini ma coupe. Ça me semble parfait, mais ma conscience me demande de gagner un peu de temps.
— Peut-être un peu plus court encore, si ça ne te dérange pas bien sûr !— Oh tu sais, c’est mon métier !

Elle semble avoir regagné son assurance, et j’ai l’impression qu’elle se réjouit également de passer un peu plus de temps avec moi.Elle reprend la position qu’elle avait précédemment, mais cette fois à ma gauche, et appuie directement son entrejambe sur mes doigts. Maintenant, c’est sûr, elle le fait exprès, impossible que ce soit le hasard qui l’ait dirigée à cet endroit précis ! Et un petit gémissement de sa part vient confirmer mes doutes, elle ne s’en cache même plus. Allez, je tente un mouvement et bouge doucement ma main vers elle. Elle ressert d’autant plus les jambes, avant de les écarter, comme pour me laisser le libre passage. J’entame des petits allers-retours en la fixant dans le miroir, elle croise mon regard. Je suis électrisé, je lis dans ses yeux qu’elle veut la même chose que moi. Malheureusement, pas moyen de faire durer encore plus ce moment, sinon je n’aurais bientôt plus de cheveux.
— On... On passe à la caisse ? Hum.— Ou-oui je te suis.— Ça fera 16€ s’il te plaît.— Tiens, j’ai le compte juste.— Parfait.— Euh, est-ce qu’il y a des toilettes s’il te plaît ?

Elle laisse un temps de pause, je crois qu’elle a compris mes intentions.
— Oui bien sûr, c’est au fond à droite.— Merci.

Je m’y dirige en faisant attention qu’elle voie bien que je rentre dans les toilettes des femmes et, comme prévu, même pas une minute plus tard, elle me rejoint.
— Oh putain j’en pouvais plus !

Elle m’embrasse avec fougue et me colle sans attendre une main sur le pantalon.
— Je vois que toi aussi, tu n’attendais que ça !— Comment pourrais-je vouloir autre chose ? Tu m’as chauffé comme jamais tout à l’heure !— Ah parce que tu crois que je n’avais pas vu tes coups d’œil vers mes seins ?— Je...— Tais-toi et embrasse-les !

Je descends vers ses beaux globes et j’embouche son téton gauche en premier. Je le mordille doucement et vu comme elle soupire, j’ai l’impression qu’elle apprécie. Je décide ensuite de la déshabiller et je lui enlève alors son haut, mais avant que je ne continue avec son pantalon, elle me stoppe.
— Attends, je vais d’abord m’occuper de toi.

Comment pourrais-je refuser quand c’est proposé si gentiment ? Elle m’arrache presque mon pantalon, puis me retire mon boxer et prend mon engin en mains. Ici aussi, je suis dans la moyenne, 14-15 centimètres, mais ça n’a jamais eu l’air de déranger mes quelques conquêtes.Elle fait plusieurs allers-retours avec sa main puis commence une fellation. Quel bonheur ! J’étais venu couper quelques centimètres de cheveux et me voilà en train de me faire sucer par la plus belle coiffeuse que j’aie jamais vue ! Tu ne perds rien pour attendre, je vais m’occuper de toi comme il faut après.
— Alors, ça te plaît ?— Oh oui ça me plaît, mais c’est ton tour maintenant.

Elle se relève et c’est à moi de m’abaisser. Je baisse sa culotte et j’entame le plus beau cunni de ma vie, du moins si j’en crois ses réactions.
— Aaah ! Arrête, tout le salon va m’entendre !

Je continue de plus belle, tout en lui caressant les fesses avec mes mains. Quelle douceur ! Je les empoigne et remonte vers son visage, je reprends mon souffle puis l’embrasse à pleine bouche, mélangeant tous les fluides accumulés, mais on s’en moque.
— Prends-moi !

Avec grand plaisir ! Je la couche à côté du lavabo, j’enfile une capote et je dirige mon sexe vers le sien. Je la pénètre calmement pour commencer, mais elle a l’air de vouloir que je sois plus brutal. Pas de problème, j’accélère tout en faisant attention à ce qu’elle ne se prenne pas le miroir sous mes coups. Elle gémit de plus en plus fort, alors je pose une main sur sa bouche. Je me rappelle que la porte n’est pas fermée à clé, mais qu’importe, je n’interromprais cet instant pour rien au monde.Je la fixe dans les yeux :
— Je vais pas tarder à venir.— Vas-y viens, je t’attends !

Il n’en fallait pas plus pour que je jouisse.J’avais peur de la laisser sur sa faim, mais son sourire me rassure, elle a l’air satisfaite.
— Woah, c’était vraiment bon.— Pour moi aussi, mais il faut que je retourne travailler. Tiens.

Elle m’écrit son numéro sur un petit papier qu’elle glisse dans une poche de ma veste posée dans un coin de la pièce.Elle se dirige vers la porte.
— Attends ! Je sais même pas comment tu t’appelles, moi c’est Alexis !— Amélie, me dit-elle avec un clin d’œil, que cette fois j’ai bien vu.

Elle sort et me laisse seul. Il me faut deux minutes pour digérer ce qu’il vient de se passer, j’ai du mal à y croire, mais c’était bien réel.Je sors finalement à mon tour et en passant devant elle, je la salue d’un grand sourire qu’elle me rend.
— Au revoir, à bientôt !— Au revoir, me répondent tous les coiffeurs et coiffeuses en service.

Ils n’ont pas l’air de se douter de ce qu’il vient de se passer. Il faut dire qu’entre l’eau qui coule, les sèche-cheveux qui soufflent et les diverses conversations, je ne pense pas qu’ils aient entendu le moindre bruit.J’enregistre le numéro d’Amélie, lui écrit un message pour la remercier, et je rentre chez moi.
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