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J'irai plus souvent chez le coiffeur

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
[Note de l’auteur]Bonjour à tous et désolé pour ce long délai entre le deuxième chapitre et celui-ci, vous savez ce que c’est ... les études, le boulot ... Bon OK, la flemme et le manque d’inspiration. Mais l’important, c’est que ce troisième chapitre soit enfin là ! Pour ceux n’ayant pas lu les deux premiers, je ne peux que vous y encourager...... place à l’histoire !
[SMS]> Salut Amélie !> Je viens de passer un après-midi incroyable. Je suis allé à ton salon de coiffure dans l’espoir de t’y trouver mais j’ai à la place fait la rencontre de ta délicieuse amie et collègue. J’imagine qu’elle te racontera dans les détails, j’ai hâte de te (vous) revoir en tout cas !< En effet oui elle m’a tout raconté, avec touuus les détails... ;) < Et Fanny m’a dit qu’elle t’avait même proposé une petite soirée, je suis pas contre perso...> Je suis libre vendredi prochain, ça vous irait ?< C’est parfait pour nous, voici mon adresse "...", on t’attend pour 18h30 !> Parfait ! A vendredi
Nous voilà le fameux vendredi, il est 18h et je termine de me préparer. Je m’habille bien, mais pas trop non plus ; petite chemise aux motifs colorés, mon plus beau boxer sous un pantalon clair (il fait toujours assez chaud) et, pour les raisons que vous savez, je n’ai pas besoin de passer chez le coiffeur !
Je prends une bouteille de vin avec moi et je pars prendre le métro, le hasard a voulu qu’Amélie n’habite qu’à deux arrêts de chez moi. Durant ces quelques minutes de trajet, j’imagine ce qui m’attend et je ne peux m’empêcher de penser que je suis incroyablement chanceux. Ces deux belles femmes rien que pour moi ! Je ne sais pas ce que j’ai fait pour le mériter, mais ce qui est sûr, c’est que vous ne me verrez pas me plaindre.
Je sors du métro et me retrouve devant le bâtiment, je vérifie une dernière fois puis je sonne à l’interphone.*Biiiiip*
— Alexis ?— Oui, c’est moi.— Je t’ouvre, tu peux monter
C’est Fanny qui m’a ouvert, rien que le son de sa voix me fait ressentir quelques picotements dans l’entrejambe.
Je monte les marches trois par trois et je me retrouve en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire au deuxième étage, devant l’appartement.Je frappe à la porte.
— Entre ! me crie Amélie.
Je m’exécute et reçois en pleine face une délicieuse odeur de lasagne.
— Bonsoir !— Hello, comment vas-tu ? me demande Amélie.
On se salue, on se fait la bise et on échange des banalités pendant quelques minutes. Amélie porte un joli crop top et un jeans qui la met bien en valeur, Fanny a quant à elle mis une jolie robe moulante, mais pas trop, courte, mais pas trop,... Bref, elles sont magnifiques à mon goût.
Amélie m’explique que la lasagne maison est LA spécialité de Fanny, qui acquiesce avec un air sûr d’elle. Je réponds que ça tombe bien, car non seulement c’est un de mes plats préférés (qui n’aime pas la lasagne, maison de surcroît ??), mais qu’en plus, j’ai apporté un petit vin rouge qui, je l’espère, s’accordera parfaitement avec. Elle me dit qu’elles avaient également prévu une bouteille, mais qu’une deuxième ne pourra pas faire de mal... (l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération !)
On met la table, Amélie manque de tomber et de casser ses assiettes, mais se rattrape de justesse à mon bras, on rigole et elle me glisse un clin d’œil coquin dont elle a le secret.
On s’installe et Fanny apporte le plat. On se sert, je remplis les premiers verres de vin et on commence à manger.
— Hm ! Ch’est délichieux !!— Merci Alex, me dit la cuisinière.— C’est vrai que tu t’es surpassée avec celle-ci ! renchérit Amélie.— Arrêtez, je vais rougir...
On continue le repas, on discute, on rigole, on vide la première bouteille de vin et les esprits commencent à s’échauffer.La conversation s’oriente vers mes aventures au salon de coiffure et, en parlant, je peux voir à sa poitrine que l’excitation d’Amélie est en train de monter. Elles repèrent mon regard et rient.
— Il fait un peu chaud, non ? nous dit Fanny avec un sourire en coin.
Et en continuant :
— Bon, puisqu’on a cuisiné, tu veux bien faire la vaisselle pendant qu’on règle deux-trois petites choses...?— Euh oui bien sûr, pas de problème !
Comment pourrais-je refuser quoique ce soit à ces femmes ? Surtout qu’elle m’a particulièrement intrigué avec ses "petites choses", qu’est-ce qu’elles me réservent ?Elles me laissent dans la cuisine et se dirigent vers le salon, je ne les vois plus, mais en lavant, je les entends régulièrement pouffer, ce qui a pour effet de dupliquer ma curiosité et mon envie.
— J’ai fini, je peux venir ?— Attends encore une minute ! me dit Fanny.
*...*
— C’est bon, on est prêtes, dit-elle avec une intonation qui laisse transparaître leurs intentions.
Je me dirige vers le salon et je les trouve toutes les deux en porte-jarretelles, une coupe de vin à la main et avec une ambiance tamisée accompagnée d’une douce musique. Autant vous dire que mon sang n’a fait qu’un tour et s’est immédiatement dirigé vers mon entrejambe. En voyant la bosse se former, elles ont de nouveau ri.
— Tiens tiens, mais que se passe-t-il ? C’est nous qui provoquons ça ? dit Fanny d’un air faussement étonné.— Ah je... Je ne me l’explique pas, vraiment ! Je suis confus ! réponds-je du même air sarcastique.— Installe-toi confortablement, me dit ensuite Fanny en m’indiquant le canapé.
J’obéis donc docilement sans les lâcher du regard.Elles commencent ensuite à danser, toujours en riant doucement. Leur danse se fait de plus en plus sexy, elles se rapprochent l’une de l’autre en glissant sensuellement.Elles ne rient plus, elles font ça très sérieusement. Elles s’embrassent, s’enroulent leurs langues, Fanny s’accroupit et remonte avec sa langue de la naissance de l’entrejambe d’Amélie jusqu’à son cou en passant entre ses seins. La tête d’Amélie bascule vers l’arrière dans un gémissement.

De mon côté, je suis bouche bée. Je n’en reviens pas de ce qui est en train de m’arriver. Mon boxer peine à retenir mon sexe qui n’a jamais été aussi dur et impatient. Je vais pour le libérer, mais Fanny me voit et me fait non de la tête, laissant sous-entendre qu’elles comptent s’en charger plus tard...
Je n’avais pas remarqué, mais elles se sont lentement rapprochées de moi, et les voilà qui posent chacune une main sur mes cuisses. Elles dansent encore, mais, cette fois, c’est sur moi qu’elles glissent. Je sens le souffle chaud d’Amélie se rapprocher de mon visage, je tourne la tête, elle la prend dans ses mains et m’embrasse dans un baiser plein de fougue. Nos langues s’entremêlent et Fanny n’est pas en reste, elle a désormais posé sa main sur ma braguette et l’ouvre doucement puis retire mon pantalon. Je ne laisse pas mes mains au repos et m’occupe de la poitrine d’Amélie :
— Ils m’avaient manqué ces deux-là...— Chanceux, tu en as même quatre aujourd’hui, ajoute Fanny.— En effet, je ne sais pas comment je vais faire, je n’ai que deux mains et une bouche.— Ne t’inquiète pas pour ça, dit Amélie, en s’emparant des seins de sa collègue.
Et c’est après cette vision parfaite que nous avons entamé de nous déshabiller mutuellement, le tout accompagné de caresses sensuelles et de baisers perdus un peu partout. Amélie est la première à se retrouver nue et, d’un regard, Fanny et moi nous mettons d’accord pour nous occuper d’elle comme il se doit.Alors que je lui faisais un cunnilingus, son amie lui malaxait et embrassait les seins, mordillant ses tétons puis l’embrassant à pleine bouche.Ce fut ensuite au tour de Fanny de subir nos assauts sans pouvoir y résister. Elle poussait de doux gémissements pendant qu’Amélie lui glissait deux doigts dans son intimité et que je l’embrassais et la caressais du mieux que je pouvais.Elles se sont finalement retournées vers moi et ont terminé de me déshabiller, libérant enfin ma verge trempée de désir.
— Il faut absolument qu’on s’occupe d’elle, elle a été délaissée bien trop longtemps, tu n’es pas d’accord avec moi Amélie ?— Tout à fait !
Elles m’ont alors administré la meilleure fellation que j’aie jamais reçue, pendant que l’une faisait des va-et-vient avec sa bouche, l’autre manipulait délicatement mes testicules et caressait tout ce qu’elle pouvait.Après quelques minutes de ce traitement, j’ai senti que je ne pourrais plus résister longtemps et les ai donc prévenues.
— On a toute la soirée, on ne va pas te priver de ce plaisir, laisse-toi aller, me susurra Fanny.
Amélie s’est alors activée de plus belle sur mon érection.
— Ahh c’est trop bon ! Je vais venir !
J’ai alors joui dans sa bouche et elle n’en a pas manqué une goutte, partageant ma semence avec notre amie dans un baiser endiablé.
... la suite bientôt
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