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Irrésistible attraction

Chapitre 1

Trash
Nous sommes vendredi soir et je quitte le boulot après une semaine bien fatigante, je passe voir Laure à son bureau.
— Salut Laure, je pars. Dis-moi demain, vers quelle heure tu souhaites que l’on arrive ? — Salut Yann, vers 20 heures. — Très bien, tu veux que l’on apporte quelque chose pour le dîner ? — Non merci, venez avec votre bonne humeur. Allez à demain.
Je la salue et quitte le bureau.
Sur le chemin du retour, la circulation est dense, ce qui me laisse tout loisir de me remémorer notre première rencontre avec Laure.Etant chef du service qualité dans une entreprise de production de textiles’ haut de gamme’ depuis cinq ans, j’étais à la recherche d’une créatrice dans ce domaine. Après avoir rencontré plusieurs candidates, ce fut le tour de Laure. Une très belle jeune femme, brune, un visage fin et harmonieux, un physique très agréable, mais ce qui m’a tout de suite séduit chez elle, c’est son tempérament. Très directe et incisive, elle me parait très rapidement être la personne que je recherche pour prendre en charge ce poste, qui demande beaucoup de ténacité et d’engagement. Effectivement, elle devra diriger des équipes qui se composent à plus de 80% de femmes.
Une fois son contrat signé, elle s’est mise au travail et au bout de sept mois, elle a fait des miracles. Nous avons aussi pendant cette période appris à mieux nous connaître.
Pourtant ayant le même âge, elle est aux antipodes de ma femme Isabelle, avec son humour potache et sa liberté d’expression.Ma femme, issue d’une famille bourgeoise, est beaucoup plus dans la retenue, dans l’image. C’est une très belle femme également, élancée, elle a de belles formes, des seins ronds et des hanches marquées, mais le plus beau c’est sa chute de reins qui tombe sur une superbe paire de fesses. J’adore le cul de ma femme, et au vu des regards de certains hommes dans la rue, je ne suis pas le seul.Cela fait huit ans que nous vivons ensemble, d’une relation passionnée, nous avons glissé doucement vers une routine tranquille en ayant aujourd’hui l’objectif de faire un enfant. Notre sexualité a suivi la même évolution, de parties de baises endiablées, nous sommes arrivés à faire l’amour dans le lit conjugal sans grande originalité.
Mais je reviens à Laure. Je dois vous l’avouer, elle ne me laissait pas indifférente, toujours habillée convenablement, mais avec une pointe de sensualité, soit une jupe au-dessus des genoux, qui laissait voir ses belles jambes gainées de collants ou de bas, soit un haut moulant ou un décolleté profond, faisant ressortir sa belle poitrine. En fait, Laure est une mutine.
Mais un jour, nous étions au restaurant ensemble, elle m’a avoué, sans ambages ni gène, qu’elle était lesbienne. Je pense qu’au fond de moi, je m’en doutais. Pour moi, son orientation sexuelle ne posait vraiment aucun problème, bien au contraire, nos liens se sont renforcés, car je pense que nous n’étions pas nombreux à être dans la confidence.
Il y a deux semaines, Laure entre dans mon bureau, referme la porte et me demande si je suis partant pour venir moi et Isabelle dîner chez eux, elle souhaite me présenter Emma, sa compagne et ainsi faire aussi la connaissance de ma femme. Après en avoir discuté avec Isa, qui était partante, nous avons accepté l’invitation.
Nous sommes samedi, Isabelle qui est propriétaire d’un cabinet d’esthétique a fermé un peu plus tôt.

Nous nous sommes préparés, moi je me suis habillé en décontracté. Je suis de corpulence mince, pas trop costaud, mais quand même sportif. Isabelle s’est habillée pour la circonstance, elle aime se faire belle pour sortir. Elle a une robe rouge, assez près du corps, qui met en valeur son physique et des escarpins rouges également.
— Dis-moi chérie, tu es ravissante dans cette robe, tu as l’intention d’emballer ce soir ?
Elle me répond en souriant.
— Tu aimerais bien... Deux femmes dans ton lit... C’est le fantasme de beaucoup d’hommes ça ?
Je dois l’avouer, c’est aussi un des miens.
— C’est une proposition que tu me fais ? — Petit pervers, tu aimerais ça, finit-elle en riant.

Il est 20 heures, lorsque nous sonnons à l’interphone de Laure. Nous pénétrons dans l’immeuble et Laure nous accueille.Nous entrons dans un superbe appartement, agrémenté d’une décoration très élégante et raffinée, lorsque Emma apparaît.
— Permettez-moi de vous présenter Emma.
Je ne peux pas vous expliquer ce que je ressens en la voyant, mais il se passe quelque chose en moi, une chaleur m’envahit, une émotion me fait comme tressaillir. Elle est devant moi, belle, grande, des yeux d’un bleu si profond, une bouche ciselée, un cou orné d’un large collier, elle est habillée d’un caraco noir en dentelle recouvert d’une veste tailleur noire, d’une jupe en cuir beige assez courte, laissant découvrir des jambes délicatement habillées de soie noire, sur des escarpins beiges. Il émane de cette femme, une sensualité étonnante, et un charme magnétique et j’en suis profondément troublé sans pouvoir réellement expliquer pourquoi.
Nous finissons les présentations, j’offre le bouquet de fleurs à Emma qui me remercie et Isa offre la bouteille de Fine Cognac à Laure qui s’empresse de lui faire la bise. Je connais bien Laure et son naturel.
Toutefois, je perçois dans son regard quelques indiscrétions flatteuses sur le physique d’Isabelle. Pour une fois que ce n’est pas un homme qui lui mate son cul, me dis-je.Nous prenons place dans le salon où l’apéritif est déjà préparé. Laure s’installe face à Isa et moi face à Emma.
Laure est habillée d’une robe, moulée en haut, mettant en valeur sa généreuse poitrine, puis plutôt ample dessous. A priori, ses jambes sont nues et une paire de baskets blanche. Comme à son habitude, elle est amusante et commence à détendre l’atmosphère en racontant quelques anecdotes de boulot, qui font rire tout le monde.
Nous en sommes à la deuxième tournée d’apéros, Laure alors décide d’aller préparer les entrées et Isa se propose de l’aider.
Nous sommes seuls quand soudain, Emma me demande comment nous nous sommes rencontrées, Isa et moi. Une fois de plus, je ressens ce trouble, car si, il y a une chose que je trouve très sensuelle, voire sexuelle, chez une femme, c’est la voix et la voix d’Emma, légèrement cassée, me charme directement et chose qui ne m’arrive que très rarement auprès d’une personne inconnue, je ressens une terrible excitation qui commence à faire durcir mon sexe.
Je rentre alors, malgré moi, dans un jeu de séduction, je lui explique que j’ai rencontré Isa lors d’un mariage d’amis communs. Nous étions tous les deux les témoins des mariés, elle celui du marié et moi celui de la mariée. Nous étions à la même table, et tout a commencé par une maladresse. Ayant mal aux pieds dans mes chaussures neuves, j’ai ôté le pied droit pour me soulager.Puis sentant une petite crampe, j’ai tendu la jambe sous la table. Mon pied est venu caresser l’intérieur de jambe de ma voisine d’en face, qui était Isabelle. Alors par réflexe, elle a resserré ses jambes, emprisonnant mon pied. Surpris, j’esquissais un sourire, qu’elle me rendit. Sa main ensuite glissa discrètement, sous la table et m’ôtant ma chaussette, elle me chatouilla. Le reflex fut violent et retirant mon pied dans un cri qui fit sursauter les convives. Isabelle éclata de rire et je ne pus que rire à mon tour. Ce fut notre premier fou rire.
Alors que le dîner avançait, nos échanges de regards étaient de plus en plus intenses. Lorsque le fromage arriva, je sentis le pied d’Isabelle se positionner entre mes jambes. Au contact de son pied, je sentis mon sexe durcir ...
Prenant conscience de ce que j’étais en train de raconter à Emma, j’arrêtai net mon récit. L’apéritif avait dû me faire oublier certaines retenues.
— Je suis désolé, je ne voulais pas être inconvenant en vous racontant ces détails plutôt déplacés, je ne me suis pas rendu compte. Je vous prie de m’excuser.
Emma alors pose sa main sur mon genou. Ce contact ne fait qu’augmenter mon trouble ainsi que mon érection.
— Je vous en prie Yann, déjà nous pourrions nous tutoyer, et je dois vous avouer, j’aime bien les histoires de sexes. Alors continuez dans ce sens et je vous promets, cela restera entre nous deux, finit-elle avec un large sourire.

Je reprenais mon récit. Le contact du pied d’Isa avait fait durcir mon sexe. Isa avait alors très discrètement avancé ses fesses sur le bord de sa chaise, de manière à appuyer la plante de son pied dans mon entrejambe et de ce fait sur mon sexe durci. Je bandais dur et son regard ne se fit pas attendre.
— Dites-moi Yann, vous savez ce qu’il y a comme dessert ?
Dans le brouhaha ambiant, personne ne faisait vraiment attention à notre échange.
— Non, pourquoi cette question ?
Appuyant encore un peu plus son pied.
— J’ai très chaud. Et j’ai très envie de sucer une glace à la crème !!! Ça vous dirait à vous ?
Emma, pour la première fois, semble surprise par la réflexion d’Isa :
— Ouah elle est très directe ta femme... alors qu’as-tu fait ?
J’ai glissé ma main sous la table, ouvert ma braguette, sorti mon sexe avec quelques difficultés, puis j’ai caressé la plante du pied d’Isa avec mon gland humide ... »
Ça plaît à Emma, ses beaux yeux bleus brillent d’un ardent feu.
« Je me suis caressé pendant quelques secondes puis je lui ai répondu :« Si tu le souhaites, on peut aller vérifier si le parfum de cette glace est bien à ton goût ? » Je m’amuse et Isa aussi.
— Oui, allons-y ! J’ai hâte de le savoir, mais il te faudra aussi ne pas oublier de déguster le coulis ? dit-elle en se levant.— Tu sais quoi, j’adore ça le coulis, en général à la fin de la dégustation, j’en ai plein le visage.— J’ai très envie de voir ça.
J’ai juste le temps de remballer le matos, qu’Isabelle me saisit la main pour m’entraîner... C’est à ce moment que les filles reviennent dans la salle avec les entrées.
— Allez on passe à table, dit Laure, que je trouve guillerette.

Emma se lève pour s’installer à table ; pour ma part, je me lève discrètement, car on pourrait aisément voir le renflement que produit ma bite raide au travers de mon pantalon.Laure m’invite à ouvrir le vin blanc. Une très bonne année.
Le repas se déroule bien, nous sommes vraiment reçus comme des invités de marque, les mets sont raffinés et les vins également.
L’alcool aidant, nous abordons des sujets qui seraient délicats d’aborder dans un autre contexte.
Laure demande à Isabelle si elle a déjà eu des désirs vis-à-vis d’autres femmes. Isa répond qu’effectivement, plus jeune, alors qu’elle pratiquait la danse classique depuis plusieurs années, elle avait ressenti un jour du désir pour une de ses amies danseuses. Isa à cette époque avait encore peu de formes, et son amie elle avait tous les attributs de la sensualité. Des beaux seins, des hanches fines, des fesses rebondies, de longues jambes et un visage d’ange. Un jour lors d’une répétition, cette fille est arrivée un peu en retard. Elle me confia qu’elle sortait d’un Rendez-vous avec son petit copain. Alors que nous nous changions dans le vestiaire, j’ai aperçu sans le vouloir son entrejambe. Le tissu de sa culotte était inondé de mouille. Cette humidité rendait le tissu transparent et on pouvait voir les lèvres de sa vulve gonflée.
Cette vision m’a immédiatement fait mouiller à mon tour et à cet instant, j’aurais tellement aimé fourrer mon visage au creux de sa fontaine et la manger. Ce fut ma seule pulsion envers une femme.Je suis abasourdi par la confession d’Isa. Jamais elle ne m’avait fait part de cette anecdote. Laure et Emma souriaient, quand soudain Isa piqua son fard.
— Oh, mais qu’est-ce qui me prend de vous raconter ça.
Emma alors répond.
— Mais il n’y a rien de choquant, surtout ne sois pas gênée, on a tous vécu des expériences comme ça. Toi Yann, tu as bien eu des idées similaires ?. — Non pour ma part, je n’ai jamais eu des envies ou d’expériences de cet ordre. Des fantasmes un peu scabreux avec des femmes, oui bien sûr, mais jamais avec des hommes. En fait, les muscles, les torses velus, ne m’ont jamais excité, au contraire des poitrines rondes, des hanches fines et des fesses rondes, enfin tu vois bien Emma ce que je veux dire ?
Emma alors se lève et me demande de l’accompagner dans la cuisine pour préparer le dessert.
Je la suis alors que Laure et Isa continuent leur discussion.Arrivés dans la cuisine, Emma me demande.
— Alors comment s’est finie votre soirée, je suis curieuse ?
Nous sommes debout devant le plan de travail où Emma prépare une salade de fruits, et ma bosse est toujours aussi présente.
« Bien, Isa m’a entraîné jusque devant les toilettes. Elle est entrée dans celles des femmes, puis ressortie.
« Allez viens il n’y a personne »Nous sommes alors entrés dans une cabine, Isa s’est assise sur la lunette, a sorti mon sexe, et a commencé à le lécher du bout de sa langue. C’était divin, ensuite elle a ouvert la bouche et tout en plantant son regard dans le mien, elle a avalé tout. Je sentais mon gland enserré dans le fond de sa gorge.
Elle savait y faire. Elle m’a sucé avec passion. Le moment où j’ai basculé, c’est lorsqu’elle a relevé sa jupe, descendu sa culotte et ouvert largement les cuisses pour commencer à se masturber. Cette vision de sa chatte offerte et luisante de cyprine, mais fait jouir dans sa bouche. Isa a alors reçu mon abondante jouissance.
Puis une fois la source tarie, elle m’a montré sa bouche pleine de mon sperme puis a tout avalé. Malgré mon éjaculation, je bandais encore très fort, j’ai soulevé Isabelle puis ai pris sa place sur le trône. Elle a passé sa jambe au-dessus de mon épaule pour appuyer son pied sur le réservoir des toilettes. Merci la danse pour la souplesse. De cette manière, sa vulve était largement ouverte et devant mon visage.Viens bouffer mon coulis, cria Isa.Plongeant mon visage dans cette moiteur, je me délectais de sa liqueur tout en me branlant.Elle a joui en quelques secondes, mais j’ai continué à la lécher et nous avons joui une deuxième fois tous les deux. »
Emma est troublée et me dit que ce n’est pas commun comme rencontre. Pour ma part, je bande encore comme un fou et j’imagine qu’elle s’en est aperçue.
Nous retournons ensuite à table, où Laure et Isabelle sont pliées de rires. Je prends place rapidement pour éviter qu’elles ne s’aperçoivent de mon état d’excitation.
— Eh bien, les filles, ça a l’air de bien se passer, dit Emma.— Oui très bien, et vous aussi on dirait, répondit Laure.

Merde, si ça se trouve, elle a vu que je bande !
Emma alors reprend.
— Allez, servez-vous en dessert, j’ai chaud moi !
Alors elle ôte sa veste et se retrouve en caraco dentelle.

Et ce n’est pas fait pour calmer mes ardeurs, car elle ne porte pas de soutien-gorge. On devine le galbe de ses seins, ainsi que la tache brune formée par ses tétons, qui bien sûr sont érigés.
Laure nous sert un verre, nous commençons à être un peu chaud sur l’alcool. Laure alors s’adresse à
Emma en rigolant.
— Dis-moi chérie, tu as oublié de mettre un soutif.
Emma répond.
— Non chérie, tu sais bien que je ne trouve pas ça beau avec un caraco. Et puis dis donc, c’est l’hôpital qui se fout de la charité, tu oublies que toi tu ne portes jamais de culotte.
Nous partons tous dans un fou rire, mais je réalise qu’au travail, Laure est en robe ou en jupe, et qu’elle est nue dessous. C’est un de mes fantasmes et je me rappelle l’avoir déjà demandé à Isa, mais elle ne l’a accepté que très rarement. J’en profite.
— Et bien Isabelle, elle n’aime pas trop se balader nue sous sa robe, elle a peur d’être découverte.
Isa me fait les gros yeux. Laure surenchérit.
— Moi j’adore être nue. Je sais même que des voyeurs ont dû voir ma chatte, mais en fait j’aime bien l’idée, et ça m’excite, mais surtout ça excite Emma !
Emma confirme.
— Oui j’aime la savoir disponible, et de savoir que je peux en user n’importe quand augmente mon désir d’elle. Isa, tu devrais essayer. Je te propose d’aller dans la salle de bain et d’ôter ta culotte, allez tu vas faire un grand plaisir à Yann et Laure se sentira moins seule.
Isa répond alors.
— Et toi Emma, tu portes une culotte ce soir ? Oui, répond Emma.— Alors j’ôte la mienne si tu ôtes la tienne, finit-elle dans un rire nerveux ».— Désolé, mais je suis indisposée, je ne peux pas.
Isa alors se lève, se dirige vers la salle de bain et disparaît.
Quelques secondes plus tard, elle revient tenant à la main son string rouge.
— Et voilà, c’est fait.
Laure applaudit et nous l’accompagnons.
— Tu vas voir si tu le fais régulièrement, tu ne pourras plus t’en passer. Dis Yann, j’espère que tu es conscient que tu as une femme qui fait des efforts pour toi, il serait souhaitable que tu le lui rendes par retour.
Pour finir la soirée, nous nous sommes installés à nouveau au salon pour le café et les digestifs.Alors que j’ai dans mon esprit que deux des femmes de l’assistance sont nues sous leurs robes, la discussion est partie sur le travail. Isa a expliqué qu’elle avait repris un institut de soins esthétiques à son compte. Elle travaillait seule et avait réussi à fidéliser une clientèle plutôt aisée. Répondant aux questions de Laure, elle explique que les soins qui sont les plus demandés sont les épilations et principalement l’épilation du maillot totale.
Puis c’est le tour d’Emma qui elle travaille comme infirmière. Elle nous confie pratiquer des soins dans un service spécialisé dans le traitement des problèmes sexuels, qu’ils soient d’ordre psychologique ou mécanique.Je me dis qu’ils sont gâtés les patients avec une aussi belle infirmière, ils doivent vite retrouver l’envie de bander.
Vers deux heures du matin, nous prenons congé, alors que Laure demande à Isa si elle peut la contacter pour prendre rendez-vous à l’institut.
Cette soirée a été ahurissante, mais surtout très excitante. Ma queue est encore dure et je ne peux pas m’empêcher de mater ma femme, alors qu’elle prend place dans la voiture en écartant les cuisses exagérément pendant que je lui ouvre la portière, voyant ainsi distinctement sa vulve détrempée.
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