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Irrésistible attraction

Chapitre 3

Trash
Suite à notre partie de baise en voiture avec Isabelle, nous avons encore baisé à la maison. Ce qui est étrange, c’est que nous avions retrouvé notre fougue du début. Étonnement, durant tout le week-end qui suivit, nous n’avons plus abordé le sujet de cette soirée, pourtant assez marquante.
Le lundi, j’arrive au bureau, j’aperçois Laure à la machine à café. Elle est habillée comme à son habitude d’une jupe assez courte et d’un chandail en laine près du corps, mettant en valeur ses seins. Cette première vision me remémore la soirée et le fait qu’Emma ait révélé que Laure ne portait jamais de culotte. L’effet fut immédiat et j’ai senti ma queue se gonfler en imaginant la fente à l’air de ma collègue.
Je la rejoins. Elle est tout sourire et me dit.
— Salut Yann, tu as l’air en pleine forme ce matin ?
Elle a dû voir ma bosse, mais pour autant je ne cherche pas à la cacher.
— Oui merci. Toi aussi. Je voulais vraiment vous remercier toi et Emma, pour cette délicieuse soirée et bien sûr Isabelle aussi. Elle vous a trouvées exceptionnelles toutes les deux.
Laure sourit et me répond.
— Merci à vous, cela faisait très longtemps que nous n’avions pas passé une aussi bonne soirée avec des amis. Ta femme est vraiment extra, très cool et surtout (tout en rigolant) trop bonne.
Je connais bien l’humour de Laure, mais cette fois-ci, je suis certain qu’elle pense ce qu’elle me dit. Elle ajoute.
— Je ne sais pas ce que vous vous êtes raconté avec Emma, mais elle n’a pas tari d’éloges à ton sujet. Heureusement que tu es un homme, car j’aurais pu vraiment être jalouse.
La journée se passe, et malgré une excitation permanente liée au fait que j’épie Laure dans ses moindres faits et gestes, guettant l’opportunité de voir sa chatte, c’est Emma qui occupe le plus mon esprit. Cette fille a réveillé en moi un désir irrésistible.
C’est toujours dans cette disposition d’esprit que je rentre à la maison.
Je me sers un verre et m’affale dans le canapé. Isabelle rentre à son tour, elle m’embrasse rapidement et me demande comment s’est passée la journée. Je constate que nous sommes revenus à notre routine habituelle, loin des baisers torrides du week-end.

Je lui rapporte les commentaires de Laure en évitant de lui dire qu’elle l’a trouvé ‘ Bonne’. Elle me répond qu’elle sait, car elle a eu Laure qui souhaitait prendre rendez-vous pour un soin. Je suis étonné, car Laure ne m’a pas prévenu qu’elle allait la contacter.
— Et alors, elle vient quand ?— Je n’avais pas beaucoup de créneaux, elle vient vendredi soir, presque à la fermeture. Je finirai un peu plus tard, mais ce n’est pas grave, elle est tellement sympa. Par contre, elle était embêtée, car elle devait accompagner Emma faire les boutiques, pour trouver un ensemble pour le repas de Noël organisé par votre boulot. D’ailleurs, tu ne m’as pas dit pour cette année, on y va ou pas ? Si Laure et Emma y vont, j’aimerais bien y aller moi aussi, cette fois !!
Je lui réponds que je n’y vois aucun inconvénient.
Le lendemain au bureau, alors que nous faisons la queue à l’entrée de la cantine, Laure me dit.
— Au fait, Yann j’ai pris rendez-vous avec Isabelle, vendredi soir.
Je lui réponds qu’effectivement elle m’en a parlé hier soir.
— Dis-moi, je suis très ennuyée, car je devais accompagner Emma faire quelques emplettes, et elle n’aime pas être seule, elle a peur de se faire embêter. Est-ce que ça te dérangerait de l’accompagner ?
J’avoue que, lorsque Isa m’en a parlé hier, je n’y ai pas pensé, mais je ne voulais pas que l’idée vienne de moi.
— Oui bien sûr, si Emma est d’accord, je le ferai avec grand plaisir ?
Laure heureuse me remercie chaleureusement.
— Je suis sûr qu’Emma sera ravie que tu l’accompagnes, je sais qu’elle t’apprécie beaucoup.
Nous sommes vendredi, j’ai hâte et dans le même temps, je suis un peu angoissé de me retrouver seul avec Emma. Laure m’a dit, avant de partir faire son soin chez Isabelle, qu’Emma m’attendrait à l’entrée du centre commercial qui reste ouvert jusqu’à 22 heures le vendredi.
Je suis passé aux toilettes pour réajuster mes vêtements, me coiffer, histoire d’être présentable. Il est 19 heures lorsque j’arrive au rendez-vous. Emma est bien là, toujours aussi mystérieuse et toujours aussi belle et envoûtante.
Je l’observe en m’approchant et je me fais la réflexion qu’elle pourrait être la synthèse de l’image que je me fais de la femme parfaite, ses seins sont généreux, ses hanches fines, une chute de reins creusée tombant sur des fesses rondes et galbées, et ses jambes longues aux chevilles fines. Elle est vêtue d’une jupe crayon, qui lui arrive au-dessus des genoux et d’un haut moulant, agrémenté d’un profond décolleté. Elle est très classe.
Et je dois me l’avouer, je la désire comme un fou.
Emma me salue avec un grand sourire en me faisant la bise. Le contact de sa bouche sur ma joue ajoute à mon trouble.
— C’est vraiment très gentil Yann de m’accompagner.
Et cette voix finit de m’ensorceler.
— Je t’en prie Emma, tout le plaisir est pour moi et je me fais une joie de t’escorter.
Elle me saisit la main et nous entrons, elle me murmure.
— Je compte sur toi pour me donner ton avis sur mes essayages, ça me changera de Laure qui ne veut pas de tenues trop sexy !
Je suis, une fois de plus décontenancé par cette confidence, ce qui ne fait qu’augmenter mon excitation. D’ailleurs, je sens ma verge se raidir sensiblement, tout en répondant.
— Oui, si mes goûts te séduisent, mais je te trouve déjà extrêmement sexy.— Oh merci beaucoup pour ce joli compliment, tu me troubles. » Puis elle ajoute.— Je ne doute pas de tes goûts quand on voit la très belle femme qui t’accompagne, tu es forcément un homme qui a du goût.
Nous arpentons la galerie marchande, Emma fait divers essayages, des robes, des ensembles.
Elle jette son dévolu sur une robe longue satinée noire, avec dos nu et grand décolleté. Inutile de dire que l’essayage m’a mis dans tous mes états. Car le dos nu implique, pas de soutien-gorge. J’ai pu voir la beauté de ses seins au travers du fin tissu, les pointes saillantes de ses tétons qui perçaient. J’ai fini cet essayage avec une belle bosse au creux de mon pantalon.
— Je vais prendre celle-ci. Je ne vais pas te demander si elle te plaît Yann. Ça se voit, sourit-elle en regardant ma bosse.
Je suis mortifié et le rouge me monte aux joues.
— Excuse-moi Emma, je ne voulais pas te... Elle me coupe :
— Ne t’excuse pas, je crois qu’il n’y a pas de plus beau compliment, que de voir l’effet que tu peux faire à quelqu’un. Et dans ton cas, c’est très flatteur pour moi.
Emma règle ses achats, et nous sortons du magasin, elle m’annonce qu’elle doit maintenant choisir des bas pour aller avec sa tenue. Elle m’assure que ce sera le dernier essayage.
J’imagine bien que je ne pourrais pas y participer. Mais mon esprit est en pleine ébullition rien que d’imaginer Emma nue en bas et porte-jarretelles.
Nous arrivons devant la boutique, elle entre alors que je m’arrête à son seuil.
— Eh bien, Yann, que fais-tu ? — Je vais t’attendre ici.— Il n’en est pas question, allez viens, j’ai besoin de ton avis.
Il est tard, il n’y a plus de cliente et la serveuse nous salue.
— Bonsoir, puis-je vous aider ?— Oui je recherche des bas de soie noirs.
La vendeuse cherche dans les tiroirs et sort quelques modèles.
— Vous cherchez des bas plus fantaisies ou plutôt classes.
Et je suis surpris pas la réponse d’Emma qui s’amuse.
— Mon mari aime surtout ceux qui feront le plus sexy.
La vendeuse sourit et lui tend deux modèles.
— OK je vous fais confiance, j’aimerais aussi essayer un porte-jarretelles qui irait avec, s’il vous plaît.
Nous nous déplaçons vers les sous-vêtements et je bande à mort.Emma prend deux modèles puis demande si elle peut les essayer.
La vendeuse lui montre les cabines au fond.
— Ça vous dérange si mon mari m’accompagne ? — Non pas du tout, toutefois je lui demanderais de rester en dehors de la cabine. Vous comprenez qu’avec autant de tentations, Monsieur pourrait avoir des envies. D’ailleurs si je peux me permettre, je crois qu’il en a déjà !!! finit-elle.
Merde un sous-entendu à ma bosse qui n’en finit pas de grossir. Emma sourit et m’entraîne dans le fond où se situent les cabines d’essayage. Elle écarte les deux rideaux et pénètre à l’intérieur, puis referme les rideaux.Je suis devant et j’attends. J’aperçois au loin la vendeuse qui s’affaire à sa caisse. Certainement la comptabilité de fin de journée.
Soudain, j’entends Emma qui me demande si je peux l’aider ?.
J’écarte délicatement les rideaux, et la vois, le buste dénudé jusqu’à la taille. Ses seins sont magnifiques, ronds aux aréoles fines et tendues. Ils ne tombent pas et se dressent comme arrogants. Elle sourit et me dit.
— Ils te plaisent mes seins ?
Je balbutie un oui beaucoup. Puis elle continue:
— Tu peux m’aider à ôter ma jupe ? la fermeture éclair est dure, merci.
Je me dis qu’il n’y a pas que la fermeture qui est dure. Elle se tourne me présentant son cul. Je passe les mains par l’ouverture des rideaux et fais glisser la fermeture. La jupe étant libérée, tombe au sol. Me laissant découvrir les fesses presque nues d’Emma, au fil de son string près. J’aime le cul de ma femme, mais là je crois que j’ai trouvé encore plus beau. Il est blanc et rebondi, ses formes sont parfaites, mettant en valeur sa fine taille et sa chute de reins. Mais au-delà de cette splendeur, il y a un quelque chose dont Isabelle ne m’a jamais gratifié. Oui sous le mince fil de son string, je peux facilement apercevoir la belle rosace rouge rubis d’un bijou anal, un rosebud.
Je suis médusé et fasciné aussi. Je prends aussi conscience qu’elle a ce plug fiché dans son anus depuis le début de notre rendez-vous. Mon excitation est à son comble, je n’ai qu’une envie, c’est de me branler devant un si beau spectacle et d’évacuer cette énorme envie de gicler.
— Il est beau mon bijou. C’est Laure qui m’a demandé de le porter ce soir. Elle aime me savoir pluguée lorsqu’elle ne m’accompagne pas. Je dois avouer que ce soir, j’ai particulièrement apprécié. Et toi Yann ça t’excite ?
Je lui dis qu’elle a un corps de rêve et que oui je suis extrêmement troublé par cette vision de paradis.Alors elle s’agenouille et opère une rotation à 180 degrés, plaçant son visage face aux rideaux.
— Non Yann, je veux savoir si ta bite est toujours dure.
Cette fois c’est elle qui passe les mains à l’extérieur de la cabine. Alors que je surveille la vendeuse du coin de l’œil, elle ouvre ma braguette, en plongeant sa main dedans, elle en ressort ma queue. Elle est énorme et dure. Mon gland est humide d’excitation. Puis elle sort aussi mes couilles. M’attrapant le sexe, elle le tire vers elle. Je suis maintenant tout contre les rideaux, la tête et maintenant la bite dans la cabine.
— Eh bien Monsieur est très bien membré. Avec, ce qui ne gâche rien, des couilles bien lourdes. Que J’espère pleine de foutre ?
Emma alors commence à les lécher, les aspirer, sa langue est chaude et je frissonne de ses premières caresses buccales. De sa main gauche, elle saisit mon pieu et le place devant sa bouche. Elle dépose ses lèvres sur mon gland. Laissant sortir le bout de sa langue, elle pénètre le méat juteux.
— J’aime ton goût. Tu sais ça fait une semaine que je pense à la pipe d’Isabelle dans les toilettes. Une semaine que j’imagine ta bite dans ma bouche, tu m’as tellement excitée.
Puis elle ouvre la bouche et avale tout. Son nez vient se poser sur le bas de mon ventre. Elle a pris l’intégralité de ma verge dans sa bouche. Mon gland est enserré dans sa gorge. Quelle suceuse de rêve, je pensais que Isa était la meilleure, mais je viens de trouver la meilleure pompeuse de dard du monde. Elle m’astique furieusement et je sens qu’avec un tel traitement, je vais cracher en quelques secondes. Mais cette salope sait y faire, elle calme le jeu. La bave aux lèvres, elle me susurre de sa voix cassée.
— Alors, est-ce que je suce aussi bien que ta femme ?
Je lui réponds avec enthousiasme qu’elle est bien meilleure suceuse. Subitement, elle glisse sa main libre sous mes couilles et la fait glisser au fond de mon pantalon. Je sens ses doigts s’insinuer dans mes fesses. Alors qu’elle reprend ma bite en bouche, je sens son index se déposer sur mon anus. Mais que fait-elle ?
Pendant qu’elle me rejoue gorge profonde, elle enfonce son doigt jusqu’à la garde dans mon cul. Heureusement pour moi, il était bien lubrifié. Toutefois la surprise est telle que je lâche un cri.
— Isabelle, elle, n’a jamais osé te faire ça. Moi j’ose, car j’adore l’anal et je sais que l’on peut transcender la jouissance par le cul. Tu vas voir, je vais te faire jouir comme jamais.
Mais mon cri a alerté la vendeuse qui a quitté sa caisse et s’approche de nous. Je suis un peu en panique, car j’ai ma bite dans la gorge d’Emma, et un deuxième de ses doigts dans le cul.La jeune femme demande si tout va bien.
Emma répond, lâchant mon dard.
— Oui Mademoiselle, j’essaye le deuxième.— Très bien, est-ce que la taille est bonne ?— La taille impeccable, il est plutôt serré, mais j’adore forcer un peu quand je pénètre dedans...
Je pense vous prendre les deux, avec les bas bien sûr.
Cette annonce ravit la vendeuse, au prix où sont les articles, elle va bien finir la journée.
— Je vous laisse finir l’essayage ». Puis elle s’éloigne.
Emma a repris sa fellation. Ses doigts sont maintenant un véritable plaisir. Il glisse sur les parois de mon anus, me révélant une nouvelle sensation de plaisir intense. En quelques minutes, elle me fait monter au paradis et sentant alors mon corps se figer. Ma bite grossit encore comme un volcan qui va exploser de gros jets de lave, mon sexe se détend et libère un flot de foutre inouï dans la bouche de mon amante. De violents jets expulsent l’épais nectar. Emma ne pouvant plus recueillir ma sève, ôte mon sexe de sa bouche. Les derniers jets éclaboussent son doux visage et ses cheveux.
La pression retombe, et je prends conscience de la situation. Je viens de me faire sucer par la femme de Laure, ma collègue et amie, et je viens d’entamer d’un sérieux coup de couteau mon contrat de mariage avec Isabelle.
Je suis entre la culpabilité et le bonheur. Emma finit de nettoyer ma bite et la remet en place, refermant mon pantalon. Elle se relève, restant le long du rideau. Puis elle passe sa main derrière mon cou et plaque sa bouche sur la mienne. Sa langue force l’entrée qui ne résiste pas, et nous nous embrassons dans un furieux baiser. Ma jute envahit mon palais alors que nos langues se mélangent. Ce curieux baiser, incroyablement, redonne de la vigueur à ma bite alors que je viens de jouir. Cette femme me subjugue.
Emma alors me susurre.
— J’ai adoré te sucer et aussi le goût de ton foutre. Je ne me reconnais plus. Tu m’as simplement envoûtée. Puis elle referme le rideau.
Je suis frustré, car je n’ai pu ni voir, ni goûter, ni fourrer sa chatte ; je n’ai vu que son cul, délicatement paré de son bijou.
Je vais attendre Emma devant la caisse, elle ne tarde pas à m’y rejoindre. Je m’aperçois qu’elle n’a pas essuyé les traces de sperme dans ses cheveux. On voit distinctement dans sa chevelure les épaisses stries blanchâtres et poisseuses.
La vendeuse ne peut pas ne pas les voir.
— Comment s’est passé votre essayage ? — Très bien, j’ai vraiment adoré.— Oui c’était à votre goût ? Finit-elle en souriant.— Oui moi qui préfère la mouille, étonnamment, c’était à mon goût.
Je ne sais plus où me mettre, et je pense que mes joues prennent un peu de couleurs.Nous sortons du magasin, et je fais part à Emma qu’il lui reste des traces de sperme dans les cheveux. Elle me dit en riant qu’elle le sait bien, qu’elle a fait exprès pour moucher un peu cette vendeuse qui n’a pas voulu que l’on baise dans sa cabine.
— Par contre, il faut que je n’aie aucune trace en rentrant, Laure me tuerait si elle savait que je t’ai sucé !
Je vérifie qu’il n’y pas d’autre trace, Emma alors m’embrasse tendrement puis avant de retourner à sa voiture me dit.
— Yann, la prochaine fois que l’on se voit, je veux que tu m’encules fort !
Moi j’aurais déjà beaucoup aimé la baiser...
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