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Irrésistible attraction

Chapitre 4

Trash
Il est 19 heures 30 lorsque Laure stationne sa voiture, rue des acacias. Elle est à deux pas de l’institut d’Isabelle. Elle est habillée d’un long manteau beige clair qui descend aux chevilles. On ne voit que ses escarpins blancs.
Isabelle vient de finir les soins du visage d’une cliente habituée. Elle la raccompagne à la porte lorsque Laure arrive.Après avoir pris congé de sa cliente, elle invite Laure à entrer.
— Bonsoir Laure, tu as trouvé facilement ?— Oui très facilement. Comment vas-tu ? Mais c’est vraiment sympa le cadre aménagé avec beaucoup de goûts, on dirait un boudoir, vraiment j’adore.
Isabelle est touchée par ces commentaires flatteurs. De plus, Laure la trouble et elle se sent un peu gênée par cette sensation.
— Merci beaucoup, car ces compliments venant de toi, et ton goût raffiné me vont droit au cœur.— Je t’en prie, c’est sincère, alors dis-moi comment cela se passe ?— OK, confie-moi ce que tu souhaites comme soins ?— Tu sais, Emma n’aime pas les poils, comme ton mari. Rit-elle.— Bref, j’aimerais une épilation totale, tu crois que c’est possible ?— Oui bien sûr, par contre, si tu es très poilue, il faudra peut-être plusieurs séances ! Mais je vais d’abord vérifier tout ça et je te dirai OK -.
Isabelle invite Laure à la suivre dans une des alcôves dédiées aux soins du corps.
— Ôte ton manteau, j’arrive, je vais me laver les mains et chercher les serviettes.
Laure observe l’endroit. Une table réglable au centre style table de massage, et des présentoirs remplis de crèmes, d’huiles et de flacons de toutes sortes. C’est très douillet, chaleureux. Laure dépose son manteau et s’assoit sur la table.
Isabelle réapparaît quelques instants après. Elle ne peut pas cacher sa surprise en découvrant la tenue de Laure.
Effectivement, elle est habillée d’un chemisier blanc transparent, sans soutien-gorge et laissant facilement apercevoir sa belle poitrine. Une jupe courte écossaise rouge. Les jambes apparemment nues et les chevilles habillées de socquettes blanches sur des escarpins blancs hauts talons.
Laure sourit en voyant le visage d’Isabelle.
— Surprise ma Belle, ça te plaît ?— Oui beaucoup, mais c’est un peu étonnant comme tenue !
Laure s’approche et presque en touchant le bord de son oreille, elle souffle à Isabelle.
— Je me suis rappelée de ton fantasme avec ton amie danseuse, et je me suis dit que tu aimerais peut-être le concrétiser ce soir ?
Laure alors prend place sur la table et écarte largement ses jambes, ce qui a pour effet de remonter sa jupe au-dessus de la taille.Isabelle contemple le spectacle qui lui est offert, et sent une douce chaleur envahir son bas-ventre. Laure est habillée d’une culotte en tulle blanc qui laisse voir par transparence ce qui se cache dessous. De plus, sa vulve est tellement mouillée, que le fin tissu en moule ses moindres formes.Isabelle ne peut pas ne pas se remémorer l’anecdote confiée la semaine précédente. Le spectacle ravit Isabelle, et Laure le voit bien.
— Eh bien ma chérie, j’ai bien senti que c’était un vrai remord, un acte manqué, j’ai donc décidé de te donner une chance de réaliser ce désir inassouvi, et pour te dire vrai, ça fait une semaine que je ne pense qu’à cet instant.
Sans réfléchir, presque dans un état second, Isabelle pose ses mains à l’intérieur des cuisses de Laure, les écarte et baisse doucement son visage vers ce sexe offert. Un doux parfum envahit le nez d’Isabelle, excitant tous ses sens, la vue, l’odeur, il reste encore le toucher et le goût de cet abricot juteux à découvrir.L’état du sexe d’Isabelle ne laisse aucun doute sur son désir, il suinte la mouille.Alors elle sort délicatement la langue et la dépose à l’endroit du tissu le plus imprégné. Ce premier contact électrise nos deux amantes.
Le bout de la langue alors remonte vers le pubis de Laure, suivant, au travers de la fine étoffe, la faille qui sépare ses grandes lèvres, y déposant au passage un épais filet de cyprine. Laure est au nirvana. Cette délicatesse, si féminine, exacerbe son excitation et elle est déjà au bord de l’orgasme.Gémissante, elle ouvre ses cuisses encore plus largement, comme pour faire comprendre à Isabelle à quel point elle la désire.Cette langue alors se pose sur le côté du tissu, premier contact avec cette peau si douce. Elle lèche plus largement l’espace entre le haut de la cuisse et le bord de la culotte.
Puis elle s’arrête, essaye de forcer l’élastique, finit pas s’insinuer dessous et se pose sur la vulve noyée de Laure, qui ressert ses cuisses sur le visage d’Isabelle ; son corps se fige, puis se tend, ses fesses se soulèvent de la table, sous la pression de l’orgasme qui sourd dans le creux de son ventre. Puis après un instant d’immobilité du temps, elle relâche tout dans un très bruyant cri de jouissance. Un jet puissant, mais très court, jaillit en traversant facilement la barrière du tissu, inondant le visage d’Isabelle, encore prisonnier de l’intimité de Laure. Isabelle ouvre grand la bouche pour recevoir ce pur élixir au fond de la gorge.
Laure, affalée sur la table, relâche son emprise et libère Isabelle.
— Quel orgasme, excuse-moi, mais je n’ai pas eu le temps de te prévenir que je suis une fontaine !. Tu ne vas pas me faire croire que c’est la première fois que tu fais ça, tu es beaucoup trop douée pour en être à ton premier coup d’essai ?
Isabelle élude la question et attrapant la culotte inondée de Laure pour l’ôter. Elle découvre son pubis lisse et brillant, la fente encore gonflée de plaisir est tout aussi lisse, et comble de surprise, elle aperçoit, planté au milieu de ses fesses rebondies, comme un gros diamant bleu. Elle comprend que Laure est venue équipée d’un beau gode anal. Cette vision l’enchante et chuchote.
— Tu n’es pas venue pour un soin, tu avais ta petite idée derrière la tête ? -.— Oui j’avoue que tu m’as tout de suite séduite, et j’ai pensé à toi toute cette semaine, même lorsque Emma me baisait, je t’imaginais à sa place. C’est la première fois que ça m’arrive. Mais je savais que tu allais me faire jouir grave, et je ne me suis pas trompée.— Et ça. Rétorque Isabelle en posant son index sur le bijou anal ?— Ça c’est un cadeau d’Emma, elle aime que je le porte quand nous sommes ensemble, mais elle n’aimerait pas savoir que je le porte ce soir, tu peux imaginer !— Oui, effectivement, elle pourrait facilement penser que tu veux baiser.
Isabelle s’agenouille devant la chatte dégoulinante de cyprine ? Et plonge sa langue dans la fournaise. De sa main gauche, elle saisit le plum et branle le cul de Laure avec. Elle joue avec l’ouverture du sphincter. L’objet oblong s’y prête fort bien. Les gémissements ne laissent aucun doute sur l’efficacité de ses caresses qui déclenchent rapidement un nouvel orgasme de Laure.
Isabelle finit par ôter le plug de l’anus, laissant son trou dilaté et béant. Elle constate qu’il est gras et que Laure mouille aussi du cul. Elle plonge alors sa langue à l’intérieur. L’orifice étant distendu, la langue pénètre de toute sa longueur dans le fondement. Elle y trouve un goût âpre et épicé.
Laure attrape les cheveux d’Isabelle et force sur sa tête.
— Oh oui putain, comme tu es bonne ma salope, bouffe-moi le cul. Comme ta langue est vicieuse, je vais encore jouir...
Pendant ce temps, Isabelle enfonce le plug de Laure au fond de sa chatte et se branle avec. L’idée de savoir qu’elle le portait et qu’il est recouvert de son jus de cul la fait mouiller comme une folle. Elles ne tardent pas à jouir ensemble.
Isabelle reprend ses esprits, et constate que Laure a ôté son chemisier. Ses seins sont beaux ronds et lourds, légèrement pendants et elle aime ça. Laure descend de la table, fait glisser sa jupette et se retrouve nue. Isabelle n’a pas le temps de réagir, Laure s’agenouille, soulève la robe de son amante et autoritairement, plaque sa bouche sur sa vulve. Isabelle ouvre les cuisses pour l’aider à mieux la bouffer. Il n’y a rien à dire, une femme sait mille fois mieux lécher une autre femme qu’un homme. Et Laure est très douée dans ce domaine. Sa langue experte s’insinue dans les moindres anfractuosités de son intimité. Dans les endroits secrets, que seule une femme connaît, pour décupler son plaisir.
Ça va très vite, Isabelle sent son plaisir monter au galop et le coup de grâce lui est donné lorsque Laure lui fourre son index au fond de l’anus. Tremblant de tous ses membres, les genoux ne la supportant plus, elle jouit en oubliant les convenances de son éducation catholique.
— Ta bouche est bonne, tu es sacrement bonne ma salope, avale ma mouille chérie.
Et Laure de répondre.
— Oui c’est toi qui me rends salope comme ça, tu es vraiment une chaudasse et ta mouille est délicieuse. Vas-y lâche ton jus de moule dans ma bouche, petite pute. En fait, tu es une sacrée gouinasse dans ton genre !
Nous sommes éreintées, allongées l’une sur l’autre, nos corps se fondent l’un avec l’autre et nous échangeons notre premier baiser. Tout en douceur, nos langues se mélangent, jusqu’à ce que le goût de nos fluides corporels fusionne dans nos bouches perverses.Ce baiser rallume notre appétit sexuel, Laure reprend l’initiative, elle se place allongée sur le sol, écarte les jambes, puis saisissant une de mes chevilles, elle me guide pour que je me place face à elle, jambes écartées. De cette manière nos deux vulves entrent en contact.
C’est un choc, la douceur de nos lèvres qui se frôlent, la cyprine glissante qui électrise le moindre mouvement, le frôlement furtif de nos deux capuchons qui s’érigent comme deux petites bites. C’est divin et nous profitons un long moment de cet échange lesbien. Mais la passion et l’envie qui tenaillent nos ventres ont raison de notre délicatesse. La brutalité nous gagne et nous accrochons nos jambes pour augmenter gravement la pression sur nos sexes, écrasant, pénétrant notre chair, voulant sentir la chaleur incandescente de nos intimités. Nos lèvres s’écrasent les unes sur les autres, nos clitoris expulsés de leurs gangues sont exacerbés, jusqu’au moment où nos orgasmes se rejoignent, ravageant une nouvelle fois nos corps. Laure, elle, explose dans mon entrejambe une quantité de mouille beaucoup plus conséquente. Ce qui a pour effet de nous arroser toutes les deux d’une pluie de cyprine.
Nous sommes rassasiées de jouissance. Alors que nous reprenons conscience, Laure me remercie pour ce moment si intense et me réitère sa réflexion sur ses doutes.
— Tu as déjà baisé avec une femme, j’en suis certaine, tu es vraiment trop bonne ?.
Pour toute réponse, Isabelle embrasse Laure.
Il est tard et nous devons mettre un terme à ce moment magique. Nous nous rhabillons puis prenons congé l’une de l’autre.
Isabelle reste un peu chamboulée par ces derniers événements. Bien sûr, elle avait senti son attirance pour Laure, mais elle n’avait pas imaginé que ce pourrait être si intense. De plus, elle s’était fait démasquer et cela la troublait beaucoup !
Une fois remise de ses émotions, elle commence à ranger le désordre dans l’alcôve. Elle s’aperçut que Laure était repartie sans sa culotte et sans son plug anal.
Isabelle se demande si elle a fait exprès ou si c’est réellement un oubli. La culotte, je pense qu’elle me l’a laissée pour que j’aie l’odeur de sa chatte encore un peu, d’ailleurs je la porte à mon nez et respire fort. Elle sent bon sa moule. Par contre pour le plug, je pense qu’elle a vraiment oublié et ça risque de poser un grave problème si Emma s’en aperçoit en lui demandant de le porter.
Je ne peux pas lui laisser de message, c’est bien trop risqué. Je vais attendre qu’elle me contacte demain. En attendant, j’observe l’objet, il est très beau chromé, et d’une belle taille, se terminant par un clou où est enchâssé le cristal facetté.
Une drôle de chaleur envahit mon entrejambe, lorsque mon esprit s’aventure à imaginer essayer l’objet. J’ai le cul encore humide de mes orgasmes à répétition. Je m’allonge alors sur la table, écarte les jambes tout en les remontant. Dans cette position, j’ai mon anneau offert. Je dépose l’ogive dessus. Le contact me fait frissonner, puis je tente une première fois. Poussant sur l’objet, je sens l’orifice de tendre. L’ogive est presque arrivée à son diamètre le plus gros, mais la peur de la douleur me fait renoncer.Je fais une deuxième tentative, je pousse, je le sens me pénétrer et en même temps, je pousse sur mon anus, l’objet glisse plus facilement. Je sens mon sphincter se distendre, puis soudain, le plug glisse au fond de mon rectum, le remplissant. Il s’arrête lorsque le clou entre en contact avec mon anneau.
Ainsi il est verrouillé dans mon cul. Je tente alors de me lever et ne ressens aucune gêne, au contraire, que du bien-être. Je suis debout et lorsque je marche avec, pas de frottement, mais alors une sensation inattendue et une montée de plaisir immédiate. Car je sens au centre de l’ogive comme une bille qui se déplace à l’intérieur, créant une pulsation dans tout l’anus. A chacun de mes pas, je sens la bille se déplacer et engendrer une fréquence incontrôlable qui agit comme un amplificateur de plaisir. Je suis obligée de contrôler mon déplacement, sous peine de déclencher un orgasme debout. C’est surprenant, mais comme c’est bon. Je crois que je vais finir par devenir une adepte de l’anal si ça continue.
J’ai fermé l’institut, il est tard et je pense à Yann. Un peu honteuse de l’avoir trompée avec sa meilleure collègue de boulot, il va falloir que je le regarde en face ce soir et ça va être difficile. Mais je ne regrette rien, j’ai pris tellement de plaisir et j’ai même hâte de revoir Laure. A chaque pas que je fais pour rejoindre ma voiture, je sens l’objet que j’ai laissé planter dans mon cul, faire son travail de sape. La preuve, j’ai la chatte en feu, malgré le fait que je ne porte pas de culotte, comme me l’a ordonné Laure avant de partir !
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