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Irrésistible attraction

Chapitre 5

Trash
J’arrive au bureau, nous sommes au lendemain de l’aventure que j’ai partagée avec Emma.
C’était incroyable et mes pensées n’ont pas cessé de tourner dans mon esprit, revoyant sa délicieuse bouche lécher mon gland, ses grands yeux bleus plantés dans les miens, brillants d’une lueur obscène. Comme j’ai aimé cet instant et je n’ai qu’une hâte, c’est de la retrouver pour vivre encore de nouvelles aventures.
En attendant, je dois faire face à Laure, sans qu’elle ne puisse se douter de rien. C’est elle qui vient à ma rencontre.
— Salut Yann, comment tu vas ce matin ?
Je lui réponds que tout va bien, elle me confie qu’Emma était très heureuse du shopping que nous avons fait ensemble. Elle trouve sa robe noire très belle, mais un peu trop sexy à son goût. Elle reconnait bien mes influences masculines dans cette tenue, celles qui mettent en valeur les formes sensuelles d’une femme et qui font naître leurs désirs les plus inavouables.
— Heureusement que je connais ma femme et que je te sais fidèle, sinon je serai bien jalouse.
Ses mots me transpercent, et je dois m’éclipser pour ne pas laisser paraître mon émoi.
Je suis un beau salaud, j’en suis conscient, mais les choses m’ont échappé et depuis la première seconde où j’ai vu Emma, je me suis retrouvé irrésistiblement attiré par elle, comme hypnotisé par son aura. Je suis certain que je ne pourrais rien lui refuser.Une fois remis de mes émotions, je retrouve Laure au café.
— Alors et toi hier soir avec Isa, comment ça s’est passé? Tu es satisfaite des soins qu’elle t’a prodigués ? — Oh oui, ta femme est une vraie professionnelle. Elle sait y faire. Je suis ravie. Elle est vraiment douce et sensible, puis en riant, elle finit.— Pour faire une épilation totale, elle a plutôt intérêt... Puis attrapant le bord de sa jupe courte, elle me murmure.— Tu veux voir comment elle bosse bien ? En faisant mine de la retrousser jusqu’à la taille. Même si j’aimerais voir sa chatte lisse, je lui réponds en riant également.— Laisse tomber, je sais que tu ne portes rien là-dessous et ça m’exciterait bien trop. Je la sens soudain troublée par ma réponse et je perçois dans son regard un changement. Indescriptible, mais réel. Serait-elle sensible à mon charme ? Ce qui implique la question suivante. Laure serait-elle bisexuelle ?
C’est alors que le téléphone de Laure se met à vibrer. Alors que nous sirotons notre café, elle regarde l’écran de son portable. C’est un message d’Isabelle.
— Tu es seule. Je peux t’envoyer une photo ?
Un peu décontenancée, Laure tapote sur son téléphone.
— Oui, je suis seule, tu peux envoyer.
Le téléphone sonne à nouveau et Yann demande si elle souhaite être seule. Laure lui répond que non, mais elle doit répondre. Se plaçant de manière à ne pas dévoiler ce qui s’affiche sur l’écran, elle ouvre le message et là, surprise. C’est une photo d’Isabelle, elle est debout, jambes écartées, elle a placé le téléphone entre ses jambes. De cette manière, on voit ce qui se cache sous sa jupe. Oui, on voit distinctement les lèvres humides de sa vulve, mais surtout le cristal bleu étincelant du plug qu’elle a dans le cul.
Mince, pense Laure, avec tous ces événements, elle a complètement oublié de reprendre son plug hier soir. Et Isabelle a une drôle de manière de lui expliquer son oubli. Elle sourit. Yann l’observe du coin de l’œil.
— Rien de grave ? — Non, mais en ce moment, j’ai la tête dans le cul !
La situation l’amuse, alors qu’elle a son mari devant elle, elle mate la chatte et le cul de sa femme et ça la fait mouiller grave.
— Oh merde, j’avais totalement oublié. Tu sais chérie, il te va à ravir. Alors comment tu trouves l’objet ?— Merveilleusement jouissif. Mais plus sérieusement, il faut que nous nous voyons. Déjà pour te rendre ton gode, mais en plus, il faut que je te confie un secret. Car tu as vu juste hier soir. Ce n’était pas la première fois que je baisais avec une femme. — OK j’en étais sûre, pour le plug effectivement, il faudrait que je le récupère assez vite. Je te rappelle cet après-midi pour le rendez-vous.— Merci, mais c’est un très beau cadeau, je suis gêné. Je le porterai avec grand plaisir. Je t’embrasse fort.
Laure ne s’est pas trompée, elle a bien senti qu’Isabelle ne lui avait pas tout dit. Maintenant, elle a hâte d’apprendre tous les secrets de son amante. Elle enregistre la photo d’Isabelle dans le dossier confidentiel de son portable.
Nous retournons ensuite au bureau avec Yann, mais tout ceci m’a terriblement excitée, je le sens à ma vulve est juteuse.
Nous nous retrouvons à la cantine. Nous déjeunons souvent ensemble avec Laure et prenons souvent la même table, un peu isolée.
Cette fois, c’est à mon tour de recevoir un message sur mon téléphone. C’est Emma qui me l’envoie.
— Yann, je peux te déranger ? »— Je ne peux pas parler, mais je peux te répondre par message.— Super, je ne pense qu’à hier soir. J’ai tellement aimé ça. Le fait de le faire dans la cabine et que tu te prêtes à mon jeu. Et ton goût, jamais je n’aurais pensé aimer autant ton jus !— Oui, je t’avoue que j’ai aussi adoré ta bouche, tu suces comme une déesse.— C’est ta grosse queue qui m’a inspirée. D’ailleurs, je ne vais pas pouvoir attendre trop longtemps, je la veux dans mon cul.— Oui moi aussi, j’ai très envie de te prendre.
Emma ne me laisse pas finir, j’ai un message en retour.
— J’ai une idée, je vais proposer à Laure que l’on se fasse une sortie. Jeudi par exemple. J’ai pensé au ciné et on se débrouille pour que nos femmes regardent un autre film que nous. Je sais que Laure n’aime pas les films d’horreur, alors que moi j’adore.— Très bonne idée, Isa n’aime pas non plus. OK on fait ça. On va s’éclater.— Oui, j’ai tellement hâte de te sentir me percer !
Je pose mon téléphone, Laure m’observe bizarrement. J’espère qu’elle ne se doute de rien. Puis elle me questionne à voix basse.
— Yann, je peux te poser une question indiscrète ?— Oui, je verrai bien si elle est trop indiscrète.— Tu as déjà trompé Isabelle ?
Mais qu’est-ce qu’elle me fait là ? Pourquoi cette question et surtout pourquoi maintenant après tant de temps. Pourvu qu’elle ne sache rien !Je suis un peu gêné, et Laure, le voyant, ajoute.
— Tu peux me faire confiance, je garderai le secret, je te le jure.
Je lui réponds que non, je n’ai jamais trompé Isabelle. Laure a l’air déçue.
— Eh bien je suis étonnée, un beau mec comme toi, tu n’as jamais eu une Nana qui est venue te taquiner, et toi tu n’as jamais eu envie d’une autre fille ? Franchement, j’ai du mal à le croire Yann.— Si bien sûr, j’ai eu des occasions et de terribles tentations, mais...
Laure me coupe.
— Yann, sois honnête, je fais partie de ces terribles tentations ?
Mais où va-t-elle comme ça, je ne comprends pas. Elle est lesbienne, pourquoi veut-elle savoir si je la kiffe ?Il faut reconnaître que plus d’une fois, je l’aurais bien culbutée sur son bureau pour la prendre sauvagement. Et depuis que je sais qu’elle ne porte pas de culotte, c’est bien pire. Mais ces derniers jours, c’est Emma qui a pris sa place dans mes pensées, même si j’avoue que si Laure me proposait la botte, je la prendrais. Alors un peu gêné, je lui réponds :
— Oui je l’avoue, tu en fais partie, et si je suis totalement honnête, tu es même la première sur la liste.
Je suis rassuré en voyant un grand sourire illuminer le visage de Laure.
— Tu es une très belle femme, très désirable, mais surtout extrêmement sexy. Tu ne te rends peut-être pas compte, mais tu as des attitudes sensuelles, pour ne pas dire sexuelles.— Mais alors tu me trouves désirable, excitante ?— Tu l’es. Tu sais, j’observe les choses et je peux te dire qu’il n’y a pas que moi que tu troubles.— Je me fous des autres, c’est ton avis qui m’importe. Mais pourquoi tu ne me l’as jamais dit ?— Eh bien pour trois raisons. La première est que tu es lesbienne, donc normalement pas attirée par les hommes. La deuxième est que tu es en couple et la troisième est que je suis marié.— Oui je sais tout ça, tu as raison, mais pour dire vrai. J’aime les femmes, c’est certain. Mais il y a quelques hommes qui me plaisent et avec qui je dérogerais facilement de ma condition de lesbienne. Et tu en fais partie Yann ! Pour Emma, c’est différent, notre relation est sentimentalement profonde et sincère et jamais je mettrais en danger, mais sexuellement c’est un peu plus complexe qu’il n’y parait. Et pour ta femme, eh bien oui, je te comprends, car elle est sublime, belle et très voluptueuse. Je comprends que tu ne veuilles pas la perdre. D’ailleurs, je suis profondément flattée qu’avec une femme comme la tienne, je sois la première femme sur ta liste de convoitise. Savoir que je peux t’exciter me trouble beaucoup. Pour te dire la vérité, ça fait un certain temps que j’ai un vrai désir de toi. Je ne veux pas dire que je t’aime.Non ce n’est pas ça, mais alors comment je te désire, dès que je te vois, j’ai envie de toi. Je perçois des fois une excitation chez toi, une bosse un peu plus marquée. Là, je me dis qu’il faut que je continue mon jeu. C’est d’ailleurs pour ça que je ne porte plus de culotte, je me suis dit que si tu voyais ma chatte nue, tu ne pourrais peut-être pas y résister !
— Tu as certainement raison Laure, je pense que si j’avais découvert ta petite chatte à l’air, j’aurais sans aucun doute craqué !
Laure rougit en me murmurant.
— Je dois t’avouer que cette petite discussion m’a émoustillée, et je mouille comme jamais. Et toi Yann ?
Pour toute réponse, je me lève et lui demande de le constater par elle-même. Ma bite est raide et provoque une très belle bosse. C’est dingue, mais à cet instant, je repense à la séance de shopping avec Emma et sa réflexion.
Laure est encore assise et ma bosse est à la hauteur de ses yeux. Son regard ne quitte pas mon entrejambe. J’en suis presque mal.
— Mon Dieu. Dit-elle. – Comme elle a l’air grosse.
Puis elle se lève à son tour et nous prenons le chemin du retour au bureau. Alors que nous allions nous séparer, Laure m’arrête et me dit.
— Attend Yann, j’ai quelque chose à te montrer et en même temps à te prouver.
Elle sort son portable de sa poche puis après quelques manipulations, elle ouvre la photo qu’Isabelle lui a envoyée ce matin. Elle tourne le portable et me la montre.
— Si tu doutais que je sois nue sous ma jupe, et pour finir de t’exciter, il m’arrive aussi de me goder le cul, rien que pour imaginer que tu puisses accidentellement le découvrir.
Je suis sans voix, c’est la première fois que je crois voir sa chatte, car en fait, c’est celle d’Isabelle qu’elle me montre. Mais pour moi, il est impossible de le savoir, surtout avec un plug dans le cul puisqu’elle n’aime pas l’anal !. Ma queue se tend un peu plus et Laure ne voit que ça.
— Alors, dis-moi, je ne t’excite pas plus, maintenant que tu sais que j’ai le fondement rempli ?.— Mais tu es une vraie débauchée, mais j’avoue que j’aime beaucoup.— Non Yann, je suis une vraie salope et je pense qu’avec toi, je pourrais devenir la reine des salopes. Réfléchis-y !
Puis elle part vers son bureau en roulant des fesses. Mon regard est fixé sur son superbe cul que j’imagine orné de son bijou anal.
L’après-midi fut difficile, mes pensées confuses avec l’image de ces deux plugs plantés dans le cul d’Emma et de Laure, comme si elles s’étaient donné le mot pour tourmenter mon esprit.Je me prenais à imaginer Laure et Emma me suçant, leurs deux langues gourmandes se battant pour mon plaisir, tout cela devant Isabelle qui jouait les voyeuses en se branlant le cul avec un gros gode. Bon sang, je divague grave, si ça continue, je vais devoir aller me branler aux toilettes, histoire de calmer ces pensées perverses.
En finalité, j’ai pu résister, mais je suis rentré à la maison dans un état d’excitation que j’ai rarement connu. Isabelle est rentrée, j’entends la douche couler. Je file dans la chambre et me déshabille. Ma queue me fait mal, tellement j’ai bandé. Mon boxer est maculé de traces blanchâtres. Ma queue est encore bien raide lorsque je rejoins Isabelle qui est sortie de la douche. Voyant mon sexe, elle me dit.
— Dis donc mon chéri, qu’est-ce qui se passe, je t’ai rarement vue dans une telle forme.— J’étais en train de te mater dans la douche, ça m’a terriblement excité et j’ai très envie de toi.
Je m’agenouille et plaque ma bouche sur son pubis lisse. Isabelle, un peu surprise, ne tarde pas à ouvrir ses cuisses pour me donner accès à sa vulve. Elle est parfumée du savon de la douche. Ses lèvres sont douces sous ma langue. Je lape son sexe et je sens sa moiteur.
— Oh oui chéri, mange-moi, tu m’as l’air bien excité ce soir !
Ma langue force la fente et s’efforce dans son fourreau. Alors que j’aspire, je saisis ma bite et me branle.Ça fait un long moment que j’en ai envie. Isa le voit et s’excite.
— Oui, ça m’excite quand tu te branles, je veux qu’elle soit grosse et dure pour me la fourrer.
Je profite de son excitation, pour ouvrir ses fesses et avoir accès à son anus. Je léchais maintenant son petit trou.Isabelle plie les genoux pour mieux ouvrir son cul. Elle en profite pour se caresser le clito. Sa fréquence montre une grande nervosité et trahit l’arrivée de son orgasme.
— Oh putain c’est bon, fourre-moi le cul avec ton doigt !
Je suis abasourdi par ce que je viens d’entendre venant de ma femme qui n’a jamais aimé l’anal, hormis anulingus.C’est vraiment une drôle de journée ! Entre Laure qui m’avoue ses envies, et maintenant Isa qui veut que je la doigte dans l’anus. Je n’attendais que cela, ayant bien lubrifié son anus, je lui enfonce brutalement mon index jusqu’à la garde.Incroyable, il entre sans difficulté, comment cela est-il possible. Isa gémit en me demandant d’en mettre un second. Je m’exécute sans délai. Elle ne tarde pas à jouir bruyamment.
Une fois son souffle retrouvé, elle me demande de m’allonger sur le dos.Dans cette position, elle prend place debout au-dessus de ma bite distendue. Puis elle descend lentement jusqu’à la saisir. Sa main l’enserre très fortement, comme pour en tester la dureté. Je ferme les yeux et la laisse faire. Je sens soudain mon gland se poser sur sa chatte. Tiens c’est étrange, je ne sens pas sa mouille. Puis mon gland se retrouve contraint par une pression. Il cherche à forcer un orifice. Putain c’est à cet instant que je comprends qu’elle est en train de se fourrer mon énorme dard dans le cul. Ma bite ne fléchit pas et finit par ouvrir le sphincter d’Isabelle qui s’empale dessus.
— OH comme elle est grosse, tu me remplis les intestins !— Mais chérie, depuis quand tu aimes te faire enculer ?— Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.
Doucement, Isa commence à onduler le long de ma tige, qui est emprisonnée dans son cul si serré. Puis peu à peu, elle me chevauche de plus en plus fort. Je me remémore les anus d’Emma et de Laure ouverts par leurs plugs, sans imaginer que c’est le cul que je fourre que j’ai vu en photo. Il ne faut que quelques minutes pour que j’éjacule dans son fondement, déclenchant chez Isabelle un nouvel orgasme.
Alors que nous reprenons notre souffle, je me demande ce qui a pu décider ma femme à soudainement aimer se faire enculer ? Cette interrogation me laisse perplexe, mais après tout, je ne vais pas m’en plaindre, j’adore son petit cul serré.
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