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Irrésistible attraction

Chapitre 6

Trash
Le lendemain, alors qu’Isabelle se rend à l’institut, elle reçoit un message de Laure qui lui donne rendez-vous le mercredi midi pour un déjeuner. Le restaurant n’est pas loin de son boulot.
Isabelle est prête à révéler à son amante un secret qu’elle porte en elle depuis un moment. Elle n’a jamais osé en parler, même à Yann, mais elle sent que Laure est la bonne personne pour une telle confidence.
De son côté, Emma a lancé l’idée d’une soirée au cinéma par message, et a reçu une réponse positive très enthousiaste de nous trois.
Il est midi, lorsqu’Isabelle entre dans le restaurant. A cette heure, la salle est presque vide. Elle recherche une table assez isolée, car elle a besoin d’une discrétion absolue. Heureusement, le restaurant qu’a choisi Laure est des plus intimistes et fait pour les confidences intimes. Bref, un endroit réservé aux amoureux. Isabelle s’installe à une table isolée dans un angle. Les tables sont très joliment décorées, vaisselles fines, verres en cristal, petits bouquets de roses rouges, le tout sur une épaisse nappe blanche tombante presque jusqu’au sol. Lorsqu’elle prend place sur la chaise, le poids de son corps enfonce plus profondément le plug au fond de ses entrailles. Et elle adore cette sensation. Bien sûr, elle n’a pas mis de culotte et le contact du velours du siège sur sa peau ajoute à son excitation.
Laure fait son apparition, elle est toujours aussi sexy, habillée d’une jupe très courte et d’un haut plutôt moulant, on peut facilement voir qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Ce qui finit d’exciter Isabelle. Quelle provocatrice cette fille, pense alors Isa. J’adore cet irrespect de la norme, pense-t-elle.
— Salut ma chérie, excuse-moi, je suis un peu en retard, comment vas-tu ?— Bien merci, une peu traqueuse face à toi, si belle et si désirable.— Merci ma belle, mais je t’assure que tu n’as rien à m’envier, tu es tellement classe et tellement sensuelle, que je commence déjà à sentir ma chatte couler.
Ces compliments achèvent de me troubler, alors que la serveuse arrive pour prendre la commande. Une fois fait, Laure me demande de lui confier mon secret, car elle trépigne depuis des heures et finit en me demandant plus discrètement.
— N’hésite surtout pas à me confier tout, surtout les détails salaces, je veux que tu me fasses mouiller à mort.
Isabelle est un peu rassurée, ne craignant plus d’être jugée, elle raconte...
Ce que je vais te dévoiler, je ne l’ai confié à personne. Ces événements se sont déroulés lorsque j’étais encore étudiante à Paris. J’habitais encore chez mes parents dans la banlieue ouest. Il m’arrivait quelques fois, lorsque j’étais fatiguée, ou à la veille de partiels importants, de dormir chez ma tante, la sœur de ma mère. Elle était propriétaire avec mon oncle d’un très bel appartement près de la Sorbonne. Ma tante est une très belle femme, plus jeune que ma mère, elle a toujours eu une vie sociale importante. Sous des aspects un peu sévères, c’est une femme sensible et toujours très affectueuse avec moi. Peut-être parce qu’ils n’ont jamais eu d’enfants. Je l’adore et elle a toujours été pour moi un modèle. Beaucoup plus élégante de sa sœur, elle est raffinée, aimant les beaux bijoux et les belles tenues. Toujours habillée avec un goût certain, très féminine et sensuelle. Sans enfant et très sportive, son corps est resté magnifique.
Des jambes galbées, des fesses rebondies, une taille de guêpe, et une poitrine toujours mise en valeur dans des décolletés presque inconvenants. Mais c’est sa beauté qui subjuguait les hommes et même les femmes. Elle a une aura telle, qu’elle met n’importe qui à ses pieds.
Bref, pour en revenir à mon histoire, donc un soir, j’arrive chez elle, pour y passer la nuit et récupérer un peu de sommeil en retard. Elle m’accueille, avec bienveillance en m’embrassant chaleureusement. Mon oncle toujours un peu en retrait m’embrasse également.
Ils sont tous les deux habillés élégamment, et ma tante m’annonce qu’ils doivent se rendre à une de leurs soirées habituelles. Je ne suis pas étonnée, car ils sont très souvent de sortie. Elle m’explique que tout est prêt pour dîner et qu’ensuite je peux prendre la chambre d’amis. Ils m’informent aussi, penser rentrer tard dans la nuit et que ce n’est pas la peine de les attendre.
Une fois parti, je prends possession de l’endroit. Un spacieux salon, une cuisine moderne et aménagée. Je dépose mes affaires dans la chambre d’amis. Super chambre de seize mètres carrés de superficie, avec télévision grand écran plat, et un lit grande taille. Je suis éreintée par mes journées à la fac, je me déshabille et me fais couler un bain bien chaud.
Arrive l’heure du dîner, tout est prêt comme me l’a signalé Tata. Je mange avec appétit, car le plat est succulent. Étant certaine d’être tranquille toute la soirée, je suis restée nue dans cet immense appartement où il fait assez chaud. J’adore cette sensation de liberté. Bien sûr, je n’ai pas oublié de fermer les rideaux. Tout à l’heure dans le bain, je me suis un peu caressée, glissant un puis deux doigts dans ma fente. Je n’ai pas eu beaucoup d’expérience sexuelle, et les jeunes hommes, avec qui j’avais couché, étaient peu expérimentés. Mes doigts étaient bien souvent le moyen d’obtenir un orgasme. Toutefois, mon dernier mec, Yann, semble plus prometteur.
Après ce divin repas, je m’installe dans l’immense lit et allume la télévision. Après quelques minutes, une douleur se fait sentir à la commissure de mes lèvres ; dès que l’hiver arrive, mes lèvres gercent, me faisant un mal de chien.
Tout d’abord, je vais vérifier dans la salle de bain, à la recherche d’une pommade pour les lèvres. Ma recherche restant infructueuse, je vais voir dans la chambre de ma tante si elle n’en a pas dans sa table de nuit, chez moi, c’est là que je la dépose.J’entre, leur chambre est encore plus grande, superbement meublée. Je me dirige vers une des tables de nuit. Rien sur le dessus, j’ouvre le tiroir. Bingo, la pommade est bien là. Et lorsque je referme le tiroir, un peu brutalement, une clé USB tombe sur le sol, à mes pieds.
Laure boit mes paroles, son regard brille de lubricité, sachant qu’à un moment, le récit va basculer dans le stupre. Pour ma part, je sens mon jus intime ruisseler de ma faille. Je continue.
Je ramasse la clé, un peu étonnée, car a priori caché sous le tiroir. Que faire, la remettre en place ou avoir la curiosité de voir ce qu’elle contient. J’ai toujours été curieuse, alors vous devinez. Mais comment la lire ?Il me vient une idée, je retourne dans la chambre, si la télé est récente, il y a peut-être une prise USB derrière ! Je vérifie et oui, effectivement il y en a une. J’y insère la clé et retourne m’allonger.
Armée de ma télécommande je recherche dans le menu l’entrée USB et une fois sélectionnée, je lance la lecture.L’écran noir s’éclaircit, et me laisse découvrir les images. Il s’agit du salon de ma tante. Il est vide, mais j’entends sa voix. Je la reconnais à peine, car très autoritaire. Son intensité me fait presque peur.
— A quatre pattes, mon chien, allez viens, tu vas obéir à ta maîtresse, sinon tu vas souffrir !
Je suis naïve, car ma première pensée est que ma tante n’a pas de chien !Mais alors je vois sur l’écran, ma tante nue, simplement habillée de bas noirs, d’un porte-jarretelles noir et de talons aiguilles. Elle tient une laisse de chien et tire violemment dessus. C’est alors que je vois apparaître mon oncle. A genoux, traîné par la laisse. Il est nu aussi.
Je stoppe la diffusion, complètement ébranlée par ce que je viens de découvrir. Jamais je n’aurais imaginé une telle chose. Je me lève, retire la clé et retourne la placer dans sa cachette.A nouveau allongée dans le lit, je ne peux pas effacer l’image de ma tante nue. Elle est splendide, un corps parfait, ses seins sont beaux, mais ce qui me trouble le plus, c’est son cul parfait. Je m’aperçois que cette pensée humidifie ma fente. Bien sûr, je la refoule immédiatement. Mais il est trop tard, elle a déjà dévasté mon esprit, et mon envie de savoir est bien plus forte que ma raison.
Donc je retourne chercher la clé et visionne la suite. Mais cette fois, la surprise étant passée, j’observe les événements avec plus de lubricité.Ma tante force mon oncle à se diriger vers le canapé, l’obligeant à se retourner la tête appuyée sur le bord de l’assise. Je peux voir distinctement le pubis de tata. Lisse et brillant pas un poil.De son côté, mon oncle lui, a comme une sorte de mini-cage qui lui enserre le sexe, empêchant la moindre caresse et réduisant son érection. Puis elle se place au-dessus de son visage et s’assoit dessus brutalement.
— Bouffe-moi la chatte petite chienne.
Ces mots déclenchent en moi une terrible excitation, je sens ma fente coulée, et je ne résiste pas à l’envie de me masturber.Je vois ma tante frotter avec rudesse sa vulve sur tout le visage de mon oncle. Elle halète et le traite de tous les noms. J’adore cette séance et je jouis une première fois sur ces images de soumission.
Alors que ma tante a explosé sa jouissance sur la figure de son soumis. Elle sort de l’écran. Je vois nettement l’épaisse couche de cyprine qui recouvre son visage. Elle revient, tenant comme un bâton noir à la main. J’observe, sentant mon désir revenir à grands pas. En fait, il s’agit d’un godemiché. Il a une particularité, il est en deux parties. La première que tata positionne dans la bouche de tonton. Et la deuxième plus grosse et longue qui ressort, comme la trompe d’un jeune éléphant. Tata ne tarde pas à glisser cette partie-là au fond de sa chatte dégoulinante de mouille.
Elle se branle avec ardeur dessus, pendant que moi, j’ai repris ma masturbation. Mes doigts défoncent ma vulve. En m’imaginant à la place de tata. Je me dis à ce moment. Quelle belle salope quand même et comment elle a toujours bien caché son jeu.
Puis soudain, sous mes yeux médusés de jeune femme, je vois tata retirer de sa chatte l’énorme gode pour se l’enfiler presque sans effort dans l’anus. Mon oncle n’en peut plus, mais elle lui interdit de jouir et lui ordonne de l’enculer jusqu’à la garde. Elle veut sentir son nez dans sa raie du cul.
Il n’en faut pas plus pour déclencher un second orgasme. Je suis vidée. Deux orgasmes d’affilée avec la fatigue de la journée.
Je résiste pour découvrir la suite, mais le sommeil hélas me terrasse. Eh oui hélas, car je me suis endormie avec la télé allumée. Je n’ai pas remis à sa place la clé et en plus, j’ai la vulve offerte et juteuse. Et c’est tout cela que ma tante et mon oncle ont découvert lorsqu’ils sont rentrés.Le visage de Laure soudain exprime sa réaction.
— Non ce n’est pas vrai. Oh putain.
Et si et c’est ma Tante qui m’a délicatement réveillé. J’étais loin, certainement encore dans des rêves érotiques. Lorsqu’émergeant, je prends conscience de la situation. Alors que j’allais hurler, elle dépose sa main doucement devant ma bouche, me murmurant :
— Chut, ma douce, il n’y a rien de grave. Ne t’inquiète pas, tu as simplement découvert notre petit secret, mais en fait, ce n’est pas un secret, c’est simplement notre sexualité avec ton oncle. Moi, j’adore être sa maîtresse et lui adore être soumis. C’est notre manière de fonctionner.
Je suis allongée nue sur le lit, et tata est tout contre moi, je ne vois pas mon Oncle.
— Dis donc, j’ai l’impression que le spectacle t’a séduit. Au vu de l’état de ta chatte et de tes doigts ?
Ayant délicatement pris ma main, elle la porte à son visage. Elle commence par renifler mes doigts. Le rouge me monte aux joues et je suis gênée.
— Ce n’est rien ma puce, c’est normal d’avoir des envies à ton âge, c’est normal de se branler aussi. Tu as bien joui ?
Je lui réponds un oui timide de la tête.
— Tu as eu combien d’orgasmes ?— Deux.— Bien. Est-ce que ça t’a choquée de nous voir dans cette situation ?— Non. Ça m’a surpris, surtout au début, mais...— Mais quoi ma puce, ça a fini par t’exciter, d’où les orgasmes ?— Oui tata, je m’excuse, mais oui, ça m’a terriblement excitée de te voir nue, comme tu es belle.— Merci ma puce, ça me fait tellement plaisir. Mais permets-moi de te retourner le compliment. Lorsque je t’ai découverte, ainsi offerte, ton sexe si délicieux et encore chaud de ta jouissance, j’ai été tellement ébranlée que j’ai désiré l’embrasser à pleine bouche pour goûter à ce fruit défendu.
Les mains de Tata sont maintenant sur mon corps, caressant mes seins, mon ventre, mon visage. Une douce chaleur envahit le bas de mon ventre et je demande.
— Et pourquoi tu ne l’as pas fait ?— Parce que je ne savais pas si tu en avais envie ma douce, simplement.— Et si je te dis maintenant que j’en ai très envie !
Alors Tata glisse le long de mon corps, me faisant frissonner, son visage arrive sur mon pubis. Sa langue vient en contact avec et descend plus bas. C’était divin, le contact chaud de sa langue avec mon clito. Son index alors vient en contact avec ma vulve et la pénétre. Alors que j’essaye de voir le spectacle, j’aperçois Tonton assis, recroquevillé sur le sol.
Tata cesse sa caresse pour le dire.
— Il est puni. A cause de la clé qu’il n’a pas assez bien dissimulée.
Étonnement, je ne dis rien et profite des caresses de tata. C’est bon, et je ne suis pas loin de jouir lorsque je sens une caresse entre mes orteils. Oh comme c’est bon. Je regarde et vois Tonton qui me lèche les orteils. Cette vision déclenche un orgasme puissant et libérateur.
Ensuite, je prends l’initiative, je demande à tata de s’allonger sur le lit, je lui ouvre les cuisses et découvre sa faille. Parfaite et déjà inondée. Je commence à la lécher. Elle gémit sous mes caresses buccales. Puis m’explique ce qu’elle aime comme caresses, et comment je dois m’y prendre. Puis soudain, Tata ordonne à mon Oncle de me lécher l’anus. Alors que je suce Tata, je sens les mains de mon oncle ouvrir mes fesses, puis sa langue se pose sur mon petit trou strié et tenter de le percer, nous finissons par jouir toutes les deux ensemble. Je compris plus tard lors d’une discussion avec elle, qu’en fait, leurs soirées étaient des rencontres libertines où ils s’échangeaient des soumis et aussi des soumises.
Laure est sous le choc de cette singulière confession.
— Incroyable ! C’était une chaude ta Tante. Mais comment tu as vécu cet insc..., ce truc ? Tu as continué à faire l’amour avec eux comme ça ?— Tu peux le dire, ça ne me choque pas cet "inceste". J’ai adoré ce moment, car il était rempli de bienveillance et surtout d’amour. Je ne l’ai pas ressenti comme une déviance. Et nous nous sommes mis d’accord d’arrêter là cette relation si je rencontrais quelqu’un, et ça été le cas rapidement après. Mais oui, j’aurais vraiment aimé recommencer. Mais maintenant, ce n’est plus nécessaire puisque tu es là !— En fait, sous tes airs de pas y toucher, tu es une sacrée petite salope. Ton histoire m’a plutôt émoustillée et j’ai la chatte en feu.— Oui moi aussi, la chatte et le cul, d’ailleurs, tu ne veux pas récupérer ton plug ?— Si, tu ne l’as pas oublié ?— Ca ne risque pas !— Non ce n’est pas vrai, tu le portes ?— Oui et si tu veux le reprendre, il va falloir aller le chercher ma belle.— Tu es vraiment vicieuse toi. Mais comment veux-tu que je fasse ?— Facile, tu te glisses discrètement sous la table, tu me nettoies la moule et je libère le gode. Simple non ?
Laure regarde autour d’elle, il y a quelques clients attablés et la serveuse est en cuisine pour le moment. Alors sans réfléchir, elle glisse sur son siège et disparaît sous la table. A priori personne ne s’en est aperçu. Heureusement, la nappe est assez longue pour la dissimuler.
Isabelle sent alors les deux mains de Laure attraper ses genoux, et les ouvrir largement. Ainsi elle s’offre un accès direct à sa fente. Ne voyant pas, elle attend sa bouche avec délectation. Mais en fait, c’est son doigt qui la fourre sans ménagement jusqu’à la garde. Provoquant un cri de surprise d’Isabelle. Alors qu’on lui fourrage la fente avec maintenant trois doigts, la serveuse approche.
Isabelle a chaud et transpire beaucoup.
— Votre amie s’est absentée ? questionne-t-elle.— Oui, elle avait une grosse envie, mais elle ne va plus tarder à venir.
A cet instant, Laure mordille délicatement son clito, tout en léchant ses grandes lèvres. Impossible de contenir son plaisir devant la serveuse, basculant en arrière sur sa chaise, elle jouit en lâchant un long gémissement.
La serveuse sourit et répond.
— Je pense que vous êtes venue avant elle. Je vous lèche tranquille ! finit-elle avec humour.
Après une telle jouissance, je glisse mes fesses en avant et ainsi dégage le clou du plug. Laure peut alors le retirer de mon cul.Une fois remontée à la surface, le visage recouvert de ma mouille, elle me murmure.
— Tu me dois un nettoyage de chatte, ma petite pute.— Quand tu veux. Mais où est le gode ?— Devine ... répond Laure.
Puis après un long moment de silence, Laure avoue à Isabelle.— Tu sais moi aussi, j’ai un secret à te confier, c’est au sujet d’Emma...
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