Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 142 J'aime
  • 3 Commentaires

Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour à tous. Cette histoire et pure fantasme mais aurait pu se passer car tous les protagonistes de cette histoire, eux, sont bien réels.
D’abord les présentations. Moi, Hervé, 30ans, 1m80 pour 70kg, Châtain et coupé court et les yeux marron. Physique banal qui n’attire pas le regard. Ma femme, Liliane, 1m70, 80 kg, des formes plus que généreuses, des seins attirant tous les regards (100 E), les cheveux châtain également, mi longs, les yeux bleus et Blanche de peau. J’étais marin d’état (Marine Nationale) et mécanicien d’aéronautique. Nouvellement affecté à une escadrille de la base aéronautique d’Hyères, dans le Var, la 3S. L’ambiance y était sympa, voir familiale. Il y avait plus de mecs que de nanas mais une m’avait tapé dans l’œil... Isabelle.
Elle n’était en rien très attirante, 1m65, 80kg, une boulotte quoi, les cheveux noirs mi long, les yeux marron, un visage de poupon, un petit nez en trompette, un cul énorme. Mais son comportement vis-à-vis de moi qui m’attira. Elle formait, avec moi l’équipe de dépannage, chargée de préparer les aéronefs le matin et de réceptionner ceux-ci à leur retour, le soir. Sous sa tenue de travail, hormis son tee-shirt, elle ne portait pas de soutien-gorge et il me semblait bien que ses dessous se limitaient à un string. Elle s’arrangeait pour être constamment avec moi. Peut-être la curiosité du nouveau, un bizutage ? Du matin au soir, j’avais un petit toutou collé à mes baskets. Ce qui ne me dérangeait absolument pas. Elle se faisait de plus en plus aguicheuse, portant son bleu de travail enroulé sur ses hanches et un tee-shirt bien trop grand, ce qui avait pour effet de dévoiler son énorme poitrine à chaque fois qu’elle se penchait. Elle me regardait avec insistance, avec envie. Un soir, faisant la visite après vol d’un avion, elle engagea une conversation étonnante.
— Je ne te plais pas ? dit-elle en tirant sur l’encolure de son maillot de peau.
— Isa !!! Arrête, si quelqu’un arrivait ???
— T’inquiète, ils sont tous partis manger.
— Oui, bin, je suis marié. Et puis j’ai des principes. Jamais avec des collègues de travail.
— Moi aussi je suis mariée. Il Travaille dans le hangar d’à côté.
Sa réponse m’avait étonné. Je connaissais peut être le mari d’Isa. Mais qui était-ce ?
— Et qui c’est ton Mari ?
— Franck, il est à l’atelier roue… Tu le connais ?
— Oui, oui, je vois qui.

— Et puis il ne baise plus. Il sort avec ses potes et rentre bourré presque tous les soirs.
— Ce n’est pas une raison pour me draguer comme cela. Et puis, je te l’ai dit, je suis marié.
— Allez, laisse toi aller. Personne n’en saura rien. Répondit-elle en me caressant la queue au travers de mon bleu.
La réponse à sa caresse ne se fit pas attendre. Ma verge commençait à se trouver à l’étroit. La tentation était trop forte ou moi trop faible. Je sortais ma bite de sa prison. Elle me complimenta sur ses mensuration (18x4,5) et me la goba entièrement. Elle suçait comme une affamée. A ce rythme je n’allais pas tenir longtemps. Je fermais les yeux et tentais de penser à autre chose. Je pouvais sentir sa salive couler le long de mon sexe et inonder ma combinaison. En à peine deux minutes, je jouissais dans sa bouche. Elle me regarda, la bouche ouverte, pleine de mon jus et déglutit, avalant tout.
— Ce n’est qu’un avant-goût de ce qui nous attend. Tu vas bien t’amuser avec moi, et moi avec toi. Allez, viens, les autres ne vont pas tarder.
Cette fois si, c’était moi le petit toutou. Je remontais ma fermeture éclair. Mon bleu était trempé. Son gros cul se dandinait dans le couloir de l’avion. Elle se retourna.
— Demain, on est de service. Je sais qu’il n’y a pas de vol mais ta femme ne le sait pas. Si tu peux venir…
Le reste de la soirée se passa calmement. L’avion arriva et fut rangé dans le hangar. De retour chez moi, j’embrassais femme et enfants (trois garçons) et je partais prendre une douche. Je rejoignais ma femme qui regardait un reportage à la télé.
— Au fait, ma chérie, demain il y a des vols toute la journée et il rentre très tard. En espérant qu’il n’y ai pas de dépannage, je serais de retour dimanche matin… Au plus tard je serais là vers 10h.
J’étais mal de mentir ainsi à ma femme mais la proposition d’Isa était trop tentante. Il fallait que j’y aille. La première fois que j’allais commettre l’adultère, en onze ans de mariage et cela m’excitait. On partit se coucher après un chaste bisou.Le lendemain je préparais mon sac, j’embrassais ma femme et je partis comme d’habitude, à huit heures. Je m’étais fait beau. Rasage intégral du sexe, du pubis, des couilles, de l’anus et des aisselles. Arrivé à l’escadrille tout était calme. Isa n’étant pas encore arrivé, je me changeai. En toile bleue et, évidemment, rein dessous. Sentir ma bite frotter sur la toile rêche m’excitait au plus haut point, bref, je bandais comme un fou. Ma bite déformait ma combinaison. Isa arriva ver neuf heure, elle avait dû déposer sa fille chez une amie, son mec voulant sortir. Elle me demanda un petit service.
— Hervé, je ne me suis pas occupée de moi hier soir. Je n’ai pas eu le temps de m’épiler. Tu me laisse un quart d’heure pour que je le fasse ? A moins que tu veuilles me le faire. Dit-elle en me regardant d’un œil coquin.
— Heu, je n’ai jamais fait ça… Ma femme va en institut pour se faire le maillot.
— Ce n’est pas très compliqué. Alors ?
— Bon, bin, soit… Je vais me transformer en esthéticien.
Elle m’attira dans le vestiaire des filles. Une odeur de chatte en chaleur me monta au nez. Des caissons étaient positionnés de telle façon qu’ils occultaient les fenêtres. Isa sortit de son sac tout le nécessaire à une épilation. Crème dépilatoire, spatule, crème apaisante, serviette de bain et gant de toilette. Elle se déshabilla, de dos. Son fessier était énorme mais ferme. Ses cuisses ne portaient aucune marque de cellulite ni de peau d’orange. Son dos était musclé, les épaules larges. Quand elle se retourna, c’était le plus belle vision Qu’il m’avait été permit de voir. Un ventre parfaitement plat. Des hanches larges et des seins gigantesques qui tombaient un peu sous leur poids.
— Alors, je te plais comme cela ?
— Ouf, tu es magnifique… Tu fais du sport ?
— Oui, beaucoup de natation et un peu de musculation. Mais assez parlé, déshabille toi, et rejoint moi sous la douche. Il Faut une peau parfaitement propre pour l’épilation.
Elle se retourna et alla dans la douche spécialement aménagée pour les rares filles de l’escadrille. Une fois l’eau à bonne température elle se glissa sous le jet et se caressa tout le corps avec du gel douche. Elle me fit signe de la rejoindre. Elle commença par me laver la tête, puis le torse, les fesses, les cuisses et les jambes.
— Très belle queue que tu as l’as. J’espère qu’elle est endurante ?
— Oui, j’arrive à jouir trois fois dans la journée.
— C’est tout ? Il va te falloir des médocs pour assouvir mon appétit. Dit-elle en se relevant. Allez séchons nous et allons dans le vestiaire.
Une fois Séché, elle s’installa sur une table, jambes écartées et me donna un gant en plastique pour lui passer la crème. Après l’application et le temps de pose, elle partit sous la douche se rincer, s’appliqua elle-même la crème apaisante. Elle était ravissante avec son abricot tout lisse. Elle me fit sortir du vestiaire, nu, et se dirigea vers un Nord 262 (avion de transport de passager).
— C’est là que je veux me faire baisser. Installe-toi et laisse-moi faire.
Je ne fis pas prier et m’installa dans un fauteuil. Elle se mit dans le fauteuil me faisant face et écarta les jambes au maximum. Elle commença par se caresser les seins, se pincer les tétons. Ils se dressèrent presque aussitôt. Elle se les lécha, mordilla. Elle avait fermé les yeux et soupirait. Puis elle fit descendre ses deux mains vers son sexe et en écarta ses grandes lèvres. Doucement, elle s’excitait le clitoris. Je me masturbais lentement, moi le mari qui allait cocufier sa femme. Elle ouvrit les yeux. Le spectacle, que je lui offrais, semblait lui plaire car elle me souriait. Elle entra directement trois doigts dans sa caverne d’amour, puis elle les sortit et me le donna à lécher. Qu’ils sentaient bon, un délice. Pendant de longues minutes, elle recommença le même manège. Se plantant la main entière et me la donnant à nettoyer. Plus le temps passait, plus sa main était trempée de son jus. Je me délectais de ces offrandes. Puis elle se leva et vint goûter à ses secrétions dans un baiser brûlant. Nos langues jouèrent une partie de cache-cache interminable. Elle saisit ma verge gorgée de sang et me masturba lentement. Elle se retourna et s’agenouilla dos à moi, sur le fauteuil qu me faisait face.
— Prend moi fort, baise moi comme une pute, j’en ai envie Hervé…
N’écoutant que ma bite,je me levai et la pénétra, d’un coup sec et violent, son sexe détrempé. Et ce fut une longue cavalcade. Ressortant entièrement ma bite et la rentrant bien à fond.
— Plus fort, Hervé OUI, c’est bon, HAN, HAN.
Le fauteuil grinçait, bougeait. Mes coups de boutoir étaient de plus en plus violents. Je lui claquais les fesses qui rougirent très vite. Je me mis à califourchon sur elle et je la chevauchais comme jamais. Elle Gueulait maintenant.
— Tu aimes ça grosse salope…
— HAN, HAN, OUI, c’est bon, je jouis !!!! Putain que c’est bon.
— Je vais jouir aussi, JE VIENS….
Elle me repoussa et se mit à genoux. Elle ouvrit la bouche et sortit la langue. Elle me masturbait vite et fort.
— AHHHH, grosse pute, je….VIENS. AAARRRGGGGHHHH.
Mes jets de sperme atterrirent tous dans sa bouche, sur sa langue. Les derniers sur ses seins. Me regardant dans les yeux, elle joua quelques instants avec ma semence et avala le tout. Elle me lava la bite, se lécha les seins.
— Putain, il y avait longtemps que je n’avais pas baisé comme cela.
— T’es qu’une grosse et belle cochonne.
— Oui et alors. Tu as aimé, non ?
— La vache, j’étais en transe… On va se rafraîchir ?
— OK, ça te dirait un petit tour à la plage ?
— Heu, je n’ai pas de maillot et pas de serviette.
— Question serviette, j’ai tout ce qu’il faut dans la voiture, par contre pour le maillot…
— Je ne vais pas me foutre en caleçon…
— Tu n’as jamais pratiqué le naturisme car moi c’est courant.
Il est vrai qu’elle ne portait aucune marque de maillot, son bronzage était intégral.
— Ne t’inquiète pas, là où nous allons, il n’y a pratiquement personne. Surtout le samedi matin.
Et ainsi on se retrouva dans sa voiture, direction les Salins d’Hyères, plage bien connue pour ses couples naturiste et ses mateurs en tous genres. Elle m’avait fait remettre mon tee-shirt, mon short et mes claquettes. Le fait d’être nu sous mes vêtements me fit bander. Elle le remarqua.
-Hummm, j’ai envie de ta belle queue…
— Oui… Bin… concentre toi sur la route.
J’avais déjà entendu parler de cette plage. Réservée à la pratique naturiste, bordée de pins parasol et d’endroits plus discrets pour les couples coquins. On arriva sur un immense parking à moitié vide. On marcha huit cents mètres avant d’arriver à la zone réservée. Elle se dessapa. Je l’imitais. Quel drôle d’impression. Ma queue à moitié bandée flottant entre mes cuisses. Elle m’indiqua un endroit discret et à l’abri du soleil de ce début juillet. Puis, tout naturellement elle alla se baigner. Elle me fit signe de la rejoindre. M’on embarra était immense. Je devais avoir l’air ridicule avec mon bronzage « camionneur ». Je plongeais dans la grande bleue. L’eau y était bonne. On nagea un moment quand Isa me prit dans ses bras et m’embrassa. Je devins rouge de honte, ou d’embarra. C’est la première fois que j’embrassais une autre femme que la mienne et en public, s’il vous plait. Elle le remarqua et explosa de rire.
— Alors Hervé, timide ?
— Ce n’est pas ça ! Mais imagine que quelqu’un nous reconnaissait ?— Tu as vu du monde toi ? Il n’y a personne, mis à part les vieux habitués du coin. Aller, on sort.
Je la regardais, plutôt l’admirais sortir de l’eau. Son déhanchement, sa démarche étaient simplement sublimes. Je m’allongeais sur une serviette pendant qu’elle se séchait. Petite grosse, mais musclée, pas une once de cellulite. Le corps d’une athlète de lutte gréco-romaine. Elle aurait pu faire de moi ce qu’elle voulait. Je ne faisais pas le poids. Elle s’allongea sur le dos et fouilla dans son sac.
— Encule-moi. Dit-elle simplement. Au vue de la taille de ton engin, tu auras besoin de cela…
Elle me tendit un tube de vaseline tout neuf et se mit en position de levrette en appui sur ces coudes. Dans cette position, j’avais une vue imprenable sur sa croupe et sa magnifique rosette.
— Alors ? Qu’est-ce que tu attends ? Viens m’enculer, viens prendre ta grosse chienne.
— Comment, ici ?
— Bin oui !!! Où crois-tu ?
Encore une première pour moi. Et oui, à 34 ans, je n’avais jamais pratiqué la sodomie. Je pris le tube de vaseline et en sortis une belle noix. Comme ma seule expérience était dans les films porno, je fis preuve d’imagination et commença à lui enduire le petit trou. J’osais à y entrer un doigt, puis deux. Je faisais des petits allers-retours, tout en tournant. Sa respiration se faisait de plus en plus entendre, plus forte. J’enduisis ma queue, qui s’était tendue entre temps.
— Vas-y doucement. Je veux sentir chaque centimètre de ton gros engin rentrer en moi... Mais vas-y à fond, en butée.A cette invitation, je présentai mon gland à l’entrée du petit tunnel. Je poussai à peine et mon gland fut comme aspiré. Je continuai ma pénétration, comme elle me l’avait demandé. Lentement, ma bite disparaissait dans ce chaud conduit.
— HUMMM,qu’elle est bonne ta queue. Ne bouge plus. Reste en moi. HUMMM, tu aimes ?
— Oui, c’est bon, c’est chaud… C’est une première pour moi.
— Comment !!! Tu n’as jamais enculé ta femme ? Alors vas-y. Défoule toi. Défonce mon gros cul de chienne.
Je sortis ma bite, et le fait de la rentrer de nouveau dans son anus me fit comme une décharge électrique. Mon gland était massé comme jamais. Je la limais lentement, pour son plaisir, pour mon plaisir, sortant mon gland à chaque fois.
— HUMMM, c’est peut-être la première fois, mais tu t’y prends bien. File-moi ta serviette, C’est trop bon. ARGH…
Je lui donnai ma serviette et elle mordit dedans pour s’en faire un bâillon. Cette fois le feu vert était donné. Mes pénétrations furent plus rapides, plus violentes. De voir ce petit conduit qui restait ouvert, à chacune de mes sorties, m’encourageait d’y aller plus fort, plus loin. J’agrippais, d’une main, ses cheveux et la montais comme une pouliche. De l’autre main, je lui giflais les fesses, l’une après l’autre. J’étais de nouveau en transe. Je ne sortais plus ma queue entièrement, mais je reculais assez pour pouvoir lui asséner de violent coup de queue. Mes couilles venaient cogner son sexe. Sa figure était rouge. Son nez était déformé par sa respiration. Ses mains se crispaient dans le sable. Mes claques étaient de plus en plus fortes, son cul était écarlate. Après 10mn de ce traitement, j’éclatais dans son gros cul, plusieurs jets puissants. Je n’avais jamais connu cela. Elle se laissa tomber, je l’accompagnai. Je repris mes esprits 3 ou 4 minutes plus tard, toujours fiché en elle. Isa soufflait encore. Elle avait lâchait la serviette.
— Putain… Quel étalon tu fais. Tu m’as cassé le cul… La vache que c’était bon… Mes fesses, je ne les sens plus. Tu n’y as pas été de mains mortes…
— Oui, mais tu as aimé !!! Et moi, j’étais tellement parti que je ne savais plus ce que je faisais.
Je me retirai délicatement et m’allongeas sur le dos. Elle vint me nettoyer la queue de sa langue agile. Divin. Elle se blottit dans le creux de mon épaule.
— t’es une bête de sexe. Je ne regrette pas de t’avoir fait du rentre dedans.
— Même avec ma femme, je n’ai osé faire la moitié de ce que l’on a fait.
J’avais trouvé, en Isa, la maîtresse parfaite. Et ce n’était pas fini.
Diffuse en direct !
Regarder son live