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Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 7

Orgie / Partouze
On est dans une bonne ambiance quand Lili se lève et veux partir dans la salle de bain. Isa, toujours à califourchon sur mes cuisses, l’interpelle.— Où tu vas ma grande ? Fait Isa.— A la salle de bain prendre une douche et me laver les dents. Lui répond Lili.— Pour la douche, on verra après. Pour ce qui est de te laver les dents, il n’en est pas question. Tu ne préfères pas partager la fragrance que tu as en bouche. VIENS ICI !!! dit-elle d’un ton autoritaire. Mon épouse vient nous embrasser goulûment. Isa se réjouit de l’obéissance de ma femme. Elle la teste. Comme la bouteille est vide, je demande à ce p’tit monde de se lever et de rejoindre sa place. Je vais à la cuisine et j’entends une conversation houleuse entre les deux filles.
— Qu’est-ce que tu es coincée, ma pauvre Lili...
— non, c’est que j’ose plus !!!
— Comment ça ?
— J’ai mes fils !!!

— Et alors c’est une raison de négliger son mec.
— Oui, mais...
— Ecoute-moi bien. Tu as de la chance d’avoir un mec qui t’aime. Moi j’ai même plus ça. 
— Oui, je te comprends...
— Alors qu’est-ce que tu attends pour redevenir la maîtresse que tu étais ?
— J’n’en sais rien... Réponds Lili En pleure.
— On ne s’est pas éclaté ce soir ?
— Si j’ai aimé...
— Alors !!! Qu’attends-tu, un coup de main ?
— Oui, s’il te plait...
— OK, mais il faut l’accord de Hervé.
Je décide d’interrompre cette discussion en revenant avec la troisième boutanche. Elles éclatent de rires en me voyant arriver. Normal, pour détendre l’atmosphère, j’ai déposé une serviette de table sur ma queue encore raide. Je pose la bouteille tel un Maître d’Hôtel et Lili Se lève pour nous servir. On sirote notre énième verre.
— Hervé, j’ai quelque chose à te proposer pour ne pas rester ici. Ecoutez-moi jusqu’à la fin, S’il vous plait. 
Lili et moi, on lui fait un signe de tête.
-Bon, je vous propose d’aller pique-niquer à la plage naturiste découverte l’autre jour. D’y passer la journée du samedi, du dimanche et du lundi. Quand dites-vous ?
— Oui mais les enfants ?
— Et on travaille lundi...
— Toi tu te charges de la baby-sitter et toi, petit con, on est lundi 14... tu travailles le 14 juillet depuis quand ?
On explosa tous de rire. Il est vrai que ce détail m’avait complètement sortie de la tête. 
— Et ton mari ? dit Lili.
— Tout d’abord on n’est pas marié, et puis je m’en fou... Je préfère m’éclater avec vous plutôt que de lui servir de bonniche. Alors, qui est partant ?
— OK, pour moi. Lili ?
— Bon, bin, je me range à la majorité.
— Bien, je crois qu’un long weekend nous attend, les filles. Débarrassons et allons coucher.On range la table de la terrasse. C’est vite fait à trois. Je prépare tout le matériel pour un pique-nique réussit. Glacière, parasol, plaid en pastique, serviette de bain, lotion solaire. Je retrouve les deux filles endormies sur les transats. Je n’éteins pas la terrasse. Je les couvre et je vais dormir sur le canapé.Je suis réveillé par l’odeur du café. Ma femme est sur la terrasse en train de préparer le petit déjeuner. Il est 09h00. Je m’étire et la rejoint.
— bonjour chéri.
— Bonjour Amour.

Nous n’échangeons pas un baiser chaste mais un baiser passionné.
— Où est Isa ?
— A la boulangerie. T’inquiète, elle n’est pas partie.
— M’inquiéter, moi ? C’est plutôt toi qui devrais l’être.
Pour toute réponse, elle me dépose une claque sur les fesses. Le retour d’Isa est des plus bruyants. Elle est morte de rire. Elle a rencontré Jean à la boulangerie. Ma femme ne comprenant pas, on lui explique succinctement qui est ce monsieur. Comme le monde est petit et bien fais, parfois. Isa poursuit, il y sera ce matin, qu’il y passe tout le weekend et que si on a des tentes, il nous invite sur sa parcelle de camping. J’ai une tente, elle doit être dans le cabanon. Tente trouvée, nous déjeunons. Isa revêt sa robe, sans rien dessous. Moi, un pantacourt et un tee-shirt blanc. Lili est habillée par Isa, d’un simple paréo croisé devant et noué au cou. Voiture chargée, nous sommes prêts à partir. Sur la route, on s’arrête à une supérette pour y faire deux ou trois courses. Je peste contre les nanas quand il vient le moment de ranger dans la glacière. Elles sont mortes de rire. Bref ça rentre et nous voilà parti vers le camping de Jean. Nous y voilà. Accueil sympa par le proprio qui nous indique la parcelle de Jean. Je l’aperçois et il nous accueille à bras ouvert. Il fait la bise à Isa, à Moi mais s’arrête à Lili.
— Mais qui est c’est charmante demoiselle ?
— C’est ma femme.
— Enchanté, Madame.
Il lui fait la bise. Lili est un peu apeurée. Tout le monde est nu. Isa n’attend pas, elle ôte sa robe. Je la suis. Isa est morte de rire, Elle dénoue le paréo de ma femme qui tombe à ses pieds. Elle rougit. 
— Novice ? Interroge Jean.
— Et un peu coincé, répond Isa, on est là pour parfaire son éducation.
— Hé, ho, cela ne vous dérangerez pas de m’aider à décharger !!!
— Hop, pardon, je manque à toutes les règles de l’hospitalité.
On décharge. Jean m’aide à monter la tente et à mettre au frais tout ce que nous avons dans son frigo. Il nous dit que sa femme est déjà sur la plage, que nous pouvons la rejoindre.Il nous indique que sa femme est sous un parasol rose. Jean m’aide à porter parasol, serviettes, plaid et sacs. On marche deux cent mètres, on retrouve l’endroit où nous étions, Isa et moi, il y a quinze jours. Isa regarde avec envie la table où elle a fait son show. Elle prend la main de Lili et lui sourit. C’est bientôt en couple de lesbiennes amoureuses qu’elles marchent sur le sable brûlant, en se tenant par la taille. On s’arrête au niveau du dit parasol. Une femme, la soixantaine, est en train de lire. 
— Hé, la vieille, voici nos hôtes pour le weekend.
Elle se lève pour nous accueillir. Elle nous embrasse très chaleureusement. Jean nous présente sa femme, Éva. Malgré son âge, elle est très bien conservée. Juste quelques rides entre le cou et sa poitrine. Les yeux gris, chevelure blonde style lionne, de petits seins qui tombent un peu, un petit cul qui a encore une belle tenue, un ventre plat, et une chatte avec des lèvres énormes. Bref bien sous tous rapports.
— Je vais me baigner, dit-elle, vous venez les filles ?
Sans attendre, Isa et Lili la suive. Jean et moi plantons le parasol et installons nos serviettes. On rejoint les donzelles. Isa est accrochée au dos de mon épouse. Elle bécote son cou. Nous rigolons du tableau qu’elle nous offre. Jean part nager. C’est un ancien légionnaire, nous dit sa femme. Elle s’approche de moi.
— Vous avez une belle queue, Monsieur.
— Merci mais moi c’est Hervé.
— Si nous remontions sur nos serviettes. Laissons les filles tranquilles.
Je la suis. Elle s’allonge sur le côté. Je m’essuie et m’allonge sur le dos. Elle me complimente sur ma bite, que ma femme doit être la plus heureuse des femmes. Je lui explique mes problèmes avec mon épouse et les raisons de notre venue. Jean réapparaît. Il me demande de les suivre pour préparer le pique-nique de ce midi. Je préviens ma femme et Isa et je suis les deux « vieux ». Sa femme nous devance.
— Elle à pas un beau cul ma femme ?
— Euh...
— Ne fais pas ton timide. Vu comment tu bande, elle t’attire.
— Puis-je être franc avec toi ?
— Oui vas-y.
-Ces ses seins et son sexe qui me font bander.
— Ô, c’est qu’elle en a vue passer des bites et autres objet.... Me répond-il en me tapotant l’épaule.
En arrivant au mobilhome, il me fait la visite. On entre dans un grand auvent rigide où se trouve la cuisine, un salon avec télé, lecteur DVD et ordinateur. Il me précède pour entrer dans la grande caravane. C’est décoré avec soin. Un rideau léger sépare un autre salon de la chambre. Un WC et une salle de bain avec douche complètent l’équipement. 
— Bon corvée vaisselle et lavage des légumes... me dit-il en me faisant un clin d’œil.
Il est vrai qu’il aurait pu faire ça ici. Il part en tirant une charrette vers les blocs sanitaires. Éva est occupée à prendre les boissons dans le frigidaire et de les mettre dans une glacière. Elle est accroupie, s’acharnant sur un pack de bières récalcitrant. Il fait une chaleur étouffante. Je transpire. Je suis à un mettre d’elle et quand elle se retourne, elle est à auteur de ma verge bandée comme un arc. Elle me fait signe d’approcher en refermant la porte du frigo. Elle s’assoie sur la glacière, jambes largement écartées. De ses petites mains, elle me soupèse les couilles. Elle me les malaxe en me regardant droit dans les yeux. Elle sort la langue et récupère la petite perle qui s’est formée au bout de mon gland. Elle serre mon viêt en remontant lentement et se délecte de ce nectar.
— Dommage qu’il m’est interdit de baiser avant ce soir. Jean me l’interdit. Et oui, je n’ai plus l’endurance de mes vingt ans. Mais sucer, ne m’est pas interdit.
C’est avec passion qu’elle me gobe la bite. Elle joue avec sa langue sur toute la longueur. C’est une pro de la turlute. Elle me lèche les couilles. Elle me les gobe une à une, puis les deux ensembles. Je me crispe, elle me sourit. Elle va lentement en me soutenant du regard. Ses joues se creusent. Elle se retire de ma bite en faisant un bruit de succion, la reprend en bouche sans la toucher des lèvres. Elle referme sa bouche et remonte en jouant toujours de celle-ci. Elle descend de plus en plus loin, jusqu’à ce qu’elle arrive à toucher, de son nez, mon pubis. Elle reste bloquée pendant de longues secondes et remonte toujours aussi lentement. Ces va et viens sont un peu plus rapides. Elle me pompe littéralement. J’en peu plus, Je viens. Elle garde juste mon gland en bouche, elle continu de me branler lentement. Je sans ma sève monter.
— PUTAIN, JE VIENS, ARGH... OUF...HUM. 
De long jet viennent percuter son palais et sa glotte. Elle me pompe jusqu’à la source se tarisse. En me montrant sa récolte, elle se lève et m’embrasse à pleine bouche. Le gout est beaucoup plus fort que ma première fois avec Isa. J’essaie de reculer mais elle me retient fermement par la nuque. On resta ainsi en faisant tournoyer nos langues. J’ai un mélange de bave et de sperme qui me coule sur le menton. Elle le récupère en léchant.
— Merci de ton offrande, Hervé. Succulent. dit-elle en suçant ses doigts.
— Quelle pipe, merci Eva. 
On s’embrasse. Le retour de Jean est annoncé par le bruit de sa charrette.
— Alors, le jeune, on n’a pas fait de bêtise ? Aller, je plaisante, je sais que la vieille n’a pas pu résister à un braquemart comme le tien. Tu nous sert un pastis ma chérie. Viens installe toi là, dehors il fait meilleur. 
Éva arrive avec les bouteilles d’eau et de pastis. Jean sert des yaourts. Il m’explique que se soir il n’est pas de « service ». Mais qu’il ne participe pas aux soirées, se trouvant trop vieux. Je lui dis qu’Isa sera très certainement déçu. Il regarde sa femme. Elle lui dit d’y aller, elle l’accompagnera. On finit notre pastis. On charge tout sur la charrette et nous voilà parti rejoindre les filles. -
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